Titre : In your arms.
Auteur : Shunsuke Aoyama. ( vi chuis le frère caché de Motoko et je fais du kendo ^^ )
Genre : Yaoi.
Base : Harry Potter.
Commentaire : Harry/Sirius surtout dans cet épisode, beaucoup plus dramatique qu'à l'accoutumée, mais vous z'inquiétez pas, aucun couple ne se dispute ou ne se sépare ^^. Vous verrez bien O_O.
¤ Au chalet ¤
Snape avait finalement décidé de ne rien dire à propos de l'endroit où se trouvait les deux amoureux, et encore moins de dire qu'ils l'étaient. En échange, il passeraient quelques jours en leur compagnie et repartirait en suite à Poudlard, peut-être avec eux s'il arrivait à les en convaincre.
Harry dévala la pente de la colline, deux faisans solidements attachés autour de sa taille, stupéfixiés dans une expression de stupeur. Il avait décidé de partir tôt le matin pour trouver de quoi manger au déjeuner. A présent, le soleil était à son zénith alors qu'il rentrait, fier, au foyer. Mais lorsqu'il gravit la dernière colline qui l'en séparait encore, il aperçut une forme sombre se tortiller tout prêt de la porte. En quelques enjambées, ils se retrouva devant le corps ensanglanté d'un Rogue à demi-évanouï qui levait vers lui un regard suppliant.
- Que c'est-il passé, demanda Harry, la vois tremblante, et le coeur battant à tout rompre.
Il s'agenouilla auprès du bléssé pour l'entredre lui répondre en un murmure à peine audible :
- Les détraqueurs... Ils ont emportés Sirius... Ils s'ait laissé faire, car ils ont dit que... s'il ne le faisait pas... ils te tueraient.
- QUOI ? s'écria Harry en un sanglot de déséspoir. Où l'ont-ils améné ? Professeur ! OU EST-CE QU'ILS L'ONT EMMENE ???
-La prison d'Oswald, mon balai... connait le chemin... Mais tu ne peut pas y aller... seul...
Snape fit mine de se lever, mais Harry le retint :
- Si, lança-t-il d'une voix à la fois déséspérée et ferme. Vous n'êtes pas en état, mais moi je le sauverais, même si je dois en mourir.
- Attend ! rétorqua l'adulte en se relevant péniblement. Je suis sûr que c'est un piège, ils...
- JE M'EN FICHE ! J'y vais quand même...
Snape se tût quelques instants, puis lança d'une voix un peu plus forte que jusqu'alors :
- Je vous accompagne, Potter, ne discutez pas... Nous perdons du temps...
Harry refléchit, puis finit par acquiescer d'un signe de la tête.
- Très bien, conclut Snape en ramassant son balai qui était appuyé au mur du chalet, sur le pallier. Montez derrière moi !
Pendant le voyage, Harry se sentit malalaise, agrippé ainsi au corps de son profeseur de potions, qui, de plus, les avaient surpris, Sirius et lui, dans une situation un peu embarrassante. Mais ils chassa bien vite ces souvenirs de son esprit. Toutes ses pensées étaient dirigé vers Sirius : Etait-il bléssé ? L'avait-on torturé ? Etait-il... Mort ?
Il réprima un violent sanglot et enserra un peu plus la taille de l'adulte., qui murmurra :
- Serres moi fort, tu vas m'étouffer ! Je suis assez mal en point comme ça !
Harry s'excusa d'une voix lointaine, et fermant les yeux, imaginant que son parrain était déja libre. Au bout de quelques instants, il entâmes une lente ascension à travers les arbre jusqu'à aboutir au beau milieu d'une vaste clairière au centre de laquelle avait été batti un imposant batiment de pierre sans étages. Cà et là, des fenêtres à barreau auquel apparaissaient de svisages blafards se détachaient de la surface uniforme des murs délabré.
- Ne te fie pas au apparence, chuchotta Snape voyant qu'Harry faisait mine de s'élancer vers la prison. Cet endroit est protégé par des sortilèges si puissants qu'aucun geôlier ne la surveille. Tu peux t'approcher der fenêtres, mais ne touche surtout pas aux murs de la prisons !
Harry acquiesça et ils se mirent en route. Ils firent le tour de la batisse en regardant à travers les barreaux s'ils apercevaient Sirius. Soudain, entre les barreaux d'une petite fenêtre, il le vit, assis au centre d'une petite pièce circulaire faiblement éclairée, assis à même le sol, la tête sur les genoux.
- Sirius ! apella Harry.
- Harry ! s'exclama le prisonier qui se leva d'un bond, accourant à la fenêtre. Qu'est-ce que tu fais là ?
- Je suis venu te sauver, Syry. Qui a envoyé les détraqueurs ?
- J'en sais rien ! Je veux juste sortir de là !
- Ne t'inquiètes pas, on va te sortir de là !
- Il faudrait aller chercher Dumbledore ! proposa Snape.
- Il a raison ! avoua Sirius.
- Non, Sirius, non, je ne veux plus te laisser seul ! sanglota Harry.
- Ecoute ! l'interrompit son parrain en lui prenant le visage entre les mains. Ils n'y a pas d'autres moyens, fais-moi confiance.
Harry, en larmes, acquiesça et donna à Sirius un long baiser.
- Je ne t'abandonnerais pas ! lança-t-il en s'éloigna alors que les plaintes des prisonniers des cellules voisines couvraient sa voix.
L'animagus les regarda s'éloigner, remonter sur le balai de Snape - éprouvant une certaine jalousie en voyant son fileul s'agripper ainsi au corps de Severus - et s'élever dans les airs.
Finiiiiiiii ! Bon je sais mes chapitres sont pas super long mais je préfère faire court comme ça je met souvent à jour ^^ Byeeee !
