[n/a] : Mot aux lecteurs de la part de Maxime :
Bonjour, bonsoir à tous, ce petit mot est pour vous remercier de m'avoir continuellement encouragé dans l'élaboration de nos projets à Olympe et à moi. Malheureusement pour des raisons personnelles que je ne tiens pas à étaler ici, je me dois de me retirer de ces projets. Rassurez-vous, Olympe continuera cette histoire qui tire malheureusement vers sa fin tout de même. De plus, une bonne amie à moi a gentiment accepté de prendre ma place dans la coécriture des autres projets que nous avions. Désormais, Olympe fera équipe avec Bubblejoyce qui nous donnait déjà un sacré coup de main, vous ne devriez donc pas voir de trop grande différence, du moins on l'espère. Leur pseudo de travail restera le même. Encore une fois, merci à tous ceux qui nous ont lus et un au revoir un peu plus particulier à ceux qui ont pris la peine de nous laisser de si gentilles reviews, vous allez me manquer !
[n/a.1] : Merci tout particulier à Alixe pour l'idée originale de ce chapitre, en espérant être à la hauteur de tes attentes...
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Chapitre vingt-deuxième : Si seulement
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C'est un fichu rayon de soleil qui vient encore une fois me réveiller. Je ne veux pas me lever, je suis si bien, si confortable dans mon lit. Je sais que dès le moment où je vais poser les orteils sur le plancher, ce sera le signal de départ pour mon esprit de se remettre à tourner à toute vitesse et pour mes pensées à recommencer à m'envahir de par leur désordre. Je ne sais plus très bien où j'en suis. Je ne sais plus très bien rien ! J'aimerais que pour une fois dans ma vie, tout soit clair dans ma tête. Plus de questionnement, plus de remords, plus torture d'esprit. Je suis lasse de tout ce qui a fait jusqu'à maintenant mon univers.
Je sais, je suis injuste pour mes amis. Ils ont toujours été là pour moi. Jamais ils ne m'ont abandonné, ils m'ont toujours soutenus. Et moi qu'est- ce que je fais ? Je les abandonne. Je les quitte, je m'exile loin d'eux ! Bravo ! Voilà deux semaines que j'ai fui le tumulte de la communauté magique. J'en pouvais plus de tous ces photographes, ces journalistes, pire, de tous ces fans qui me harcelaient. Ici, plus de signature de carte de chocogrenouille édition spéciale, plus de flash de photo dès que je passe devant une fenêtre, plus de demande d'autorisation pour marchandise à mon effigie. Plus rien de cette folie qui s'est emparée du monde sorcier.
Je sais que c'est un comportement peu digne d'un Griffondor. J'ai fui, j'ai été lâche, je n'ai pas voulu affronter. Hermione a raison, je suis un lâche ! C'était la première fois que je voyais mon amie aussi fâchée, je crois que même Ron dans leurs meilleures disputes n'avait jamais réussi à la mettre autant hors d'elle. Je l'entends encore me crier dessus dans la chambre chez les Weasley alors que je faisais mes bagages. Elle avait raison, elle a toujours raison ! Je ne suis qu'un pauvre type qui refuse de prendre ses responsabilités. Je fuis la tête entre les jambes en espérant que l'on oubliera jusqu'à mon existence. J'ai couru loin de mes problèmes mais Hermione a raison, ils finissent toujours par nous retrouver. Ce n'est pas encore arrivé mais je sais que cela arrivera. Je ne pourrais pas éternellement prétendre qu'il ne s'est rien passé. Ma fuite alimente d'autant plus les commérages, mes agissements m'accusent, je le sais.
Je me sens coupable et je le suis. J'aurais jamais dû faire ce que j'ai fait. J'aurais dû m'abstenir de l'embrasser. Ainsi, personne ne souffrirait aujourd'hui. J'ai écouté mes hormones et voilà où ça nous a mené. J'ai embrassé Draco, un photographe de la gazette nous a surpris et du coup toute la presse et la communauté magique nous ont tombés dessus. Et moi comme le lâche que je suis, j'ai fui. J'ai quitté le tumulte en laissant derrière moi mes amis. Je n'ai même pas pris la peine de m'expliquer avec lui, je n'ai pas trouvé le courage de le revoir depuis, encore moi de lui parler.
Au départ, je justifiais mon départ par le fait que j'avais besoin d'isolement et de calme pour remettre mes idées en place mais maintenant, je sais que c'est faux. Exilé ici, dans un coin perdu du globe, je n'arrive toujours pas à faire le calme dans mon esprit, encore moins à démêler les fils de ma vie. Parfois je regrette cet instant, puis mon corps en entier me rappelle combien c'était doux, tellement c'était bon. À l'instant précis où mes lèvres se sont collées aux siennes, je me suis senti revivre, je me suis senti moi, tout simplement. Ce fut une vague de sentiments puissants et enivrants mais cela a été si court, trop court. Je me demande jusqu'où nous serions allés si nous n'avions pas été surpris ? Je regrette l'avoir fait mais en même temps je regrette de ne pas avoir été plus loin. Quel paradoxe ! Je regrette puisque cela à mener à ma fuite et à la cohue médiatique. Mais je regrette d'avoir connu un tel moment et de savoir que plus jamais j'aurai le droit à une autre semblable.
