[n/a] : Quelques petits mots pour répondre à ce qui semble être l'opinion de bien du monde. Dans une guerre, il y a beaucoup de pertes, autant chez celui qui est considéré comme l'ennemi que dans le clan du Bien. Comme nous aimons les choses moindrement réalistes, il nous fallait donc faire périr quelques persos. Désolées si vous trouvez qu'il y en a trop ! Dire que l'on voulait sérieusement faire mourir Harry ! On se serait fait tuer à notre tour !

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Chapitre vingtième : C'est troublant

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Assis dans le fauteuil de ma chambre, je regarde le soleil se lever à l'Est, derrière les douces montagnes de ce coin d'Écosse. Bientôt, madame Weasley entrera à pas de loup pour ne pas me réveiller et me porter un plateau rempli de toutes les bonnes choses qu'elle aura cuisiné avec amour depuis son réveil. Peu après, ce sera le tour de mon médicomage personnel qui viendra me passer une nouvelle batterie de tests médicaux pour s'assurer de la progression de ma réhabilitation. Viendront ensuite quelques-uns de mes amis proches. Pas beaucoup cependant pour ne pas me fatiguer, ordre de mon médicomage. Parfois, je crois qu'il fait du zèle, je ne suis plus à l'article de la mort. Je voudrais pouvoir vaquer aux activités qui m'occupaient dans le passé mais il m'autorise tout juste à me déplacer dans ma chambre. Avec Molly, il veille sur moi d'un peu trop près mais puis-je leur en vouloir ? Tout ce qu'ils désirent c'est que je me remette complètement et rapidement. C'est également mon souhait mais mon inactivité me pèse.

Voilà un mois que j'ai repris conscience complètement. J'ai erré dans les méandres qui composent l'espace entre la vie et la mort pendant plus d'un mois avant de trouver le chemin de retour vers la vie. Mon réveil en a soulagé plus d'un paraît-il, à commencer par Fudge qui avait peur que je ne devienne un Saint Martyr Sorcier. Evidemment, mes amis et connaissances étaient très heureux également de mon réveil. Moi aussi je l'avoue même si cela m'a fait un mal de chien. Heureusement, depuis, je suis très bien soigné et grâce à d'excellentes potions, je souffre beaucoup moins. Voilà quelques jours, on m'a autorisé à quitter Ste-Mangouste pour m'installer ici, dans la nouvelle demeure de Weasley sous les bons soins de la matriarche de cette famille ainsi que d'un spécialiste en santé magique. J'étais heureux de quitter l'hôpital où malgré toutes les protections misent en place, certains journalistes arrivaient tout de même à se frayer un chemin jusqu'à moi pour tenter d'obtenir ma première entrevue depuis mon réveil. Sans parler de la horde de fans qui veulent à tout prix s'approcher de moi, « celui qui les a délivrés ! ». Que de stupidité !

À tous les jours, les médias sorciers ne parlent que de moi, que de MA victoire sur Voldemort. À tous les jours, la gazette du sorcier finie en boule contre un mur vers lequel je l'ai lancée, vert de rage. Et tous ceux que nous avons perdus ? Les a-t-on déjà oubliés ? Ce sont eux les véritables héros de ce combat. Tant de vies gâchées. Je pense à Ron qui est aveugle et qui ne retrouvera peut-être jamais la vue, à Ginny qui claudiquera toujours maintenant, à Hermione qui est affublée d'une cicatrice faciale. Sans parler de Neville qui est pris parfois de tremblements incontrôlables, de George qui a perdu quelques doigts...Tant de vies perdues : Dumbledore, Rogue, Hagrid, Dean, Charlie, Maugrey et tant d'Aurors et d'innocents.

