[n/a] : Petite note rapide pour vous informer qu'il s'agit de l'avant- dernier chapitre de cette histoire. Comme l'histoire touche à sa fin et que nous avons bien quelques idées pour d'autres fics mais qu'elles ne semblent pas vouloir s'articuler comme on le voudrait. On vous demande à vous, nos lecteurs, de nous suggérer des grandes lignes pour des histoires à venir. On aime bien ce genre de défis, alors ne vous gênez surtout pas pour nous faire connaître vos idées...

En espérant que ce chapitre vous plaira... Merci de nous lire...Retour d'une scène médium-tiède dans ce chapitre...

Chapitre vingt-troisième : Pour toujours

Je me suis fait prendre à mon propre jeu et j'enrage de ce fait ! Arrggg ! au fond de moi j'espérais que son âme de Serpentard aurait le dessus sur ses nouvelles résolutions. Une part de moi aurait aimé qu'il enfreigne les règles que je lui ai imposées. Mais c'était quoi cette idée stupide ? Pourquoi j'ai fait cela ? Simplement parce que je suis un idiot ! Voilà pourquoi !

Voilà des mois que tout mon corps le réclame et maintenant que mon cœur m'a été ravi, c'est moi qui le repousse. Je suis d'un pathétique ! C'est la peur qui m'a fait mettre les freins. La peur ! L'éternel boulet qui ne semble pas quitter ma cheville. J'ai toujours eu peur et j'aurais toujours peur. Cette peur m'a pourri la vie un nombre incalculable de fois et continue de le faire. Cette fois c'est l'amour qui m'a fait peur. Je l'ai vu pour la première fois de ma vie, je l'ai vu dans ses yeux et j'ai pris panique. Pourtant il n'avait cesse de me le répéter, il a fallu que j'y fasse face dans son regard. C'est à ce moment précis que j'ai perdu la première manche contre mon nouvel ennemi. Je me suis laissé avoir comme un débutant, débutant que je suis. J'ai laissé une brèche de mon cœur sans protection volontairement et l'amour de Draco l'a exploité.

Il m'a simplement tenu enlacé à lui pendant un long, très long moment. Aucune parole n'était nécessaire. Je pouvais aisément sentir son cœur dans sa poitrine et ma tête se soulevait au rythme de sa respiration. Je me suis laissé prendre au jeu, j'étais bien et pour une rare fois dans ma vie, je me sentais à ma place. J'aurais pu rester ainsi pour l'éternité. Mais il a fallu que ma fichue peur revienne au galop en même temps que la réalité nous rattrapait. Ce fut tout un choc ! Pour moi du moins. L'espace d'un instant, je prenais conscience que j'étais bien dans les bras de Draco Malfoy, que je m'étais laissé aller, que j'avais volontairement montré une de mes faiblesses et que pire, je l'avais encouragé à l'exploiter.

Le réveil du doux rêve éveillé que je faisais à été dur, trop dur. Je me suis séparé de lui en vitesse, mais pourtant à contrecœur. Et j'ai paniqué ! Mon cerveau est revenu et m'a dicté toute une panoplie de ce qui m'apparaît maintenant comme des débilités mais qui me semblaient essentielle sur le moment. Sous le regard perdu de celui a qui je venais d'ouvrir mon cœur, j'ai établi des règles et des mesures à mettre en place pour pouvoir continuer. C'est que même en panique, je n'arrivais pas à me résoudre à le repousser complètement, j'étais déjà attaché, lié à lui et maintenant plus que jamais.

Je pensais qu'en élaborant ces règles, je pourrais peut-être épargner un peu mon cœur trop peu inexpérimenté. Que je pourrais peut-être l'empêcher de me faire souffrir comme cela était inévitable dans mon esprit. Pourtant, avec le recul, je sais très bien que je suis mon propre bourreau, je me fais souffrir bien plus que lui n'aurait su le faire. En refusant de lui ouvrir complètement mon cœur et de me laisser submerger en contrepartie par ses propres sentiments, je me condamne moi-même et applique personnellement ma sentence ! Le pathétique ne tue pas mais il fait atrocement souffrir !

