Chapitre 7 : Premier cours : potion et divination: le résultat . Elizabeth !

Le Choixpeau venait de jeter le trouble dans la grande salle. Choisir entre Poussouffle, Griffondor, cela pouvait être possible, mais de là à rajouter Serpentard, c'était étonnant. Griffondor et serpentard ne se sont jamais entendus. Le Choixpeau deviendrait-il sénile par hasard ?

Harry resta là sans rien dire, trop abasourdi par la nouvelle, que le Choixpeau veuille l'envoyer à Griffondor ou Serpentard, c'est plausible, mais l'envoyer à Poussouffle, là il n'y comprenait plus rien.

« Non je ne suis pas fou, tu as ta place dans les quatre maisons en fait, mais je n'ai pas donné la maison de Serdaigle pour la simple raison que je sais que tu n'iras pas. Je sais que tu es un Griffondor dans l'âme, mais eux devaient savoir que tu avais la possibilité de choisir ta maison. J'ai choisi Poussouffle pour une raison, dont je ne puis te parler, mais c'est ainsi. Loyal, tu l'es. A toi de découvrir à qui ou à quoi tu es loyal. »

Harry encore plus sonné qu'avant, retint sa respiration, il pouvait aller dans les quatre maisons, mais tout lui paraissait insensé. Ne sachant que faire, il resta assis sur le tabouret, le Choixpeau toujours sur la tête.

Dumbledore se leva pour ramener le calme, puis se tourna vers Harry :

« Et bien Mr Dyxe, nous attendons votre décision, puisque le Choixpeau s'en remet à votre choix. ».

Chancelant, tenant à peine sur ses jambes, Harry se leva, posa le Choixpeau sur le tabouret, et regarda les quatre tables redevenues silencieuses. Tous attendaient la décision du nouveau. Harry passa son regard rapidement sur la table des Serpentard, des Poussoufles et des Serdaigles avant de se tourner vers celle des Griffondors et s'avança lentement vers eux peu sur de ce qu'il faisait.

Le voyant arriver vers leur maison, Lily, James, Sirius et Remus se levèrent pour l'applaudir, bientôt suivit de toute la table. Harry s'assit à côté de James et de Sirius.

« Bien sur cette répartition surprenante, je propose que nous commencions à manger. Mlle Evans, si vous pouviez aller chercher l'horaire de Mr Dyxe après le repas ce serait bien. Merci. Et je rajoute un mot : Canard volant ».

La nourriture apparut et tous se jetèrent dessus, tous peut-être pas, Harry semblait plongé dans ses réflexions. Un léger sifflement le fit sursauter, Fire voulait manger, il avait faim. Se ressaisissant, Harry prit un peu de nourriture et commença à nourrir Fire sous la mine dégoûtée de certains Griffondors.

« Tu ne pourrais pas nourrir ta bestiole à un autre moment ? » demanda un élève.

Harry leva sa tête et observa celui qu'il venait de l'apostropher aussi rudement. Un peu plus grand que moyenne, les cheveux châtains coupés court, avec des yeux bruns le regardait avec une expression où se mêlaient peur et dégoût. Harry hocha la tête et articula silencieusement « Pardon ».

« En plus il n'est même pas foutu de répondre. », continua l'élève.

« Qu'est ce que tu as Sable, tu ne serais pas jaloux par hasard, après tout il a pris ton cota de popularité, déjà pas très élevé. C'est ça ? », lâcha rageusement Sirius.

Harry lui mit une main sur le bras pour le calmer, Sirius se retourna vers lui.

« Harry. », mais quand il vit le regard que lui lança Harry il se tut et se rassit.

« Que se passe-t-il Black ? Aurais-tu trouver un maître ?. », continua le dénommé Sable.

Harry se leva brusquement, on pouvait voir dans ses yeux de la colère, et avant que quiconque ne puisse rien faire, Fire se jeta sur la table, mais fut retenu par Harry. Le garçon regarda Sable jusqu'à ce qu'il détourne les yeux, puis il tourna la tête vers toute la table de Griffondor et vit tout le monde l'observer. N'en pouvant plus Harry partit en courant de la grande salle suivit de Lily qui s'était levée pour essayer de le calmer.

« Que se passe-t-il ? », demanda le professeur McGonagal.

« Ne pourrait-il pas nourrir sa bestiole ailleurs que sur une table. », s'exclama un Griffondor assit juste à côté de Sable.

« Mr Sloane, sachez que Mr Dyxe à un serpent et non une bestiole en premier. Quand au fait qu'il la nourrisse à table, c'est vrai que ce n'est pas le bon lieu. Par contre vous auriez pu lui en faire la remarque autrement. », expliqua McGonagal, une expression sévère sur le visage.

« Mais le serpent m'a attaqué », s'indigna Sable.

« Le serpent a défendu son maître. C'est un serpent de feu, et si vous ne savez pas ce qu'est un serpent de feu, demander à votre professeur de soin au créatures magiques de vous faire un cours dessus. En attendant mesurer vos paroles, et ne vous frotter pas au serpent. »

« Oui c'est cela, nous devons faire attention, alors que monsieur ne jette que des regards noirs et ne répond pas quand on lui cause », grommela Sable, une fois qu'il se fut rassit et que tous recommençaient à manger en bavardant.