Si seulement il n'était pas Draco Malfoy et si seulement je n'étais pas Harry Potter. Si seulement ...
*************************
C'est décidé, je fais bâtir une statue à l'effigie de Ronald Billius Weasley ! Voilà deux semaines que je m'évertue à découvrir où est parti se cacher le Grand Potter et que tous ses amis refusent de me le dire. Et aujourd'hui, innocemment, Ron déboule au Manoir Malfoy que m'a finalement rendu le Ministère, soit disant pour prendre de mes nouvelles. Il reste peu de temps, réempruntant la cheminée pour retourner chez lui mais alors qu'il disparaît dans les flammes vertes, je vois l'enveloppe qu'il a laissée sur la table base du salon. Dessus la dite enveloppe, l'adresse où se cache Potter. Maintenant, je te tiens, attends-moi, j'arrive !
C'est pourtant l'adresse qu'il y avait sur l'enveloppe mais aucune trace de celui qui sauva le monde magique et accessoirement le jeune homme le plus recherché par la presse. Pour ma part les médias sorciers ont cessé de me harceler depuis que j'ai avoué être gay et que j'ai hurlé en pleine assemblée du Ministère que je n'avais aucune idée d'où se trouvait le survivant. Ce qui était vrai jusqu'à maintenant. C'est drôle, j'aurais cru que ma sortie du placard publique aurait fait couler plus d'encre. Le dernier descendant de l'illustre famille Malfoy gay, faut dire que mon nom de famille n'effraie plus personne maintenant et qui s'intéresse vraiment à mes préférences sexuelles ? Par contre, tout le monde s'intéresse à Harry ! Je le comprends presque d'avoir pris ses jambes à son cou. N'empêche qu'il aurait pu m'avertir ! On aurait dû avoir une explication, un semblant de discussion mais non ! Monsieur à préférer s'exiler dans ce petit cottage sur une île pratiquement déserte et peuplé uniquement de moldus indigènes.
Voilà tente minutes que j'attends que monsieur daigne revenir. Mais où est- il allé ? Ah ! Le voilà et lui aussi m'a vu à en juger par son expression presque terrifié sur son visage. Faut dire que je suis passablement énervé, je déteste attendre ! Que tu sois prêt ou non, nous allons avoir une discussion toi et moi, alors assis toi et écoute !
Cela fait près d'une demi-heure que nous nous crions dessus. Il m'accuse de lâcheté alors que c'est lui qui s'est enfuit. Il me crie que si je l'aime réellement comme je le prétends, je n'avais qu'à le dire et non pas à garder obstinément le silence en sa présence. D'accord, je reconnais que c'est la première fois que je retrouve ma langue avec lui mais si seulement il savait comment le simple fait d'accepter que je puisse être amoureux de lui a été dur à accepter ! Et voilà qu'il me reproche de l'avoir entraîné dans le jardin privé du Ministère. Et je n'ai forcé personne ! Et si mes souvenirs sont bons, c'est lui qui m'a embrassé en premier.
Le ton monte de plus en plus, je serre les poings et je le vois prendre de plus en plus de teintes de rouges au visage. Nous sommes tous deux en colère et on s'alimente l'un l'autre. On est à deux doigts de se sauter à la gorge, il est complètement hors de lui et je dois avouer que je ne donne pas ma place. Heureusement que cette petite maison soit isolée car on donnerait un spectacle de choix aux voisins. ARGGGHH ! Mais il m'exaspère à la fin ! Je serre la mâchoire et j'avance vers lui le regard mauvais, il doit se sentir menacer puisqu'il recule. Le problème, c'est qu'il y a un mur derrière lui et qu'il s'y retrouve rapidement acculé. Je n'ai pas l'intention de le laisser fuir, je continue à avancer mais alors que je lève la main pour le frapper, je ne peux résister et je l'embrasse sauvagement.
