[n/a] : C'est le chapitre tant attendu par plusieurs, on dévoile l'identité de l'amour de Hermione mais on a bien peur que très peu d'entre vous n'aient visé juste quant à la mystérieuse personne. Désolées mais vous risquez d'être surpris.

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Simple petit mot pour vous introduire que ce chapitre met en vedette l'une d'entre vous. Après une demande spéciale que nous avons eu le plaisir d'accomplir, nous sommes heureuses de vous présenter la nouvelle star de notre fic... Il s'agit de ... Est-ce que l'on peut le dire ? On imagine puisque de toute façon les reviews sont publiques. Ishtar : Ce chapitre est tien. Merci de t'être prêtée au jeu. Si jamais vous avez d'autres suggestions ou requêtes, n'hésitez pas à nous les faire connaître, on essayera sans doute de les rendre possibles. Sur ce... Bonne lecture. (Ishtar est une auteur d'un autre site TWWO en occurrence et elle nous avait donné comme défi de l'inclure à notre histoire avec certains préalables, c'est ce que nous avons fait et on a adoré notre expérience. Merci Ishtar pour ton esprit lubrique...)

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Chapitre dixième : Je m'assoupis peu après, le sourire aux lèvres.

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C'était le dernier match de Quidditch aujourd'hui, je suis encore sous l'effet de tout cet alcool ingurgité. Nous avons bien sûr gagné et ces points accumulés nous donnes une bonne avance pour la coupe des quatre maisons que l'on a bien envie de se payer également. Ron et Ginny ont été FABULEUX. Je les adore tous les deux. Mc Gonnagall vient de nous aviser que nous ferions bien d'aller dormir mais on n'en a pas l'intention. Ron m'affirme qu'il lui reste une bonne bouteille de Whisky de feu. Ça ne se fait pas de ne pas écouter les propositions d'un préfet après tout. Hermione a disparu on ne sait où depuis un petit moment, elle n'est pas là pour nous casser les pieds avec les règles à suivre. Je l'aime bien mais parfois, comme dans des moments semblables, je la trouve trop stricte.

Ginny propose de s'éclipser par petit groupe jusqu'à la salle sur demande, là on pourra continuer la fête encore quelques temps. Si je me rappelle comment compter, on sera dix en tout à vouloir continuer cette fête. Je propose à Ron d'accompagner un premier groupe à l'aide de la carte des Maraudeurs qui m'est revenue l'an dernier sans autre explication. Je suivrai peu après à l'autre groupe que l'on dissimulera sous ma cape d'invisibilité dont Hermione a trouvé le moyen d'agrandir.

Parfait, nous voilà en route, on chuchote et chahute, bref on tente de passer inaperçu mais je doute que l'on y parvienne. On est trop bourrés. On arrive sans trop de mal à la salle sur demande et on y retrouve nos amis qui s'amuse déjà. Je cale d'un trait le verre que me remet Ron en souriant. Je remarque que mon ami semble avoir de la difficulté à marcher correctement puis je songe que je dois être dans un état similaire. Plus loin Ginny rit aux éclats en voyant Seamus s'étendre de tout son long sur le plancher. Lui-même semble trouver la situation particulièrement drôle.

Le temps passe rapidement, je ris et rigole avec mes amis. Quelqu'un a mis de la musique d'une façon qui m'est inconnue. Je ne connais pas du tout cette chanson. Un homme chante une tirade dans une langue qui m'est étrangère : Ma mère voici le temps venu. D'aller prier pour mon salut. Mathilde est revenue. Mais qu'est-ce qu'il raconte ?

Dans un coin Neville dort la bouche entrouverte et Ginny ainsi que Seamus tentent de faire entrer des petits jujubes dans son orifice oral. Moi et Ron on est assis dans un autre coin et on sourit de les regarder faire.