Une main se pose sur mon épaule et me tire de mes noires pensées. Molly me sourit tendrement et me souhaite une bonne journée. Lentement, elle approche de mois le plateau de mon petit déjeuner et me tend la gazette. Elle me laisse seul, toujours face à la fenêtre où le soleil a pratiquement terminé son réveil. Je mange avec beaucoup plus d'appétit que lorsque j'étais à Ste-Mangouste, sans doute les petits plats de Molly m'inspirent plus que la nourriture infecte que l'on me servait dans ma chambre d'hôpital. Mon médicomage personnel est fier de ma reprise de poids, il faut dire que j'avais jamais été aussi maigre qu'à mon réveil, même dans mes pires années chez les Dursley, j'avais meilleure mine, c'est peu dire. Maintenant, il me reste encore quelques kilos à retrouver pour prétendre avoir la même forme physique qu'avant la dernière bataille. Parfois lorsque je passe devant le miroir, je me fais peur à moi-même. Mon visage n'a toujours pas repris toutes ces couleurs et mes cheveux qu'ils ont dû me raser à l'hôpital, mettent un temps fou à repousser. Je ressemble à ces accros de la drogue que j'ai vu un jour au fond d'une ruelle à Londres. Je fais peur à voir. Mais je reprends du mieux de jour en jour.

Par la fenêtre, je vois Padma et Hermione arriver par le petit sentier qui donne accès à cette maison cachée dans les Highlands. Elles semblent heureuses et je les envie malgré moi. J'aimerais pouvoir vivre moi aussi un amour aussi fort que le leur. Elles méritent l'une comme l'autre cet amour et j'en suis également heureux pour elles. Derrière elles, suit un Draco maussade. Depuis que j'ai repris conscience, il ne se passe pas une journée sans qu'il ne vienne me rendre visite. Mais jamais il ne me parle. Il se contente de rester assis en face de moi, le regard dans le vide, l'esprit ailleurs. J'ai d'abord été offusqué de son comportement mais j'ai compris qu'il n'était pas près, qu'il souffrait encore. Je respecte donc son silence et me contente de sa simple présence dans la même pièce que moi. Parfois nous pouvons rester des heures sans rien se dire, moi à lire et lui à penser. Soudainement, il soupire et se lève, me gratifie d'un signe de tête et repart sans un mot.

Ses visites, aussi étranges soient-elles, me réconfortent. Elles me démontrent que les pas que nous avions effectués avant ne se sont pas complètement effacés. Sa présence me sécurise et m'apporte un certain bien être. Il a bien changé depuis ces événements. Autant physiquement que mentalement. Ses cheveux sont beaucoup plus courts et il arbore maintenant une petite barbe qu'il taille soigneusement et qui, je l'avoue, lui va à merveille, lui donnant un air plus mature. Je dirais même séduisant. Ses traits de même que ses yeux n'ont plus de trace de cette fierté et de cette froideur qui le caractérisait auparavant. Maintenant il semble lointain, mystérieux même. On a le goût de le consoler, de le serrer contre soi et de lui affirmer que tout est fini, que jamais plus il ne souffrira.

Aujourd'hui ne fait pas exception. Il se contente de s'asseoir et écoute d'une oreille distraite la conversation que j'entretiens avec Hermione et Padma. Je ne peux m'empêcher de lui jeter des coups d'œil fréquents. C'est plus fort que moi, c'est comme une force puissante qui m'attire. MERLIN, il m'attire ! Je n'arrive plus à me concentrer correctement sur ce que me disent mes amis. Je ne fais que le dévisager, je note chacun de ses traits dans ma tête, je m'attarde à la courbe sensuelle de ses lèvres, aux lignes fières de son menton qu'il tient présentement dans sa main d'un air songeur. Il est beau. Je le sais pourtant depuis longtemps qu'il est séduisant et qu'il attire beaucoup la gente féminine mais c'est la première fois que je réalise que MOI, je le trouve beau et séduisant, attirant et charmant.

Mon esprit me rappelle sournoisement des souvenirs de son torse qu'il affichait sans gêne voilà quelques mois, de sa stature pratiquement parfaite, de ses fesses... Je me souviens très bien l'avoir désiré, de m'être masturbé en pensant à lui mais jusqu'à maintenant, je pouvais mettre cela sur le compte des hormones. Aujourd'hui ma constatation est autre, je le désire mais pas de la même manière. Ce n'est plus seulement mon corps qui le réclame, c'est mon être tout entier. Ma tête, mon cœur, mon corps s'accordent. C'est troublant !