Bien que je le sente surpris, il me repousse violemment et je percute un des travers de la galerie qui fait le tour de la maison. Il se jette sur moi et j'avoue que son expression ne laisse rien présager de bon. Cette fois, c'est à mon tour d'être surpris de sentir ses lèvres sur les miennes. Sa langue tente de se frayer un passage vers l'intérieur de ma bouche mais je ne lui donnerai pas cette satisfaction. Je le retourne brusquement et j'inverse les positions. Du coup je deviens le dominant et lui, le dominé. Je mords sans ménagement sa lèvre inférieure alors que de sa main droite qui se trouve sur ma nuque, il m'attire à lui durement. De nouveau un baisé mais qui n'a rien à voir avec le premier que nous avons échangé au Ministère. Je le sens poser ses deux mains sur mon torse et sans prévenir, il me pousse fortement. Je perds l'équilibre et me retrouve par terre, sur les fesses. Je n'ai même pas le temps de tenter de me relever qu'il s'est déjà jeté sur moi. Il me recloue au sol et me dévisage avec un air que je ne lui connaissais pas. J'aurais presque eu peur si je n'avais pas sentit sa main frôler ma joue puis son autre reposer doucement près de mon cœur.
Nous restons un long moment à simplement se fixer, à s'observer sans parler. Je vois passer sur son si beau visage toute la gamme des émotions en passant par la colère, au doute jusqu'à l'abandon. À ce moment précis, je comprends, je sais ce qu'il faut que je fasse, ce qu'il attend de moi. Je passe mes bras autour de ses épaules et je le rapproche de moi. Je l'enlace tendrement, je fais reposer sa tête contre mon cœur et mes doigts vont se perdre dans sa chevelure. Il a seulement besoin d'amour et de tendresse et c'est tout ce que je veux lui donner.
Nous sommes si bien, ainsi, si je fais abstraction de la dureté du plancher de bois contre mon dos. Si seulement on pouvait rester ainsi à tout jamais, si seulement ce moment pouvait durer pour l'éternité, si seulement...
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Nous sommes assis dans le salon de la maison que je partage maintenant officiellement avec Padma. Il y a Ginny et Ron ainsi que ma douce. Curieusement, nous sourirons tous et nos regards sont espiègles. Faut dire qu'il y a de quoi être fiers. Notre plan a fonctionné à merveille. Bien que le GAVALDA soit officiellement dissout, une dernière action avait été tentée et on croit qu'elle a bien fonctionnée puisque Draco s'est précipité vers le lieu d'exil de Harry. Ron aura réussi sa mission à merveille. Maintenant, on ne peut faire plus. Personnellement, je me suis chargée de brasser les puces à Harry. Padma s'est entretenue également avec Draco à plusieurs reprises. Comme Harry ne donnait pas signe de vie, Ginny s'est chargée de le retrouver. Et Ron a offert la possibilité à Draco de rejoindre Harry. Nous formons une bonne équipe finalement. Reste à savoir si nos efforts porteront leurs fruits.
Il est vrai que j'ai été un peu dure avec Harry le jour de son départ. J'avoue que de voir sa photo constamment à la une des journaux doit tomber sur le système d'un homme. Surtout si la dite photo est celle où l'on embrasse un autre homme ! Étrangement, la communauté magique n'a pas été choquée que son Héros soit gay ni du choix du Survivant. Cependant, cette nouvelle fait toujours couler beaucoup d'encre, surtout que Harry s'est enfuit comme un voleur sans demander son reste. Mais tout finit toujours par s'atténuer et ce sera le cas de cette histoire également. Je souhaite sincèrement qu'ils puissent enfin avoir la discussion qui leur sera bénéfique. Ils doivent s'avouer, ils doivent s'ouvrir l'un à l'autre.
Je doute que l'on puisse faire plus. C'est maintenant entre leurs mains. Pourtant, j'aimerais être un oiseau pour pouvoir savoir où ils en sont. Pour savoir comment ça se passe. Minute ! Mais je suis un oiseau. Je me lève précipitamment, faisant sursauter Padma qui m'accompagne sur la causeuse. Ginny me regarde drôlement puis elle affiche un superbe sourire. J'en conclue qu'elle a pensé à la même chose que moi. Si elle et moi prenions nos formes animagis et que l'on allait vérifier le déroulement des « retrouvailles ». D'ailleurs, c'est bien de cette façon que la jeune Weasley a retrouvé notre ami.
Mais avons nous le droit ? Je sais que nous sommes curieuses mais justement, cette curiosité n'est-elle pas malsaine ? Nous n'avons pas le droit de nous mêler d'avantage de cette histoire, le reste les regarde. C'est tout un dilemme moral qui s'oppose à nous. D'un côté nous voulons savoir si nous avons réussi, et d'un autre, avons-nous réellement le droit d'agir de nouveau ? Padma me prend la main et me force à me rasseoir. J'en déduis qu'elle aura compris mon enthousiasme et qu'elle aura départagé le pour du contre plus rapidement que moi.
Ginny et moi échangeons un regard résolu en haussant les épaules. Si l'idée nous apparaissait bonne au départ, notre conscience aura eu le dessus. Nous laisserons les deux jeunes hommes faire ce qu'ils doivent faire sont s'interposer d'avantage. La vie les réunira si c'est vraiment ce qu'il doit être fait.