« Pour ton information, il n'a jamais parler depuis que nous le connaissons, alors je te conseil fortement de te taire si tu ne veux pas avoir des comptes à rendre aux maraudeurs est-ce assez clair ? », s'exclama James visiblement contrarié de l'intolérance de ses condisciples.

« Il aurait du aller à Serpentard, il aime les serpents non ? »

« Je suis sur d'une chose, il est autant un Griffondor qu'un Serpentard. Il a un caractère particulier. Il a des affinité avec les serpents et alors ? Il a un courage que je ne suis pas sur que tu aies, même si tu es aussi à Griffondor. Alors je n'ai plus qu'un dernier conseil à te donner : LA FERME ». Sirius avait dit cette tirade en sifflant avant d'hurler le dernier mot. Renversant sa chaise, il sortit de la grande sale.

James grimaça, « Et bien, j'ai rarement vu Sirius dans cette état. Il en faut beaucoup pour le faire sortir de ses gonds habituellement. »

« Tu sais comme moi pour quoi il réagit comme cela, Cornedrue. Harry a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. », dit calmement Remus.

« Je sais Remus, elle refuse de le croire. Il est jaloux, Sable a réussi là où il a échouer. Il n'est plus vraiment lui même depuis ce moment là d'ailleurs. »

*****

Harry se précipita hors du château, il entendait le cri de Lily lui disant de l'attendre, mais il n'en avait cure. Il voulait fuir tous ces regards. Ne pouvait-il donc pas aller quelque part et passer inaperçu. Il ne voulait pas attiré l'attention, et il n'y avait que ça qu'il faisait. Il arriva au bord du lac, et s'assit, quelques minutes après, Lily vint le rejoindre. Elle s'assit silencieuse, elle ne devait pas le laisser seul, mais elle savait au fond d'elle même que les paroles ne suffiraient pas. Elle respectait le silence de celui qu'elle considérait maintenant comme un ami.

Harry après un bout de temps sortit un papier de sa poche ainsi qu'une plume.

« Qu'avons-nous maintenant ? »

« Potion deux heures avec les Serpentards, et divination. »

Evidement tout ce qu'il n'aimait pas, la journée avait mal commencé, devait-elle donc mal se terminer ?

« Tu peux y aller, je trouverais bien mon chemin. »

Comprenant son désir de rester seul et sachant que la colère s'était éloignée, elle sourit et partit. Toutefois, elle ne se dirigea pas vers les cachots où elle avait cours. Elle voulait attendre Harry pour lui montrer le chemin.

Une fois seul, Harry regarda si personne n'était autours, puis leva le sort qu'il s'était jeté, pour parler à Fire.

« Ecoute moi Fire sssssssela fait plussssssssieurs fois que je te disss de ne passs t'attaquer aussssssss élèves quand je sssssssssssuissss en colère, je ne peux le tolérer. Continue comme sssssa et je t'enferme dans les dortoirs. Il ne faut pas que tu attaques à chaque fois que je sssssssuis fâché. Je n'ai pas besoin d'avoir plussssss de mort sssssssssur la consssssssssienssssse. Ssssssédric me ssssssssuffit. Que je ne te le dissse plus. Pour manger, tu devras attendre le prochain repas, et tu ne mangeras pas à table. »

« Oui Harry, je ssssssuis désssssssssolé, je ne voulais pas l'attaquer, mais je ne ssssuporte pas quand quelqu'un s'en prend à toi. »

« Je sssssssais Fire, mais fait ssssse que je te demande, je ne veux pas avoir d'ennui plussssss que de raison. Bon maintenant fais toi invissssssssible, on nous regardera moins de travers. »

Avant de partir, il se remit le sort. Il fut assez étonner de voir que Lily l'avait attendu, mais content de la voir là.

*****

En arrivant dans les cachots, ils furent vite rejoins par les Maraudeurs, qui plongés dans leur conversation renversèrent Lily.

« Ho Potter, il t'arrive de regarder où tu mets les pieds pour éviter de me marcher dessus, cela m'arrangerait. Je sais que tu es en manque mais tout de même tu pourrais t'abstenir. », protesta Lily.

Harry surprit regarda ses parents, ils ne s'entendaient pas très bien apparemment. Cela faisait bizarre, parce qu'après les avoir vus ensemble durant sa convalescence, il n'avait rien remarqué de tel.

« Ca y est c'est reparti pour un petit tour en balais, vous ne pouvez vraiment pas vous arrêtez de vous bouffer le nez. Harry, s'il te plait tu ne peux pas retourner à l'infirmerie. Bien que cela soit surprenant, ils ne se gueulaient pas dessus quand tu y étais et on avait la paix. »

Soulevant un sourcil, Harry regarda Sirius, il ne voyait visiblement pas de quoi il s'agissait.

