Bonjour à tous. Bon je suis content de vous dire que j'ai enfin plus de temps à moi ça veut dire que les chapitres vont venir plus rapidement. J'en vois plusieurs d'entre vous se dire ouais ouais, il parle, il parle, mais de la à faire ce qu'il dit..

Je dois dire que vous avez pas tort de penser cela mais je vais tenter de corriger cela en vous mettant les prochains chapitres plus rapidment. Merci de rester la malgré que les chapitres viennent si lentemment.

Obal : Plus puissant, pas vraiment, seulement leur puuissance ne diminuera plus. Voilà le prochain chapitre.

Kinky : J'ai arrêter là parce que j'en avait pas plus d'écrit. Héhé

Philippe Gryffondor : Les poules ont pas encore de dents mais vous avez attendu presque un mois... ok ok, je suis pas fiable.. Mais le prochain viendra plus vite, c'est une promesse.

Miya Black : Génial, tu as hate de lire la suite, moi j,avais hate de l,écrire alors voilà c'est fait :P

Marie-jo : Coucou Marie, oui j'ai eu de bons résultats dans tout mes cours. Bonne nouvelle année à toi aussi. Content que tu aimes toujours ma fic.

Cae : lolll, vais te faire un autre author alert personalisé, espérons que tu le vois plus vite celui là :P ouais, ben j'ai pas été plus présent avec les vacances mais je vais essayer de me rattrapper. Je sais pas si toi tu as reçu mon courrier mais moi j'ai reçu le tient :P et c'est sur que j'ai une tite influence Tolkienenne mais bon, j'essaie de me contrôler héhé

Les maraudeuses : Mais oui, il marche PMW. T'inquiète, ce n'était que passager. Voilà la suite.

Bonne Lecture à Tous

Chapitre 9 : Nagini et la Chambre de/du Gryffondor

-Harry, murmura le plus vieux.

Il prit un parchemin et écrivit la situation à ses amis. Il sortit de l'enceinte de Poudlard et transplana à Godric Hollow. Il frappa à la porte. La porte s'ouvrit et Harry put apercevoir James baguette levé prêt à attaquer aux moindres problèmes.

-Ah, Harry, entre lui dit James en le reconnaissant.

-Dans quelle pièce est Harry?

Harry? Il est la-haut.

-Vite, conduis-moi à sa chambre.

James courut jusqu'en haut et poussa la porte marqué

-Harry Gryffondor-Potter

Le petit Harry dormait profondément. Lily arriva de ce pas ayant entendu du bruit.

-Qu'est-ce qui se passe, murmura t-elle?

-Vous n'êtes plus en sécurité ici, Voldemort sais où vous vous trouvez, je n'y avais pas réfléchi plus tôt.

-Pourquoi maintenant? Demanda alors Lily

-Parce que Nagini, le serpent de Voldemort est sur le point d'arriver pour tuer Harry.

-Oh mon dieu.

-Ne t'inquiète pas, ça n'arrivera pas. J'ai une idée.

-Explique dit James

-Nagini ne s'attend pas à trouver de la résistance. Il est sur que vous n'êtes au courant de rien. Nous allons donc le prendre par surprise.

Harry expliqua son idée à James et Lily qui acceptèrent. Lily prit le petit Harry et l'emmena avec elle dans sa chambre où il serait plus en sécurité. Harry fit rétrécir James qui se coucha dans le lit du bébé. Enfin, Harry se changea en énorme boa constrictor et se suspendit sous le lit. Ils attendirent ainsi 2 heures avant qu'un frottement les alertes. James entendit un sifflement qu'Harry identifia comme étant.

-Jamais eu quelque chose de plus facile à faire.

James était prêt à lancer un sort au serpent. Nagini s'approchait du lit. Harry se laissa chuter au sol et se jeta sur Nagini en sifflant

-Jamais tu n'auras le jeune Potter.

Nagini fut tellement surpris qu'il n'eut pas le temps de rien faire. Il était pris au piège par le boa qui tentait de l'étouffer. James se leva et retrouva sa forme par lui-même.

-Alors on veut avoir mon fils dit James en regardant le serpent pris au piége.

-Le maître l'aura peut importe comment lui siffla le serpent.

On entendis trois bruit caractéristique du transplanage et Ron, Hermione et Ginny apparurent au côté de James. Harry relâcha Nagini qui tenta de s'enfuir, Ron le prit au piège et l'enchaîna à lui.

-Toi, tu ne bouges pas lui siffla Harry en reprenant sa forme.

-Tu est fourchelang humain lui siffla le serpent.

-Oui, je suis fourchelang et je suis aussi Harry Cooper, pas humain.

-Tu n'es pas Harry Cooper, je sent deux fois la même présence dans cette maison, tu es Harry Potter n'est-ce pas?

-Cela ne te regarde pas, de toute façon, tu n'auras pas le loisir de tout rapporter à ton maître.

-Si tu es ici, c'est qu'il n, est jamais parvenu à te tuer, il mourra donc, tu le vaincra c'est bien cela?

-C'est possible, mais rien de cela te regarde.

-Oh, mais plus que tu ne le croit, qu'est-ce que j'ai fait moi à ton époque?

-Toujours à lécher les bottes de Voldemort.

-Ha ha ha, parce que tu crois que je sert quelqu'un, je fais ce qu'il me plaît, quand ça me plaît. Il s'adonne que Voldemort est ce qui me suffit pour le moment, mais je n'ai pas besoin de lui.

-Pourquoi exécute tu ses ordres alors?

-Parce que j'aime tuer, et c'est un des seuls humains avec qui je peux parler.

-Tu sais que je vais te tuer Nagini n'est-ce pas?

-Bien sur, sinon je reviendrai tuer ton double.

-Alors Voldemort vient de perdre son plus fidèle allié.

Harry se transforma en lion et tua le serpent. Nagini gisait par terre, mort. Harry reprit sa forme humaine et relata aux gens présent sa conversation avec le serpent. Harry écrivit un nouveau message et d'une incantation fit disparaître le serpent avec. À des centaines de kilomètres, un serpent apparut tout près de Voldemort. Celui-ci arracha le mot que le serpent portait.

-Tu viens de perdre un autre de tes alliés, d'autres suivront sous peu. Cooper et White

-Arghhhhh cria Voldemort.