Soudainement, je m'esclaffe, suivit de près par Ginny et Padma. Ron, ce cher Ron n'a rien suivit de nos questionnements mais il a tout de même réussi à résumer la situation et à la conclure de la meilleure façon qui soit. « Faisons confiance à la vie ». Ce fut ses mots. À tour de rôle, nous allons l'embrasser, ce qui le laisse mitigé et embrouillé. Sacré Ron, il ne changera jamais !
Nos discussions changent radicalement de sujets, on parle du prétendant transit de Ginny, qui bien qu'il soit extrêmement attachant, n'a pas réussi à voler le cœur de la rouquine. De nouveau Ron lui sort sa petite phrase philosophique. Sa sœur, ricane puis lui promet de s'en remettre à la vie. Comme les cours reprendront bientôt, nous abordons ce sujet, seul Ron ne retournera pas étudier. En fait, si mais plutôt d'une manière différente. Il a été admis comme apprenti au Ministère, au département des acquis magiques qui veulent tenter de lui enseigner à retrouver sa vue grâce à de nouvelles découvertes magiques. Il faudra pour ça qu'il s'investisse à fond pour récolter des résultats loin d'être garantis. Mais il semble déterminé et on tentera de l'aider de notre mieux.
La vie semble reprendre son court, si seulement elle pouvait apporter à tous ceux qui ont tellement souffert un peu de gaieté et de joie. Si seulement ceux qui souffrent encore comme Ron pouvaient tous avoir un aussi bon moral. Si seulement...
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[RAR] : Tout d'abords, je tiens à m'excuser pour le retard mais comme vous l'avez sans doute déjà lu, Maxime ne participera plus à l'élaboration de ces chapitres, ce qui fait que j'ai dû réajuster un peu le tir. En espérant que vous apprécierez tout de même...
Umbre77 : Alors, toujours vivante ? T'as pas eu besoin d'un cercueil brun avec des roses blanches ? Toujours aussi crevée ? Repose toi, c'est pas bon de se surmener ! Laisse tomber l'école si elle te demande trop de temps looll. Fais attention à ne pas faire une surdose de Red Bull, ça serait dommage ! Bien oui Harry et Draco se sont embrassés et se sont ré- embrassés dans ce chapitre. Heureusement puisque la fic tire à sa fin, il fallait bien qu'ils aboutissent un jour ! Alors comme toujours, bonjour à tout chez toi, de la plante au furet en passant par toi bien sûr !
Alixe : C'est un plaisir que de signaler ton guide, c'est si bien fait ! Merci d'être passée laisser une review, c'est toujours apprécié. En espérant que ce chapitre t'ai plu.
Link9 : Un moment de pur bonheur ? Dis donc, t'es pas difficile toi ! Merci à toi pour la review, c'est vraiment super apprécié. Contente que tu ais aimé l'aspect médium-tiède du dernier chapitre, c'était spécialement pour toi. En espérant que tu as apprécié ce chapitre également même s'il ne s'y passe pas grand chose.
Sasha Krum : Merci pour ta review, c'est toujours autant apprécié. Maintenant tu sais qui a déranger les deux tourtereaux... Ne meurt pas de jalousie, ça vaut pas la peine voyons ! Merci pour tes bons mots, ils vont direct au cœur.
Céline402 : Alors est-ce que tu as eu les réponses à tes questions ? Je crois que oui bien. Merci pour ta review, ça fait toujours autant plaisir.
Nee Chan : Maintenant tu sais qui est l'importun qui dérangé les deux cocos... En espérant que ce chapitre t'a plu également. Merci pour ta review, c'est grandement apprécié.
Alex : Si tu savais comment ta review est tombée à point. Elle m'a permis de retrouver un semblant de sourire. Mais j'ai pas l'intention de m'étaler sur la cause me mon marasme qui m'accable ces jours-ci. J'imagine que si tu as lu le mot de Maxime au début t'as une bonne idée de la raison Bon restons positive ! Merci pour la fraîcheur que tu mets dans chacune de tes reviews. Elles redonnent toujours le sourire et apportent un soulagement... Il n'y a pas seulement deux folles sur cette Terre. Tes argumentations étaient parfaites, d'ailleurs à titre d'info, le psy a pris le bord looll. Vive la luxure libre ! Merci d'être une fidèle lectrice aussi lubrique...
Vif D'or : De nouveau, merci de prendre le temps de laisser un petit mot à chaque chapitre, c'est toujours grandement apprécié. Maintenant tu sais qui a osé les déranger... Pas trop déçu ?
Griffy : Auras-tu su attendre la suite ? Je l'espère du moins. Merci pour ta review et j'espère que ce chapitre t'aura plu également !
Lo Chan : Bienvenue parmi nous. Merci pour ta review et tes bons mots, c'est toujours apprécié.
