CHAPITRE 3: Une rentrée sans Harry
Peu de temps avant l'attaque de Harry :
Exceptionnellement, Molly et Arthur avaient conduit les enfants plus tôt au train, ils avaient un rendez-vous important avec Albus Dumbledore avant la rentrée scolaire. Ils voulaient absolument résoudre les derniers détails concernant la sécurité de Harry. Ainsi toute la famille Weasley se trouvait sur le quai 9 ¾ du Poudlard Express qui allaient conduire les enfants à leur école. Il y avait Ginny qui rentrait en 4ème année, Ron qui lui rentrait en 5ème avec sa meilleur amie Hermione qui était venue passée les quinze derniers jours de ces vacances chez la famille Weasley, et bien sûr il y avait les plus grands farceurs qui existaient à Poudlard hormis les légendaires Maraudeurs, les jumeaux Fred et George Weasley. Il montèrent dans le train avant de redescendre pour dire au revoir à Molly et Arthur.
Il s'installèrent dans trois compartiments différents, puis se réunir dans le compartiment des jumeaux pour discuter en attendant l'arrivée de Harry. Ronald Weasley, un grand roux avec le visage constellée de tache de rousseur, avait 15 ans, et était le meilleur ami de Harry Potter, il avait beaucoup changé pendant et les vacances et les coups d'œil que Hermione Granger lui lançait le prouvait. Hermione était aussi sa meilleure amie, quoique depuis un bout de temps il se demandait si ce qu'il ressentait pour elle, n'était pas plus que de l'amitié. Hermione était une jeune fille aux cheveux bruns, longs et en broussailles, elle était mince et attirait les regards des garçons surtout depuis qu'elle avait commencer la formation d'animagus que Sirius leurs avait proposé à elle, Ron et Harry. « D'ailleurs, pensait-elle en elle même, c'est ce qui a peut-être fait changer Ron, il semble plus mûr et plus beau ». Les Jumeaux eux regardaient cet échange de coup d'œil avec un sourire, il savait par Harry que ces deux là était fait l'un pour l'autre, mais aucun des deux ne semblaient vouloir le reconnaître, ce qui voulait dire qu'ils avaient eut droit à des chamailleries continuelles avec interdiction formelle de se moquer. Et oui Harry, pour préserver Ron et Hermione de trop grands ennuies et espérant qu'ainsi ses deux meilleurs amis pourraient se déclarer sans avoir de commentaires désobligeant venant des jumeaux avaient interdit aux jumeaux de les embêter. Ce qui avait beaucoup étonné Molly Weasley et la lassait perplexe, elle avait vu aussi le manège des deux jeunes gens. Ginny Weasley était la plus jeune des Weasley, l'unique fille de la famille. Elle était rousse grande et mince. Tous ses frères avaient vu qu'elle avait beaucoup changer, et les jumeaux ainsi que Ron avaient pour mission de surveiller tout garçon qui rodait autour d'elle. Bien que Ron s'en serait chargé sans l'accord de ses frères aînés, il était tellement protecteur. C'est ce qui énervait le plus Ginny, elle trouvait q'ils la protégeaient de trop. Quand on grandit dans une maison où il n'y a que des frères, on apprend vite à se défendre contre la race masculine. Pourtant, ce n'est pas ce qui l'intéressait le plus, Ginny était plongée dans une de ses lettres, et rien de ce qui se passait autour d'elle ne la perturbait. La missive disait ceci :
Chère Ginny,
Je suis heureux d'avoir eut de tes nouvelles, merci de m'avoir écrit. Ta lettre joyeuse m'a remonté le moral, elle m'a fait énormément plaisir. Je vois que les jumeaux font toujours enrager Percy comme Ron me l'avait écrit. Je dois dire que cela ne me surprend guère.
Ici, c'est comme chaque année les Dursley sont toujours aussi ennuyants. Enfin j'ai plus ou moins la paix. Je serais content de quitter les Dursley à la fin des vacances.
Je te laisse, on m'appelle en bas. Merci encore.
Harry.
Ils avaient échangé des lettres tout l'été, Hedwige venait avec les lettres de nuits pour ne pas que ses frères remarquent l'échange. Le premier jour, ils l'avaient tellement embêter avec la lettre qu'elle venait de recevoir, qu'elle avait dès la deuxième lettre demandé à Harry de les envoyer la nuit. C'était plus simple pour elle, et elle savait aussi que comme ça Harry n'aurait pas une surveillance acharnée de Ron, parce que tout simplement son cher frère voulait la protéger. Au cours des lettres ils étaient devenus amis, Harry avaient parler de sa culpabilité en vers Cédric et elle avait essayé de le rassuré. Pourtant, elle savait que Harry ne lui disait pas tout. Il ne lui disait pas ce qui se passait chez les Dursley, mais elle sentait que quelque chose n'allait vraiment pas. Elle essayerait de le faire parler au cours de l'année.
Harry lui avait appris qu'il essayait devenir animagus, et ce jour là dans la lettre, il lui avait proposé de devenir elle aussi un animagus, non déclaré bien sur. Il lui avait écrit: "Si nous devenons amis, je préfère savoir que tu as un atout caché de Voldemort, au moins je me sentirais mieux.." Elle avait appris tout comme Ron et Hermione à le devenir.
Elle avait aussi appris par Harry qui était son parrain, le fameux Sirius Black, recherché par les aurors et la police. Harry lui avait expliqué que Sirius était innocent. Il lui avait parlé de sa troisième année, des Maraudeurs,...
A la fin des vacances, Hermione qui dormait avec elle, avait remarqué qu'elle recevait des lettres et Ginny lui avait tout raconté. Le fait qu'elle devienne un animagus, les lettres échangées entre eux, elle lui avait dit que son béguin pour Harry, était parti, pour être remplacé par une vraie amitié. Quoique au fond d'elle même, elle se demandait si ce n'était pas plus que de l'amitié. Elle attendait avec impatience l'arrivée d'Harry comme les autres.
Ron et Hermione se levèrent ensemble, "Nous allons rejoindre notre compartiment, il commence à avoir du monde sur le quai. Nous avons besoin de discuter avec Harry au calme."
Les jumeaux suivirent les deux amis des yeux une lueur d'interrogation au fond. Fred se tourna vers Ginny:
"Dis-moi petite sœur, Ginny releva la tête de sa lettre, n'as tu pas l'impression que Ron et Hermione nous cachent quelque chose?"
Ginny le regarda et lui répliqua: "Ho, qu'ils sont amoureux l'un de l'autre, et qu'ils ne se le disent pas ce qui en général provoque des tensions..."
"Non, s'exclama George, ça on le savait, non, c'est pas ça. J'ai parfois l'impression qu'il parle entre eux de chose que eux seul connaissent. Ils ont un espèce de code, que l'on ne peut déchiffrer. Mais ce n'est pas simplement entre eux deux, non ils l'utilisent aussi avec Harry. Nous avons trouvé une lettre d'Harry parlant d'un Sniffle, Ron nous a piquer une de ses crises parce qu'on avait lu sa lettre."
Ginny fronça les sourcils :
"Normal, elle ne vous regardait pas.".