Je me rappelle son expression lors de l'étalage de mes pseudos règles destinées à établir des bases solides d'une relation probable. C'est du moins ce que mon esprit tordu lui a sorti comme raison. Je voyais que je le blessais, il avait beau garder un masque de pierre comme jadis, ses yeux ne mentaient pas. Je lui plantais un couteau dans le cœur en refusant son amour. Pire avec mes satanés règlements à la noix je m'amusais à le torturer d'avantage. Jamais un Malfoy n'exprimait ouvertement ses sentiments, pourtant c'est ce qu'il venait de faire. Jamais un Malfoy n'avouait aimer autre que lui-même, pourtant, c'est ce qu'il venait de faire. Jamais un Malfoy n'aurait accepté un quelconque lien avec Harry Potter, pourtant c'est ce qu'il me proposait. Il abandonnait tout ce qui était encré en lui et moi, bien que je le sache, je n'arrivais pas à me débarrasser de cette fichue peur qui me tenaillait le cœur.

J'essayais de me convaincre que cela nous préserverait, que cela me protégerait. Ce que je peux être sot parfois ! Voilà deux semaines d'écoulées depuis la mise en place de ces règlements stupides qui avaient justement pour but de laisser le temps à notre probable relation de tracer un chemin qui nous conviendrait à tous deux. Je voulais que nous avancions lentement sur ce chemin inconnu pour moi qu'est l'amour. Et maintenant, je serais prêt à courir vers ce que me réserve l'avenir. Est-ce que l'amour peut être plus fort que la peur ? Est-ce la raison de ce vide en moi, de ce manque qui m'envahi ? J'ai peur mais j'ai tant besoin de lui ! J'ai besoin de sa présence, j'ai besoin de son amour. Pourtant, il reste tranquillement chez lui à faire Merlin seul sait quoi pendant que moi je me ronge les sangs comme l'imbécile que je suis. Je lui ai demandé du temps. Il m'en donne. Mais maintenant cela ne me convient plus. Je veux plus. Je veux tout.

Deux semaines que je suis de retour dans la communauté magique. Car si j'ai établi ces stupides règles que je regrette amèrement aujourd'hui, lui a mis une condition à son respect des dits règlements. Il s'engageait à respecter mes choix, mes désirs, à me respecter tout court à la simple et unique condition que je revienne dans notre monde. De ce fait, il me fallait affronter la meute de journalistes et de photographes. Ce que j'ai fait, non sans mal. Finalement, tout c'est plutôt bien passé, bien que quelques-uns semblent avoir été choqués mais je n'en ai rien à faire. Le pire, ce ne fut pas nécessairement les médias et l'opinion de la communauté comme je le redoutais mais plutôt mes amis. Ils m'ont, chacun leur tour, passé un savon digne de ce nom pour avoir fuit, pour ne pas avoir affronté. La pire fut Hermione qui ne mâcha pas ses mots pour me faire savoir que je n'avais pas le droit de jouer avec les sentiments des gens. Discours poignant et presque violent mais qui fit son effet. Comme toujours lorsqu'il s'agit d'Hermione. Parfois, je me dis que cette fille est trop intelligente ! Mais je l'adore. Tout comme j'adore Ginny ou Ron. J'apprends même à connaître un peu mieux Padma que j'avais toujours respecté mais je découvre une jeune femme exceptionnelle en elle. Pas étonnant que Hermione ait flashé sur elle ! Elles sont faites pour aller ensemble. Elles, n'ont pas eux peur d'emprunter le chemin de l'amour ! Je les envie, j'aimerais pouvoir affronter ma peur et foncer avec Draco.

J'ai tellement besoin de lui, là, maintenant, pour toujours !

Deux semaines que je me retiens de me rendre chez lui. Deux semaines que je me force à respecter ses choix. Deux semaines que je tente de me convaincre vainement que c'est pour notre bien, que si je fais cet effort suprême, nous pourrons alors espérer être deux. J'en ai assez, j'en peux plus, j'en veux plus !

C'est décidé, c'est ce soir que je mets les cartes sur table. Si Harry n'est pas capable d'amour pour moi, qu'il me le dise immédiatement et qu'il cesse de jouer avec moi. J'en aurai sans doute le cœur brisé mais au moins, je saurai à quoi m'en tenir plutôt que de continuer à espérer seul dans mon coin.

Je transplane devant chez lui et après un soupir sensé me redonner courage, je me saisis du heurtoir et tambourine la porte avec. Il m'ouvre la porte et là, l'air fier et décidé que j'avais peint sur mon visage, se décompose aussitôt. Il est si beau, si désirable, presque vulnérable. Il me fait entrer poliment et referme la porte derrière moi. Je me fais la promesse que cette porte qu'il vient de fermer, vint de clore notre passé et que lorsque je la franchirai de nouveau ce sera pour avancer vers l'avenir, peu importe ce qu'il me réserve.

