Troisième jour

Harry ne se réveilla que le lendemain matin, dans son lit. Balayant la chambre du regard il trouva son enseignant assis sur une chaise à son chevet entrain de le regarder avec un grand sourire.

Je suis fier de toi Harry, tu es le deuxième à réussir ce test aussi rapidement.

Harry lui rendit son sourire, sans répondre, le chevalier fit un geste négligent de la main et un grand plateau chargé de nourriture apparu à quelques centimètres au-dessus de la couette. Toujours souriant, il l'invita à manger. Affamé, le survivant se jeta sur son repas. Ben, ravi de son appétit, le laissa manger en silence un moment puis dit :

« Pendant que tu passais le test, mon maître, qui est aujourd'hui conseiller, est venu. Il est probable que tu es un condisciple dans quelques temps. »

Harry cessa immédiatement de manger, et dévisagea le chevalier avec un air attristé. Ben s'assit sur le lit et lui ébouriffa les cheveux avant de dire :

« Je suis désolé Harry, vraiment. Mais je ne peut pas m'opposer aux décisions du conseil. Cependant je peut te promettre, qu'il ne seras pas là avant que tu es su maîtriser tes traits et que tu es oublié le regard des autres. Pour résumer sa présence ne changeras rien, je ne te demanderais pas d'être adulte. »

Un peu rassuré, il avait réellement craint de perdre cette chance de pouvoir redevenir un enfant, Harry se blotti contre lui en souriant tristement. Bizarrement, alors qu'il n'en avait fait l'expérience qu'une fois, il voulait pouvoir encore dormir dans les bras de son maître, la nuit dernière avait été, en dehors du cauchemar (et du réveil), la meilleur qu'il eu jamais passé (tout du moins sans magie).

Ravi de la confiance que cette attitude représentait, Ben eut un grand sourire, et resta immobile jusqu'à ce que Harry ce dégage et revienne à son repas.

Une fois le plateau vide, Harry demanda :

« On fait quoi aujourd'hui ? »

Le chevalier sourit en répondant :

« Sport et peut-être théorie. »

Harry poussa un grognement mécontent, accentuant le sourire de son enseignant :

« Ta technique est assez bonne Harry, même très bonne pour quelqu'un qui n'avait aucune notion de magie sans baguette, mais elle est loin d'être parfaite. Je vais donc t'expliquer comment être plus efficace après que tu te soit muscler un peu. Va prendre ta douche et rejoins moi au sous-sol. »

Harry s'exécuta, et le rejoignit quelques dizaines de minutes plus tard. Alors qu'il s'était attendu à trouver la même illusion, il fut stupéfait de voir que le sous-sol n'avait plus rien en commun avec celui qu'il avait vu la veille.

Une fois la dernière marche descendue, il était entrée dans un marais sombre, envahi d'arbre tortueux, aux silhouettes inquiétantes. Et pourtant cet endroit lui semblait familier, il l'avait déjà vu, mais impossible de ce souvenir où.

Ben sortit de l'ombre qui l'avait dissimulé jusque là et demanda :

« Reconnaît tu cet endroit Harry ? »

L'adolescent répondit par une grimace d'incertitude.

« Cherche, je suis sur que tu va trouver. » Lui dit son maitre.

Harry fouilla sa mémoire, et finit par trouver une similitude, mais ca semblait tellement stupide qu'il hésita à formuler cette pensée à haute voix. Ben sourit et dit :

« N'hésite pas Harry, dit moi à quoi tu pense. »

A mi-voix le survivant répondit :

« J'ai l'impression d'être sur Dagoba. »

Le sourire de Ben s'accentua :

« Gagner ! »

Harry le dévisagea avec un air incertain sur le visage et le chevalier expliqua :