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Un mois que je suis sobre. Un mois que je me fais surveiller par les deux pires nounous que cette terre a portées. Elles s'accrochent à moi et ne me quittent pas d'une semelle. Elles ont peur que je ne rechute. Elles m'ont peut-être sortit des bras réconfortants des affres de l'alcool et des autres substances illicites mais elles n'ont pas réussi à atténuer le mal qui m'habite. Oh, je sais, elles font leur possible et même plus mais elles ne peuvent rien pour moi. Le mal que j'ai n'a qu'un remède possible et je ne suis pas prêt à tout risquer pour me soigner. L'amour me ronge. Quelle ironie du sort, moi Draco Malfoy amoureux ! Et pas de n'importe qui. De celui qui a été mon pire ennemi. Celui qui a ravi mon cœur sans que m'en rende compte. Je me suis fais avoir comme un puceau, je n'ai rien vu venir. Peut-être que cela s'explique par le fait que je ne croyais pas que l'amour un jour me serait destiné ? Mais ce jour est arrivé et depuis je souffre comme jamais personne n'a souffert avant moi. J'ai mal à l'amour !

J'ai mal lorsque je le vois, j'ai mal lorsque je ne le vois pas. Il n'y a rien à faire, je suis condamné à souffrir. Tous les jours, je me rends près de lui avec la ferme intention de lui ouvrir ce qui me sert de cœur mais à toutes les fois je me défile. Je n'y arrive pas. J'oublie tous les beaux discours que je passe mes journées à répéter jusqu'à les savoir par cœur. Je suis d'un pathétique navrant.

Je sais très bien que mes deux nouvelles colocataires connaissent mon état d'esprit. C'est sans doute à cause de lui et de mon état de loque humaine qu'elles m'ont proposé d'habiter avec elles la petite maison qui a accueilli leur famille durant la guerre. Maintenant que les parents Granger et Patil avaient trouvé à se relocaliser, Hermione et Padma occupaient seules ce petit cottage rustique. Elles m'avaient d'abord séquestré dans le but d'entreprendre ma cure de désintoxication à l'alcool et drogues magiques, puis maintenant que c'est réglé, elles m'ont offert de m'héberger, moi qui n'ai plus de domicile. J'ai accepté puisque je n'avais d'autre choix mais je ne resterai pas longtemps sous le même toit que ses deux amoureuses. Les voir heureuses et amoureuses me rappelle que ce n'est pas mon cas. En fait, si, je suis amoureux mais je ne peux partager mon amour avec celui qui habite mon cœur, mes pensées, mon âme.

Hier soir, j'ai réussi à échapper à mes geôlières et je me suis rendu dans ce petit bar moldus où j'avais trouvé la plus part de mes conquêtes masculines avant ma cure gracieuseté des deux autres. J'avais besoin de chaleur humaine, j'avais besoin d'un corps pour me faire oublier celui que je n'avais pas. J'ai rapidement trouvé une proie et je l'ai appâtée. Peu après, je me retrouvais chez lui, assis sur son canapé, sa bouche dans mon cou, ses mains sur mon corps. À toutes les fois où il tentait de s'emparer de ma bouche, je la lui refusais, il retournait donc à mon épiderme. Au fil des caresses et des explorations de sa langue sur ma peau, j'ai atteint un niveau d'excitation nécessaire. Mais lorsqu'il tenta de me faire une fellation, je l'ai repoussé violemment. D'un coup je n'avais plus aucune envie de lui. Il n'était pas Harry ! Je me suis rapidement rhabillé et je l'ai quitté, lui qui affichait, il va sans dire, un air perdu et surpris.

Je suis rentré et je me suis enfermé dans ma chambre. Toute la nuit j'ai serré mon oreiller contre moi, comme s'il s'agissait de lui. J'aurais tellement aimé qu'il s'agisse de lui. Je me suis endormi aux petites heures du matin, en rêvant de lui et en soupirant de son absence. Tous ces sentiments sont vraiment étranges pour moi. C'est troublant !