"Il n'y a pas que ça, parfois il reste simplement assis en indiens et pendant une heure ils ne bougent pas, parfois ils éclatent de rire comme ça sans raison apparente. Puis quand ils se lèvent, il parle par énigme. Une fois j'ai entendu une réflexion: 'En tout cas Harry va un peu mieux de ce que l'on a pu voir.' C'est la réplique de Ron, je t'assure parfois je les trouve très étrange.".
Ginny resta un moment silencieuse puis se tourna vers eux.
"Si il y a une chose que je vous conseil, c'est de rester en dehors de ça, c'est dangereux pour vous, pour nous, et surtout pour eux, encore plus pour Harry. Certaines choses ne peuvent pas être dites, si vous en parlez, peut-être que les informations que vous révéleriez tuerais plus d'un innocent. Si Harry décide de ne rien vous dire, ne forcez ni Ron, ni Hermione, ni moi-même à parler. A moins bien sur que vous ne teniez à tuer Harry. Beaucoup de chose concernent Voldemort, alors n'y toucher pas. Faites le pour Harry. Si vous avez des questions posez les lui directement, et si il ne vous répond pas, ne l'obligez pas. Il fait ce qu'il peut. La seule chose que vous puissiez faire pour lui, c'est de faire attention à vous, et de le soutenir en le défendant quand d'autre le calomnie, même si les apparences prouvent parfois le contraire."
Sur ce Ginny se leva et sortit du compartiment et se dirigea d'un pas décidé vers celui de Ron et Hermione.
"Hermione, appela-t-elle à travers la porte, pourrais-je te parler, c'est assez important."
Hermione sortit du compartiment et lui lança un regard interrogateur.
"Suis-moi dans mon compartiment, je dois te dire quelque chose d'important, et cela ne doit pas être, disons, ... entendu."
Arrivé dans le compartiment, après avoir fermé soigneusement la porte, elles s'installèrent confortablement, puis Ginny commença à parler.
"Pendant les vacances vous avez parlé avec Harry par la pensée, comme je l'ai fait, et bien sachez, que les jumeaux vous ont surpris pendant vos conversations silencieuses, et ont surpris un où deux commentaires après, sans vraiment les comprendre. Donc je vous conseil fortement d'être plus prudent à l'avenir. D'autres personnes pourraient vous entendre, et cela pourrait être plus dramatique, si tu vois ce que je veux dire. Il y a des espions à Poudlard, plus que ce que nous le pensons, ça j'en suis sur."
"Merci Ginny, je préviendrais Ron d'ici la fin du voyage, de façon subtil bien sûr."
"Herm', j'ai essayer de les convaincre de ne pas vous poser de questions et de ne pas chercher à savoir ce qui se passe, j'espère qu'ils seront assez intelligent pour comprendre que la vie d'Harry dépend de ce qu'ils disent."
"Moi aussi, Ginny, moi aussi. Nous en parlerons à Harry quand il viendra. Merci."
"Avec plaisir."
Hermione sortit du compartiment, pour rejoindre le siens. En chemin, les jumeaux l'apostrophèrent.
"Hermione, pouvons nous te parler s'il te plait." Hermione hocha la tête et les suivit.
"Si tu sors du compartiment de Ginny, tu dois être au courant de la conversation que l'on vient d'avoir avec elle."
"En effet.", confirma Hermione.
"Bien nous n'irons pas par quatre chemin, nous sommes curieux, et bien que nous voulions savoir ce que vous cachez Ron, Ginny, Harry et toi, nous ne vous le demanderons pas. Nous avons compris que la vie d'Harry, ainsi que les vôtre, et celle de d'autres personnes seront en danger probablement de mort si nous cherchons à savoir ce que vous cachez, alors nous venons de décidez de laisser les choses tels que Harry veut qu'elles le soient. Tu as notre parole. Nous essayerons de vous aidez dans la mesure de nos moyens, nous devons tous cela à Harry. Il nous a sauvé assez de fois pour que nous n'osions le trahir."
"Merci, c'est beaucoup pour Harry, il a assez de soucis comme ça. La seule chose qu'il vous demanderais je crois : "Continuez à me faire rire.", Il l'a demandé dans la première lettre qu'il a envoyé à Ron, de lui raconter toutes les blagues que vous faisiez pour qu'il puisse rire."
"Et bien nous le ferons du mieux possible", dirent les jumeaux dans un ensemble parfait et un sérieux que peu de personne avait vu chez les jumeaux Weasley. "Foi de Weasley. Il y a juste une chose que nous nous demandons, comment se fait-il que Ginny puisse dire le nom de Tu-Sais-Qui sans en avoir peur?"
"Et bien disons que Harry nous l'a appris, à Ron, Gin' et moi. Il a réussit à nous faire comprendre qu'il était inutile d'avoir peur d'un nom.".
Hermione sortit du compartiment avec un petit sourire aux lèvres.
Il était près de onze heure, quand Hermione et Ron sentirent un mal aise naître en eux. Ils sentaient que Harry avait des difficultés, mais ne savaient pas quoi. Le seul moyen de vérifier, était de rentré en communication avec lui, tous deux entrèrent en transe, mais n'arrivèrent pas entré en contact avec l'esprit de Harry. C'était comme si le fil avait été coupé. La porte du compartiment s'ouvrit violemment, une jeune fille rousse entra dedans complètement affolée.
"Il y a quelque chose qui ne va pas avec Harry, je ne l'entends pas, mais je sens ses sentiments, la colère, la peur, la détermination,... Je pense qu'il se fait attaqué.", lança Ginny.
"Calme-toi Ginny, ordonna Hermione, nous l'avons senti aussi. Tu arrives à te connecté avec lui?"
La rousse hocha la tête. « Oui et non, je ne sais pas lui parler, je sens ses sentiments c'est tout. »
"La seule chose que nous puissions faire, et vu que tu es la seule à entrer en contact avec Harry, c'est lui donner la force de se battre. Tu dois lui donner ton courage et ton amitié, tu dois lui envoyé tous les sentiments positifs que tu peux. J'espère ainsi qu'il se sentira mieux. Il doit probablement sentire ta présence inconsciemment, alors c'est à toi de le rassurer. Nous ne sentons que le danger.", expliqua Herm'.
Tous trois se remirent en transe.
"Je perds le contact ! ", s'affola Ginny, après un moment.
Hermione et Ron ne répondirent pas ils semblaient avoir trouvé quelque chose.
"Il est sauvé, lâcha Ron, je ne sais pas où il est, mais le sentiment de danger n'est plus là. Je sens qu'il ne risque plus rien là où il est pour le moment, bien que je ne voit pas où il est. Une chose est sur, c'est que c'est trop loin pour lui parler télépatiquement. Il ne nous sert à plus rien de nous affoler. Attendons les nouvelles avant d'en parler. Retourne vers tes amies Ginny, nous t'informerons si nous en avons. D'accord?"
Ginny sortit du compartiment complètement ébahie, son frère apparemment était au courant qu'elle avait parlé avec Harry pendant les vacances. Ce qui l'étonnait c'est qu'il n'y ait pas eut de crise. Comment ont-ils fait pour annoncer la nouvelle Ron sans qu'il ne s'énerve. Mystère. A moitié rassurée, elle alla rejoindre ses amies. Elle aussi maintenant ne sentait plus de danger.
Une fois seuls Ron et Hermione commencèrent à parler.
"On peut dire qu'il ne prendra pas le train cette fois."