« Tu vois Harry s'il y a bien une chose que l'ordre à comprit depuis longtemps, c'est que l'enseignement doit être ludique. Et s'il y a bien une façon de rendre l'enseignement intéressant c'est en le transposant dans un monde imaginaire où l'élève oubliera les contraintes de la réalité. Tout les enfants de moldus, ou qui ont été élevés par des moldus ont en commun, le fait d'avoir rêver au moins une fois d'être un Jedi. Pour les enfants de sorciers, on utilise une illusion de l'île d'Avalon, eux ont tous rêver d'avoir une fois la puissance des maîtres d'Avalon. »

Harry hocha la tête, c'était curieux, mais assez bien raisonné, sur le ton de la plaisanterie il demanda :

« Et tu va te transformer en Yoda ? »

La seule réponse qu'il obtient fut, de voir le corps du chevalier devenir flou, pour se retrouver quelques instants plus tard en face d'une copie du celebrissime maitre Jedi. D'un ton plus qu'amusé le petit être dit :

« A l'endroit veut tu que je parle ? »

Harry éclata de rire, et dit :

« Si tu reste comme ca j'arriverais à rien, reprends ta forme normale s'il te plaît. »

Ben s'exécuta, et dit :

« Tu vois la lumière au fond du marais ? – Harry hocha la tête – Tu devras l'atteindre avant qu'une heure ne soit écoulée, si tu échoue tu seras renvoyé ici. »

Le survivant acquiesça de nouveau et le chevalier lui donna le signal du départ. Le survivant souffla un bon coup avant de partir à toute vitesse. Sautant par dessus les racines, s'accrochant aux lianes pour passer les flaques de boue, Harry se donnait à fond pour réussir ce test, comme il avait réussit celui de la veille. De temps en temps, Ben apparaissait à ses cotés, observant ses mouvements, ou lui rappelant l'heure.

Mais malgré toute sa volonté, Harry échoua, il avait couru pendant une heure et n'avait même pas parcouru la moitié du chemin. Epuisé et déçu de son échec, il se laissa tomber à terre. Il fallut une dizaine de minutes pour que Ben se décide à apparaître à ses cotés, d'un ton méprisant il demanda :

« Est-ce là tout ce que tu es capable de faire ? »

Harry se hérissa immédiatement à ce ton hautain, mais il réalisa qu'il n'y avait rien à répondre, aussi garda-t-il le silence. Ce que ne fit pas le chevalier :

« Un essai et tu abandonne déj ? »

Le survivant baissa la tête, le ton de son maitre n'était plus méprisant, mais ouvertement déçu, et malgré le fait qu'il ne le connaissait que depuis très peu de temps, le regard de cet homme comptait plus pour lui que n'importe quoi. Ben continua :

« Tu n'as peut-être pas ta place ici après tout. »

Sa peine avait atteint son paroxysme avec cette simple suite de mots, Ben le trouvait faible, le trouvait indigne de recevoir l'enseignement de chevalier, les larmes aux yeux Harry secoua la tête. Non ! Il lui prouverait qu'il en était digne, qu'il pourrait sans honte le proclamer comme son élève, il le rendrait fier de lui une nouvelle fois.

Sans un mot il repartit en direction de la lumière, il n'entendit jamais Ben murmurer :

« Pardon petit frère. »

Une nouvelle fois il échoua, mais cette fois il ne resta au point de départ que le temps de reprendre un peu son souffle, au fils des échecs il voyait avec plaisir qu'il se rapprochait peu à peu de la lumière. Intensément concentré sur son objectif, il ne se rendit pas compte, qu'à défaut d'arriver jusqu'à la lumière, il avait appris à utiliser la magie pour effacer sa fatigue, désormais à chaque départ il commençait en pleine forme. Ce ne fut qu'au bout du 10° essais qu'il n'eut plus suffisamment d'énergie pour continuer, mais, voulant absolument rendre son maître fier de lui, il n'arrêta pas, même en sachant pertinemment que continuer était inutile.

Alors qu'il courrait tant bien que mal, il se prit les pieds dans une racine et tomba, le souffle coupé par le choc, il tenta néanmoins de se relever, Ben apparu à ce moment.