Il jeta la lettre et le serpent au feu parcourut de spasme de colère.

-Bande d'incapable hurla t-il.

Un mangemort apparut à la porte.

-Tous va bien maître? Demanda celui-ci.

-Approche répondit Voldemort avec un rictus.

Quelques minutes plus tard, le mangemort gisait au sol gravement blessé. Voldemort s'approcha et lui découvrit le bras. Il appuya fortement sur la marque des ténèbres, appelant à lui ses mangemorts. Les mangemorts arrivèrent rapidement. Voldemort parla.

-Chaque fois que vous échouerez une mission, vous ou un autre si vous avez été capturé subirez le même sort que cette merde. Apprenez cette leçon. On échoue jamais un ordre venant de ma part. Débarrassez moi de cette loque et remettez la moi sur pied pour la prochaine attaque, elle ne saurait tarder,

-Nous ne pouvons plus rester ici dit James, nous ne sommes plus en sécurité.

-Je sais, faites vos bagages, je vous emmènes dans un endroit plus sécuritaire.

James et Lily exécutèrent ce qu'Harry leur demandait. 30 minutes plus tard, Harry les priaient de transplaner à la cabane hurlante. Il fit disparaître les bagages et rejoignit ses parents et amis.

-Je vous demanderai de ne pas faire de bruit, nous allons à Poudlard, mais personne ne doit être au courant que vous êtes là, pas même Dumbledore pour le moment.

James et Lily acquiescèrent.

-Lorsque j'aurai transplané, tranplanez à mes côtés.

Quelques secondes plus tard, les 7 personnes étaient dans le couloir du bureau de Dumbledore devant le portrait d'un phoenix.

-Bonjour Godric dit Harry.

-Bonjour Harry répondit celui-ci.

-Peux-tu laisser entrer James et Lily?

-Mais bien sur, le bébé, je le laisse entrer aussi?

-Le bébé, c'est moi-même, si je ne t'avais pas dit de le laisser entrer, tu l'aurais fait de toute façon.

Le portrait sourit et Harry se tourna vers les autres.

-C'est une barrière semblable à celle de la gare de King Cross, vous n'avez qu'à la traverser.

-Comment se fait-il que je n'ai jamais découvert cette pièce ni ce tableau?

-Nous verrons cela de l'autre côté dit Harry en traversant le portrait.

Ils traversèrent tous les sept.

-Bienvenue dans la maison de Godric Gryffondor dit Harry.

James et Lily restèrent sans voix pendant un bon moment.

-Tu veux dire que nous nous trouvons dans la chambre secrète de Gryffondor demanda James.

-Non, nous sommes dans sa maison secrète. Salazar Serpentard à une chambre secrète lui répondit Harry.

-Une petite visite des lieux proposa Hermione?

-Ce ne serait pas de refus dit Lily.

Ils firent visiter la maison à leurs invités.

-Voilà, vous dormirez dans cette pièce, la chambre du centre c'est celle de Ginny et moi, et celle de gauche est celle de Ron et hermione. Dumbledore et les autres seront mis au courant bientôt. En attendant, je vous demanderais de garder cela sous silence. Vous pouvez bien sur faire ce que vous voulez dans cette maison. Allez-vous recoucher pour le peu de temps qu'ils vous restent. Nous veillerons sur vous. Dit Harry

James et Lily se recouchèrent quelques temps. Lorsqu'ils se relevèrent, ils trouvèrent les quatre amis devant la chambre en méditation.

-Bonjour à vous, dit Harry en se relevant, bien dormi?

-Bonjour, répondit James, il est quel heure?

-11 heure et demie, nous avons annuler nos cours de la journée répondit Harry.

-Venez à la cuisine, le thé est chaud leur proposa Ginny.

Après un bon repas, Harry leur proposa une petite promenade à l'extérieur.

-Ce n'est pas un peu dangereux demandas Lily?

-Penses-tu rester enfermés pendant plusieurs mois? Lui retourna Harry

-Non bien sur mais.

-Suis-moi, si ce n'est pas assez sécuritaire, on rentrera aussi vite.

Lily approuva finalement et Harry se dirigea vers sa chambre sous le regard d'incompréhension de Lily et James.

-Entrez, leur dit Harry.

Harry alla ouvrir la porte arrière.

-Allez, venez répéta Harry.

Lily et James passèrent finalement la porte.

-Magnifique dit Lily

-Fantastique dit James.

-Bienvenue dans le jardin personnel de Gryffondor, un écosystème y agit seul depuis près de 1000 ans. Il est stable et de nombreux animaux y vivent, y compris des cerfs dit Harry.

-Merci Harry, merci de nous avoir permis d'y venir dit James.

-C'est normal Papa dit Harry en riant.

James et Lily s'esclaffèrent aussi.

-Il faut dire que cela fait drôle de se faire appeler papa par son fils déjà vieux quand le jeune ne l'a pas encore dit clairement.

Ils furent pris d'un fou rire qui dura encore quelque temps. Harry reçut un appel télépathique de Dumbledore.

-Harry, James et Lily ont disparut, J'ai peur qu'il ne leur soit arrivé quelques choses.

-Ne t'inquiète pas Albus, ils sont avec nous, en sûreté, mais ils ont reçu la visite de Nagini, le serpent de Voldemort la nuit dernière.

-Très bien, je te fait confiance, on vous verra au souper ?

-Non, nous n'y serons pas, nous reviendrons demain.

Harry fit part de sa conversation avec le directeur aux autres.

-Alors nous ne les mettrons pas au courant avant la prochaine réunion de l'Ordre. De toute façon, nous n'aurons pas le choix de leur faire un compte rendu de l'attaque de Nagini. Dit Harry.

-C'est d'accord, alors nous allons cohabiter ensemble le temps de votre présence. Dit Lily.

Le petit groupe passa le reste de la journée à parler de tout et de rien. James demanda à Harry et Ron s'ils avaient le goût d'une petite promenade d'animagi. Les trois hommes sortirent du jardin pour aller dans la forêt. Ils prirent tous une forme de cerf et s'amusèrent à se charger comme de jeune gamin. Lily, Ginny et Hermione était sur un banc et sirotait un hydromel tout en discutant. Elles entendaient au loin le bruit des bois s'entrechoquant.

-Quels gamins s'exclama Lily en riant.