Soudain, mon cerveau dessaoule d'un coup. Ron vient de me passer un bras autour des épaules et me chuchote des choses à l'oreille. Il me demande si j'ai des vues sur quelqu'un en ce moment. Pourquoi ce genre de question ? Je ne sais que répondre, je suis soudainement très mal à l'aise. Il me parle ensuite de sa dernière petite copine et de tout ce qu'il aimerait qu'elle lui fasse mais elle est, selon ses dires, plutôt réticente à certaines pratiques sexuelles. Je sais que je suis rouge de la tête aux pieds, j'ai chaud. Je ne veux pas savoir ce genre de détail Ron ! Ça me regarde pas du tout.

Ça y, voilà le coup de grâce. Il me regarde droit dans les yeux et me demande si je n'aurais pas quelque chose à lui dire ? Qu'est-ce qu'il attend de moi ? Serait-il au courant ? Qui le lui aurait dit ? Ginny ? Non, bien sûr que non, j'ai confiance en elle, je sais qu'elle ne m'aurait pas trahi. Hermione ? Non plus, cette fille est le tact même. Aurait-il deviné seul ? Me serais-je vendu à un moment où un autre ?

Il attend une réponse là. Son regard est profond et sincère. Je voudrais chasser cette question et passer à autre chose mais il refuserait de me laisser m'en tirer ainsi. Je ne peux pas lui mentir. Puis-je lui dire ? Quelle sera sa réaction ? Voilà des semaines que je me pose cette question et je n'ai toujours pas de réponse. Ron est reconnu pour être imprévisible. J'ai peur de lui avouer. Hermione m'a confié que le plus dur était de l'avouer à ceux à qui on tenait le plus. Ginny et elle sont déjà au courant, ne reste que Ron. Je me dois de lui dire, de lui avouer.

Il me fixe toujours, j'ai la gorge tellement serrée que je doute qu'un seul son puisse en sortir. Je dois ressembler à un chiot complètement effrayé car il me sourit gentiment en resserrant l'étreinte de son bras toujours autour de mes épaules. Je tente un sourire que je sais misérable. À l'autre bout de la pièce, Ginny a cessé de jouer et nous observe légèrement alarmée par ma détresse. Je cherche un appuie dans son regard et le trouve. J'avale difficilement et me lance. Après tout. Cela ne doit pas être si difficile, c'est rien à comparer d'affronter Voldemort. Alors pourquoi j'ai si peur ?

« Je, euh, mmmmh, c'est que, je... tu vois, c'est... hummm, euh. »

Ah, bravo, c'est clair et concis comme réponse. Il a rien compris. Je pousse un énorme soupir qui fait même se retourner Neville dans son sommeil. Allez mon vieux, fait le !

« Jecroisquejesuisgay »

Le sourire de Ron s'efface peu à peu de son visage alors que le mien perd tout son sang. Mon cœur a cessé de battre et je ne respire plus, attendant le verdict. D'un geste viril et possessif, il m'approche de lui de son bras sur mes épaules et de l'autre, s'amuse à m'ébouriffer les cheveux avant de dire d'une voix chancelante à cause de l'alcool :

« - Si t'es heureux mon vieux, pour moi c'est correct... En autant que tu ne sortes jamais avec Rogue car là, je te renie mon vieux. »

Oh, Ron, si seulement tu savais à quel point je suis loin sur la liste de Rogue. Je me sens si bien, tellement plus léger, mieux dans ma peau. Je pourrais affronter ce fou de Voldemort à l'instant tellement je flotte sur mon nuage. Evidemment, l'alcool ne me rendrait pas les choses facile mais bon...

Finalement, la vie est belle ! Ginny me gratifie d'un sourire complice alors que Ron continue sa litanie sur sa copine.

Je m'assoupis peu après, le sourire aux lèvres.

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J'ai besoin de distraction. Je vais sauter si je ne sort pas immédiatement de ces cachots remplis d'insignifiants finis sans aucune cervelle. Ils m'exaspèrent tous autant qu'ils sont. Tout ce qu'ils ont fait de leur soirée c'est critiquer ces fichus Griffondors qui viennent de gagner la coupe de Quidditch. D'accord, je le reconnais, je ne donne pas ma place quand vient le temps d'insulter cette bande de rouge et or en manque de sensation mais ce soir j'avais envie de discuter, parler, échanger. Impossible de faire ça dans ma maison, ils ont tous le crâne trop épais pour me servir d'interlocuteur potable. Seul Blaise aurait fait l'affaire mais il semblerait que notre directeur de maison avait besoin de ses « services » ce soir.