« Inutile Harry, ca suffit pour aujourd'hui. »

Mais Harry ne l'écouta pas, il voulait y arriver, il voulait que son maître soit fier de lui, souriant de son entêtement, Ben l'aida à se relever et le serra dans ses bras en disant :

«Tu as tenu plus longtemps que beaucoup Harry, je suis déjà fier de toi, inutile de te mettre en danger. »

L'entêtement fut remplacer par la fatigue et ses jambes se dérobèrent sous lui, il serrais tomber s'il n'avait pas été dans ses bras. Abruti par la fatigue, il s'abandonna à cette étreinte sécurisante, souriant Ben le souleva du sol tout en faisant disparaître l'illusion.

Harry soupira de soulagement, quand quelques minutes plus tard, il fut sur son lit. Ben lui ébouriffa les cheveux et dit :

« Tu ne vas pas pouvoir dormir avant quelques heures, tu as trop puisé dans ta magie corporelle. »

Le survivant fronça péniblement un sourcils, et le chevalier, tout en entrant dans la salle de bain, lui expliqua :

« La magie présente en nous est divisé en plusieurs morceaux. – Harry entendit vaguement un bruit d'eau – La magie usuelle, celle qu'on utilise avec une baguette, ou sans, la magie spirituelle, qui permet à l'esprit de fonctionner, la magie corporelle, qui permet au corps de fonctionner et enfin la magie vitale qui nous permet de vivre. Aujourd'hui tu as vider ta magie usuelle, et ta magie corporelle en a pris un méchant coup, si tu avais continuer tu aurais senti un brusque regain d'énergie, signe que tu avait atteint ta magie vitale, c'est extrêmement dangereux Harry, si tu vide ta réserve de magie vitale alors tu mourras. »

Il revint dans la chambre et commença à lui ôter ses vêtements, malgré sa fatigue Harry se dressa comme un diable sortant de sa boîte, et lui jeta un regard de vierge outragé. Ben rit et dit :

« Harry tu es en nage, et vu ton état tu es incapable de te laver seul, c'est donc à moi de le faire. »

Harry rougit, oui il adorait son maître et son coté « grand frère protecteur » mais il y avait des limites. Tentant de ne pas le blesser il dit :

« Je me laverais quand j'irais mieux. »

Ben secoua la tête :

« Harry. D'une si tu reste comme ca tu va tomber malade, de deux tu n'as rien que je n'ai jamais vu, de trois je t'ai dit que ce genre de pudeur était déplacé ici et de quatre je ne vais pas te sauter dessus. »

Harry rougit encore plus violemment et dit :

« Mais je n'ai pas l'habitude. »

Ben sourit :

« Je le sais Harry, mais dit toi que dans ce cas là, c'est comme si j'était un médicomage ou une infirmière, je suppose que tu as déjà subit ca de Pomfresh. »

Harry hocha la tête, et lâcha d'un ton résign :

« Tu as raison je suis ridicule. »

Le chevalier secoua la tête :

« Tu n'es pas ridicule, seulement engoncé dans la morale judéo-chrétienne, comme beaucoup d'autres, ce n'est pas une tare. A l'occasion je te ferrais un petit cours d'histoire pour que tu comprenne que les choses n'ont pas toujours été ainsi. »

Sur ce il finit de le déshabiller, Harry tentait de contrôler sa gêne, tandis que son maître le reprenait dans ses bras pour aller le déposer dans la baignoire pleine d'eau chaude.

