Chapitre 3 : Disparition. Ou comment je les ai rencontré
Voilà. La dernière goutte de béton a scellé la tombe de mon ami...Maintenant que mon dernier acte pour lui était fini, les questions qui me brûlait les lèvres purent sortir... Tu veux de l'aide petit ? C'est tout ce qu'il m'avait dit. Il était grand les cheveux brun coupé très court, de carrures athlétiques, on sentait les muscles saillir sous son T-shirt noir, d'ailleurs tout était noir, son regard, ses fringues, même ses idées semblait noires. Il avait les mains dans les poches, semblant assuré mais aussi compatissant. Je m'étais retourné prêt à le démolir. Lui faire payé jusqu'au centuple ce qui m'avait été fait. Mais je sentais que son aide était sincère, et il ne faisait pas parti des mes tortionnaires et j'été si intimidé par son regard que j'ai dit oui, la peur revenait, sans adrénaline je me sentait vide, comme gelé de l'intérieur. Il m'aidé sans un mot, sans une plainte. On a mis Vincent dans un trou profond. Puis on a versé tout le béton qu'il y avait, comme un automate, le cerveau déconnecté. Mais c'était fini. Et j'avais retrouvé mes esprits, et je voulais des réponses ! Il savait pour moi. Cela ne faisait aucun doute...alors il fallait rétablir l'équilibre. Qui êtes-vous ? Il a pris le temps de s'asseoir et d'allumer une cigarette. La fumée coulait hors de sa gorge lorsqu'il répondu. Capitaine Delemore Henri. Capitaine ? Vous êtes de l'armée ? de la police ? Armée. Ancien Commando Hubert. Pourquoi vous êtes là ? pourquoi m'aidé ? pourquoi... Doucement. Si je suis là c'est que dans une semaine tu as 18 ans. Soit la majorité. Et que tu es un mutant. Sa m'a fait l'effet d'un coup de poing. Oui...dans une semaine je serais majeur...mais a quoi sa me servira, pas de permis, de film porno, de vote... En quoi sa vous concerne ? L'armée ma chargée de crée une force d'intervention mutante. Et je te veux. Haha ha !!! Mon rire était froid, comme une lame qui se plante dans la glace. Vous me voulez ? Vous savez je suis peut-être un mutant mais je suis pas puissant. Le plus puissant il est sous le béton. Je le voulait pas lui. Je te veux toi. Tu as le choix soit tu continues à fuir, soit tu viens avec moi et tu as un travail, une maison, tout ce que tu veux. Je connais ton potentiel. Je t'ai beaucoup observé et je pense que tu feras un bon chef. Une maison ? vous oubliez que je suis un mutant. L'ennemi public numéro 1 non ? et vous comptez faire des Ultimates français ? et moi je serais capitaine France c'est sa ? Non pas des Ultimates. Pas de capitaine France ni rien de médiatique. Non on veut un groupe d'intervention rapide discret efficace. Pas la nouvel Star Ac' version militaire. Et tu logeras dans une caserne, rêve pas trop non plus... Et pourquoi moi ? vous avez pas plus puissant ? Pas de gars qui tue en regardant les gens, de télépathes fou, ou de surhomme ? Tu penses être le seul ? je parle d'un groupe moi...pas de toi tout seul...Tu as une semaine pour réfléchir...tu n'auras qu'à me contacté à cette adresse...ah j'allais oublié une chambre est louée à ton nom dans un hôtel pas loin, Le relais de la gare. Reste y jusque là. Et fait gaffe à tes dépenses c'est l'armée qui paye...donc pas de folie OK ? Allez a plus. Et il est parti comme sa...J'ai rien pus dire. Une semaine. On dit que sa passe vite. Mais là ça fait un peu court pour décidé de son avenir. Alors vu ce que je venais de vivre je me suis assis et j'ai pleuré. La chambre n'était as mal, pas du tout. J'avais accepté son offre d'hébergement. Mais pas forcément le reste. Son numéros de sergent recruteur avait du mal a passé. Moi membre d'un commando de mutant ? voir chef !!! Je ne sais pas quoi faire...Dire oui ? Ou non ? Je ne savais pas. Il y à un mois je ne savais pas quel bac j'allais faire ! Alors le métier... et là j'avais le choix entre l'armée ou la rue...