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Ça y est, j'ai eu la confirmation de mon acceptation à l'Université Magique d'Angleterre. J'en suis vraiment heureuse. Surtout que Padma a reçu elle aussi une réponse positive. Elle étudiera dans le but de devenir médicomage. Pour ma part, j'ai reçu une bourse pour les Métamorphoses avancées. Nous commencerons dès l'automne prochain, d'ici là, question de ne pas perdre la main et de gagner un peu de sous, j'ai accepté le travail que m'offrait le Ministère. Je serai au département des relations avec les moldus, ce qui ne me demandera pas beaucoup d'efforts compte tenu de mes origines.

Je reprends une gorgée du thé que vient de me servir aimablement ma douce. Je termine la lecture de la gazette du sorcier qui ne déblatère encore une fois de la disparition de Voldemort. C'est à croire que les gens refusent de passer à autre chose, voilà des mois maintenant que cette histoire est terminée mais elle fait encore l'actualité. C'est bien de se souvenir du passé mais il ne faut pas constamment y vivre. La vie a repris son cours, il faut le suivre et cesser de toujours regarder derrière.

Des pas se font entendre dans le couloir, machinalement, je tourne la tête pour accueillir Draco qui vient nous rejoindre. Il a une mine affreuse, les yeux rouges, des cernes immenses et le teint encore plus pâle qu'un vampire. On croirait aisément qu'il est lycanthrope et que la pleine lune a été dure pour lui. Mais je sais que c'est un autre genre de mal qui le ronge. Il faut faire quelque chose. Il n'a jamais été particulièrement un de mes meilleurs amis mais il mérite au moins un coup de pouce. Nous nous étions retirés du projet de lui faire comprendre que Harry était gay également mais je crois que nous nous devons de nous y replonger. Si ces deux là ne finissent pas par s'ouvrir les yeux rapidement, l'un d'eux moura du mal de l'amour !

D'accord, je n'ai pas observé les mêmes « symptômes » chez Harry mais son comportement de lors de nos dernières visites en même temps que le jeune Malfoy, parle de lui-même. Malgré toute sa bonne volonté, Harry ne peut se concentrer plus que quelques minutes sur nos discussions, son regard ainsi que son attention, déviants vers le blondinet qui reste obstinément muet. Parfois, nous pourrions quitter la pièce sans que ni l'un ni l'autre ne s'en aperçoivent. Je relève la tête et tombe sur le regard espiègle de ma douce. Visiblement, si j'en juge par le sourire narquois qu'elle me fait, elle en est arrivée à la même conclusion que moi. En avant pour une seconde manche offerte gracieusement par le GAVALDA nouvellement reformé. Reste à contacter les autres membres du Groupe d'Amis Voulant Assortir Les Deux Autres, pour une rencontre préparatoire et on reprend l'action.

J'ai de la difficulté à atténuer mon sourire et Padma face à moi doit cacher le sien derrière la gazette. Faudrait pas offusquer notre nouveau colocataire, surtout pas dans l'état où il est ce matin. Trop tard ! Draco nous jette un regard dédaigneux et remonte à sa chambre. Ma douce n'en peut plus et éclate de rire, j'aime bien ce côté d'elle. En surface, elle a l'air si sage et irréprochable mais elle a aussi ce petit quelque chose d'indescriptible qui complète bien son charme. Je m'approche d'elle et l'enlace tendrement. Toujours assise, elle appuie sa tête contre ma poitrine et nous nous chuchotons des possibles plans d'actions pour réunir nos deux amis. Après quelques-uns qui nous arrachent parfois de petits rires, nous envoyons un hibou à Ginny pour la convoquer, elle et son frère à une réunion au sommet. Nous avons prévu profiter de la visite quotidienne que Draco fait à Harry pour nous réunir ici demain et mettre les points finaux à nos idées. Nous nous devons d'être subtils et adroits dans nos agissements, faudrait pas se mettre ces deux sorciers à dos.