D'une façon totalement impersonnelle Le chevalier commença à le laver tout en reprenant ses explications sur la magie interne :

« Pour ton information c'est cette même magie vitale qui à fait de toi le survivant. Le sort de mort vide la cible de sa magie vitale, mais dans ton cas Tom n'a pas donner suffisamment de puissance à son sort, c'est un événement rare. Ta magie vitale était tellement forte qu'elle à repousser le sort, le dirigeant vers la seule autre source de magie présente, à savoir Tom. Mais une petite partie du sort t'a néanmoins atteint, te faisant cette cicatrice, le reste à frapper Tom et lui à aussi laisser une marque, j'ignore laquelle mais j'en suis sur. C'est un lien de mort Harry, et j'espère que jamais il ne découvrira un moyen de te blesser sérieusement par ce lien. – Harry grimaça à cette pensé, si Voldemort trouvait le moyen de le tuer par se cicatrice, aucune des protections de Poudlard ou du cercle ne l'en empêcherait – Mais rassure toi, le lien étant mental, l'occlumencie de te protégera de tout. »

Harry avait à présent perdu toute gêne, se demandant même si son maître n'avait pas usé d'un sortilège pour le détendre, ou alors cela venait de ce coté impersonnel que Ben mettait dans ses gestes, haussant les épaules il demanda :

« Pourquoi je ne peut pas dormir ?

Bonne question, à la vérité je n'en sais rien, il y plusieurs théorie mais aucune n'explique tout. La seule chose que l'on sait, c'est qu'il est impossible dormir quand on a utilisé une trop grande part de sa magie corporelle. Le mieux pour la régenérée c'est de manger, et de faire trvailler son esprit. »

Tout en disant cela, il le sortit de la baignoire et le posa sur une chaise pour le sécher, puis continua :

« Une fois que tu seras habillé, je t'emmenerais au salon et tu mangeras tout ce que tu pourra avaler, ensuite je te ferrais le petit cours d'histoire que je t'ais promis »

Harry hocha péniblement la tête, tendis que le chevalier finissait de sécher ses cheveux, un geste de sa part et il se retrouva vetu d'un pyjama et de sa robe de chambre. Apparement résigné à ne rien pouvoir faire de lui même, Harry tendis les bras pour que Ben le porte. Souriant le chevalier le pris dans ses bras et le porta jusqu'au salon, après l'avoir confortablement installé sur un fauteuil il demanda aux deux elfes de maison de leur apporter à manger pour deux.

Quelques instants plus tard ils étaient installés devant un repas suffisant pour une dizaine de convives. N'ayant plus aucune force, Harry dut supporter la honte de se faire nourir par son maître, ce dernier ne cessant de lui répéter qu'il ne devait en aucun cas avoir honte de sa faiblesse passagère.

Le repas finit, Ben repris le survivant dans ses bras et s'assis sur son fauteuil, l'adolescent pelotoné contre lui. Désormais totalement résigné, Harry, la tête logée dans le cou de Ben, s'abandonna à cette étreinte en poussant en soupirant de bien-être. D'une voix douce, convenant davantage à un conte pour enfant qu'à une leçon d'histoire, Ben commenca :

« Jusqu"au 17° siècle, selon le calendrier chrétien, le monde des sorciers n'acceuillais pas les enfants de moldus. Le seul endroit où ils étaient acceptés c'était Poudlard, aucun autre site ne voulait d'eux, les sorciers se défiaient d'eux, mais sans pour autant les méprisés ou les haïr. A l'exception évidemment de certaines grandes familles, comme les Malefoy.

Toujours est-il qu'à partir de cette date, les sorciers issus de moldus ont commencés à s'intégrer, apportant avec eux leur religion et leur morale. Alors qu'avant le monde sorcier était totalement libre de ce genre de choses, les sorciers ne croyaient qu'en la magie ou en Merlin, sans pour autant lui rendre un culte. Mais ils le considéraient, et le considère toujours comme le plus grand sorcier de tout les temps, et puisse que son existence est une vérité historique, il n'y avait aucun débats sur la justesse de ce comportemment.