"Je le pense en effet, Herm'. Je ne savais pas que Harry et Ginny s'entendaient aussi bien, il m'avait sembler que ce n'était que quelques lettres qu'ils avaient échangées. Ils s'entendent bien en tout cas si elle arrive à percevoir les sentiments d'Harry, et nous ne percevions que le danger. Etrange quand même."
"Je ne sais pas Ron, je ne comprends pas. Je serais plus rassurée de savoir où est Harry."
"Ne t'inquiète pas, si Voldemort l'avait pris, nous le sentirions. Alors calme toi."
"Au fait Ron, comment es-tu au courrant de la correspondance entre Gin' et Harry?"
Ron haussa les épaules, "J'ai fini par comprendre, car trois nuits d'affilées j'ai vu Hedwige entré dans la chambre de Gin', et pour finir j'en ai discuté avec Harry. Il peut être très persuasif quand il veut. Il m'a clairement fait comprendre que cela ne me regardait pas, de plus que Ginny savait se défendre, il ne faut pas oublié, a-t-il dit qu'elle a six frères plus âgés qu'elle. Alors si il y a une chose qu'elle a appris, c'est à se défendre. Et il m'a promis de faire attention à elle. Il ne voudrait pas qu'il lui arrive quelque chose."
Hermione le regarda sans rien dire, de toute façon il n'y avait rien à dire.
Entre temps, les élèves étaient arrivés et avaient commencé à remplir le train, ils allaient bientôt partir. Ron et Hermione en tant que préfets, sortir du train pour inviter tous les élèves à entrer. Quand le train quitta la gare, ils commencèrent leur tournée, pour rassurer les premières années et vérifier si tout allait bien dans le train.
Inévitablement, ils croisèrent Malfoy, qui pour ne pas changer faisait enrager les autres maisons. Ils le trouvèrent accompagné de ses gardes de corps dans le compartiment des deuxièmes années de Griffondor.
« Hé, Malfoy, ne pourrais-tu pas aller voir ailleurs si nous n'y sommes pas. Tu ne crois pas que tu as autres choses à faire que d'emmerder ton monde ? », intervint Ron.
« Tiens, tiens, le mendiant et la sang-de-bourbe , le balafré n'est pas avec vous ? »
Les cris avaient attirés du monde, et tous ceux qui se trouvaient là protestèrent sous le nom qu'ils avaient donné à Hermione. Ron serra les poings, mais ne dis rien.
« Tu tiens à avoir une retenue dès le début de l'année ? » demanda Hermione toujours en restant impassible sous les insultes.
« Parce qu'un sang-de-bourbe pourrait me donner une retenue ? »
« Ho oui, en tant que préfète je pourrais te faire donner une retenue. »
« De mieux en mieux, Dumbledore tombe bien bas pour vous donner les rôles de préfets. Et le balafrés, il est aussi préfet ? Où peut-être est-il resté caché, c'est un assassin, c'est lui qui a tué Digory après tout, n'est ccc... ? »
Il ne pu aller plus loin tous ceux présent dans le compartiment de la pièce de la 2ème à la 7ème , que se soit chez Griffondor, Poussouffle ou encore Serdaigles, lui lancèrent un sors. Il fut abandonné au milieu du couloir. Apparemment, il avait été trop loin.
Le reste du voyage se passa plus calmement. En arrivant à Poudlard, tous les élèves revêtirent leur robe noire, Hermione et Ron passèrent près des premières années pour les rassurer une dernière fois et voir si tout ce passait comme il faut. A la gare, ils laissèrent les élèves avec Hagrid, pour monter dans les calèches sans chevaux. Bien évidemment, Malfoy avait été ramassé par les Serpentards, et ils le virent monter difficilement dans une calèche un peu plus. Tous ensemble, ils éclatèrent de rire. "Un Malfoy dans toute sa splendeur", dit entre deux hoquet de rire Ron.
Hermione, Ginny, et Ron prirent la même calèche.
"Alors, toujours pas de nouvelle?" demanda Ginny.
« Non, c'est toujours la-même chose, nous irons demander à McGonagall en arrivant, ne t'inquiète donc pas. »
"Pas de nouvelles, bonnes nouvelles." De toute façon, tu sais qu'il est en vie, nous avons trouvé le lien, même si nous ne pouvons pas lui parler. Tu sais comme nous que si il lui était vraiment arrivé quelque chose de mal, le lien nous le ferais savoir, ou si Harry était mort, le lien nous le dirait aussi. C'est à ça qu'il sert. Alors calme-toi.", dit Hermione.
La calèche fut silencieuse jusqu'à l'arrivée à Poudlard. Devant les portes tous trois sautèrent de la calèche et coururent vers McGonagall, car même si ils savaient que Harry allait plus ou moins bien, ils voulaient avoir plus de précision. McGonagall vit fondre trois tornades vers elle et elle en fut quelque peu surprise, encore plus quand elle reconnu les trois personnes.
"Bonjour professeur, nous aimerions avoir des nouvelles de Harry, il n'était pas dans le train avec nous.", débita Hermione à toute vitesse.
Tous trois virent le professeur changer d'expression en deux minutes, elle passa de la surprise, à la colère, pour aller vers l'inquiétude ensuite.
"Harry va bi..." dit-elle.
"Professeur, nous savons qu'il a été attaqué, interrompis Ginny, alors dites nous la vérité".
Le professeur de métamorphose les regarda interloquée "Comment diable pouvaient-il savoir ? cela fait à peine trois heures que l'attaque à eut lieux, et cela fait à peine un quart d'heure que c'est officiel. Et encore aucun nom n'a été cité, alors comment savent-ils?". McGonagall les invita tous trois à la suivre. Juste avant de partir, les jumeaux arrivèrent et remarquèrent l'absence d'Harry ainsi que l'inquiétude sur le visage de McGonagall.
"Herm' où est...?" s'exclama Fred, ou était-ce George? Enfin un des deux jumeaux quoi.
"Harry?" finit le deuxième.
"Suivez-nous tous les deux", rétorqua le professeur McGonagall.
Tous partir pour le bureau du directeur, le silence régnait sur le petit groupe, ils se doutaient que ce qu'ils allaient apprendre étaient grave, très grave. Ils passèrent la gargouille et entrèrent dans le bureau. Les cinq jeunes gens virent, que Molly et Arthur étaient là, ainsi que un gros chien noir avec les professeurs Lupin et Dumbledore.
"Bien je vais vous laissez discuter, dit McGonagal en sortant, je dois m'occuper de la répartition."
Quand ils furent seuls, tous restèrent en silence, Ron finit par s'approcher de Sniffle et lui chuchota:
"Courage, nous ne pensons pas qu'il soit mort, ni avec Voldemort et encore moins en danger"
Le chien leva les yeux vers lui surpris, puis là où se trouvait Sniffle, deux secondes avant, Sirius Black, était debout. Les jumeaux avaient les yeux ronds comme des balles de tennis tellement ils étaient surpris. Ils ne savaient pas quoi dire et restaient là bêtement à le regarder.
"Que veux-tu dire?" demanda Sirius la voix, rendue rauque par l'émotion.
"Ce que je viens de dire. Il suffit de le vérifier par le « neil », comme tu dis si bien."
Sirius fronça les sourcils, puis réfléchit, après un moment, il sembla comprendre. "Bien, je vais le faire tout de suite, je me demande pourquoi je n'ai pas pensé à vérifier."