Je marche dans les corridors maintenant déserts à cette heure. Ma condition de préfet en chef me donne ce privilège. Je déambule sans but précis, les mains dans les poches. Tient. Mais que fait Peeve si calme et immobile. Je m'approche lentement et il se retourne en mettant un doigt sur sa bouche, signe qu'il faut que je me taise. Je suis curieux, qu'est- ce qui peut bien tenir tranquille un esprit frappeur comme lui ? MERLIN. Décidément, c'est mon année chanceuse pour tomber sur des couples en pleine action. De qui s'agit-il cette fois. Peeve me glisse à l'oreille qu'il s'agit de Mathilde la préfète en chef de Poufsouffle. C'est bête à toutes les fois que je la vois, j'ai cette chanson dans la tête que chantait toujours ma grand-mère lorsque j'étais jeune : Mon coeur mon coeur ne t'emballe pas. Fais comme si tu ne savais pas. Que la Mathilde est revenue. Bref ! Mais qui est son partenaire ? Mais c'est, c'est, c'est Dubois !

Je faillie m'étouffer en entendant, dans mon esprit, le nom de l'amant de ma consœur. Olivier Dubois ? Mais qu'est-ce qu'il fautait là lui. Voilà plusieurs années qu'il a gradué ? Il a dû être invité pour le match de Quidditch de cet après-midi et ses plans ont dû changer lorsqu'il prit conscience des attributs avantageux de Mathilde.

J'aurais jamais imaginé que Peeve était du style voyeur. Je ne vaux guerre mieux que lui en fin de compte. Je reste planté là, dans l'ombre à observer les prouesses de souplesses des deux amants. Tient, intéressant cette utilisation du manteau de foyer. Elle peut se maintenir un tant soit peu et alléger le poids que doit supporter le bassin et les bras de Dubois. Si j'en juge par ce que je vois, elle semble apprécier. Je suis certain que si je reviens demain, des traces de griffures seront présentes dans le bois du manteau de foyer. Elle semble s'y raccrocher férocement. Heureusement que ce n'est pas le dos du pauvre homme, il aurait été bon pour une visite à Pomfresh avant de partir.

Énergiques les coups de basin. Il a des ressources l'ancien Griffondor. Ouf ! Quelles fesses également. Je suis hypnotisé par ses fesses qui font des vas et des viens de plus en plus déchaînés. MERDE ! Non, pas ici, pas maintenant. Je suis mieux de quitter avant que Peeve ne s'aperçoive que mon pantalon commence à être serré au niveau de mon entrejambe. Juste avant de partir, je m'assure qu'il me rendre un service. Il m'affirme qu'il avait eu la même idée. C'est à dire hurler peu avant qu'ils n'atteignent l'orgasme. Va débander vite le Dubois ! ! ! hihihi... Bien, quoi ? Il était à Griffondor non ? C'est tout ce qu'il mérite.

Je me hâte de retrouver mon lit et ferme les rideaux rapidement pour ne pas être dérangé par un des dégénérés qui partage mon dortoir. Un sort d'intimité, un autre de silence et voilà, je peux soulager mon érection qui se souvient encore trop bien des coups de basin et de ses fesses fermes et rondes à souhait. Je ferme les yeux pour mieux revoir les images qui m'ont excitées plus tôt. Cela ne prend pas trop de temps avant que je ne me décharge sur la serviette prévue à cet effet.

Je m'assoupis peu après, le sourire aux lèvres.