-C'est bien pour cela qu'on les aimes répondit Ginny en riant.

-En effet, dit Hermione.

Lily demanda à Ginny de lui raconter comment elle et Harry était devenu un couple sans se douter qu'à quelques centaine de mètres de là, James faisait la même demande à Harry.

Depuis quelques mois, il nourrissait à l'égard de cette demoiselle des sentiments qu'ils n'avaient jamais cru pouvoir ressentir. Chaque fois qu'il la voyait, son c?ur manquait de lui sortir de la poitrine, sa voix devenait rauque et il devait se concentrer profondément pour ne pas se ridiculiser. Combien de fois ces derniers temps avait-il été près de se ridiculisé devant tout le monde. Combien de fois avait-il voulu commencer une phrase avant de se rendre contre que les mots se bousculaient à ses lèvres et de les mettes en ordre avant de les dire. Une chance qu'il avait un bon contrôle sur lui. Depuis 4 ans, il la connaît, depuis 4 ans, elle est à Poudlard. Elle est pétillante de malice, d'une humeur joyeuse et un sourire charmeur. Une voix cristalline, qui l'ensorcèle dès qu'il la voit. Elle n'est certes plus la petite fille qu'elle à été. Elle à mûrie, oh combien bien elle à mûrie. D'une jeune fille un peu timide, elle s'était petit à petit épanouie et était maintenant une des plus belles fille de tout Poudlard. La plus belle à ses yeux. Elle avait de nombreux soupirants, mais aucun n'avait eu d'emprise sur son c?ur. Oh combien il souhaitait être celui qui la tiendrait le premier dans le creux de ses bras, à sentir sa douce odeur, à la sentir près de lui. Sentir ses cheveux ondoyant sur sa peau, la serré contre lui, lui donner tout l'amour qu'il lui porte, un amour inépuisable, incommensurable, inconditionnel. Son rire communicatif, son expression ravie lorsqu'il lui porte une attention particulière, ses regards profonds, chargés d'un messages indéchiffrables... Ce matin encore, elle l'a chaleureusement salué avant de le quitter pour rejoindre ses amies. Elle passe de plus en plus de temps avec lui et cela le rend fou de la savoir si proche sans pouvoir lui dire. Mais il est trop timide, beaucoup trop timide, il n'ose pas briser cette amitié qui les relie, briser ce lien reviendrait à lui faire perdre toute espoir de vaincre cet ennemi qui le hante. Sans même le savoir, c'est elle qui lui donne la force de se battre, de continuer. Elle et ses deux meilleurs amis, Ron et Hermione. Ces deux amis forment un couple depuis déjà quelques mois, mais il n'est pas jaloux, loin de là. Il est très heureux pour ses amis. Il a avouer à Ron qui était l'élue de son c?ur alors que celui-ci le bombardait de question. Il lui avait fait promettre de ne rien dire à Hermione. Ron était d'accord pour dire qu'il ferait un magnifique couple, qu'il ne perdait rien à tenter sa chance. Mais il n'osait pas. Il ne voulait pas risquer de perdre celle que son c?ur avait choisi parce qu'elle ne partageait pas ses sentiments. Il ne voulait pas la brusquer.

Quatre ans, cela faisait quatre ans qu'elle était attirée par le même gars. Mais depuis un an, elle se savait amoureuse de lui. Son amourette de jeunesse s'était transformé en amour véritable. Elle avait cessé de le voir comme un dieu pour le voir sous son vrai jour, avec ses qualités et ses défauts. Elle s'était rendu compte qu'elle aimait encore plus le vrai que le faux. Il avait changé, qui ne changerait pas avec ce qui lui arrive. Il était beaucoup plus mur que les autres gars de son âge. Mais sa maturité faisait contraste avec la petite teinte qui voilait le fond de ses pupilles. Elle l'avait vu, cette lueur de tristesse et de souffrance qui le parcourait souvent. Comme elle voudrait pouvoir le réconforter, lui dire qu'elle est là, qu'elle l'aime et qu'elle est avec lui. Mais il est et ne sera jamais qu'un ami. Elle doit s'en contenter. Elle s'est rendue à l'évidence. Il ne la verra jamais comme un fille autre que la s?ur de son meilleur ami. Au moins, elle ne le gène plus autant. Fini les petites maladresses qu'elle faisait tout le temps en sa présence. Pas qu'elle fasse plus attention qu'avant, mais elle a beaucoup mûrie aussi, suite à l'événement qui a faillit lui coûter la vie lors de sa première année. Il l'avait sauvé, une fois de plus, il avait joué les héros. Malgré lui. Le mal semble toujours s'acharné sur lui, mais elle est capable de tout pour être à ses côtés. Elle en a parlé à une de ses bonnes amies. La meilleure amie de celui qu'elle aime. Elle croit que je devrais tenter ma chance. Mais je n'ose pas, je ne veux pas qu'il cesse de me sourire lorsqu'il me voit. Je ne veux pas qu'il s'éloigne de moi pour me faire comprendre qu'il ne veut pas plus de moi. Et surtout, elle ne doit pas le brusqué. Elle à fait promettre à son amie de ne rien dire à son frère, il pourrait tout gâcher.

Son meilleur ami aimait sa s?ur. Il ne voyait pas qui d'autre pourrait être mieux pour la dernière de la famille. Ils semblaient vraiment fait l'un pour l'autre. Il savait que sa s?ur avait aimé son ami lorsqu'elle était plus jeune, mais là, ses sentiments ont sûrement changé, elle a vieillie. D'un autre côté, ses sentiments sont peut-être resté les mêmes, mais comment savoir. Elle n'oserait jamais se confier à lui sur cette question. Lui et ses frères l'avait bien trop taquiné à ce sujet. Et il ne pouvait pas en parler à Hermione, il avait promis de ne pas le faire, et un sorcier tient toujours ses promesses. Même s'ils avaient tous deux vue l'attirance évidente d'Harry pour Ginny, il ne parlerais pas. Il se contenterait d'être là pour aider son ami, peut importe ce qui arriverait. Il lui avait dit de tenter sa chance, sa s?ur ne lui ferait pas de mal même dans le pire des cas. Il a tellement souffert, un peu de bonheur peut-il lui être permis..