"Peut-être parce que nous avions trop peur pour réfléchir.", répondit Remus semblant comprendre de quoi parlait Ron, après avoir jeté un coup d'oeil à Hermione et Ginny.
Molly, Arthur, les jumeaux et le professeur Dumbledore écoutaient le dialogue, ne comprenant pas grand chose à ce que les trois comparses venaient de dire. Hermione sourit à Ron lui faisant ainsi comprendre qu'il avait bien fait. Les jumeaux semblèrent reprendre tout à coup leurs esprits.
"Black,... Tu pactises avec un mangemort, tu es fou", s'exclamèrent- ils dans un parfait et touchant ensemble.
Ron se tourna vers eux, et les regarda:
"Avant que vous ne disiez quelque chose, sachez qu'il est le parrain de Harry, et qu'il n'a jamais été un mangemort.", dit-il catégoriquement, "Ecoutez d'abord ce que nous avons à dire avant d'agir bêtement. Mais ce n'est pas ça l'important pour le moment. Où est Harry?, demanda-t-il en se tournant vers le directeur, Nous savons qu'il a été attaqué, mais nous n'en savons pas plus."
"Harry? Attaqué par des mangemort", répétèrent les jumeaux ébahit.
"Oui, répondit Dumbledore, nous ne savons pas où il est maintenant, nous le cherchons. L'attaque à mal tourné, et Harry à disparut."
"Vous ne savez pas où il est pour le moment?"
"Nous n'en avons aucune idée.", répondit Molly, les larmes aux yeux.
"Ce que nous savons nous par contre c'est qu'il a échappé à Voldemort.", lâcha Ginny.
"Tu dis son nom maintenant?", demanda Molly en frissonnant.
"Maman, Harry nous a disons appris à ne pas redouter un nom, à Ron, Hermione et moi. Mais ça n'a pas d'importance."
Molly observait sa fille et son plus jeune fils, avec une lueur d'admiration et de fierté dans le regard.
"Comment savez-vous qu'il n'est pas avec Voldemort?", demanda Dumbledore.
"Nous le sentons, c'est tout.", répondit Hermione, car ils ne pouvaient dire au professeur qu'ils pratiquaient la télépathie.
"Ils ont raison, s'exclama Sirius, se redressant, par contre, il est loin je pense. En vie mais loin d'ici. C'est tout ce que je sais." Il semblait un peu mieux, un peu plus soulagé.
"Bien, nous ne pouvons apparemment pas savoir comment vous savez cela, donc c'est en quelle que sorte une bonne nouvelle. Alors descendons, un festin nous attend. ", proposa le directeur.
Dumbledore partit, suivit de tout le monde, les Weasley et Hermione dire au revoir à Molly et Arthur. puis Ron se tourna vers Sirius qui avait reprit sa forme canine pour lui chuchoter à l'oreille:
"Nous devons te parler des animagus, nous avons des problèmes avec.", le chien hocha la tête.
Ginny se pencha aussi sur le chien et murmura:
"Je suis heureuse de te rencontrer enfin Sirius, Harry m'a beaucoup parlé de toi. Il est tellement joyeux en parlant de toi, fait attention à toi. Il t'aime beaucoup." Une voix raisonna dans sa tête, "Je suis content aussi de te rencontrer, il m'a beaucoup parler de toi aussi. As tu parler à ton frère de ta transformation animagus?". "Non, dit Ginny à voix haute, merci pour tout, et à plus tard Patmol.".
"Patmol? C'est pas possible." dit Fred.
"Et si, c'est possible, mais c'est plus tard les explications", lâcha Hermione.
"Au revoir Sniffle, à plus tard. Prend soin de toi.", dit-elle alors qu'elle hochait la tête vers Sirius. "Dites-moi professeur, vous revenez enseigner cette année, c'est du moins ce que viens de dire Sniffle", demanda Hermione au professeur Lupin. Sirius quitta le groupe, il ne restait plus que les cinq adolescents et les deux professeurs Lupin et Dumbledore.
"Oui, mais pas les défenses contre les forces du mal, et Patmol devrait apprendre à se taire.", dit-il en direction du chien qui s'en allait en secouant la queue de contentement.
"Vous serez prof de quoi alors?", interrogea Ron.
"Tu verras bien dans deux minutes.", répondit Remus.
Tous ensembles ,ils entrèrent dans la salle. "Ginny, Ron, souffla Hermione, Sniffle restera ici pendant quelque temps avec Lunard, et il veut nous parler à tous les trois." "Ok" répondirent les deux autres en cœur. Le professeur avait demandé aux quatre jeunes de l'appelé par son prénom ou par son surnom lors de l'une de leur discussion.
"Dites est ce que l'on pourrait vous parler, nous aimerions avoir des explications, nous en savons trop où pas assez.", demanda George.
"Ok, venez demain avec nous trouvez Sniffle, vous les aurez à ce moment-là."
*****
Loin de là, dans une pièce toute illuminée, était couché à même le sol, un garçon. Il avait comme signe distinctif, des cheveux noirs et une marque sur le front. La pièce était spacieuse, illuminée. La couleur de la pièce oscillait entre l'or et le blanc éclatant. Il n'y avait rien dans cette pièce, ni porte ni fenêtre.
Quelques heures plus tard, le garçon se réveillât doucement, par réflexe, il sentit tout ses membres pour voir si ils étaient entiers. Satisfait de son examen, il observa la pièce, et la première chose qu'il vit c'était sa malle, ses petits sacs, ainsi que la cage avec sa chouette. Avant qu'il ne puisse faire un geste pour se lever, et voir depuis combien de temps il était là, un pan de mur sur sa gauche bascula. Il se sentit absorber par le trou sans pouvoir rien faire. On aurait dit que le pan de mur avait attendu que le garçon reprenne conscience pour s'activer.
A suivre.
*****
Et non, vous ne savez toujours pas où est Harry. Pitié ne me tuez pas, sinon vous ne saurez pas où est Harry. Je vous le dirais dans le prochain chapitre. C'est promis. En voici un avant goût:
"Ouch, se dit-il, alors qu'il se réceptionnait sur le sol, c'est dur. Voyons voir où ses petits chiens m'ont envoyé." Harry regarda autour de lui. Ses yeux lui sortir des orbites quand il vit...
Attention, si je n'ai pas assez de reviews, vous n'aurez pas de chapitre. Donc vous ne saurez pas où est arrivé Harry. Et puis les reviews font toujours plaisir.
Réponse au reviews:
Gandalf le blanc: voici la suite, j'espère qu'elle te plait. Merci pour tes encouragement ça fait plaisir.
Lisia: Merci, la longueur du chapitre est-elle suffisante? ;-) (rire). Je te dis d'avance que je ne sais pas si les prochains seront aussi long que celui-ci, tout dépend de l'inspiration. Merci pour l'encouragement et le conseil, ça fait plaisir.
Dumati: La voici la suite, mais désolée tu ne sais toujours pas où est Harry.
Jina1: Voici la suite j'espère que ça t'as plus.
Pimousse fraise: Voici la suite je l'ai eut finie plus tôt que ce que je ne le pensais.
Didie.m: Toujours aussi bien? merci pour les encouragements.
Phénix 20: Merci.
Merci aussi aux lecteurs silencieux.
Phantme.
Paru le 06/01/04
Correction : 17 avril 2004.