Bonjour, bonsoir à tous, ce petit mot est pour vous remercier de m'avoir continuellement encouragé dans l'élaboration de nos projets à Olympe et à moi. Malheureusement pour des raisons personnelles que je ne tiens pas à étaler ici, je me dois de me retirer de ces projets. Rassurez-vous, Olympe continuera cette histoire qui tire malheureusement vers sa fin tout de même. De plus, une bonne amie à moi a gentiment accepté de prendre ma place dans la coécriture des autres projets que nous avions. Désormais, Olympe fera équipe avec Bubblejoyce qui nous donnait déjà un sacré coup de main, vous ne devriez donc pas voir de trop grande différence, du moins on l'espère. Leur pseudo de travail restera le même. Encore une fois, merci à tous ceux qui nous ont lus et un au revoir un peu plus particulier à ceux qui ont pris la peine de nous laisser de si gentilles reviews, vous allez me manquer !
[n/a.1] : Merci tout particulier à Alixe pour l'idée originale de ce chapitre, en espérant être à la hauteur de tes attentes...
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Chapitre vingt-deuxième : Si seulement
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C'est un fichu rayon de soleil qui vient encore une fois me réveiller. Je ne veux pas me lever, je suis si bien, si confortable dans mon lit. Je sais que dès le moment où je vais poser les orteils sur le plancher, ce sera le signal de départ pour mon esprit de se remettre à tourner à toute vitesse et pour mes pensées à recommencer à m'envahir de par leur désordre. Je ne sais plus très bien où j'en suis. Je ne sais plus très bien rien ! J'aimerais que pour une fois dans ma vie, tout soit clair dans ma tête. Plus de questionnement, plus de remords, plus torture d'esprit. Je suis lasse de tout ce qui a fait jusqu'à maintenant mon univers.
Je sais, je suis injuste pour mes amis. Ils ont toujours été là pour moi. Jamais ils ne m'ont abandonné, ils m'ont toujours soutenus. Et moi qu'est- ce que je fais ? Je les abandonne. Je les quitte, je m'exile loin d'eux ! Bravo ! Voilà deux semaines que j'ai fui le tumulte de la communauté magique. J'en pouvais plus de tous ces photographes, ces journalistes, pire, de tous ces fans qui me harcelaient. Ici, plus de signature de carte de chocogrenouille édition spéciale, plus de flash de photo dès que je passe devant une fenêtre, plus de demande d'autorisation pour marchandise à mon effigie. Plus rien de cette folie qui s'est emparée du monde sorcier.
Je sais que c'est un comportement peu digne d'un Griffondor. J'ai fui, j'ai été lâche, je n'ai pas voulu affronter. Hermione a raison, je suis un lâche ! C'était la première fois que je voyais mon amie aussi fâchée, je crois que même Ron dans leurs meilleures disputes n'avait jamais réussi à la mettre autant hors d'elle. Je l'entends encore me crier dessus dans la chambre chez les Weasley alors que je faisais mes bagages. Elle avait raison, elle a toujours raison ! Je ne suis qu'un pauvre type qui refuse de prendre ses responsabilités. Je fuis la tête entre les jambes en espérant que l'on oubliera jusqu'à mon existence. J'ai couru loin de mes problèmes mais Hermione a raison, ils finissent toujours par nous retrouver. Ce n'est pas encore arrivé mais je sais que cela arrivera. Je ne pourrais pas éternellement prétendre qu'il ne s'est rien passé. Ma fuite alimente d'autant plus les commérages, mes agissements m'accusent, je le sais.
Je me sens coupable et je le suis. J'aurais jamais dû faire ce que j'ai fait. J'aurais dû m'abstenir de l'embrasser. Ainsi, personne ne souffrirait aujourd'hui. J'ai écouté mes hormones et voilà où ça nous a mené. J'ai embrassé Draco, un photographe de la gazette nous a surpris et du coup toute la presse et la communauté magique nous ont tombés dessus. Et moi comme le lâche que je suis, j'ai fui. J'ai quitté le tumulte en laissant derrière moi mes amis. Je n'ai même pas pris la peine de m'expliquer avec lui, je n'ai pas trouvé le courage de le revoir depuis, encore moi de lui parler.
Au départ, je justifiais mon départ par le fait que j'avais besoin d'isolement et de calme pour remettre mes idées en place mais maintenant, je sais que c'est faux. Exilé ici, dans un coin perdu du globe, je n'arrive toujours pas à faire le calme dans mon esprit, encore moins à démêler les fils de ma vie. Parfois je regrette cet instant, puis mon corps en entier me rappelle combien c'était doux, tellement c'était bon. À l'instant précis où mes lèvres se sont collées aux siennes, je me suis senti revivre, je me suis senti moi, tout simplement. Ce fut une vague de sentiments puissants et enivrants mais cela a été si court, trop court. Je me demande jusqu'où nous serions allés si nous n'avions pas été surpris ? Je regrette l'avoir fait mais en même temps je regrette de ne pas avoir été plus loin. Quel paradoxe ! Je regrette puisque cela à mener à ma fuite et à la cohue médiatique. Mais je regrette d'avoir connu un tel moment et de savoir que plus jamais j'aurai le droit à une autre semblable.