« Oui, ils sont fait l'un pour l'autre, mais sont trop têtus pour l'admettre. James a essayé une fois de sortir avec elle, mais il s'est pris un râteau, depuis c'est la guerre. Et crois moi ce n'est pas peu dire, on se demande parfois si les murs résisteront à leurs querelles. Ils sont impossible dans ces moments là. », expliqua Remus, comprenant sa question muette.

Avant qu'il ne puisse aller plus loin, le professeur de potion arriva.

Tous entrèrent calmement, puis s'assirent à leurs place, Harry attendit que tout le monde fût assis pour prendre une place.

« Assayez vous au premier rang Mr Dyxe », s'exclama le professeur. Harry grimaça, il allait s'amuser, lui qui détestait la potion, à moins que ce ne soit le professeur qu'il l'ait dégoûté.

« Bien continuer la potion de claquage du cours passé. »

Alors que tout les élèves commençaient à travailler en silence, le professeur s'approcha d'Harry.

« Je suis le professeur Toussors, j'enseigne les potions. Je vais te donner un questionnaire, et j'aimerai que tu répondes, pour que je puisse voir ton niveau. », expliqua le professeur.

Harry, grimaça, il prit le questionnaire, et commença à répondre. Il se rendit compte qu'il pouvait répondre aux questions, en tout cas à la plus grande partie des questions. Il y en avait de toute sorte. Après une heure, il eut fini son questionnaire et le rendit.

« Très bien, allez vous mettre avec Miss Evans, elle a bientôt fini sa potion, si vous avez des questions, posez les lui. Je suis sûr qu'elle se fera une joie de répondre. », dit le professeur.

Harry eut un léger sourire, et alla rejoindre sa futur mère. Il posa des questions sur ce qu'ils avaient vu depuis le début de l'année, et sur la potion sur laquelle ils travaillaient.

Le professeur Toussors commença à étudier le questionnaire et à le corriger. Quand il eut fini, il se redressa et fixa Harry bizarrement.

« Mr Dyxe, j'aimerais vous voir à la fin de l'heure s'il vous plait. »

Harry surprit, redressa la tête, qu'est ce que le professeur lui voulait encore. Il était nul ça il le savait, mais qu'il lui foute la paix. Il espérait que le professeur ne deviendrait pas comme Rogue. Tiens à propos de celui-là, il devrait être là, il se redressa et commença à observer la classe. Il le vit assis à côté de son chaudron, ayant l'air de s'emmerder royalement. Le petit génie des potions avait fini.

Soulagé, il entendit la cloche sonné la fin du cours, il en avait assez de ces cachots, qu'est-ce qu'il pouvait les détester. Non franchement, il n'aimerait jamais cet endroit. Il soupira, il devait rester et parler de ses potions avec le prof.

« Mr Dyxe, je viens de corriger votre copie, et j'ai pu constater que vos connaissances sur les potions sont particulières. Vous connaissez des potions très compliquées, cependant vous ne connaissez pas toutes les potions de bases. Puis-je savoir pourquoi ? », demanda Toussors une fois qu'ils furent seuls dans les cachots.

Harry prit un parchemin et écrivit :

« Je ne peux pas dire que je connais les potions, je ne m'entends pas avec le professeur de potion de mon école. Il favorise certains élèves et les autres les ridiculise. Je n'ai pas appris grand chose avec lui. Je dois avoué que ce que je connais me vient de mes propres recherches personnelles. »

« Je vois, alors voilà ce que je vous propose, c'est un rattrapage. Une remise à niveau de vos bases. Qu'en pensez-vous ? »

Harry réfléchit quelques instants, puis acquiesça.

Bien nous verrons la semaine prochaine quand mettre ces cours de rattrapage. Harry sortit du cachot, un sourire machiavélique naissait sur son visage. Peut-être pourrait-il nargué son professeur de potion avec sa remise à niveau.

Les Maraudeurs qui attendaient Harry pour aller au cours de divination, virent son sourire :

« Et bien pouvons nous savoir ce qui te fait sourire comme ça ? », demanda James, pas sûr d'apprécier la façon dont il souriait. Il n'eut droit qu'à un haussement d'épaule pour réponse.

Tous ensemble ils se dépêchèrent de se rendre au cours de divination. Il n'avait pas lieu comme Harry le pensait dans la tours, mais au quatrième dans une classe très éclairée, sans toute la puanteur à laquelle il était habitué. Aurais-je enfin droit à un cours de divination normal ? pensa-t-il en lui même.

« Tu verras, la prof est génial, elle est super sympa. », s'exclama Sirius.

« Tu t'intéresse au cours Patmol, ça c'est nouveau. Je croyais que c'était la physionomie de la nouvelle prof qui t'intéressait. », lança James, sarcastique.

« Tu peux parler, tu ne vaux pas mieux que moi, alors tais toi. », répliqua Sirius, avec un regard furieux.

Harry suivit l'échange entre les deux Maraudeurs avec un sourire au coin des lèvres.

« Si vous vous calmiez un peu, voilà la prof. », fit remarquer Peter, tout en cachant un sourire derrière sa main.