Peu de temps avant l'attaque de Harry :
Exceptionnellement, Molly et Arthur avaient conduit les enfants plus tôt au train, ils avaient un rendez-vous important avec Albus Dumbledore avant la rentrée scolaire. Ils voulaient absolument résoudre les derniers détails concernant la sécurité de Harry. Ainsi toute la famille Weasley se trouvait sur le quai 9 ¾ du Poudlard Express qui allaient conduire les enfants à leur école. Il y avait Ginny qui rentrait en 4ème année, Ron qui lui rentrait en 5ème avec sa meilleur amie Hermione qui était venue passée les quinze derniers jours de ces vacances chez la famille Weasley, et bien sûr il y avait les plus grands farceurs qui existaient à Poudlard hormis les légendaires Maraudeurs, les jumeaux Fred et George Weasley. Il montèrent dans le train avant de redescendre pour dire au revoir à Molly et Arthur.
Il s'installèrent dans trois compartiments différents, puis se réunir dans le compartiment des jumeaux pour discuter en attendant l'arrivée de Harry. Ronald Weasley, un grand roux avec le visage constellée de tache de rousseur, avait 15 ans, et était le meilleur ami de Harry Potter, il avait beaucoup changé pendant et les vacances et les coups d'œil que Hermione Granger lui lançait le prouvait. Hermione était aussi sa meilleure amie, quoique depuis un bout de temps il se demandait si ce qu'il ressentait pour elle, n'était pas plus que de l'amitié. Hermione était une jeune fille aux cheveux bruns, longs et en broussailles, elle était mince et attirait les regards des garçons surtout depuis qu'elle avait commencer la formation d'animagus que Sirius leurs avait proposé à elle, Ron et Harry. « D'ailleurs, pensait-elle en elle même, c'est ce qui a peut-être fait changer Ron, il semble plus mûr et plus beau ». Les Jumeaux eux regardaient cet échange de coup d'œil avec un sourire, il savait par Harry que ces deux là était fait l'un pour l'autre, mais aucun des deux ne semblaient vouloir le reconnaître, ce qui voulait dire qu'ils avaient eut droit à des chamailleries continuelles avec interdiction formelle de se moquer. Et oui Harry, pour préserver Ron et Hermione de trop grands ennuies et espérant qu'ainsi ses deux meilleurs amis pourraient se déclarer sans avoir de commentaires désobligeant venant des jumeaux avaient interdit aux jumeaux de les embêter. Ce qui avait beaucoup étonné Molly Weasley et la lassait perplexe, elle avait vu aussi le manège des deux jeunes gens. Ginny Weasley était la plus jeune des Weasley, l'unique fille de la famille. Elle était rousse grande et mince. Tous ses frères avaient vu qu'elle avait beaucoup changer, et les jumeaux ainsi que Ron avaient pour mission de surveiller tout garçon qui rodait autour d'elle. Bien que Ron s'en serait chargé sans l'accord de ses frères aînés, il était tellement protecteur. C'est ce qui énervait le plus Ginny, elle trouvait q'ils la protégeaient de trop. Quand on grandit dans une maison où il n'y a que des frères, on apprend vite à se défendre contre la race masculine. Pourtant, ce n'est pas ce qui l'intéressait le plus, Ginny était plongée dans une de ses lettres, et rien de ce qui se passait autour d'elle ne la perturbait. La missive disait ceci :
Chère Ginny,
Je suis heureux d'avoir eut de tes nouvelles, merci de m'avoir écrit. Ta lettre joyeuse m'a remonté le moral, elle m'a fait énormément plaisir. Je vois que les jumeaux font toujours enrager Percy comme Ron me l'avait écrit. Je dois dire que cela ne me surprend guère.
Ici, c'est comme chaque année les Dursley sont toujours aussi ennuyants. Enfin j'ai plus ou moins la paix. Je serais content de quitter les Dursley à la fin des vacances.
Je te laisse, on m'appelle en bas. Merci encore.
Harry.
Ils avaient échangé des lettres tout l'été, Hedwige venait avec les lettres de nuits pour ne pas que ses frères remarquent l'échange. Le premier jour, ils l'avaient tellement embêter avec la lettre qu'elle venait de recevoir, qu'elle avait dès la deuxième lettre demandé à Harry de les envoyer la nuit. C'était plus simple pour elle, et elle savait aussi que comme ça Harry n'aurait pas une surveillance acharnée de Ron, parce que tout simplement son cher frère voulait la protéger. Au cours des lettres ils étaient devenus amis, Harry avaient parler de sa culpabilité en vers Cédric et elle avait essayé de le rassuré. Pourtant, elle savait que Harry ne lui disait pas tout. Il ne lui disait pas ce qui se passait chez les Dursley, mais elle sentait que quelque chose n'allait vraiment pas. Elle essayerait de le faire parler au cours de l'année.
Harry lui avait appris qu'il essayait devenir animagus, et ce jour là dans la lettre, il lui avait proposé de devenir elle aussi un animagus, non déclaré bien sur. Il lui avait écrit: "Si nous devenons amis, je préfère savoir que tu as un atout caché de Voldemort, au moins je me sentirais mieux.." Elle avait appris tout comme Ron et Hermione à le devenir.
Elle avait aussi appris par Harry qui était son parrain, le fameux Sirius Black, recherché par les aurors et la police. Harry lui avait expliqué que Sirius était innocent. Il lui avait parlé de sa troisième année, des Maraudeurs,...
A la fin des vacances, Hermione qui dormait avec elle, avait remarqué qu'elle recevait des lettres et Ginny lui avait tout raconté. Le fait qu'elle devienne un animagus, les lettres échangées entre eux, elle lui avait dit que son béguin pour Harry, était parti, pour être remplacé par une vraie amitié. Quoique au fond d'elle même, elle se demandait si ce n'était pas plus que de l'amitié. Elle attendait avec impatience l'arrivée d'Harry comme les autres.
Ron et Hermione se levèrent ensemble, "Nous allons rejoindre notre compartiment, il commence à avoir du monde sur le quai. Nous avons besoin de discuter avec Harry au calme."
Les jumeaux suivirent les deux amis des yeux une lueur d'interrogation au fond. Fred se tourna vers Ginny:
"Dis-moi petite sœur, Ginny releva la tête de sa lettre, n'as tu pas l'impression que Ron et Hermione nous cachent quelque chose?"
Ginny le regarda et lui répliqua: "Ho, qu'ils sont amoureux l'un de l'autre, et qu'ils ne se le disent pas ce qui en général provoque des tensions..."
"Non, s'exclama George, ça on le savait, non, c'est pas ça. J'ai parfois l'impression qu'il parle entre eux de chose que eux seul connaissent. Ils ont un espèce de code, que l'on ne peut déchiffrer. Mais ce n'est pas simplement entre eux deux, non ils l'utilisent aussi avec Harry. Nous avons trouvé une lettre d'Harry parlant d'un Sniffle, Ron nous a piquer une de ses crises parce qu'on avait lu sa lettre."
Ginny fronça les sourcils :
"Normal, elle ne vous regardait pas.".
"Il n'y a pas que ça, parfois il reste simplement assis en indiens et pendant une heure ils ne bougent pas, parfois ils éclatent de rire comme ça sans raison apparente. Puis quand ils se lèvent, il parle par énigme. Une fois j'ai entendu une réflexion: 'En tout cas Harry va un peu mieux de ce que l'on a pu voir.' C'est la réplique de Ron, je t'assure parfois je les trouve très étrange.".