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J'ai pas trop la tête à fêter avec eux. Je suis heureuse de la victoire de ma maison au Quidditch mais je ne vois pas la nécessité de fêter jusqu'aux petites heures et à boire jusqu'à avoir mal aux cheveux le lendemain. Je crois que je vais profiter de la salle commune des préfets en chef ce soir. C'est une petite salle avec quelques fauteuils et causeuses, un foyer, des tables de travail et une bonne bibliothèque. L'endroit est intime et chaleureux. J'y serais bien pour me reposer et pour fuir ce tumulte qui empoisonne notre tour. D'ailleurs à cette heure, je devrais y être seule. Je pourrai lire tranquillement. Je donne le mot de passe à la gargouille qui garde l'entée de la pièce. J'entre sans trop prêter attention, le nez déjà plongé dans mon livre. Une douce musique me parvint aux oreilles, je l'ai déjà entendu mais je ne me souviens plus très bien où : Mon coeur arrête de répéter . Qu'elle est plus belle qu'avant l'été . La Mathilde qui est revenue. C'est une chanson assez triste en fin de compte...

Puis une voix, SA voix me parvint jusqu'aux oreilles.

J'en suis si surprise que je laisse tomber mon livre et l'observe les yeux rond avant de lui demander ce qu'elle faisait là.

« - Je suis préfète en chef moi aussi, ça te cause problème ? »

Sa voix est dure et sèche. Ce n'est pas elle, elle ne m'a jamais parlé ainsi avant. Elle me dévisage drôlement avant de retourner à ses parchemins sans un mot de plus. Je reste figée là comme une conne pendant un moment. Finalement, je reprends mes esprits et ramasse mon livre. J'ai vraiment envie de la laisser seule mais cela serait lui concéder une victoire, et il n'en est pas question. Je me dirige donc vers un fauteuil derrière elle. Je pourrais ainsi l'observer sans en avoir l'air.

Mais qu'est-ce que tu fais là toi ? Pattenrond ? Comment t'es arrivé jusqu'ici ?

« - Ton chat semble prendre un malin plaisir à me suivre ces derniers temps. Faudrait lui expliquer que ce n'est pas bien d'espionner les jeunes femmes sous leur douche »

Le ton est dur et elle me fait toujours dos. Je regarde sa nuque et mon chat simultanément, ébahie. Qu'est-ce qu'elle attend de moi ? Des excuses ? T'auras pas ce plaisir ma chère, je n'ai aucun contrôle sur ce chat. Parlant du chat. Petit veinard va ! T'es chanceux toi qu'elle te laisse la regarder prendre sa douche. Bon maintenant, ôte-toi de là et laisse moi la regarder discrètement.

J'arrive même pas à me concentrer correctement pour pouvoir prétendre lire. Je me contente de tourner des pages au hasard à intervals réguliers, question de ne pas me dévoiler. Bientôt, elle en a assez de griffonner rageusement sur ses parchemins et elle repousse tout ce qui se trouve devant elle d'un mouvement las accompagné d'un incroyable soupir. Elle se saisit d'un livre dans son sac et va prendre place dans la causeuse à ma gauche. Dès qu'elle s'y laisse tomber, Pattenrond saute de mes genoux pour profiter du confort des siens. Chanceux ! Sais-tu ce que je donnerais pour être à ta place ?

Un autre soupir accompagne le saut de mon chat sur ses genoux. Je me lève et entreprends d'aller récupérer mon félin. Lorsque je tends la mains pour me saisir de Pattenrond, elle fait de même pour me le rendre sans doute mais le chat est bien plus rusé que nous. Il se sauve et nous voilà toutes les deux, les mains dans celles de l'autre, nous dévisageant.

Je ne sais pas très bien si c'est moi qui flanche et succombe au désir de me saisir de ses lèvres ou si c'est elle qui m'attire vers elle mais on se retrouve soudainement incroyablement proche. Je sens son souffle chaud et envoûtant sur mes lèvres qui brûlent de désir d'embrasser et d'être embrassée. Mon cerveau prend quelques secondes pour analyser les mots qui se frayent un chemin jusqu'à lui :

« - J'ai tellement envie de t'embrasser mais je ne ferais rien que tu ne désires également »

Si je le désire ? Si je désire être embrassée par toi ? Non mais t'es folle ? Qui ne le voudrait pas ? ok, bien des gens mais pas moi, ça c'est certain. Pour toute réponse, je ferme les yeux et comble rapidement le minuscule espace qui sépare encore nos lèvres. Je la sens stupéfaite par mon geste mais rapidement ses mains se saisissent de ma taille et m'approche encore plus d'elle. Je prends d'instinct la place laissé depuis peu par Pattenrond sur ses genoux et passe mes bras autour de son cou alors qu'elle affirme sa poigne sur ma taille.