Si seulement il n'était pas Draco Malfoy et si seulement je n'étais pas Harry Potter. Si seulement ...
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C'est décidé, je fais bâtir une statue à l'effigie de Ronald Billius Weasley ! Voilà deux semaines que je m'évertue à découvrir où est parti se cacher le Grand Potter et que tous ses amis refusent de me le dire. Et aujourd'hui, innocemment, Ron déboule au Manoir Malfoy que m'a finalement rendu le Ministère, soit disant pour prendre de mes nouvelles. Il reste peu de temps, réempruntant la cheminée pour retourner chez lui mais alors qu'il disparaît dans les flammes vertes, je vois l'enveloppe qu'il a laissée sur la table base du salon. Dessus la dite enveloppe, l'adresse où se cache Potter. Maintenant, je te tiens, attends-moi, j'arrive !
C'est pourtant l'adresse qu'il y avait sur l'enveloppe mais aucune trace de celui qui sauva le monde magique et accessoirement le jeune homme le plus recherché par la presse. Pour ma part les médias sorciers ont cessé de me harceler depuis que j'ai avoué être gay et que j'ai hurlé en pleine assemblée du Ministère que je n'avais aucune idée d'où se trouvait le survivant. Ce qui était vrai jusqu'à maintenant. C'est drôle, j'aurais cru que ma sortie du placard publique aurait fait couler plus d'encre. Le dernier descendant de l'illustre famille Malfoy gay, faut dire que mon nom de famille n'effraie plus personne maintenant et qui s'intéresse vraiment à mes préférences sexuelles ? Par contre, tout le monde s'intéresse à Harry ! Je le comprends presque d'avoir pris ses jambes à son cou. N'empêche qu'il aurait pu m'avertir ! On aurait dû avoir une explication, un semblant de discussion mais non ! Monsieur à préférer s'exiler dans ce petit cottage sur une île pratiquement déserte et peuplé uniquement de moldus indigènes.
Voilà tente minutes que j'attends que monsieur daigne revenir. Mais où est- il allé ? Ah ! Le voilà et lui aussi m'a vu à en juger par son expression presque terrifié sur son visage. Faut dire que je suis passablement énervé, je déteste attendre ! Que tu sois prêt ou non, nous allons avoir une discussion toi et moi, alors assis toi et écoute !
Cela fait près d'une demi-heure que nous nous crions dessus. Il m'accuse de lâcheté alors que c'est lui qui s'est enfuit. Il me crie que si je l'aime réellement comme je le prétends, je n'avais qu'à le dire et non pas à garder obstinément le silence en sa présence. D'accord, je reconnais que c'est la première fois que je retrouve ma langue avec lui mais si seulement il savait comment le simple fait d'accepter que je puisse être amoureux de lui a été dur à accepter ! Et voilà qu'il me reproche de l'avoir entraîné dans le jardin privé du Ministère. Et je n'ai forcé personne ! Et si mes souvenirs sont bons, c'est lui qui m'a embrassé en premier.
Le ton monte de plus en plus, je serre les poings et je le vois prendre de plus en plus de teintes de rouges au visage. Nous sommes tous deux en colère et on s'alimente l'un l'autre. On est à deux doigts de se sauter à la gorge, il est complètement hors de lui et je dois avouer que je ne donne pas ma place. Heureusement que cette petite maison soit isolée car on donnerait un spectacle de choix aux voisins. ARGGGHH ! Mais il m'exaspère à la fin ! Je serre la mâchoire et j'avance vers lui le regard mauvais, il doit se sentir menacer puisqu'il recule. Le problème, c'est qu'il y a un mur derrière lui et qu'il s'y retrouve rapidement acculé. Je n'ai pas l'intention de le laisser fuir, je continue à avancer mais alors que je lève la main pour le frapper, je ne peux résister et je l'embrasse sauvagement.