L'arrivée des enfants de moldus à changer cela, non pas que les sorciers ce soient converti, mais ils commencèrent à s'imprégner de ces idées, dans l'ensemble ce n'est pas un mal, dans leur formes pures, les dogmes religieux sont tout à fait louables. Les dix commandements des religions chrétienne et judaïques sont frappés au coin du bon sens. Mais ces religions avaient depuis longtemps été polluées et détournés par des hommes avides de pouvoirs et/ou étroits d'esprit. De là découlèrent les interdits que tu connais, la nudité, l'homosexualité, le désir etc.

Et les sorciers qui étaient dans la grande majorité des esprits ouverts, ce sont peu à peu retrouvé engoncés dans cette morale, et ont fini par agir comme des moldus sur certains point.

Pour te donner une idée, il y a quatre siècle, tu pouvait sans aucune crainte aller trouver l'aïeul de la famille, que tu trouvais tellement vieux jeu et borné, et lui annoncé que tu était un amoureux des hommes. La seule chose qui l'aurait intéréssé, ca aurait été si ton fiancé était sorcier et s'il était quelqu'un de bien.

Aujourd'hui tu aurais déjà du mal d'en parler à tes amis alors imagine à l'aïeul vieux jeu…..

Cette transformation nous la devons aux enfants de moldus, les sorciers ont gardés pendant près de 1700 ans les critères de l'antiquité en ce qui concernais la morale. Aujourd'hui le cercle est un des seuls endroits du monde sorcier où ce point de vue à perduré, enfin fort heureusement les moldus recommence à être plus ouverts et cela ce ressent chez les sorciers. »

Harry avait écouté avec attention ce résumé d'histoire, tout en se disant qu'en dehors de ses amis, si jamais il se découvrait attiré par les hommes il n'aurait plus de famille à qui l'annoncé. Tout en le laissant assimilé ses paroles, Ben lui posa une main sur le front et après quelques instants dit :

« Ta magie corporelle est presque totalement rétablie, il est temps que tu aille dormir. »

Harry hocha la tête et demanda :

« Tu reste avec moi ? »

Le chevalier acquiessa et le monta dans sa chambre, une fois son élève bordé il dit :

« Je te rejoindrais plus tard, et demain je te laisserais dormir. »

Sentant ses yeux se fermés Harry hocha la tête pour seule réponse et s'endormit.

RAR :

Onarluca : Toujours fidèle à ce que je vois, ca me fait hyper plaisir, merci pour tes reviews.

Mary Lary : Merlin que de louanges, t'arrete pas surtout.

Sweetjulia : Merci, pour ce qui est de ta question j'hésite encore.

Vaness : Merci, suffit de demander.

Abel : Merci, pour le slash je sais pas encore, j'en ai fait dans toutes mes fics, mais sur celle là je sais pas.

Fandjo : Eh bien la voila.

Van : Merci, voila la suite.

Phantme : Pkoi surprise ? ? ? ? j'accepte ton invitation, pour ce qui est des phrases qui ne veulent rien dire est-ce que tu pourrais me dire lesquels ? ( j'avoue que ca m'étonne, mais bon l'essentiel c qu'on comprenne) pour l'aurtaugrraffe je sais je suis nul, mais si tu te sent l'âme d'un(e) corecteur(trice) fait moi signe peut-être qu'on pourra trouver un moyen (je suis très impatient dès qu'un chapitre est fini faut que je le mette)

Math : Merci, tu vois ta pas eu à attendre longtemps.

Cloclo : Merci, je sais pas pour le slash.

David : Merci, c très sympa, pour ce qui est du nombre de chapitre, je ne sais pas, j'écris en fonction de l'inspiration, donc je préfère attendre d'avoir une bonne idée plutot que de me forcer à écrire un chapitre don't je serrais pas content. C'est pour ca que je prefere ne pas donner de delai (je supporte pas quand on les tients pas)

ENCORE MERCI A TOUS POUR VOS REVIEWS

Petite annonce : Comme je l'ai dit à David j'écris en fonction de l'inspiration donc, ne vous attendez pas à un rythme de parution aussi rapide.