Pourquoi est-ce que la vie est si compliqué. Elle se posait cette question alors que son amie s'était confié à elle. Elle aimait son meilleur ami mais ne voulait pas le lui dire de peur de perdre son amitié. Et elle ne connaissait rien des sentiments de celui-ci à son égard. Elle n'avait pas pus lui soutirer des informations à ce sujet. Même Ron ne voulait pas lui dire. Parole de sorcier qu'il disait. Elle ferait tout ce qui est en son pouvoir pour les mettre ensemble. Il formerait un si beau couple. Elle avait remarqué l'attitude plus qu'étrange d'Harry envers Ginny ces derniers temps. Ce serait le couple de Poudlard. Un conte de la belle au bois dormant. Ils étaient si beau ensemble. Et il semblait y avoir entre eux plusieurs sous entendus, des choses non dites échangés dans leur regard. Bon dieu, qu'est-ce qu'ils attendent...

Ironie du sort? Coup de chance? Le lendemain, un imprévu vint peut-être accélérer les choses. Au détour d'un couloir, Harry aperçut Ginny acculée dans un coin par Malfoy. Il savait que celui-ci était un apprenti mangemort. La renaissance de Voldemort le faisait se pavaner dans les couloirs et il ne cachait même plus qu'il pratiquait la magie noire en dehors du château.

-Alors Weasley, on parcours les couloirs seuls sans ses petits amis?

-Bouge de la Malefoy, je dois rentrer dans la grande salle répondit Ginny

-Je ne t'ai pas donner le droit de bouger petite idiote. Un Malfoy doit être écouté. Une belle fille comme toi ne devrait pas se promener seul dans les couloirs du château.

-Je n'ai que faire de tes menaces Malfoy, fou moi la paix.

-Je suis sur que tu ne diras pas cela lorsque j'en aurai fini avec toi, tu en redemandera.

-Pervers, si tu crois que ça va se passer ainsi.

-Allez approche, laisse toi faire dit-il en tentant de l'embrasser

D'un coup vif, Ginny lui donna un coup dans les parties.

-N'oublie pas que je suis une Weasley, Malfoy, j'ai grandit avec 6 frères et je sais quoi faire dans ces cas là. Dit-elle alors que Malfoy était au sol

-Tu vas payer pour ça dit Malfoy avec fureur.

Un feu menaçant s'alluma dans ses yeux. Il sortit sa baguette et dit

-Endoloris

Mais avant que le sort atteigne Ginny, une ombre se plaça devant elle et absorba le sort. L'ombre s'affala au sol. C'est alors que Ginny le reconnu.

-Harry cria t-elle avant de sortir sa baguette et de la pointer vers Malfoy.

Harry se tordait de douleur au sol mais aucun son ne sortait de sa bouche, il ne se laisserait pas diminuer par Malfoy.

-Lâche ta baguette Malfoy et arrête ce foutu sort dit Ginny d'une voix autoritaire.

Le Serpentard s'esclaffa

-Le binoclard qui s'interpose. C'est encore mieux que de lancer le sort sur cette minable Weasley. Personne ne donne d'ordre à un Malfoy continua celui- ci sans relâcher le sort.

-Alors temps pis pour toi.

-Stupefix, Furoncullus, Tarentallegra, lança Ginny.

Malfoy tomba au sol avant d'avoir pu réagir. Harry cessa de se tordre sur le sol et tenta de reprendre son souffle.

-Le salaud, commença Harry

Ginny l'arrêta d'un geste de la main.

-Chut, laisse toi récupérer, tu parleras après.

Un moment passa.

-Merci, merci d'avoir encaissé le sort pour moi, c'était très courageux.

Un autre silence passa.

-Ce n'est rien répondit Harry avec une voix rauque. J'ai toujours dit que je protégerais les personnes à qui je tient.

Le silence ce prolongea encore jusqu'à ce que le professeur McGonagall les trouvas ainsi. Harry par terre cherchant toujours son souffle, surveillé par Ginny et Malfoy couvert de furoncles et Stupefixer. Ginny lui expliqua brièvement la situation et Harry fut immédiatement conduit à l'infirmerie ou Mme Pomfresh s'occupa aussitôt de lui. Harry passa une semaine complète à l'infirmerie et Ginny passa la majeure partie de ses temps libre au chevet d'Harry. Ils eurent de bonne discussion approfondirent de beaucoup les sentiments qu'ils partageaient déjà. Ron et Hermione étaient secrètement très heureux de la tournure que prenais la relation d'Harry et Ginny. Ils croyaient fortement qu'ils formeraient bientôt un nouveau couple.

Qu'est-ce qu'il avait été inquiet lorsqu'il avait vu Malfoy s'en prendre à elle. Il n'avait pas voulu se montrer pour laisser Ginny s'occuper elle même de Malfoy puisqu'elle ne semblait pas le craindre outre mesure, mais lorsqu'il l'a vu commencer à prononcer le sort interdit, il eut vraiment peur pour elle et n'a pas hésité une seule seconde avant de s'interposer. Maintenant, Malfoy était hors de l'école et il allait beaucoup mieux. Il avait récupéré assez rapidement du sort et avait pu discuter beaucoup avec l'élue de son c?ur qui lui était reconnaissant pour son geste. Il profitais donc de sa mauvaise fortune pour approfondir sa relation avec elle. Jusqu'à maintenant, il pouvait dire que cela fonctionnais mais d'après lui, ils ne pourraient jamais être plus que des amis car il avait manqué sa chance il y a plusieurs années. Il avait appris à contrôler les irrésistibles envie de l'embrasser qui lui prenait dans les moments les plus inopportuns.

Il s'est jeté devant le sort. Il a encaissé un doloris pour éviter qu'il me frappe moi. Il me considère donc comme une amie. Je suis sure qu'il aurait fait pareil pour Ron ou Hermione. Je suis heureuse de voir que je ne suis plus que la petite s?ur de son meilleur ami. Nous avons longuement discuté. Je l'ai longuement regardé dans son sommeil. Qu'il est beau, qu'il est courageux. Se placer devant un sort si douloureux. J'envie la chanceuse qui aura son amour, car je ne me fait pas d'illusion, il ne m'aime pas plus qu'une bonne amie. Pour lui, je serai à ses côtés, pour lui j'accepte mon sort sans rechigner. Parce que je l'aime.