Nous restons là à nous regarder sans parler, la tension est palpable et un malaise immense grandit de seconde en seconde entre nous, nous séparant un peu plus l'un de l'autre. Je dois réagir, je dois faire quelque chose avant que la situation ne m'échappe complètement. Et je fais l'unique chose qui me vient à l'esprit. Je l'accule au mur et l'embrasse fiévreusement. Merlin que j'en avais envie ! Et à voir l'empressement qu'il y met en retour, je crois qu'il le désirait également. Ce qui contribue malheureusement à augmenter mon désir et j'ai de plus en plus de mal à me faire à l'idée de me séparer de cette bouche si chaude et voluptueuse.

Par les cornes du diable ! S'il ne cesse pas immédiatement de me taquiner ainsi avec sa langue, je ne réponds plus de moi, déjà que je suis à la limite de commettre un acte répréhensible... Mes mains ont soif de son corps. Mes lèvres ont soif de sa peau. Ça y est, je perds la raison ! Je suis irrémédiablement prisonnier de mon désir. La passion me consume de plus en plus et je brûle pour lui. Ses lèvres éveillent chez moi des sensations qu'aucun de mes amants ni même mes maîtresses avant lui n'avaient su provoquer. Ses caresses m'embrasent un peu plus et font de moi un brasier vivant.

Rapidement, robes sorcières et chandails se retrouvent au plancher. Torse contre torse. Lèvres contre lèvres. Cœur contre cœur. Ses mouvements se font un peu plus hésitants. Un regard me confirme qu'il désire autant que moi que cela se poursuive mais qu'il ignore la marche à suivre. Mon cœur fait un tour dans ma poitrine. Mon Harry n'a jamais connu d'autre homme que moi ! Cette constatation peut être extrêmement machiste et peut passer pour possessive et vieux jeu mais elle me fait réellement plaisir. J'entrevois le plaisir d'enseigner à mon partenaire et non pas la fierté d'être le premier ! N'empêche que cela fait un velours !

Si c'est sa première fois, sans doute appréciera-t-il que cela soit doux et romantique ? C'est mal partit puisque je me suis jeté sur lui comme un obsédé. Je ralentis donc et m'applique à lui faire découvrir les joies de ce jeu lubrique. Je l'amène jusqu'au canapé sans pour autant quitter l'antre de sa bouche qui me damne tant. Doucement, je le force à s'étendre et langoureusement, je me penche au-dessus de lui. De ma langue je trace les contours de son torse qui a pris une belle teinte sous le soleil de son exil. Je titille chacun de ses mamelons et les mordille même. C'est que je suis vorace tout de même, je peux être doux et attentionné mais je reste fondamentalement brusque. Il ne semble pas trop s'en plaindre puisqu'il se mord la lèvre inférieure pour retenir un petit cri. Cette vision me donne des idées de luxure. Merlin qu'il est beau ! Je remonte l'empêcher de maltraiter sa lèvre. Seul moi dorénavant aura ce pouvoir. Seul moi pourra m'emparer comme maintenant de cette lèvre charnue et invitante entre mes dents. Et seul moi entendra ce petit gémissement qui récompensera mes efforts et qui enflammera encore plus, si possible, mes sens.

Mes doigts descendent taquiner les quelques poils qui se sont logés au creux de son sternum, ils sont peu nombreux et de la même couleur que ses cheveux. Même chose pour ceux constituant ce petit chemin qui laisse présager un bas ventre tentant et invitant. Cette mince ligne de poil qui descendent se perdre sous la ceinture de son pantalon. Pantalon qui laisse deviner une bosse attirante et qui, lorsque frôler par « inadvertance » par ma main, provoque un petit gémissement adorable de la part de mon amour.

J'y tiens plus, j'en ai trop envie. Je me jette sur sa ceinture et entreprends de le délester de son pantalon. Je le sens se raidir sous moi, il doit anticiper la suite et sans doute cela l'effraye-t-il. Je me propose donc de lui murmurer des mots apaisants à l'oreille sans pour autant faillir à ma tâche de le mettre complètement nu. Une fois ma tâche accomplie, je me recule pour pouvoir l'observer dans toute sa splendeur. Il est magnifique ! Si désirable que cela me fait mal. Sans même que j'en ai réellement conscience, ma respiration se fige lorsque je sens ses mains hésitantes s'affairer à détacher mon pantalon. Réalisant soudain, je tente de l'aider mais d'un geste vif, il me fait comprendre qu'il tient à le faire de par lui-même. Très bien mon amour, termine de me déshabiller alors !