Harry se retourna vers la porte d'entrée, une veille dame entra, elle avait un regard doux, compréhensif, un visage qui montrait que le temps et les épreuves n'avaient en rien altérée sa douceur. Derrière elle se trouvait une autre personne que Harry connaissait bien : le professeur Trelawnay. Elle avait toujours l'air d'un insecte, enfin, disons plus tôt qu'elle a gardé son air d'insecte. Tous les élèves s'installèrent à leur place, et le cours commença.

« Bien, aujourd'hui nous allons commencez à pratiquer la vision de la main. J'espère que vous avez bien lu votre livre. Mettez-vous par deux, et commencez. Je veux que pour la fin du cours vous déposiez une ébauche de la ligne de la main de votre partenaire. ».

« Harry tu le fais avec moi ? », demanda James. Harry hocha la tête.

Sirius et Peter se mirent à travailler ensemble, tandis que James lui expliquait comment lire sur une main, ainsi que les différentes significations des lignes de la main. Harry l'écoutait, souriant des sottises que James lâchait.

« Voyons, voyons tu as été heureux un petit bout de temps, avant d'être malheureux. Tu as des amis à qui tu tiens, tu aimes le quiditch. Ta couleur préférée est le vert,. »

Harry l'interrompit, et prit un morceau de papier pour écrire :

« Tu sais ce que tu racontes peut correspondre à beaucoup de monde, tu ne t'en tiens qu'aux lignes générales. Ne peux-tu pas être un peu plus précis ? Cela ne t'engage en rien de dire ce que tu viens de dire. »

James regarda Harry interloqué, avant de levé le regard vers les yeux de Harry. Il vit une lueur malicieuse.

« Tu oses te moquer de mon savoir », s'indigna James.

Un fin sourire s'étira sur les lèvres de Harry, il en disait long sur ce qu'il pensait.

« Comment oses-tu ? », continua James, mimant l'indignation la plus complète. « Tu. »

Il ne put aller plus loin avant d'être interrompu par le professeur.

« Et bien Mr Potter, je vois que vous prenez toujours autant au sérieux ce cours. Voulez-vous cessez vos pitreries et me laissez voir la main de votre camarade. »

« Bien sûr professeur Douent », dit James en se levant.

Le professeur Douent s'assit en face de Harry, et le regarda dans les yeux en lui demandant de lui donner sa main. A peine eut-elle le temps de toucher la main d'Harry, qu'un fait étrange se passa. Harry commença à sentir une douleur, il ressentait les douleurs du fardeau du professeur. Quand il entendit dans sa douleur :

« Le temps est proche où tu affronteras ton destin, tu as vécu beaucoup de choses dans ta vie. Tu en vivras d'autres. Ce voyage que tu fais te donneras la possibilité d'accueillir la mission qu'il t'est donnée. Tes amis seront avec toi et t'aiderons. Tous se reposent sur toi, cher héritier, tu as une force peu commune, emploie la à bonne escient. Ne sois pas effrayer, ils seront avec toi. »

Alors que la voix s'élevait, il sentit la douleur l'abandonné. Quand elle eut fini de parler, Harry s'effondra par terre avant de se redresser et de partir en courant de la pièce. James voulut le suivre, mais il fut retenu par le professeur.

« Laissez le, il doit être seul »

« Professeur que lui avait vous dit ? », questionna Sirius.

Surprise le professeur se retourna :

« Mais je n'ai rien dit », s'exclama-t-elle.

« Si vous lui avez parlé, mais nous n'avons pu vous comprendre c'était un chant d'oiseau. »

Le professeur le regarda, elle sembla plongée dans ses réflexions, puis fini par dire :

« Ne parler de ceci à personne, si j'ai parler c'est que ce que j'ai dit devait l'être, mais ne vous concerne en rien puisque vous n'avez pas compris ce que j'ai dit ».

Voyant la fermetée des mots du professeur et sa sévérité, Sirius et James montrèrent leur accord. Ils observèrent les autres de la classe, ils semblaient qu'aucun d'eux n'avait rien vu, même Peter semblait ne s'être aperçu de rien. Ainsi ils n'étaient que deux à avoir entendu le chant et avoir vu Harry se tordre de douleur avant de se calmer en entendant le chant de l'oiseau.

*****

Une fois sorti du cours Harry se précipita vers l'extérieur, il voulait fuir. Trop de chose lui arrivait dessus il ne comprenait pas ce qui se passait. Pourquoi avait-il sentit la douleur du professeur au fond de lui même. En fait ce n'était pas la douleur du professeur qu'il avait sentit, non il aurait plus dit qu'elle venait des victimes. De plusieurs victimes, un peu comme si ces victimes le chargeait de soigner leur souffrance, de venger leurs souffrances. Puis la souffrance s'était calmer, quand il avait entendu le chant d'un phénix. Un chant différent de celui de Fumsek. Il comparerait ce chant à celui de l'eau qui coule librement dans la plaine. Puis vint alors la voix, il ne comprenait pas ce que voulait la voix. Elle lui disait d'avoir confiance en ses amis, mais ses amis n'étaient pas avec lui pour le moment. Il désirait tant parler à Ron et Hermione, les lettres échangées avec Ginny lui manquaient, ainsi que l'humour douteux de son parrain. Tous étaient trop loin de lui pour l'entendre. Il les aimait tant, il espérait que Voldemort ne ferait pas trop des siennes.