Non de dieu Harry qu'est-ce que tu attends, lance toi bordel. Ne vois tu pas qu'elle n'attend que ça? Elle n'osera pas faire les premiers pas, c'est à toi de le faire. Je rêve de crier ces mots à mon meilleur ami. Mais je me retient, je ne veux pas brusquer leur relation et tout gâcher. Il doit s'en rendre compte lui-même. Mais si il ne s'ouvre pas les yeux bientôt, je vais m'arranger pour les lui faire ouvrir.

Un sacrifice, c'est tellement romantique. Ginny ne s'est aperçut de rien, elle n'a pas remarqué le regard amoureux d'Harry. Je meurt de lui dire, mais je ne crois pas que c'est mon rôle. Un d'eux doit faire les premiers pas. Il vont si bien ensemble. Je me demande si Ron à vu quelque chose, il semble songeur ces derniers temps..

Quatre soupir se firent entendre dans la salle commune. Ils se regardèrent tous quatre avant d'éclater de rire. La tension tomba entre eux quatre et ils recommencèrent à discuter. Harry regardait Ginny et croisait son regard. Il ancrait ses yeux au fond de ses prunelles brillantes et tentaient d'y inscrire tout son amour pour elle. De son côté, Ginny faisait la même chose. Ron et Hermione regardait le petit manège de leur ami sans intervenir. Ils se croisèrent du regard et se sourirent. Ils avaient mutuellement compris ce qui se passait. Ils prétextèrent une grande fatigue et montèrent à leur dortoir laissant Harry et Ginny seul. Les autres élèves montèrent bientôt se coucher et il ne restait que les deux tourtereaux assis près du feu parlant de tout et de rien. Ginny réprima un frisson. Harry s'approcha d'elle et s'assit à ses côtés. Il la prit dans ses bras pour lui donner de la chaleur. Ginny se laissa faire et vint se lover dans les bras de celui qu'elle aimait. La tête couché sur l'épaule d'Harry, ils contemplèrent les flammes qui crépitaient dans l'âtre de la cheminée. Ils restèrent ainsi un bon moment avant de partir chacun de leur côté dans leur dortoir. C'est avec la mine réjouie qu'Harry s'endormit. De son côté, Ginny, s'endormie en rêvant d'Harry et du bien-être qu'elle avait ressentie dans ses bras. Quelques semaines passèrent, Harry et Ginny se retrouvaient de plus en plus souvent seul au coin du feu, se délectant de la présence de l'autre. Les petits gestes cajoleurs de l'un comme de l'autre était devenu routine. Lorsqu'ils venaient à sauter une soirée ensemble, ils leur tardaient tous deux d'être au lendemain soir pour se retrouver encore. Mais aucune parole concernant leur sentiment envers l'autre n'avait été échangé. Ce soir là, Harry fut le premier à monter à la tour de Gryffondor. Lorsque Ginny se releva du fauteuil, elle remarqua une feuille froissé qui avait du tomber de la poche à Harry. Poussé par la curiosité, elle pris la feuille et se rassis dans le fauteuil. Elle commença la lecture.

Oh tendre amour, comme tu peux être belle. Mon c?ur ne voit que toi, ma tête ne pense qu'à toi. Je suis à toi mais tu ne le sais pas. Notre amitié est si forte que je ne peux me résoudre à la briser, je ne peux envisager de te perdre par ma bêtise. Je ne peux me permettre de perdre ces doux moments passé avec toi, même si je sais qu'un jour, je n'y aurai plus droit. C'est égoïste de ma part d'agir ainsi mais ce que je ressent pour toi est tellement fort que je ne peux l'exprimer clairement. Quand je te voie mon c?ur s'emballe, ma poitrine semble vouloir éclater. J'aimerais temps te serrer dans mes bras en sachant que mes sentiments sont partagés, pouvant prolonger cette caresse qui parfois me fait frémir. J'aimerais temps que tes cheveux flamboyants si doux se calent au creux de mon cou pour ne jamais quitter l'endroit. Tendre amie, si tu savais.. J'aimerais pouvoir goûter tes lèvres, te montrer à quel point je tient à toi, à quel point tu compte pour moi. Malheureusement, ton c?ur n'est pas pour moi, je n'ai droit qu'à l'amitié, oh je n'ai pas à me plaindre, t'avoir pour amie est le plus beau des cadeaux. Pouvoir entendre ta voix enchanteresse me saluer le matin fait de mes journées une réussites. Tu ne le sait pas mais tu me donne la force de continuer mon combat, tu es ma source d'énergie, mon espoir, temps que tu sera épanouie, je ne pourrai être malheureux, car sans ton sourire et ta bonne humeur, je me sens perdu. Tu ne liras jamais cette lettre car je n'oserai jamais te la donner, mais sache que je n'aime et je n'aimerai qu'une seule fille. Jamais mon coeur ne pourra aimer jamais. Oh Ginny, si seulement tu savais, savais à quel point je t'aime. Love You Forever
Harry Potter

Ginny vint les yeux pleins d'eau à la lecture de la lettre. Harry l'aimait donc. Son Harry, l'homme qu'elle aimait ressentait la même chose à son égard. Quelle merveilleuse soirée s'était. Elle releva ses yeux embués de larmes vers le dortoir des cinquième année. Dans les escaliers se tenait Harry Potter.

Harry monta à son dortoir, se préparant pour se coucher. Il voulut relire la lettre qu'il avait écrit pour celle qu'il aimait et s'aperçut alors qu'il l'avait perdue. Il eut un moment de panique avant de se dire qu'elle devait se trouver sur le fauteuil qu'il venait de quitter. Il entreprit donc de descendre à la salle commune. Il s'aperçut que Ginny était toujours dans le fauteuil et s'arrêta dans son élan. Elle tenait à la mais un parchemin froissé qu'il reconnu aussitôt. Avait-elle lu son contenu? Comme si elle avait sentie sa présence, elle leva la tête vers lui. Il ancra immédiatement son visage dans cette mer de larme qui coulait des yeux de son aimée. Plusieurs seconde passèrent ou ils se fixèrent sans réagir. Harry descendit les quelques marches qui lui restait et s'approcha doucement de Ginny.