Soudain, on frappe à la porte, ce bruit le fait s'arrêter et il me laisse là frustré au plus au point ! [n/a : nananana... on rigole, on peut pas vous faire ça ! loolll. Reprenons alors le cours normal des choses] Une fois tous les deux complètement nus, on s'adonne à des caresses plus charnelles, plus osées, plus intimes. Bien qu'il semble toujours avoir une certaine hésitation, il se débrouille pas trop mal et parvient même à me faire frissonner à quelques reprises. L'excitation étant et notre trop grande soif du corps de l'autre font que nos premiers ébats ne sont pas dignes du livre Guinness pour leur longueur. Mais ils auront à tout jamais une place de choix dans mon livre personnel. Repus, enlacés et souriants nous restons un long moment sur le canapé témoin de notre première tentative d'union charnelle.

Je resterais ainsi, près de lui, enlacés pour toujours !

Je suis assise depuis un temps indéterminé et je l'observe à la dérober. Je sais qu'elle n'aime pas particulièrement lorsque je fais cela mais c'est plus fort que moi. J'aime la regarder évoluer dans notre petit quotidien. C'est fou comment des gestes aussi simples que faire le thé, ramasser un oreiller ou encore trancher une tomate peuvent me refléter la chance que j'ai d'être auprès d'elle. J'aime particulièrement la regarder lorsqu'elle lit, elle a tendance à jouer avec ses cheveux, elle les entortille autour de son doigt et lorsqu'elle arrive près de la racine, elle les laisse retomber avec une grâce naturelle que lui envierait certainement les Vélanes.

Ou encore ses petites manies qui me font toujours sourire. Comme lorsqu'elle prend une gorgée de thé et qu'elle repose sa tasse, elle remet toujours l'anse parfaitement parallèle à elle et toujours pointant vers la droite. Lorsque l'on sort, elle s'assure toujours trois fois que la porte est bien verrouillée. Quand elle ouvre les rideaux le matin dans notre chambre, elle commence toujours par celui de gauche et suit ensuite celui de droite. De même que lorsqu'elle prend un livre dans la bibliothèque, elle retire légèrement son voisin de gauche pour savoir où va exactement le volume qu'elle emprunte. Elle fait tous ces petits gestes sans vraiment en avoir conscience et c'est ce qui les rend si spécial pour moi. Je me suis demandé si j'avais moi aussi quelques petites manies dans ce genre. Sans doute ! Les a-t-elle observé ? Est-ce qu'elle m'observe parfois ? Prend- t-elle le temps de me regarder évoluer et de noter de petites choses anodines comme je le fais pour elle ? M'aime-t-elle autant que je peux l'aimer ?

Je dois afficher une drôle de tête puisqu'elle me regarde soudainement en relevant un sourcil, signe d'interrogation chez elle. Je me force pour lui faire un sourire mais ma prestation est pitoyable et je le sais ! Elle s'approche de moi et s'agenouille devant moi, de façon à ce que son regard soit directement au niveau du mien. Puis comme à chaque fois, elle semble lire en moi comme dans un livre ouvert.

Ses mains viennent se poser de chaque côtés de mon visage et l'encadrent tendrement. Ses yeux se sont légèrement assombris et le coin supérieur droit de sa bouche s'est soulevé. Je tente d'afficher un air impassible mais elle sait très bien que ce petit air me fait fondre le cœur à chaque fois. Heureuse de l'effet produit, elle m'embrasse tendrement avant de me murmurer au creux de l'oreille les trois mots qui me font tant frissonner lorsque prononcés par elle : JE T'AIME.

Je l'enlace fortement contre moi, comme si j'avais peur qu'elle ne s'envole, qu'elle ne soit qu'un rêve. Si jamais c'est le cas, si jamais elle n'est qu'un rêve, je souhaite ne jamais me réveiller ! Laissez-moi éternellement dans ce monde où je suis sienne ! Laissez-moi la chance d'être celle qu'elle étreint le matin à son réveil et celle qui l'embrasse pour lui souhaiter bonne nuit. Laissez-moi profiter de ce rêve à tout jamais. Laissez-moi près d'elle pour toujours !