~ Calme toi il ne sert à rien de t'énerver petit héritier. Si il leur arrivait malheur, tu le saurais tout de suite. N'aie pas peur.~

Harry sursauta et chercha de tout côté la voix qui avait parler, mais ne trouva personne. Fronçant les sourcils, il recommença à réfléchir, et cette fois il sentit distinctement les trois présence en lui, celle de son animagus, déjà plus présente qu'avant avec son entraînement, mais aussi une des deux autres présences. Elle semblait s'être réveillée, il était maintenant sûr que c'était elle qui avait parlé. Il essaya de parler avec cette présence éveillée en lui même, mais n'obtint aucune réponse. La présence après un certain temps se calma, mais resta là. Aussi étrange que cela puisse paraître, il n'avait absolument pas peur de la présence au fond de lui, il sentait qu'il l'avait toujours eu un peu comme si elle faisait partie de lui même.

Harry se décida à se lever, il avait un tas de questions mais aucune réponse. Alors qu'il repassait les paroles du prof de divination, un mot le heurta: héritier. Mais héritier de quoi?

Harry ne put faire des recherches plus poussées, un son lui parvint, c'était des pleurs. Qui donc pouvait être là, et pleurer? Qui donc était là? Doucement il s'avança pour découvrir une jeune fille à l'orée de la forêt était assise, ses bras entourant ses jambes pliées, la tête enfuie entre ses jambes.

Doucement Harry s'approcha, il ne voulait pas effrayer la jeune fille. Quand il fut tout près, il ne sut comment réagir, personne ne lui avait montré comment réconforter les gens, puisque personne n'avait été là pour lui. Sachant qu'il ne pouvait pas la laisser seule, il se décida à s'asseoir simplement à côté, espérant ainsi qu'elle se calmerait. Il resta là un bout de temps, mais la jeune fille ne semblait même pas l'avoir remarquer. Il leva sa main hésitante et la passa sur son dos. Le geste fit un effet boule de neige, la jeune fille se jeta sur l'épaule de Harry, et pleura contre celle ci. Harry surprit la laissa faire, il sentit après un certain temps que la jeune fille se calmait. Elle se redressa en rougissant :

« Je suis désolée, je ne sais pas ce qui m'a pris, je n'aurais pas du t'embêter. », chuchota-t-elle en refusant de croiser le regard de Harry. Ne recevant pas de réponse, elle finit par regarder celui qui l'avait réconfortée, une expression de stupeur s'établit sur son visage lorsqu'elle reconnu le nouveau. Son visage exprimait de la douceur et de l'inquiétude. Harry lui tendit un morceau de papier :

« Veux tu en parler ? »

Bien que surprise par cette question directe, elle secoua la tête, non elle ne voulait pas en parler. C'était trop personnel, et puis qui la comprendrais? Comprenant son refus, Harry hocha la tête, et changea de sujet.

« Comment t'appelles-tu ? »

« Elizabeth Towers, je suis à Poussouffle en cinquième année », expliqua-t-elle, « Et toi tu t'appelles Harry Paloinno Dyxe ? On ne fait que parler de toi dans toute l'école, tu as bousculer les choses en arrivant comme ça à l'improviste. »

Harry grimaça, c'est vrai qu'il n'était pas encore arrivé comme tout le monde, puis il finit par hausser les épaules.

« Dans quelle maison es tu ? »

Le voyant écrire sur un papier la réponse elle reprit :

« Tu ne sais pas parler ? »

Harry hocha la tête.

« Très bien je vais essayer de te poser des questions auxquelles tu pourras répondre simplement par oui ou non. Es-tu à Poussouffle ? »

Harry sourit mais fit non de la tête.

« Serdaigle ? »

« Toujours non, il ne reste plus que Serpentard et Griffondor, et je vois mal un Serpentard venir réconforter quelqu'un. » pensa-t-elle en elle- même.

« Tu es à Griffondor alors. », c'était une constatation pas une question.

Harry sourit et prit un morceau de parchemin pour écrire :

« N'étais-tu pas à la répartition ce matin ? »

« Non je n'avais pas le courage d'y aller. »

Harry hocha la tête.

Ils discutèrent ainsi pendant longtemps, l'après midi touchait à sa fin lorsqu'ils décidèrent de rentrer. A peine eurent-ils franchit la porte du grand hall, qu'ils trouvèrent le château sans dessus dessous. Une bombe rousse se précipita vers eux, visiblement catastrophée.

«Où étais-tu ? On t'as cherché tout l'après midi. Est ce que tu vas bien ?», dit Lily en serrant Harry dans ses bras.

Harry était vaguement ébahi, il n'aurait pas cru que sa disparition mettrait tout le château sans dessus dessous.

« Ah Mr Dyxe, vous voilà enfin, veuillez me suivre, nous devons parler », s'exclama le professeur McGonagal qui se trouvait dans le hall aussi.

Harry hocha la tête et juste avant de suivre McGonagal, il glissa un papier dans la cape d'Elizabeth, lui demandant de revenir le lendemain au même endroit, pendant le temps de midi. Lassant Elizabeth avec Lily, il partit vers le bureau de McGonagal.