Une semaine plus tard
C'était le jour de l'ultimatum. Je me leva et fis mes bagages. J'avais pendant la semaine acheté des vêtements et un sac tout pourri mais suffisamment solide pour tenir en bandoulière sur mes épaules. Alors que je sortais de l'hôtel je le vis. Il attendait une cigarette entre les lèvres. Le printemps laissait doucement place à l'été les rayons du soleil se faisaient plus fort, les oiseaux chantaient, et il faisait assez chaud pour qu'il est enlevé son manteau, il m'attendait en T-shirt noir, les mains sur le toit de son Audi, la clope au bec. Monte. Sa voix n'avait rien d'autoritaire. Elle ne disait que la vérité. Oui je monte, oui je m'embarque dans je ne sais trop quoi...mais au moins sa me ferait quelque chose a faire. L'intérieur de sa voiture était frais, Il avait mis du Cat Stevens « My Lady D'Arbanville ». La chanson m'apaisa. C'était même sûrement le but recherché. Alors j'ai lu que tu t'étais vengé. Oui. Oui. Il avait cru que je laisserais le crime de mon ami impuni? Je l'avais vengé. Mais de façon que plu personne dans cette ville ne m'oublie. J'avais acheté une bombe de peinture et j'avais taggué sur le portes des mes tortionnaires « Muto ». Il allait connaître maintenant l'horreur de la persécution. La crainte. La suspicion. J'avais porté le soupçon sur eux. Nous verrons bien comment ils feront pour s'en sortir. La voiture quitta tranquillement la ville... mon passée était derrière moi. James, les cours, Vincent, les balades dans la ville, ma famille. Mon futur était incertain. Alors j'ai décidé de profiter du présent. De la musique, de la clim, et du silence de mon conducteur. Quelques heures plus tard nous sommes arrivé a destination. La base militaire de Salon de Provence, l'école de tous les officier de l'armée de l'air. Et c'est la que j'allais vivre ? Pourquoi on est ici ? C'est ici que je vais vous entraîner. Il y a tous ce qu'il faut, le complexe sportif est super, et on sera a assez a l'écart pour que l'on soit pas dérangé... Bien, c'est qui les autres ? Tu verras bien... Nous sommes rentré dans la base qui devait être aussi grande qu'un village sinon plus. C'est ici que la patrouille de France séjourne. Je n'avais pas fini d'entendre les avions décollés...La voiture s'arrêta bientôt devant un grand préfabriqué. Trois personnes attendaient devant. Un grand gars, brun, les muscles faisait presque craqué son t-shirt. Une jeune fille, habillé comme une gothique, ses grands yeux bleus étant caché par ses cheveux... Mais pas pour moi... et une autre fille, une grande blonde, très belle. Nous y voilà, tu descends ici. Très bien... Je suis descendu de la voiture en appréhendant de dire un mot... Salut t'es le nouveau ? La montagne venait de parler, il avait l'air sympa. oui c'est moi. Alex, enchanté. Je luis tendis une main que je n'été pas sur de revoir... Maxime, ravi d'avoir un autre homme avec moi !!! Sa égalise les rapports de sexe ! Ok ! Je me suis retourné vers la gothique. Alex. Laetitia. Elle n'as rien dit de plus et a détourné son visage...charmant... Hum...ok... Salut moi c'est Claire ! Ah euh...enchanté ! Alex. Alors c'est quoi ton pouvoir ? Forcément le dénominateur commun entre nous tous étaient le pouvoir mutant. Celui qui nous différencie du reste de la planète nous rapprochez en même temps d'ailleurs les deux autres aussi semblait intéressés. Hum... j'ai une vision améliorée ainsi que de bon réflexes. Comment on t'appelle ? supervision ? Comment sa ? Ben disons que l'on joue aux x-men... on a tous un nom de code en rapport avec nos pouvoirs. Moi c'est Rafale. Je maîtrise le vent. Sa température, sa force etc.... Lui c'est Sono, sa force augmente grâce aux sons. Et elle c'est Ombre, elle peut matérialisé son ombre et la manipulé a sa guise... Et toi ? Je ne sais pas. Hum... super vision, super réflexes, pas facile... c'est un pouvoir animal sa... Eh Max c'est quoi l'emblème de l'armée ? Un aigle Alors comme tu es habillé en noir, tu seras Corbeau. Me voici donc baptisé. Corbeau. Pas mal... Ok ! Bon les jeunes allait mangé on commence cette après midi... Oui Capitaine ! Et c'est ainsi que je l'ai rejoints. Mon choix était fait...