Bien que je le sente surpris, il me repousse violemment et je percute un des travers de la galerie qui fait le tour de la maison. Il se jette sur moi et j'avoue que son expression ne laisse rien présager de bon. Cette fois, c'est à mon tour d'être surpris de sentir ses lèvres sur les miennes. Sa langue tente de se frayer un passage vers l'intérieur de ma bouche mais je ne lui donnerai pas cette satisfaction. Je le retourne brusquement et j'inverse les positions. Du coup je deviens le dominant et lui, le dominé. Je mords sans ménagement sa lèvre inférieure alors que de sa main droite qui se trouve sur ma nuque, il m'attire à lui durement. De nouveau un baisé mais qui n'a rien à voir avec le premier que nous avons échangé au Ministère. Je le sens poser ses deux mains sur mon torse et sans prévenir, il me pousse fortement. Je perds l'équilibre et me retrouve par terre, sur les fesses. Je n'ai même pas le temps de tenter de me relever qu'il s'est déjà jeté sur moi. Il me recloue au sol et me dévisage avec un air que je ne lui connaissais pas. J'aurais presque eu peur si je n'avais pas sentit sa main frôler ma joue puis son autre reposer doucement près de mon cœur.
Nous restons un long moment à simplement se fixer, à s'observer sans parler. Je vois passer sur son si beau visage toute la gamme des émotions en passant par la colère, au doute jusqu'à l'abandon. À ce moment précis, je comprends, je sais ce qu'il faut que je fasse, ce qu'il attend de moi. Je passe mes bras autour de ses épaules et je le rapproche de moi. Je l'enlace tendrement, je fais reposer sa tête contre mon cœur et mes doigts vont se perdre dans sa chevelure. Il a seulement besoin d'amour et de tendresse et c'est tout ce que je veux lui donner.
Nous sommes si bien, ainsi, si je fais abstraction de la dureté du plancher de bois contre mon dos. Si seulement on pouvait rester ainsi à tout jamais, si seulement ce moment pouvait durer pour l'éternité, si seulement...
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Nous sommes assis dans le salon de la maison que je partage maintenant officiellement avec Padma. Il y a Ginny et Ron ainsi que ma douce. Curieusement, nous sourirons tous et nos regards sont espiègles. Faut dire qu'il y a de quoi être fiers. Notre plan a fonctionné à merveille. Bien que le GAVALDA soit officiellement dissout, une dernière action avait été tentée et on croit qu'elle a bien fonctionnée puisque Draco s'est précipité vers le lieu d'exil de Harry. Ron aura réussi sa mission à merveille. Maintenant, on ne peut faire plus. Personnellement, je me suis chargée de brasser les puces à Harry. Padma s'est entretenue également avec Draco à plusieurs reprises. Comme Harry ne donnait pas signe de vie, Ginny s'est chargée de le retrouver. Et Ron a offert la possibilité à Draco de rejoindre Harry. Nous formons une bonne équipe finalement. Reste à savoir si nos efforts porteront leurs fruits.
Il est vrai que j'ai été un peu dure avec Harry le jour de son départ. J'avoue que de voir sa photo constamment à la une des journaux doit tomber sur le système d'un homme. Surtout si la dite photo est celle où l'on embrasse un autre homme ! Étrangement, la communauté magique n'a pas été choquée que son Héros soit gay ni du choix du Survivant. Cependant, cette nouvelle fait toujours couler beaucoup d'encre, surtout que Harry s'est enfuit comme un voleur sans demander son reste. Mais tout finit toujours par s'atténuer et ce sera le cas de cette histoire également. Je souhaite sincèrement qu'ils puissent enfin avoir la discussion qui leur sera bénéfique. Ils doivent s'avouer, ils doivent s'ouvrir l'un à l'autre.
Je doute que l'on puisse faire plus. C'est maintenant entre leurs mains. Pourtant, j'aimerais être un oiseau pour pouvoir savoir où ils en sont. Pour savoir comment ça se passe. Minute ! Mais je suis un oiseau. Je me lève précipitamment, faisant sursauter Padma qui m'accompagne sur la causeuse. Ginny me regarde drôlement puis elle affiche un superbe sourire. J'en conclue qu'elle a pensé à la même chose que moi. Si elle et moi prenions nos formes animagis et que l'on allait vérifier le déroulement des « retrouvailles ». D'ailleurs, c'est bien de cette façon que la jeune Weasley a retrouvé notre ami.
Mais avons nous le droit ? Je sais que nous sommes curieuses mais justement, cette curiosité n'est-elle pas malsaine ? Nous n'avons pas le droit de nous mêler d'avantage de cette histoire, le reste les regarde. C'est tout un dilemme moral qui s'oppose à nous. D'un côté nous voulons savoir si nous avons réussi, et d'un autre, avons-nous réellement le droit d'agir de nouveau ? Padma me prend la main et me force à me rasseoir. J'en déduis qu'elle aura compris mon enthousiasme et qu'elle aura départagé le pour du contre plus rapidement que moi.
Ginny et moi échangeons un regard résolu en haussant les épaules. Si l'idée nous apparaissait bonne au départ, notre conscience aura eu le dessus. Nous laisserons les deux jeunes hommes faire ce qu'ils doivent faire sont s'interposer d'avantage. La vie les réunira si c'est vraiment ce qu'il doit être fait.