« Et bien, qu'est ce qui ce passe pour que tout le château sois sans dessus dessous ? », questionna Elizabeth, en regardant Lily.

« Plusieurs choses, ce matin il y a eut un accrochage à la table, parce qu'Harry nourrissait son serpent à table, puis ensuite, c'est en divination, qu'il y eut des problèmes, je ne sais pas trop quel en était le sujet. Sirius et James qui était avec lui n'ont pas voulu en parler, même à Remus. Pourtant tous les deux avaient vraiment l'air secouer. Un peu comme si ils avaient été mis au courant de quelques choses. En tout cas ils sont en train de piquer une crise de nerf tous les deux sont inquiets. Je ne les ai jamais vu dans cet état lorsqu'ils sont venus nous trouver pour nous dire que Harry était introuvable. »

« Et la répartition, comment s'est -elle passée ? »

« Bizarre, Harry pouvait aller dans trois maisons différentes, c'est à lui qu'est revenu le choix. Il pouvait aller à Poussouffle, Serpentard et Griffondor. Il est étrange. »

Elles continuèrent à parler ensemble pendant un bon moment avant de se diriger vers la grande salle.

*****

Le professeur McGonagal conduisit Harry dans son bureau :

«Asseyez-vous, proposa le professeur McGonagal, une fois que Harry fut assis, elle reprit. Que s'est-il passé pour que vous disparaissiez ainsi toute une après midi, sans donner le moindre signe de vie. »

Harry la regarda puis prit un morceau de parchemin et une plume pour lui répondre :

« Au cours de divination il s'est passé un fait étrange, dont je ne peux vous parler. Il se passe énormément de chose que je ne comprends pas, j'ai besoin de réfléchir pour y voir plus clair. Je ne peux pas dire que je ne recommencerais pas, je n'en sais rien. Je ne sais même pas ce que je fais ici,. Un danger plus grand plane sur ma famille et mes amis, je me dois d'y retourner et je ne sais pas comment y parvenir. »

« Peut-être pourrions nous vous aider à retourner chez vous si vous nous disiez ce qui s'est passé. », proposa McGonagal après avoir lu le parchemin.

« Je ne peux rien vous dire professeur, trop de chose dépende de ce que je fais, je n'en ais pas le droit quoi que vous disiez, je ne dirais rien. Je finirais par trouver la solution seul. », écrivit-il.

Remarquant qu'elle ne pourrait rien tiré de Harry, McGonagal soupira :

« Très bien Mr Dyxe, si vous ne pouvez rien dire vous pouvez partir. Toutefois évitez à l'avenir de mettre tout le château en désordre, nous ne pouvons passer nos après-midi à vous rechercher. »

Harry hocha la tête et sortit, il laissait derrière lui une McGonagal soucieuse et perplexe.

*****

« Ron dépêches toi, nous allons être en retard, et le professeur Rogue va nous rajouter une retenue supplémentaire. Je ne veux pas avoir à supporter une heure de colle en plus que nécessaire. », lança Ginny, impatiemment.

« Oui, oui j'arrive. », lança Ron, du haut des escaliers des dortoirs. « Voilà on peut y aller ».

Hermione, Ginny et Ron sortirent de la salle commune sous les regards compatissant de leur camarade.

« Dis moi Herm, pourquoi êtes vous en retenue ? », demanda Ginny une fois qu'ils furent hors de la salle.

« Je suppose que s'est parce qu'il n'a pas Harry sous la main que nous sommes en retenue. Et toi ? », répondit Hermione en soupirant.

« Et bien j'ai mal fait mon dernier devoir, une broutille comme d'habitude. »

Hermione hocha la tête et ne dit plus rien. La mine sombre ils se hâtèrent d'aller dans les cachots.

« Je vois que pour une fois vous êtes à l'heure , dit une voix derrière eux, et bien entrez qu'attendez vous ? »

Pestant intérieurement tout les trois entrèrent dans le cachot, ils restèrent au fond attendant que le professeur leur donne la punition qui allait sûrement être un calvaire.

« Prenez une chaise et venez vous asseoir en face du bureau. », invita Rogue de sa voix froide, mais moins méprisante.

Surpris, les trois comparses firent ce que Rogue avait dit.

« Bien je n'irais pas par quatre chemins, vous savez tous les trois que je suis un mangemort, commença Rogue sous le regard éberlué des trois amis. Et bien je vais vous dire ce que je sais. »

Le regard du professeur qui allait de l'un à l'autre était perçant.

« Le professeur Dumbbledore m'a demandé de vous dire ce qui s'était passé lors de l'attaque de Harry. Lucius Malefoy avait pour but d'amener Potter dans le repère de Vous- Savez-Qui. Seulement voilà, il y a eut un problème le sort qui devait maintenir Potter dans un état léthargique n'a pas vraiment marché. Ce sort avait deux but: l'amener à Vous-Savez-Qui et de faire revivre à Potter les pires moment de sa vie. C'est le sort « Memorudolor at manor Lord Noir ». »

« Professeur ? », risqua timidement Hermione.