Voilà. La dernière goutte de béton a scellé la tombe de mon ami...Maintenant que mon dernier acte pour lui était fini, les questions qui me brûlait les lèvres purent sortir... Tu veux de l'aide petit ? C'est tout ce qu'il m'avait dit. Il était grand les cheveux brun coupé très court, de carrures athlétiques, on sentait les muscles saillir sous son T-shirt noir, d'ailleurs tout était noir, son regard, ses fringues, même ses idées semblait noires. Il avait les mains dans les poches, semblant assuré mais aussi compatissant. Je m'étais retourné prêt à le démolir. Lui faire payé jusqu'au centuple ce qui m'avait été fait. Mais je sentais que son aide était sincère, et il ne faisait pas parti des mes tortionnaires et j'été si intimidé par son regard que j'ai dit oui, la peur revenait, sans adrénaline je me sentait vide, comme gelé de l'intérieur. Il m'aidé sans un mot, sans une plainte. On a mis Vincent dans un trou profond. Puis on a versé tout le béton qu'il y avait, comme un automate, le cerveau déconnecté. Mais c'était fini. Et j'avais retrouvé mes esprits, et je voulais des réponses ! Il savait pour moi. Cela ne faisait aucun doute...alors il fallait rétablir l'équilibre. Qui êtes-vous ? Il a pris le temps de s'asseoir et d'allumer une cigarette. La fumée coulait hors de sa gorge lorsqu'il répondu. Capitaine Delemore Henri. Capitaine ? Vous êtes de l'armée ? de la police ? Armée. Ancien Commando Hubert. Pourquoi vous êtes là ? pourquoi m'aidé ? pourquoi... Doucement. Si je suis là c'est que dans une semaine tu as 18 ans. Soit la majorité. Et que tu es un mutant. Sa m'a fait l'effet d'un coup de poing. Oui...dans une semaine je serais majeur...mais a quoi sa me servira, pas de permis, de film porno, de vote... En quoi sa vous concerne ? L'armée ma chargée de crée une force d'intervention mutante. Et je te veux. Haha ha !!! Mon rire était froid, comme une lame qui se plante dans la glace. Vous me voulez ? Vous savez je suis peut-être un mutant mais je suis pas puissant. Le plus puissant il est sous le béton. Je le voulait pas lui. Je te veux toi. Tu as le choix soit tu continues à fuir, soit tu viens avec moi et tu as un travail, une maison, tout ce que tu veux. Je connais ton potentiel. Je t'ai beaucoup observé et je pense que tu feras un bon chef. Une maison ? vous oubliez que je suis un mutant. L'ennemi public numéro 1 non ? et vous comptez faire des Ultimates français ? et moi je serais capitaine France c'est sa ? Non pas des Ultimates. Pas de capitaine France ni rien de médiatique. Non on veut un groupe d'intervention rapide discret efficace. Pas la nouvel Star Ac' version militaire. Et tu logeras dans une caserne, rêve pas trop non plus... Et pourquoi moi ? vous avez pas plus puissant ? Pas de gars qui tue en regardant les gens, de télépathes fou, ou de surhomme ? Tu penses être le seul ? je parle d'un groupe moi...pas de toi tout seul...Tu as une semaine pour réfléchir...tu n'auras qu'à me contacté à cette adresse...ah j'allais oublié une chambre est louée à ton nom dans un hôtel pas loin, Le relais de la gare. Reste y jusque là. Et fait gaffe à tes dépenses c'est l'armée qui paye...donc pas de folie OK ? Allez a plus. Et il est parti comme sa...J'ai rien pus dire. Une semaine. On dit que sa passe vite. Mais là ça fait un peu court pour décidé de son avenir. Alors vu ce que je venais de vivre je me suis assis et j'ai pleuré. La chambre n'était as mal, pas du tout. J'avais accepté son offre d'hébergement. Mais pas forcément le reste. Son numéros de sergent recruteur avait du mal a passé. Moi membre d'un commando de mutant ? voir chef !!! Je ne sais pas quoi faire...Dire oui ? Ou non ? Je ne savais pas. Il y à un mois je ne savais pas quel bac j'allais faire ! Alors le métier... et là j'avais le choix entre l'armée ou la rue...