Auteur : Shunsuke Aoyama. ( vi chuis le frère caché de Motoko et je fais du kendo ^^ )
Genre : Yaoi.
Base : Harry Potter.
Commentaire : Harry/Sirius surtout dans cet épisode, beaucoup plus dramatique qu'à l'accoutumée, mais vous z'inquiétez pas, aucun couple ne se dispute ou ne se sépare ^^. Vous verrez bien O_O.
¤ Au chalet ¤
Snape avait finalement décidé de ne rien dire à propos de l'endroit où se trouvait les deux amoureux, et encore moins de dire qu'ils l'étaient. En échange, il passeraient quelques jours en leur compagnie et repartirait en suite à Poudlard, peut-être avec eux s'il arrivait à les en convaincre.
Harry dévala la pente de la colline, deux faisans solidements attachés autour de sa taille, stupéfixiés dans une expression de stupeur. Il avait décidé de partir tôt le matin pour trouver de quoi manger au déjeuner. A présent, le soleil était à son zénith alors qu'il rentrait, fier, au foyer. Mais lorsqu'il gravit la dernière colline qui l'en séparait encore, il aperçut une forme sombre se tortiller tout prêt de la porte. En quelques enjambées, ils se retrouva devant le corps ensanglanté d'un Rogue à demi-évanouï qui levait vers lui un regard suppliant.
- Que c'est-il passé, demanda Harry, la vois tremblante, et le coeur battant à tout rompre.
Il s'agenouilla auprès du bléssé pour l'entredre lui répondre en un murmure à peine audible :
- Les détraqueurs... Ils ont emportés Sirius... Ils s'ait laissé faire, car ils ont dit que... s'il ne le faisait pas... ils te tueraient.
- QUOI ? s'écria Harry en un sanglot de déséspoir. Où l'ont-ils améné ? Professeur ! OU EST-CE QU'ILS L'ONT EMMENE ???
-La prison d'Oswald, mon balai... connait le chemin... Mais tu ne peut pas y aller... seul...
Snape fit mine de se lever, mais Harry le retint :
- Si, lança-t-il d'une voix à la fois déséspérée et ferme. Vous n'êtes pas en état, mais moi je le sauverais, même si je dois en mourir.
- Attend ! rétorqua l'adulte en se relevant péniblement. Je suis sûr que c'est un piège, ils...
- JE M'EN FICHE ! J'y vais quand même...
Snape se tût quelques instants, puis lança d'une voix un peu plus forte que jusqu'alors :
- Je vous accompagne, Potter, ne discutez pas... Nous perdons du temps...
Harry refléchit, puis finit par acquiescer d'un signe de la tête.
- Très bien, conclut Snape en ramassant son balai qui était appuyé au mur du chalet, sur le pallier. Montez derrière moi !
Pendant le voyage, Harry se sentit malalaise, agrippé ainsi au corps de son profeseur de potions, qui, de plus, les avaient surpris, Sirius et lui, dans une situation un peu embarrassante. Mais ils chassa bien vite ces souvenirs de son esprit. Toutes ses pensées étaient dirigé vers Sirius : Etait-il bléssé ? L'avait-on torturé ? Etait-il... Mort ?
Il réprima un violent sanglot et enserra un peu plus la taille de l'adulte., qui murmurra :
- Serres moi fort, tu vas m'étouffer ! Je suis assez mal en point comme ça !
Harry s'excusa d'une voix lointaine, et fermant les yeux, imaginant que son parrain était déja libre. Au bout de quelques instants, il entâmes une lente ascension à travers les arbre jusqu'à aboutir au beau milieu d'une vaste clairière au centre de laquelle avait été batti un imposant batiment de pierre sans étages. Cà et là, des fenêtres à barreau auquel apparaissaient de svisages blafards se détachaient de la surface uniforme des murs délabré.
- Ne te fie pas au apparence, chuchotta Snape voyant qu'Harry faisait mine de s'élancer vers la prison. Cet endroit est protégé par des sortilèges si puissants qu'aucun geôlier ne la surveille. Tu peux t'approcher der fenêtres, mais ne touche surtout pas aux murs de la prisons !
Harry acquiesça et ils se mirent en route. Ils firent le tour de la batisse en regardant à travers les barreaux s'ils apercevaient Sirius. Soudain, entre les barreaux d'une petite fenêtre, il le vit, assis au centre d'une petite pièce circulaire faiblement éclairée, assis à même le sol, la tête sur les genoux.
- Sirius ! apella Harry.
- Harry ! s'exclama le prisonier qui se leva d'un bond, accourant à la fenêtre. Qu'est-ce que tu fais là ?
- Je suis venu te sauver, Syry. Qui a envoyé les détraqueurs ?
- J'en sais rien ! Je veux juste sortir de là !
- Ne t'inquiètes pas, on va te sortir de là !
- Il faudrait aller chercher Dumbledore ! proposa Snape.
- Il a raison ! avoua Sirius.
- Non, Sirius, non, je ne veux plus te laisser seul ! sanglota Harry.
- Ecoute ! l'interrompit son parrain en lui prenant le visage entre les mains. Ils n'y a pas d'autres moyens, fais-moi confiance.
Harry, en larmes, acquiesça et donna à Sirius un long baiser.
- Je ne t'abandonnerais pas ! lança-t-il en s'éloigna alors que les plaintes des prisonniers des cellules voisines couvraient sa voix.
L'animagus les regarda s'éloigner, remonter sur le balai de Snape - éprouvant une certaine jalousie en voyant son fileul s'agripper ainsi au corps de Severus - et s'élever dans les airs.
Finiiiiiiii ! Bon je sais mes chapitres sont pas super long mais je préfère faire court comme ça je met souvent à jour ^^ Byeeee !