Celle-ci se leva de son fauteuil, toujours en fixant Harry. Les larmes avaient cessés de coulés. Un espoir venait de naître en elle. Il l'aimait, il était là, il savait qu'elle avait lu la lettre. Elle le laissa approcher jusqu'à ce qu'il soit tout près d'elle. Son c?ur battait la chamade, ses yeux brillaient d'une rare intensité alors qu'elle fixait avec passion les yeux émeraudes de celui qui lui faisait tourné la tête.

Elle avait lue, cela n'en faisait aucun doute, la façon dont elle le regardait en témoignait. Une lueur d'espoir naquit en son c?ur lorsqu'il la vie resplendissante se lever pour lui faire face. Ce qu'il pouvait maintenant lire en elle, il l'avait espéré si souvent qu'il ne savait plus s'il vivait un rêve ou la réalité. Il était maintenant tout près d'elle, son rythme cardiaque s'affolant dans une danse effréné. Il prit sa main dans sa main et leur doigt s'entrecroisèrent, froissant la feuille de papier entre les deux. Instinctivement, leur autre main firent pareil. Ils se regardaient toujours les yeux dans les yeux. Rien ne semblait pouvoir gâcher ce moment. Un autre moment passa ainsi. Le monde semblait avoir arrêté de tourner. Harry s'approcha encore un peu et serra Ginny dans ses bras. Une étreinte beaucoup plus longue et passionné qu'il avait l'habitude de lui faire. Il voulait se perdre dans sa chevelure, respiré son odeur. Ils restèrent enlacé un moment avant que Ginny s'écarte légèrement. Son regard rencontra à nouveau celui d'Harry, lui soufflant tout ce qu'elle ressentait. Son amour, sa joie, son bonheur. Harry approcha doucement sa tête de sa dulcinée et l'embrassa timidement. Celle-ci répondit au baiser en entrouvrant légèrement les lèvres. La langue d'Harry trouva d'elle même le chemin de la sienne et leur deux langues s'entremêlèrent dans un timide premier baiser. Harry mit fin au baiser et replongea son regard dans celui de Ginny.

-Je t'aime tant, murmura t-il

-Oh Harry, si tu savais comme j'ai attendu ce moment, je t'aime aussi.

Ils s'embrassèrent à nouveau, cette fois-ci beaucoup plus passionnément. Ils ne remarquèrent les deux silhouettes qui les observaient en souriant avant de regagner leur dortoir.

Hermione n'arrivait pas à dormir, elle voulait parler à Ginny, mais celle- ci n'était pas encore remonté. Elle quitta donc son dortoir pour aller la chercher. Sur le pas de l'escalier, elle vit le jeune couple qui se regardait dans les yeux. Elle sursauta lorsqu'elle sentit une présence auprès d'elle. Ron passa sa main dans la sienne.

Ron avait entendu Harry entré dans le dortoir et l'avait entendu pousser un juron étouffé avant de ressortir du dortoir plusieurs minutes auparavant. Poussé par la curiosité, il sortit de son lit pour aller à la recherche de son ami. Il descendit du dortoir et trouva Hermione au bas de l'escalier. Ils observèrent en silence le couple s'embrasser avant de remonter au dortoir avec un large sourire accroché au visage.

Les deux amoureux passèrent la nuit sur le fauteuil et Ron et Hermione les y trouvèrent endormis le lendemain matin, étroitement enlacés. Ils ne purent résister à la tentation de les observer un moment avant de les réveiller. Ils les félicitèrent et le jeune couple partit se changer. Ils sortirent du dortoir main dans la main et partirent vers la grande salle accompagné de leur deux meilleurs amis.

-Je t'aime dit Harry.

Quelques heures plus tard, ils partaient tous les quatre pour Avalon.

Ginny retint Harry par la manche pour ne pas qu'ils transplanent immédiatement.

- Qui a t-il Gin? Demanda Harry bien qu'il se doutais un peu de la question de Ginny.

- Que disais tu plus tôt à propos de l'âme s?ur?

Harry sentit son c?ur battre à tout rompre, il n'avait plus le choix, il devait dire à Ginny les sentiments entiers qu'il éprouvait pour elle. Harry ressentit une petite crainte, mais repris son courage lorsqu'il vit le regard pétillant de Ginny.

-Je, je disais que Merlin avait demander que je sois accompagné de celle que je croyais être mon âme s?ur. Je n'ai pas choisi avec ma tête pour savoir qui était mon âme s?ur mais avec mon c?ur. Je ne sais pas si tu ressent la même chose Gin, mais je ne peux pas te faire venir ici sans te dire la véritable raison de ta présence. Je t'aime Gin, de tout mon âme avec tout mon c?ur, je t'aime. Je ne crois pas jamais pouvoir me séparé de toi, de pouvoir aimer une autre fois sans toi. Je sais que tu es mon âme s?ur et je souhaite que cela soit réciproque. Pour toujours je serai tiens Gin.

- Oh, Harry si tu savais comment j'ai attendu pour un instant comme celui- là, tout ma vie je t'ai attendu je crois. Je t'aime termina t-elle en s'approchant de Harry les yeux empli de larme de bonheur. Je crois aussi que tu es mon âme s?ur. Pour toujours je serai tienne Harry.

Harry entoura sa Ginny de ses bras et Ginny vint se blottir au creux de ses bras musclés. Qu'il était bon de sentir son odeur contre lui, de l'avoir enfin là, au creux de ses bras, là où elle aurait dû être bien avant. Ginny leva le regard avec tendresse vers Harry. Ce dernier fit de même en caressant de ses doigts la douce chevelure rousse. Le moment était magique, tout ce qui était autours avait disparu, il n'y avait plus qu'eux deux, seuls au monde. Leur visage se rapprocha lentement tandis que leur regard restait accroché un à l'autre. Leur lèvres se touchèrent et ils fermèrent tous deux les yeux pour savourer ce moment de bonheur et d'exaltation. Ginny se laissa guider par Harry, profitant pleinement de ce moment merveilleux avec celui qu'elle aimait. Pendant quelques minutes, Harry et Ginny restèrent tendrement enlacés au beau milieu d'Avalon jusqu'à ce qu'un raclement de gorge les ramènent à la réalité.

- Humm Hummm

Les deux tourtereaux se retournèrent pour apercevoir Ron qui les regardaient.

-Merlin vous attends toujours.