Ginny resta un moment silencieuse puis se tourna vers eux.
"Si il y a une chose que je vous conseil, c'est de rester en dehors de ça, c'est dangereux pour vous, pour nous, et surtout pour eux, encore plus pour Harry. Certaines choses ne peuvent pas être dites, si vous en parlez, peut-être que les informations que vous révéleriez tuerais plus d'un innocent. Si Harry décide de ne rien vous dire, ne forcez ni Ron, ni Hermione, ni moi-même à parler. A moins bien sur que vous ne teniez à tuer Harry. Beaucoup de chose concernent Voldemort, alors n'y toucher pas. Faites le pour Harry. Si vous avez des questions posez les lui directement, et si il ne vous répond pas, ne l'obligez pas. Il fait ce qu'il peut. La seule chose que vous puissiez faire pour lui, c'est de faire attention à vous, et de le soutenir en le défendant quand d'autre le calomnie, même si les apparences prouvent parfois le contraire."
Sur ce Ginny se leva et sortit du compartiment et se dirigea d'un pas décidé vers celui de Ron et Hermione.
"Hermione, appela-t-elle à travers la porte, pourrais-je te parler, c'est assez important."
Hermione sortit du compartiment et lui lança un regard interrogateur.
"Suis-moi dans mon compartiment, je dois te dire quelque chose d'important, et cela ne doit pas être, disons, ... entendu."
Arrivé dans le compartiment, après avoir fermé soigneusement la porte, elles s'installèrent confortablement, puis Ginny commença à parler.
"Pendant les vacances vous avez parlé avec Harry par la pensée, comme je l'ai fait, et bien sachez, que les jumeaux vous ont surpris pendant vos conversations silencieuses, et ont surpris un où deux commentaires après, sans vraiment les comprendre. Donc je vous conseil fortement d'être plus prudent à l'avenir. D'autres personnes pourraient vous entendre, et cela pourrait être plus dramatique, si tu vois ce que je veux dire. Il y a des espions à Poudlard, plus que ce que nous le pensons, ça j'en suis sur."
"Merci Ginny, je préviendrais Ron d'ici la fin du voyage, de façon subtil bien sûr."
"Herm', j'ai essayer de les convaincre de ne pas vous poser de questions et de ne pas chercher à savoir ce qui se passe, j'espère qu'ils seront assez intelligent pour comprendre que la vie d'Harry dépend de ce qu'ils disent."
"Moi aussi, Ginny, moi aussi. Nous en parlerons à Harry quand il viendra. Merci."
"Avec plaisir."
Hermione sortit du compartiment, pour rejoindre le siens. En chemin, les jumeaux l'apostrophèrent.
"Hermione, pouvons nous te parler s'il te plait." Hermione hocha la tête et les suivit.
"Si tu sors du compartiment de Ginny, tu dois être au courant de la conversation que l'on vient d'avoir avec elle."
"En effet.", confirma Hermione.
"Bien nous n'irons pas par quatre chemin, nous sommes curieux, et bien que nous voulions savoir ce que vous cachez Ron, Ginny, Harry et toi, nous ne vous le demanderons pas. Nous avons compris que la vie d'Harry, ainsi que les vôtre, et celle de d'autres personnes seront en danger probablement de mort si nous cherchons à savoir ce que vous cachez, alors nous venons de décidez de laisser les choses tels que Harry veut qu'elles le soient. Tu as notre parole. Nous essayerons de vous aidez dans la mesure de nos moyens, nous devons tous cela à Harry. Il nous a sauvé assez de fois pour que nous n'osions le trahir."
"Merci, c'est beaucoup pour Harry, il a assez de soucis comme ça. La seule chose qu'il vous demanderais je crois : "Continuez à me faire rire.", Il l'a demandé dans la première lettre qu'il a envoyé à Ron, de lui raconter toutes les blagues que vous faisiez pour qu'il puisse rire."
"Et bien nous le ferons du mieux possible", dirent les jumeaux dans un ensemble parfait et un sérieux que peu de personne avait vu chez les jumeaux Weasley. "Foi de Weasley. Il y a juste une chose que nous nous demandons, comment se fait-il que Ginny puisse dire le nom de Tu-Sais-Qui sans en avoir peur?"
"Et bien disons que Harry nous l'a appris, à Ron, Gin' et moi. Il a réussit à nous faire comprendre qu'il était inutile d'avoir peur d'un nom.".
Hermione sortit du compartiment avec un petit sourire aux lèvres.
Il était près de onze heure, quand Hermione et Ron sentirent un mal aise naître en eux. Ils sentaient que Harry avait des difficultés, mais ne savaient pas quoi. Le seul moyen de vérifier, était de rentré en communication avec lui, tous deux entrèrent en transe, mais n'arrivèrent pas entré en contact avec l'esprit de Harry. C'était comme si le fil avait été coupé. La porte du compartiment s'ouvrit violemment, une jeune fille rousse entra dedans complètement affolée.
"Il y a quelque chose qui ne va pas avec Harry, je ne l'entends pas, mais je sens ses sentiments, la colère, la peur, la détermination,... Je pense qu'il se fait attaqué.", lança Ginny.
"Calme-toi Ginny, ordonna Hermione, nous l'avons senti aussi. Tu arrives à te connecté avec lui?"
La rousse hocha la tête. « Oui et non, je ne sais pas lui parler, je sens ses sentiments c'est tout. »
"La seule chose que nous puissions faire, et vu que tu es la seule à entrer en contact avec Harry, c'est lui donner la force de se battre. Tu dois lui donner ton courage et ton amitié, tu dois lui envoyé tous les sentiments positifs que tu peux. J'espère ainsi qu'il se sentira mieux. Il doit probablement sentire ta présence inconsciemment, alors c'est à toi de le rassurer. Nous ne sentons que le danger.", expliqua Herm'.
Tous trois se remirent en transe.
"Je perds le contact ! ", s'affola Ginny, après un moment.
Hermione et Ron ne répondirent pas ils semblaient avoir trouvé quelque chose.
"Il est sauvé, lâcha Ron, je ne sais pas où il est, mais le sentiment de danger n'est plus là. Je sens qu'il ne risque plus rien là où il est pour le moment, bien que je ne voit pas où il est. Une chose est sur, c'est que c'est trop loin pour lui parler télépatiquement. Il ne nous sert à plus rien de nous affoler. Attendons les nouvelles avant d'en parler. Retourne vers tes amies Ginny, nous t'informerons si nous en avons. D'accord?"
Ginny sortit du compartiment complètement ébahie, son frère apparemment était au courant qu'elle avait parlé avec Harry pendant les vacances. Ce qui l'étonnait c'est qu'il n'y ait pas eut de crise. Comment ont-ils fait pour annoncer la nouvelle Ron sans qu'il ne s'énerve. Mystère. A moitié rassurée, elle alla rejoindre ses amies. Elle aussi maintenant ne sentait plus de danger.
Une fois seuls Ron et Hermione commencèrent à parler.
"On peut dire qu'il ne prendra pas le train cette fois."