[RAR] :

Alixe : Bien, comme tu le sais sans doute maintenant, il nous reste un chapitre de prévu pour cette histoire, un genre d'épilogue qui conclura le tout. On a bien une petite idée derrière la tête mais on ne peut pas le dire, c'est une surprise ! Merci pour ta review, c'est toujours grandement apprécié, de même que ton offre d'aide, on s'en reparle...

Eternamm : Merci beaucoup pour tes bons mots, ça fait toujours chaud au cœur. En espérant que ce chapitre t'ai plu également.

Link9 : Bah, il y en a eu un peu de cul dans ce chapitre, contente ? Merci pour ta review, c'est toujours apprécié. ... Merci pour tes bons mots pour Max. Joyce se charge de lui transmettre

Alex : Wouah, ça c'est de la review... Merci, merci, merci. Pour ta fic, ça sera avec un grand plaisir que je la lirai dès que tu la publieras. N'oublie pas de m'avertir par contre car lunatique comme je suis, je pourrais passer à côté et je suis certaine que je manquerais quelque chose. Je suis certaine que cela sera excellent et j'ai hâte de pouvoir lire ce que ton imagination tordue aura pondu lolll. Pour le journaliste que tu veux frapper, vas-y, ne te gênes surtout pas ! mdr. Si en effet, l'enfer contient la luxure, la paresse, la gourmandise et autres petits pêchés attrayant, on s'y retrouvera, compte sur moi ! loll. Merci encore une fois pour ta review et pour ta fidélité (seigneur, j'ai l'impression d'être un vieux couple... fidélité de lectrice bien entendu, je veux pas avoir ta chérie sur le dos moi lolll.) ... Merci pour tes bons mots pour Max. Joyce se charge de lui transmettre

Nee Chan : Cette fois, il y a eu plus qu'un baisé, je n'ose imaginer la danse que tu as fait looll... Merci beaucoup pour ta review, c'est toujours apprécié. ... Merci pour tes bons mots pour Max. Joyce se charge de lui transmettre

Sasha Krum : Draco n'avait pas flairé l'imposture de Ron au dernier chapitre car à ce que l'on dit, l'amour rend aveugle lolll. Merci pour ta review, ça fait toujours chaud au cœur. T'inquiète, on aurait jamais cru au plagiat mais c'est vrai que la coïncidence est amusante... Ta scène dans Déclic était très bien et nous a fait sourire... Merci pour tes bons mots pour Max. Joyce se charge de lui transmettre.

Umbre77 : Toujours malade ? On est sincèrement avec toi ! Ton travail de fin d'étude ? Comment cela a été finalement ? On espère que tu t'en ai tiré... Bah, non, on peut pas continuer éternellement nos chapitre ou notre histoire, désolée de te frustrer ainsi. Mais on est mieux de la terminer ainsi parce que les idées commencent à manquer et que l'on souhaite pas que cela devienne redondant et ennuyant ! Nous aussi, avoir été Hermione et Ginny, c'est certain que l'on y serait été mais Padma veillait au grain ! Ça prend toujours quelqu'un pour tempérer les autres lolll. ... Merci pour tes bons mots pour Max. Joyce se charge de lui transmettre, elle tentera même de lui faire l'accent enrhumé loll. Merci de prendre le temps de pondre des reviews aussi désopilantes à toutes les fois, c'est grandement apprécié.

Vert Obsidien : Bravo pour ton nouveau compte ff.net ! loll. Nous aussi on avait pensé à arrêter la fic au chapitre précédent mais on avait promis au moins une scène chaude entre Draco et Harry, chose faite maintenant et dernier chapitre seulement suivra. T'inquiète pas, nos lecteurs nous auraient tué avant si jamais on avait réellement cessé la fic ! Merci pour tes commentaires pour notre autre fic, on adore savoir ce que les lecteurs en pensent réellement ! Mais pour notre défense, Trouver l'autre moitié de son âme ne devait à l'origine que servir à satisfaire certains lecteurs qui préfèrent les histoires classées R et ne pas se casser la tête avec des questionnements d'ordre sociologiques ou psychologiques, d'où le manque de réalisme pour cette fic. C'est vrai que Découverte est plus songée et plus axée sur le développement des persos et des sentiments et c'est sans doute pour cette raison qu'elle est notre préférée jusqu'à maintenant. Contentes qu'elle te plaise et merci pour ta review constructive malgré ce que tu en disais.

Vif d'or : Merci beaucoup pour tes bons mots, ils sont très appréciés. ... Merci également pour tes bons mots pour Max. Joyce se charge de lui transmettre.