Les garçons revinrent quelques heures plus tard, alors que la nuit était déjà avancé. Lily somnolait sur le banc au côté de Ginny et Hermione qui s'occupait du petit Harry. James prit Lily dans ses bras et la conduisit à leur chambre. Les quatre amis restèrent dehors jusqu'au matin. Ils se douchèrent et gagnèrent la grande salle ou tout les regards se tournèrent vers eux. Tous avaient remarqué leur absence de la veille.

-Bonjour Albus, dirent les quatre.

-Bonjour à vous, cela c'est bien passé?

-Tous à fait, tout à fait, vous en saurez plus lors de la réunion dit Ron.

-Bien entendu, répondit Dumbledore.

Après le déjeuner, les quatre amis partirent donner leur cours. De sorts d'attaque pratique. La journée passa relativement rapidement. Ils donnèrent le même cours aux quatre maisons. La majeure partie de leurs élèves avaient le même niveau. Cela leur faciliterais la tâche, ils n'auraient pas de cours d'appoint à donner. Le soir venu, ils donnèrent le premier vrai cours de duel. La participation des Serpentards avaient nettement diminué. Harry aperçut quand même Macnair et Nott dans le fond de la salle.

-Messieurs Macnair et Nott vont servir d'exemple. Approchez messieurs.

Les deux élèves approchèrent dignement de leur professeur.

-Vous allez vous battre en duel selon ce que vous avez appris pendant ce cours et non avec ce que vous avez appris à l'extérieur.

Le regard appuyé d'Harry les fit détourner le regard. Harry leur ajouta en murmurant.

-Prévenez Lucius que je vous ai démasqués. Un seul petit écart et vous serez renvoyés de Poudlard.

Les deux mangemorts déglutirent et commencèrent le duel. Chacun des deux accusait l'autre d'avoir trahi le maître et c'est avec hargne qu'ils s'affrontèrent. Ils utilisèrent légèrement la magie noire, mais Harry n'intervint pas. Les autres élèves n'avaient rien remarqués. Nott fut vaincu par un expelliarmus amplifié.

-Félicitation monsieur Macnair dit Harry. Il rajouta plus bas pour les deux opposants.

-Utilisation de la magie noire prohibé. 2 mois de retenue. Dernier avertissement avant votre renvoi. Venez me trouver demain après les cours.

Macnair et Nott sortirent de la grande salle et s'empressèrent de contacter Lucius Malfoy par hiboux. La réponse ne se fit pas attendre.

-Bande d'incapable, impossible de vous confier une mission, la maître ne sera pas content. Rendez-vous demain soir près du saule cogneur à minuit.

-Ça va barder dit Nott.

-C'est de ta faute aussi dit Macnair.

Les deux antagonistes s'estinèrent plusieurs minutes avant de remarquer deux yeux qui les observaient dans le noir. Leur réaction fut rapide. Deux stupefix fusèrent suivit par deux lumos. Par terre se tenait seulement un bout de papier.

-Votre renvoi approche et c'était signé H.C.

-Harry Cooper, il nous a suivi dit Macnair.

Les deux serpentards regagnèrent rapidement leur dortoir. Harry regagna la grande salle où il termina avec ses amis le cours de duel. Ses amis avaient presque réussis à faire passer son absence inaperçu. Albus lui jeta un regard interrogateur auquel il évita de répondre. Quelques temps plus tard, ils se retrouvaient tous dans le bureau de Dumbledore pour la rencontre de l'Ordre.

-Bonjour et bienvenue à tous. Aujourd'hui sera une rencontre chargé. Vous comprendrez mieux au fur et à mesure de la séance. Je suppose que vous souhaitez tous savoir ce qui est arrivé à James et Lily Potter?

Un mouvement de tête affirmatif se fit voir et Harry poursuivit.

-Dans un de mes nombreux rêve prémonitoire, j'ai vu Voldemort envoyé Nagini, son serpent, tuer Harry à Godric Hollow. Je suis partit immédiatement les prévenir et pour faire une histoire courte, j'ai tué Nagini. Mais Lily et James n'étaient plus en sécurité. Voldemort savait où ils se trouvaient. Il était donc primordial de leur trouver un autre endroit ou vivre en attendant que tous soit fini.

-Mais quel endroit est plus sécuritaire que Poudlard? Demanda Albus

-Justement Albus, nous étions à Poudlard. Depuis notre arrivé, personne ne nous as vu dit James. Vous ne vous demandez pas où nous étions?

-Un endroit inaccessible murmura Dumbledore.

-Vous commencez à comprendre Albus dit Harry.

-Mais est-ce possible que Godric et Salazar..

-Probablement Helga et Rowena aussi Albus, seulement, je ne connais que celle de Godric et de Salazar.

-De quoi parlez-vous demanda Arabella.

-De la chambre des secrets de Godric Gryffondor et la chambre de Salazar répondit Dumbledore.

-C'est là ou vous vous trompez Albus, de la maison secrète de Gryffondor et de la chambre des secrets de Salazar Serpentard. Le coupa encore une fois Harry.

-Mais cela n'est qu'une légende n'est-ce pas demanda Maugrey?

-Malheureusement non, nous en savons quelque chose dit Ron.

-Qu'Y a t-il de mal dans la maison de Gryffondor? Demanda Flitwick

-Demandez-vous plutôt ce qu'il y a de mal dans la chambre de Serpentard répliqua Ginny.

Harry raconta alors en détail sa deuxième année scolaire et ce qui était arrivé dans la chambre des secrets.

-Nous tuerons le basilic avant de repartir d'ou nous venons. Nous ne voulons pas que la chambre puisse être réouverte ou que si elle l,est, qu'il n'y est pas de danger pour les élèves de Poudlard. Dit Ginny

Le silence gagna l'assemblé, chacun tentant d'assimiler la nouvelle.

-Alors Prongs et Felis logent dans la maison de Gryffondor dit Padfoot.

-Exactement, si personne ne l'avait jamais trouvé avant moi, elle devait nécessairement être sécuritaire. Et si en plus la pièce est au sein de Poudlard, endroit craint par Voldemort, James et Lily étaient nécessairement en sécurité. Nous allons vous conduire à cette pièce. Sachez simplement que seule les personnes que je choisi peuvent entrer dans la maison. Vous pourrez aussi y accéder en notre absence en vous présentant au portrait qui garde l'entré. Suivez-moi. Dit Harry.

L'assemblé suivit Harry qui bifurqua dans le couloir adjacent au bureau de Dumbledore.