"Je le pense en effet, Herm'. Je ne savais pas que Harry et Ginny s'entendaient aussi bien, il m'avait sembler que ce n'était que quelques lettres qu'ils avaient échangées. Ils s'entendent bien en tout cas si elle arrive à percevoir les sentiments d'Harry, et nous ne percevions que le danger. Etrange quand même."
"Je ne sais pas Ron, je ne comprends pas. Je serais plus rassurée de savoir où est Harry."
"Ne t'inquiète pas, si Voldemort l'avait pris, nous le sentirions. Alors calme toi."
"Au fait Ron, comment es-tu au courrant de la correspondance entre Gin' et Harry?"
Ron haussa les épaules, "J'ai fini par comprendre, car trois nuits d'affilées j'ai vu Hedwige entré dans la chambre de Gin', et pour finir j'en ai discuté avec Harry. Il peut être très persuasif quand il veut. Il m'a clairement fait comprendre que cela ne me regardait pas, de plus que Ginny savait se défendre, il ne faut pas oublié, a-t-il dit qu'elle a six frères plus âgés qu'elle. Alors si il y a une chose qu'elle a appris, c'est à se défendre. Et il m'a promis de faire attention à elle. Il ne voudrait pas qu'il lui arrive quelque chose."
Hermione le regarda sans rien dire, de toute façon il n'y avait rien à dire.
Entre temps, les élèves étaient arrivés et avaient commencé à remplir le train, ils allaient bientôt partir. Ron et Hermione en tant que préfets, sortir du train pour inviter tous les élèves à entrer. Quand le train quitta la gare, ils commencèrent leur tournée, pour rassurer les premières années et vérifier si tout allait bien dans le train.
Inévitablement, ils croisèrent Malfoy, qui pour ne pas changer faisait enrager les autres maisons. Ils le trouvèrent accompagné de ses gardes de corps dans le compartiment des deuxièmes années de Griffondor.
« Hé, Malfoy, ne pourrais-tu pas aller voir ailleurs si nous n'y sommes pas. Tu ne crois pas que tu as autres choses à faire que d'emmerder ton monde ? », intervint Ron.
« Tiens, tiens, le mendiant et la sang-de-bourbe , le balafré n'est pas avec vous ? »
Les cris avaient attirés du monde, et tous ceux qui se trouvaient là protestèrent sous le nom qu'ils avaient donné à Hermione. Ron serra les poings, mais ne dis rien.
« Tu tiens à avoir une retenue dès le début de l'année ? » demanda Hermione toujours en restant impassible sous les insultes.
« Parce qu'un sang-de-bourbe pourrait me donner une retenue ? »
« Ho oui, en tant que préfète je pourrais te faire donner une retenue. »
« De mieux en mieux, Dumbledore tombe bien bas pour vous donner les rôles de préfets. Et le balafrés, il est aussi préfet ? Où peut-être est-il resté caché, c'est un assassin, c'est lui qui a tué Digory après tout, n'est ccc... ? »
Il ne pu aller plus loin tous ceux présent dans le compartiment de la pièce de la 2ème à la 7ème , que se soit chez Griffondor, Poussouffle ou encore Serdaigles, lui lancèrent un sors. Il fut abandonné au milieu du couloir. Apparemment, il avait été trop loin.
Le reste du voyage se passa plus calmement. En arrivant à Poudlard, tous les élèves revêtirent leur robe noire, Hermione et Ron passèrent près des premières années pour les rassurer une dernière fois et voir si tout ce passait comme il faut. A la gare, ils laissèrent les élèves avec Hagrid, pour monter dans les calèches sans chevaux. Bien évidemment, Malfoy avait été ramassé par les Serpentards, et ils le virent monter difficilement dans une calèche un peu plus. Tous ensemble, ils éclatèrent de rire. "Un Malfoy dans toute sa splendeur", dit entre deux hoquet de rire Ron.
Hermione, Ginny, et Ron prirent la même calèche.
"Alors, toujours pas de nouvelle?" demanda Ginny.
« Non, c'est toujours la-même chose, nous irons demander à McGonagall en arrivant, ne t'inquiète donc pas. »
"Pas de nouvelles, bonnes nouvelles." De toute façon, tu sais qu'il est en vie, nous avons trouvé le lien, même si nous ne pouvons pas lui parler. Tu sais comme nous que si il lui était vraiment arrivé quelque chose de mal, le lien nous le ferais savoir, ou si Harry était mort, le lien nous le dirait aussi. C'est à ça qu'il sert. Alors calme-toi.", dit Hermione.
La calèche fut silencieuse jusqu'à l'arrivée à Poudlard. Devant les portes tous trois sautèrent de la calèche et coururent vers McGonagall, car même si ils savaient que Harry allait plus ou moins bien, ils voulaient avoir plus de précision. McGonagall vit fondre trois tornades vers elle et elle en fut quelque peu surprise, encore plus quand elle reconnu les trois personnes.
"Bonjour professeur, nous aimerions avoir des nouvelles de Harry, il n'était pas dans le train avec nous.", débita Hermione à toute vitesse.
Tous trois virent le professeur changer d'expression en deux minutes, elle passa de la surprise, à la colère, pour aller vers l'inquiétude ensuite.
"Harry va bi..." dit-elle.
"Professeur, nous savons qu'il a été attaqué, interrompis Ginny, alors dites nous la vérité".
Le professeur de métamorphose les regarda interloquée "Comment diable pouvaient-il savoir ? cela fait à peine trois heures que l'attaque à eut lieux, et cela fait à peine un quart d'heure que c'est officiel. Et encore aucun nom n'a été cité, alors comment savent-ils?". McGonagall les invita tous trois à la suivre. Juste avant de partir, les jumeaux arrivèrent et remarquèrent l'absence d'Harry ainsi que l'inquiétude sur le visage de McGonagall.
"Herm' où est...?" s'exclama Fred, ou était-ce George? Enfin un des deux jumeaux quoi.
"Harry?" finit le deuxième.
"Suivez-nous tous les deux", rétorqua le professeur McGonagall.
Tous partir pour le bureau du directeur, le silence régnait sur le petit groupe, ils se doutaient que ce qu'ils allaient apprendre étaient grave, très grave. Ils passèrent la gargouille et entrèrent dans le bureau. Les cinq jeunes gens virent, que Molly et Arthur étaient là, ainsi que un gros chien noir avec les professeurs Lupin et Dumbledore.
"Bien je vais vous laissez discuter, dit McGonagal en sortant, je dois m'occuper de la répartition."
Quand ils furent seuls, tous restèrent en silence, Ron finit par s'approcher de Sniffle et lui chuchota:
"Courage, nous ne pensons pas qu'il soit mort, ni avec Voldemort et encore moins en danger"
Le chien leva les yeux vers lui surpris, puis là où se trouvait Sniffle, deux secondes avant, Sirius Black, était debout. Les jumeaux avaient les yeux ronds comme des balles de tennis tellement ils étaient surpris. Ils ne savaient pas quoi dire et restaient là bêtement à le regarder.
"Que veux-tu dire?" demanda Sirius la voix, rendue rauque par l'émotion.
"Ce que je viens de dire. Il suffit de le vérifier par le « neil », comme tu dis si bien."
Sirius fronça les sourcils, puis réfléchit, après un moment, il sembla comprendre. "Bien, je vais le faire tout de suite, je me demande pourquoi je n'ai pas pensé à vérifier."