Padma part rendre visite à sa famille. Draco vient me rejoindre dans le petit salon où je me suis installée pour lire. Il se saisit d'un bouquin au hasard dans la bibliothèque et se laisse tomber dans un fauteuil lourdement. Jamais je ne me serais imaginée que ce jeune homme pouvait être aussi triste. Le mot peine dans le vocabulaire Malfoy ne s'appliquait jadis qu'aux autres. Jamais lui-même aurait-il un jour cru ressentir cette émotion. En fait, je crois sincèrement que Draco doit apprendre à conjuguer avec beaucoup d'émotions qui lui étaient inconnues jusqu'à maintenant. C'est sans doute ce qui explique en partie l'air du condamné devant l'échafaud qu'il affiche continuellement depuis ce fameux soir. Voir ainsi souffrir celui qui avait été si méchant avec nous tous, me serre étrangement le cœur. J'ai envie de faire quelque chose pour lui, de le prendre dans mes bras, de le rassurer. C'est troublant.

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[RAR] :

Venus Potter : Pour le mariage de Padma et Hermione, on n'en est pas vraiment sûres ! On verra ! Merci pour ta review, c'est très gentil.

Sasha Krum : Harry est sorti du coma et Draco aime déjà, donc, on n'a pas besoin de te le dire ! loll. Merci pour ta review, c'est toujours grandement apprécié.

Umbre77 : Premièrement, on espère que tu n'as pas tué ton amie qui te faisait chier sur le net, on voudrait pas aller te porter des oranges en prison mdr. Deuxièmement, nous condoléances pour le chien décédés, on a observé une minute de silence en son honneur. Troisièmement, fallait pas être orienteur pour te proposer ces choix de carrières, on aurait tout aussi bien pu te les proposer nous, peut-être à l'exception peut-être d'historienne en art... Quatrièmement, Tu fais bien d'éviter la chirurgie, changer ce que tu es pour devenir un maigrichon à lunettes, balafré aux cheveux rebels, c'est un pensez-y bien ! Quoi que pour Draco.... OUF les hormones lollll. Finalement, aucun gros mot n'est trop gros pour nous (est- ce que ça se tient cette phrase ?). Ce que l'on veut dire, c'est que tu peux aisément affubler ton père, ta mère, ton poisson rouge et même tes pantoufles si tu veux de tous les noms qui te passent par la tête sans problème, on a entendu pire et souvent ça provenait de nous-même alors... On a un vocabulaire coloré dans le domaine lolll. Merci pour cette review qui est tout de même venu malgré le fait que tu sois en arrêt de travail. C'est grandement apprécié.

Alixe : Maintenant tu nous pardonnes ? Il vit Harry, et ce juste pour toi car nous on voulait le faire mourir. Tout ça pour que tu révises ta position sur notre sadisme, on a échoué lamentablement sniff sniff. Sérieusement, merci pour ta review....

Alex : Petite sensible ? Désolée, c'est guerre mieux côté joie dans ce chapitre, si tu fais abstraction d'Hermione qui reprend goût à la vie (Avec Padma, ça serait dur de faire autrement...). Harry amnésique, on t'avoue qu'on y a fortement pensé mais on a eu pitié de toi ! ARGGG ! Plus fan de nous que JKR, c'est sûr t'as un problème, consulte ma vieille lolll. Une chose est sûre, jamais JKR n'écrirait des histoire aussi tordues que les nôtres, quoi que celle-ci est assez soft à comparer au projet que l'on veut mettre sur pied. JKR faire de R, ça serait intéressant à lire sans doute. Passe le bonjour à ta chérie de notre part lolll, on voudrait pas qu'elle soit jalouse parce que tu passes du temps avec nous pendant que tu es avec elle au téléphone...

Link9 : Bienvenue dans le monde particulier des cerveaux tordus que sont les nôtres. Merci pour ta review, c'est très gentil.

Vif d'Or : C'est pas encore très rose comme suite mais on s'en rapproche... Merci pour ta review, c'est vraiment apprécié.