-Bonsoir Godric, peux-tu laisser entré tous ceux qui sont avec moi?

-Bien entendu Harry, qu'il décline leur identité et ils pourront passer.

-Merci, vous n'avez qu'à faire comme Godric a dit et de passer au travers du portrait. C'est comme la barrière du poudlard express.

Harry fit visiter la maison à tous ses invités. Il invita ensuite Albus à retirer le parchemin de derrière le portrait et à lui remettre. Dumbledore s'exécuta non sans rire. Harry lui remis tout de suite après en lui disant.

-Vous le remettrez à Harry lorsque le temps sera venu. Vous connaissez maintenant un des plus gros secret du château, vous êtes priés de ne jamais le dire à personne. De toute façon, à moins d'être l'héritier de Gryffondor, Godric ne peut faire entrer personne. Dit Harry.

-Allons dans la salle de duel, comme vous le devinez, cette salle est insonorisé. C'est ici que nous faisons notre entraînement et que vous ferez dorénavant le vôtre. Vous êtes libre d'y venir chaque fois que vous le pouvez. L'entraînement de ce soir consiste à vous battre contre nous en lançant le plus de sort possible. Nous n'en lancerons peu. Nous ne nous contenterons de les éviter et les repousser. À vous de trouver une faiblesse dans notre position et de l'exploiter. Bonne chance.

La pratique dura 2 heures. Pendant ces deux heures, les membres de l'Ordre lancèrent attaque sur attaque contre les quatre amis. Dumbledore vint bien près de les atteindre, mais ils parvinrent à repousser l'attaque en s'unissant. C'est épuisé et croulant sous la fatigue que les membres cessèrent l'attaque.

-Expelliarmus dit alors calmement Harry.

Tous les membres excepté Albus perdirent leur baguette et furent mollement repoussé contre les coussins. Harry Parla

-Vous devez augmenter votre endurance. Vous n'avez même pas pus contrer ce faible Expelliarmus du calibre d'un élève de quatrième année. Votre force de groupe est aussi à améliorer. Vous ne vous couvrez pas et nous aurions pus vous éliminés facilement.

-Recuperar Energia lancèrent les quatre amis en même temps.

-Les prochaines réunion seront encore plus difficile. Vous êtes les combattants d'élites, ils vous faut être les meilleurs. Bonne fin de Nuit, on se revoit dans deux jours dit Harry avant de quitter la pièce.

Les membres de L'Ordre quittèrent la maison laissant Harry et le couple Potter seul. Lily partit retrouver le petit Harry.

-James demanda Gryphus, pourquoi n'as tu pas attaqué avec toute ta puissance?

-Je veux que le moins de gens possible connaissent la réel étendue de ma puissance. Je jouirai ainsi d'un effet de surprise lors d'un attaque.

-Tu sais que si tu avais aidé Albus avec son sort, vous seriez probablement arrivé à nous toucher.

-Je sais, je vous ai senti faiblir un moment, mais je sais maintenant que vous n'êtes pas invulnérable.

-En effet, très peu s'en rendre compte je crois. Nous ne sommes pas des super héros, nous ne sommes que des sorciers aux pouvoirs plus élevés que la normal.

-Oui, je sais, désolé de ne pas avoir compris plutôt, tu sais, il est assez difficile de bien vous connaître. Ce que vous avez vécu ne nous est jamais arrivés, nous avons de la difficultés à bien comprendre.

-La vie nous joue parfois de mauvais tour.

-Je crois que je vais aller rejoindre Lily, ce fut agréable de parler avec toi.

-Moi aussi James. Bonne nuit à vous deux, conclut Harry.

Harry regagna sa chambre où il retrouva Ginny qu'il embrassa.

-Ça va? Lui demanda celle-ci

-Oui, oui, je vais bien, j'ai eu une petite conversation avec James c'est tout. Mais je me sent un peu nostalgique. Le père que je venais juste de retrouver n'est pas ce James de ce temps-ci. Il n'a aucun souvenir de moi.

-Je comprends, c'est pareil pour moi, cela fait drôle de me retrouver sans frère, à part Ron bien sur mais je sais ce que tu ressens. Au fait, Ron et Hermione sont dans le jardin, nous pourrions aller les retrouver.

-Pourquoi ne pas rester seul tout les deux, cela fait bien longtemps.

Ginny s'approcha de Harry et lui murmura quelque chose à l'oreille. Harry sourit et d'un murmure à peine audible il dit.

-Closus

La porte du jardin se referma et se barra. Ils éclatèrent de rire.

-Qu'ils essaient d'entré maintenant dit Harry en jouant dans les cheveux soyeux de sa tendre moitié.

-Oh, je suis sur qu'ils oublieront qu'ils sont à l'extérieur dit malicieusement Ginny.

La jeune femme approcha Harry. Son regards profonds brillait de joie et de bonheur. Dans le jardin, un couple s'embrassait étroitement enlacé sur un banc. Les deux personnes étaient échaudés et se fixais avec passion. En symbiose presque parfaite, les deux couples s'aimèrent passionnément. Au levé du jour, Harry leva le sort de fermeture de la porte s'attendant à voir entré Ron et Hermione en furie. Mais ils n'étaient pas à vue. Harry et Ginny sortirent marché près du lac. Ron et Hermione les y rejoignirent. Les quatre amis avaient un visage de bonheur non feint ou on pouvait apercevoir une grande félicité. Sans un mot, ils restèrent ainsi en silence, enlacé jusqu'à ce qu'un raclement de gorge les fassent se retourner. Lily se tenait derrière eux avec le petit Harry dans les bras.

-J'ai pensé que ça vous ferait plaisir de le voir dit Lily.

Gryphus s'approcha du petit et le pris dans ses bras.

-Bonjour toi, comment vas-tu petit bonhomme. Tu vis de grand bouleversement ces temps-ci, mais dit toi que la vie t'es bien meilleur que ce que tu aurais vécu lui dit Gryphus..

Chacun leur tour, les quatre amis prirent Harry et lui murmurèrent quelques mots à l'oreille. Lily leur souhaita une bonne journée et partit rejoindre James.

-Une bonne journée nous attends dit Hermione.

Le quatuor se dirigea lentement vers la grande salle et quitte la maison de Gryffondor.

À Bientôt ~Weirdo~