Une semaine plus tard
C'était le jour de l'ultimatum. Je me leva et fis mes bagages. J'avais pendant la semaine acheté des vêtements et un sac tout pourri mais suffisamment solide pour tenir en bandoulière sur mes épaules. Alors que je sortais de l'hôtel je le vis. Il attendait une cigarette entre les lèvres. Le printemps laissait doucement place à l'été les rayons du soleil se faisaient plus fort, les oiseaux chantaient, et il faisait assez chaud pour qu'il est enlevé son manteau, il m'attendait en T-shirt noir, les mains sur le toit de son Audi, la clope au bec. Monte. Sa voix n'avait rien d'autoritaire. Elle ne disait que la vérité. Oui je monte, oui je m'embarque dans je ne sais trop quoi...mais au moins sa me ferait quelque chose a faire. L'intérieur de sa voiture était frais, Il avait mis du Cat Stevens « My Lady D'Arbanville ». La chanson m'apaisa. C'était même sûrement le but recherché. Alors j'ai lu que tu t'étais vengé. Oui. Oui. Il avait cru que je laisserais le crime de mon ami impuni? Je l'avais vengé. Mais de façon que plu personne dans cette ville ne m'oublie. J'avais acheté une bombe de peinture et j'avais taggué sur le portes des mes tortionnaires « Muto ». Il allait connaître maintenant l'horreur de la persécution. La crainte. La suspicion. J'avais porté le soupçon sur eux. Nous verrons bien comment ils feront pour s'en sortir. La voiture quitta tranquillement la ville... mon passée était derrière moi. James, les cours, Vincent, les balades dans la ville, ma famille. Mon futur était incertain. Alors j'ai décidé de profiter du présent. De la musique, de la clim, et du silence de mon conducteur. Quelques heures plus tard nous sommes arrivé a destination. La base militaire de Salon de Provence, l'école de tous les officier de l'armée de l'air. Et c'est la que j'allais vivre ? Pourquoi on est ici ? C'est ici que je vais vous entraîner. Il y a tous ce qu'il faut, le complexe sportif est super, et on sera a assez a l'écart pour que l'on soit pas dérangé... Bien, c'est qui les autres ? Tu verras bien... Nous sommes rentré dans la base qui devait être aussi grande qu'un village sinon plus. C'est ici que la patrouille de France séjourne. Je n'avais pas fini d'entendre les avions décollés...La voiture s'arrêta bientôt devant un grand préfabriqué. Trois personnes attendaient devant. Un grand gars, brun, les muscles faisait presque craqué son t-shirt. Une jeune fille, habillé comme une gothique, ses grands yeux bleus étant caché par ses cheveux... Mais pas pour moi... et une autre fille, une grande blonde, très belle. Nous y voilà, tu descends ici. Très bien... Je suis descendu de la voiture en appréhendant de dire un mot... Salut t'es le nouveau ? La montagne venait de parler, il avait l'air sympa. oui c'est moi. Alex, enchanté. Je luis tendis une main que je n'été pas sur de revoir... Maxime, ravi d'avoir un autre homme avec moi !!! Sa égalise les rapports de sexe ! Ok ! Je me suis retourné vers la gothique. Alex. Laetitia. Elle n'as rien dit de plus et a détourné son visage...charmant... Hum...ok... Salut moi c'est Claire ! Ah euh...enchanté ! Alex. Alors c'est quoi ton pouvoir ? Forcément le dénominateur commun entre nous tous étaient le pouvoir mutant. Celui qui nous différencie du reste de la planète nous rapprochez en même temps d'ailleurs les deux autres aussi semblait intéressés. Hum... j'ai une vision améliorée ainsi que de bon réflexes. Comment on t'appelle ? supervision ? Comment sa ? Ben disons que l'on joue aux x-men... on a tous un nom de code en rapport avec nos pouvoirs. Moi c'est Rafale. Je maîtrise le vent. Sa température, sa force etc.... Lui c'est Sono, sa force augmente grâce aux sons. Et elle c'est Ombre, elle peut matérialisé son ombre et la manipulé a sa guise... Et toi ? Je ne sais pas. Hum... super vision, super réflexes, pas facile... c'est un pouvoir animal sa... Eh Max c'est quoi l'emblème de l'armée ? Un aigle Alors comme tu es habillé en noir, tu seras Corbeau. Me voici donc baptisé. Corbeau. Pas mal... Ok ! Bon les jeunes allait mangé on commence cette après midi... Oui Capitaine ! Et c'est ainsi que je l'ai rejoints. Mon choix était fait...