Nos lèvres s'entrouvrent comme préprogrammées et nos langues pointes lentement, timidement. Je frisonne de la sentir si près de moi, je brûle de l'avoir si près de moi. À bout de souffle nous nous séparons à contrecœur. J'appuie mon front sur le sien, mes bras toujours autour de son cou et les siens enserrant ma taille.

On passe le reste de la soirée dans les bras l'une de l'autre, s'embrassant par moment mais surtout, dialoguant. Elle me révèle qu'elle avait peur que j'aie entendu la rumeur qui dévoilait son homosexualité et que c'était pour ça que je m'étais éloignée d'elle ces derniers temps. Pour ma part je lui confirme que j'en avais aucune idée et que je fuyais sa présence dans le seul but de pouvoir contrôler mes hormones. Ça la fait rire. Elle m'avoue qu'elle avait été très heureuse, trop heureuse probablement lorsque Pavarti lui avait affirmé que ma relation avec Krum était terminée et sans espoir de réconciliation. C'est à partir de ce moment, qu'elle s'est aperçue des sentiments qu'elle cultivait à mon égard. Elle me demande aussi, si c'est l'attrapeur bulgare qui m'a enseigné à embrasser divinement comme ça ou était-ce Ron le tombeur des Griffondors. Je la rassure en lui affirmant qu'il n'y a jamais rien eu de ce genre entre moi et Ron et que jusqu'à tout récemment, Viktor avait été en effet, la seule personne que j'avais embrassé. Mais je crois que ce talent m'est inné puisque aussi gentil qu'il pouvait l'être, le pauvre Krum n'était pas le meilleur côté baiser. Et sur d'autres côtés me demande-t-elle narquoisement ? Si tu penses que je vais te donner de quoi potiner avec ta sœur tu te trompes ma belle !

Elle prend d'abord un air indigné du simple fait que je puisse l'avoir comparé un seul instant à sa sœur. Puis elle rit en caressant ma cuisse où sa tête avait trouvé refuge. Elle m'avoue avoir toujours été plus ou moins sûre de son orientation. Que l'été dernier elle avait eu sa première vraie relation avec une femme. Et que peu avant la rentrée, elle l'avait annoncé à sa famille. Je lui expliquai que j'en avais parlé avec ma mère qui s'était montrée ouverte et compréhensive, comme toujours. Que dans mon cercle d'amis, seul Harry savait que j'avais des sentiments pour une jeune femme de l'école mais ne savait pas qui. Je lui dis aussi que je croyais vraiment que Ginny savait également.

On parle longuement et profite de notre intimité pour s'embrasser autant que l'on le désire mais on ne va pas plus loin. Je ne suis pas encore prête à franchir ce pas et elle l'a senti et me respecte. Je l'adore.

Je m'assoupis peu après, le sourire aux lèvres.

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[RAR] :

Bubblejoyce : CHÉRIE ! On t'adore de laisser ainsi des reviews malgré le fait que tu connaisses les chapitres avant les autres. Merci pour tes encouragements.

Machin bidule : Voici la suite, merci pour ta review.

Matiteboume : Perspicace ! Bravo, tu l'as trouvé mais maintenant tu en as eu confirmation. Merci pour ta review. On espère que tu continueras à lire même si un des couples est formé maintenant.

Alixe : Merci beaucoup pour cette review qui nous a fait chaud au cœur. En fait, cette histoire n'est lisible, compréhensible et intéressante que grâce à Joyce. En fait, on a presque honte d'inscrire nos noms sur cette histoire, c'est le sien qui devrait y figurer mais elle refuse catégoriquement. Comme tu as pu le lire, l'amour de Hermione n'est pas du type mâle... On espère que cela ne t'a pas trop déçu. C'était notre idée et on s'amuse en fait à faire durer le suspense et à surprendre avec nos idées complètement débiles. Merci encore pour tes bons mots, on fera lire la review à Joyce, elle va être contente.