« Oui Miss Granger ? »

« Quels sont les effets du sorts exactement, comment est ce que l'on se sent ? »

Rogue la regarda interloqué, puis alla chercher un livre dans sa bibliothèque, et le tendit à Hermione. Hermione le prit et commença à le lire pour les deux autres à voix basse.

« Memorudolor at.

Ce sort est un sort de magie noir peut connu, donc peu utilisé. Toute personne recevant ce sort se trouve transportée dans le lieu où la personne qui a lancer le sort le désire. De plus, ce sort fait revivre les horreurs de la vie de celui qui le subit. Plus la personne à vu d'horreurs, plus elle plonge dans la folie. Ce sort est bien pire que le Doloris, mais tellement peu connu, qu'il n'est pas interdit. »

Un silence de mort suivit la lecture du sort, tous étaient stupéfaits.

« Attendez, vous avez bien dit que le sort amenait douleur et folie ? », questionna Ginny le regard lointain.

« Oui », confirma abruptement Rogue.

« Le sort n'a pas atteint Harry, non c'est impossible, je ne l'ai pas senti. », murmura Ginny.

« Vous divaguez Miss Weasley. », lança Rogue en fronçant les sourcils.

« Que veux-tu dire par là, Gin ? »

« Tu te souviens je pouvais percevoir ce qu'il ressentait, j'ai sentit de la douleur, de la frustration, de la colère, de la peur, mais pas de la folie. », dit-elle les yeux toujours dans le vague.

« Comment vous avez sentit la douleur, la colère de Potter ? », questionna Rogue, complètement abasourdi.

« Oui, tous les trois nous avons senti que Harry était en danger, mais nous ne savions pas ce qui ce passait exactement. », expliqua Hermione.

« Comment pouvez-vous savoir qu'il se faisait attaquer. », mais Rogue fut interrompu.

« Si ce n'est pas le sort, qu'est ce qui a provoqué la disparition de Harry ? Je suis sûre que le sort ne l'a pas atteint, mais je ne vois pas ce qui aurait provoqué sa disparition. », continua Ginny.

« Attendez, coupa Rogue, que voulez vous dire par le sort n'a pas atteint Potter ? », s'énerva Rogue.

« Oui, le sort n'a pas touché Harry, nous avons senti quand Harry s'est fait attaqué, mais nous ne pouvons pas dire ce qu'a provoqué le sort jeté mais aucune folie n'a touché Harry, or il a vu des horreur dans sa vie. », expliqua Ginny exaspérée par l'interruption de Rogue et sa façon à l'appelé Potter avec autant de mépris dans la voix.

« Mais comment, par Merlin, pouvez-vous sentir ce que Potter ressentait ? », lança Roque mis totalement hors de lui par le peu d'explication qu'il recevait.

Un silence total lui répondit, apparemment il n'aurait aucune réponse de leur part.

« Bien puisque c'est comme ça je suppose que vous répondrez à Dumbbledore. », dit-il en ouvrant violemment la porte du cachot.

~ Herm', que devons-nous faire, nous ne pouvons en parler, tant que Harry n'est pas de retour, tu sais que nous sommes tenu par le serment.~, entendit-elle dans sa tête.

~ Je sais Ron, je pense que nous devrions aller chercher Sniffle, si il leur donne une partie de la vérité, peut-être arriveront-ils à comprendre.~, se concentrant au maximum, elle chercha à prendre contact avec Sirius.

~ Oui Herm, que ce passe-t-il ?~, demanda Sirius.

~ Nous avons des problèmes, nous devons parler du neil, nous ne pouvons pas le faire. Nous allons dans le bureau du directeur.~, lui expliqua-t-elle.

~ Très bien, je viens.~, dit Sirius en coupant le lien.

Elle rassura les deux autres.

En arrivant devant le bureau du directeur, Sniffle était déjà là, la langue pendante. Rogue grogna, mais ne dit rien. En haut de l'escalier , Rogue frappa à la porte, et attendit.

« Entrez »

Tous entrèrent dans le bureau, et s'assirent sur l'invitation du professeur Dumbbledore.

« Et bien que ce passe-t-il ? », questionna le vieux professeur.

« Il y a que ces adolescent disent que Potter n'aurait pas été touché par le sort Memorudolor at. », expliqua Rogue, « De plus ils parlent de ressentir les émotions de Potter, je dois avoué ne pas comprendre grand chose de ce qu'ils ont ramagé. »

« Pouvez vous vous expliquez plus clairement ? », demanda Dumbbledore en se tournant vers les trois comparses.

« Nous pouvons sentir quand l'un de nous quatre est en danger, expliqua Hermione, Ginny, Ron, Harry et moi. »

« Oui mais comment expliquez vous que vous ressentez les émotions des autres ? »

« Et bien tous ne peuvent pas sentir les émotions des autres, il n'y a que moi qui ait pu sentir les émotions d'Harry, les autres n'ont sentit que le danger. Et dans les émotions, il n'y avait aucune folie chez Harry. C'est pour cette raison que je déduis qu'il n'a pas été atteint par le sortilège. », répondit nerveusement Ginny.