"Peut-être parce que nous avions trop peur pour réfléchir.", répondit Remus semblant comprendre de quoi parlait Ron, après avoir jeté un coup d'oeil à Hermione et Ginny.
Molly, Arthur, les jumeaux et le professeur Dumbledore écoutaient le dialogue, ne comprenant pas grand chose à ce que les trois comparses venaient de dire. Hermione sourit à Ron lui faisant ainsi comprendre qu'il avait bien fait. Les jumeaux semblèrent reprendre tout à coup leurs esprits.
"Black,... Tu pactises avec un mangemort, tu es fou", s'exclamèrent- ils dans un parfait et touchant ensemble.
Ron se tourna vers eux, et les regarda:
"Avant que vous ne disiez quelque chose, sachez qu'il est le parrain de Harry, et qu'il n'a jamais été un mangemort.", dit-il catégoriquement, "Ecoutez d'abord ce que nous avons à dire avant d'agir bêtement. Mais ce n'est pas ça l'important pour le moment. Où est Harry?, demanda-t-il en se tournant vers le directeur, Nous savons qu'il a été attaqué, mais nous n'en savons pas plus."
"Harry? Attaqué par des mangemort", répétèrent les jumeaux ébahit.
"Oui, répondit Dumbledore, nous ne savons pas où il est maintenant, nous le cherchons. L'attaque à mal tourné, et Harry à disparut."
"Vous ne savez pas où il est pour le moment?"
"Nous n'en avons aucune idée.", répondit Molly, les larmes aux yeux.
"Ce que nous savons nous par contre c'est qu'il a échappé à Voldemort.", lâcha Ginny.
"Tu dis son nom maintenant?", demanda Molly en frissonnant.
"Maman, Harry nous a disons appris à ne pas redouter un nom, à Ron, Hermione et moi. Mais ça n'a pas d'importance."
Molly observait sa fille et son plus jeune fils, avec une lueur d'admiration et de fierté dans le regard.
"Comment savez-vous qu'il n'est pas avec Voldemort?", demanda Dumbledore.
"Nous le sentons, c'est tout.", répondit Hermione, car ils ne pouvaient dire au professeur qu'ils pratiquaient la télépathie.
"Ils ont raison, s'exclama Sirius, se redressant, par contre, il est loin je pense. En vie mais loin d'ici. C'est tout ce que je sais." Il semblait un peu mieux, un peu plus soulagé.
"Bien, nous ne pouvons apparemment pas savoir comment vous savez cela, donc c'est en quelle que sorte une bonne nouvelle. Alors descendons, un festin nous attend. ", proposa le directeur.
Dumbledore partit, suivit de tout le monde, les Weasley et Hermione dire au revoir à Molly et Arthur. puis Ron se tourna vers Sirius qui avait reprit sa forme canine pour lui chuchoter à l'oreille:
"Nous devons te parler des animagus, nous avons des problèmes avec.", le chien hocha la tête.
Ginny se pencha aussi sur le chien et murmura:
"Je suis heureuse de te rencontrer enfin Sirius, Harry m'a beaucoup parlé de toi. Il est tellement joyeux en parlant de toi, fait attention à toi. Il t'aime beaucoup." Une voix raisonna dans sa tête, "Je suis content aussi de te rencontrer, il m'a beaucoup parler de toi aussi. As tu parler à ton frère de ta transformation animagus?". "Non, dit Ginny à voix haute, merci pour tout, et à plus tard Patmol.".
"Patmol? C'est pas possible." dit Fred.
"Et si, c'est possible, mais c'est plus tard les explications", lâcha Hermione.
"Au revoir Sniffle, à plus tard. Prend soin de toi.", dit-elle alors qu'elle hochait la tête vers Sirius. "Dites-moi professeur, vous revenez enseigner cette année, c'est du moins ce que viens de dire Sniffle", demanda Hermione au professeur Lupin. Sirius quitta le groupe, il ne restait plus que les cinq adolescents et les deux professeurs Lupin et Dumbledore.
"Oui, mais pas les défenses contre les forces du mal, et Patmol devrait apprendre à se taire.", dit-il en direction du chien qui s'en allait en secouant la queue de contentement.
"Vous serez prof de quoi alors?", interrogea Ron.
"Tu verras bien dans deux minutes.", répondit Remus.
Tous ensembles ,ils entrèrent dans la salle. "Ginny, Ron, souffla Hermione, Sniffle restera ici pendant quelque temps avec Lunard, et il veut nous parler à tous les trois." "Ok" répondirent les deux autres en cœur. Le professeur avait demandé aux quatre jeunes de l'appelé par son prénom ou par son surnom lors de l'une de leur discussion.
"Dites est ce que l'on pourrait vous parler, nous aimerions avoir des explications, nous en savons trop où pas assez.", demanda George.
"Ok, venez demain avec nous trouvez Sniffle, vous les aurez à ce moment-là."
*****
Loin de là, dans une pièce toute illuminée, était couché à même le sol, un garçon. Il avait comme signe distinctif, des cheveux noirs et une marque sur le front. La pièce était spacieuse, illuminée. La couleur de la pièce oscillait entre l'or et le blanc éclatant. Il n'y avait rien dans cette pièce, ni porte ni fenêtre.
Quelques heures plus tard, le garçon se réveillât doucement, par réflexe, il sentit tout ses membres pour voir si ils étaient entiers. Satisfait de son examen, il observa la pièce, et la première chose qu'il vit c'était sa malle, ses petits sacs, ainsi que la cage avec sa chouette. Avant qu'il ne puisse faire un geste pour se lever, et voir depuis combien de temps il était là, un pan de mur sur sa gauche bascula. Il se sentit absorber par le trou sans pouvoir rien faire. On aurait dit que le pan de mur avait attendu que le garçon reprenne conscience pour s'activer.
A suivre.
*****
Et non, vous ne savez toujours pas où est Harry. Pitié ne me tuez pas, sinon vous ne saurez pas où est Harry. Je vous le dirais dans le prochain chapitre. C'est promis. En voici un avant goût:
"Ouch, se dit-il, alors qu'il se réceptionnait sur le sol, c'est dur. Voyons voir où ses petits chiens m'ont envoyé." Harry regarda autour de lui. Ses yeux lui sortir des orbites quand il vit...
Attention, si je n'ai pas assez de reviews, vous n'aurez pas de chapitre. Donc vous ne saurez pas où est arrivé Harry. Et puis les reviews font toujours plaisir.
Réponse au reviews:
Gandalf le blanc: voici la suite, j'espère qu'elle te plait. Merci pour tes encouragement ça fait plaisir.
Lisia: Merci, la longueur du chapitre est-elle suffisante? ;-) (rire). Je te dis d'avance que je ne sais pas si les prochains seront aussi long que celui-ci, tout dépend de l'inspiration. Merci pour l'encouragement et le conseil, ça fait plaisir.
Dumati: La voici la suite, mais désolée tu ne sais toujours pas où est Harry.
Jina1: Voici la suite j'espère que ça t'as plus.
Pimousse fraise: Voici la suite je l'ai eut finie plus tôt que ce que je ne le pensais.
Didie.m: Toujours aussi bien? merci pour les encouragements.
Phénix 20: Merci.
Merci aussi aux lecteurs silencieux.
Phantme.
Paru le 06/01/04
Correction : 17 avril 2004.