Soudainement, je m'esclaffe, suivit de près par Ginny et Padma. Ron, ce cher Ron n'a rien suivit de nos questionnements mais il a tout de même réussi à résumer la situation et à la conclure de la meilleure façon qui soit. « Faisons confiance à la vie ». Ce fut ses mots. À tour de rôle, nous allons l'embrasser, ce qui le laisse mitigé et embrouillé. Sacré Ron, il ne changera jamais !
Nos discussions changent radicalement de sujets, on parle du prétendant transit de Ginny, qui bien qu'il soit extrêmement attachant, n'a pas réussi à voler le cœur de la rouquine. De nouveau Ron lui sort sa petite phrase philosophique. Sa sœur, ricane puis lui promet de s'en remettre à la vie. Comme les cours reprendront bientôt, nous abordons ce sujet, seul Ron ne retournera pas étudier. En fait, si mais plutôt d'une manière différente. Il a été admis comme apprenti au Ministère, au département des acquis magiques qui veulent tenter de lui enseigner à retrouver sa vue grâce à de nouvelles découvertes magiques. Il faudra pour ça qu'il s'investisse à fond pour récolter des résultats loin d'être garantis. Mais il semble déterminé et on tentera de l'aider de notre mieux.
La vie semble reprendre son court, si seulement elle pouvait apporter à tous ceux qui ont tellement souffert un peu de gaieté et de joie. Si seulement ceux qui souffrent encore comme Ron pouvaient tous avoir un aussi bon moral. Si seulement...
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[RAR] : Tout d'abords, je tiens à m'excuser pour le retard mais comme vous l'avez sans doute déjà lu, Maxime ne participera plus à l'élaboration de ces chapitres, ce qui fait que j'ai dû réajuster un peu le tir. En espérant que vous apprécierez tout de même...
Umbre77 : Alors, toujours vivante ? T'as pas eu besoin d'un cercueil brun avec des roses blanches ? Toujours aussi crevée ? Repose toi, c'est pas bon de se surmener ! Laisse tomber l'école si elle te demande trop de temps looll. Fais attention à ne pas faire une surdose de Red Bull, ça serait dommage ! Bien oui Harry et Draco se sont embrassés et se sont ré- embrassés dans ce chapitre. Heureusement puisque la fic tire à sa fin, il fallait bien qu'ils aboutissent un jour ! Alors comme toujours, bonjour à tout chez toi, de la plante au furet en passant par toi bien sûr !
Alixe : C'est un plaisir que de signaler ton guide, c'est si bien fait ! Merci d'être passée laisser une review, c'est toujours apprécié. En espérant que ce chapitre t'ai plu.
Link9 : Un moment de pur bonheur ? Dis donc, t'es pas difficile toi ! Merci à toi pour la review, c'est vraiment super apprécié. Contente que tu ais aimé l'aspect médium-tiède du dernier chapitre, c'était spécialement pour toi. En espérant que tu as apprécié ce chapitre également même s'il ne s'y passe pas grand chose.
Sasha Krum : Merci pour ta review, c'est toujours autant apprécié. Maintenant tu sais qui a déranger les deux tourtereaux... Ne meurt pas de jalousie, ça vaut pas la peine voyons ! Merci pour tes bons mots, ils vont direct au cœur.
Céline402 : Alors est-ce que tu as eu les réponses à tes questions ? Je crois que oui bien. Merci pour ta review, ça fait toujours autant plaisir.
Nee Chan : Maintenant tu sais qui est l'importun qui dérangé les deux cocos... En espérant que ce chapitre t'a plu également. Merci pour ta review, c'est grandement apprécié.
Alex : Si tu savais comment ta review est tombée à point. Elle m'a permis de retrouver un semblant de sourire. Mais j'ai pas l'intention de m'étaler sur la cause me mon marasme qui m'accable ces jours-ci. J'imagine que si tu as lu le mot de Maxime au début t'as une bonne idée de la raison Bon restons positive ! Merci pour la fraîcheur que tu mets dans chacune de tes reviews. Elles redonnent toujours le sourire et apportent un soulagement... Il n'y a pas seulement deux folles sur cette Terre. Tes argumentations étaient parfaites, d'ailleurs à titre d'info, le psy a pris le bord looll. Vive la luxure libre ! Merci d'être une fidèle lectrice aussi lubrique...
Vif D'or : De nouveau, merci de prendre le temps de laisser un petit mot à chaque chapitre, c'est toujours grandement apprécié. Maintenant tu sais qui a osé les déranger... Pas trop déçu ?
Griffy : Auras-tu su attendre la suite ? Je l'espère du moins. Merci pour ta review et j'espère que ce chapitre t'aura plu également !
Lo Chan : Bienvenue parmi nous. Merci pour ta review et tes bons mots, c'est toujours apprécié.