« Très bien, nous savons pourquoi vous pensez que Harry n'a pas reçu le sortilège, mais cela n'explique pas comment vous avez reçu les émotions de Mr Potter. », s'exclama Dumbledore.

Il n'y eut que le silence pour réponse, même Sirius ne parlait pas.

« Ne savez-vous pas répondre à une simple question ? », demanda Rogue de sa voix la plus glaciale.

« Ils ne peuvent y répondre comme moi je ne peux y répondre », lâcha Sirius.

« Et pourquoi ça ? », siffla Rogue, le regard empli de haine.

« Allons, calmez-vous, dit Dumbbledore, Vous ne pouvez pas en parler ? Ne seriez vous pas sous serment ? »

« Si vous avez compris, nous ne pouvons rien vous dire. », dit Sirius.

Dumbbledore sourit, ses yeux pétillant sous ses lunettes, il ne pouvait croire à cela.

« Et puis je savoir sous quel serment vous êtes ? »

Sirius haussa les épaules, mais ne répondit pas.

« Sirius tu n'as pas tout mis sous le Serment de la Lune d'Argent ? », intervint Remus, en entrant dans le bureau. « Désolé pour l'interruption, mais j'étais derrière vous et j'ai entendu ce qui ce passait, dit-il en se tournant vers Dumbbledore. Alors Sirius, est-ce celui de la Lune d'Argent ? »

« Si c'est celui là. », répondit Hermione.

« Comment as-tu pu les laisser faire ? », questionna furieusement Remus.

« Ce n'est pas moi qui l'ait fait, c'est Harry. Quand il m'a fait prononcer le serment, il était trop tard il avait commencé. Je ne m'en suis pas rendu compte tout de suite, expliqua Sirius accablé, et puis tu l'a prononcé aussi, je te ferais remarquer. »

« Quoi, tu veux dire qu'il nous a tous mit sous ce serment? », s'exclama Lunard.

« Oui il l'a fait, il l'a fait pour nous protéger, en fait il a tourné le serment de tel sorte qu'il nous est impossible de parler à qui que ce soit. Pour être plus exact, le serment nous protège nous mais pas lui. Si nous nous trouvons chez Voldemort, et que celui-ci cherche à avoir des renseignements quelconques le concernant, en mettant notre vie en danger, Harry prendrais notre place, et nous nous retrouverions où il était. Je n'ai eut ses renseignements qu'après le serment. Je puis t'assurer que si il avait été sous ma main à ce moment, je l'aurais volontiers étranglé. »

Pendant que Sirius expliquait, un cercle d'argent se forma autour de Hermione, Ron, Ginny, Remus et Sirius. Dumbbledore essaya de s'approcher, mais ne put le faire, c'est alors qu'il comprit. C'est le serment de la Lune d'Argent. Il passa sa main sur le dôme et se rendit compte que tout le dôme n'était fait que par une seule présence. Celui qui avait fait prêter serment : Harry Potter. Passablement surpris, il retourna vers son bureau.

Quand Sirius eut finit ses explications, le dôme disparut.

« Je vois que Harry a fait ce qu'il fallait pour protéger vos vies, bien que je ne sache avec exactitude la teneur du serment, je puis vous assurer que c'est vos vies qu'il a voulu avant tout protéger. Vous venez de vous expliquez entre vous sans que je ne sache ce qui se passe, Harry a fait du bon boulot. »

Tous se turent un moment.

« En conclusion, nous pouvons dire que le sort n'a pas touché Harry, donc retour à la case de départ, mais alors, que c'est-il passé ? »

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Note de l'auteur:

Avez-vous passez un joyeux noël? Je me suis trop bien marrée pour ma part. On a fait ça en famille, mais c'était trop bien.

Voilà un chapitre de finit, il y a eut quelque problème technique, d'où le retard. Merci à Jina d'avoir accepter de corriger le chapitre. J'espère qu'il vous a plu et que vous me direz ce que vous en pensez. Une review m'encouragerai à mettre plus vite le chapitre suivant, qui est en écriture. SVP, j'ai besoin de vos avis, il m'aide à voir ce qui ne va pas dans l'histoire, et ainsi l'amélioré. Et aussi elle permet de voir si ce que je fais est bien.

Pimousse Fraise: Merci beaucoup, voir des reviews aussi encourageante me donne envie d'écrire, voilà la suite.

Mietek: Je vais essayer de bien marquer mes flash back et changement d'époque, je le reconnais, j'ai assez dur de jonglé avec le temps des Marraudeurs et le temps de Harry. La formulation n'est pas facile à faire. Si tu as des autres remarques de ce genre à faire, fais les, parce que c'est clair pour moi, mais peut être pas pour le lecteur. Merci de t'être proposé comme correcteur, j'en ai trouvé un ou plus tôt une. En tout cas merci beaucoup de t'être proposé.

Je dois vous laissez mon père s'impatiente, il veut l'ordinateur.

A la prochaine, et si on ne se voit plus d'ici là une BONNE ET HEUREUSE ANNEE.

Phantme.

Paru le 26 décembre 2003.

Correction le 24 avril 2004.