Ministère et Poudlard

Le soleil venait à peine de se lever quand Harry sentit une main lui seccouée doucement l'épaule tandis que son maitre l'appellait doucment. Emergeant avec réticence du sommeil, Harry attrapa un oreiller pour glisser sa tête dessous en gromellant :

« T'm'avais promis….laisserais dormir. »

Ben sourit, décidement Harry n'était pas du matin, puis s'expliqua :

« Je suis désolé de te réveiller Harry, mais j'ai été chargé d'une mission pour le conseil je serrais absent toute la journée. Alors repose toi ce matin et cette après-midi lit les livres que j'ai déposé au salon. Je ne devrais pas rentré trop tard. »

Il se dirigea vers la porte, mais ce retourna au dernier moment :

« Harry deux choses, ne sort pas de la maison, et si tu a un problème, utilise la poudre de cheminette et demande le conseiller Tabris, il a été mon maitre et il t'aideras. »

Harry grogna en signe de compréhension et Ben sortit. Le chevalier se rendit immédiatement au salon, et après avoir jeté une bonne poignée de poudre dans la cheminée énonca clairement :

« Ministère de la magie. »

Quelques secondes plus tard il apparaissait dans l'atrium, sous l'oeil méfiant du controleur, qui ne le reconaissait pas comme un employé du ministère. Sans prendre garde à l'hostilité de l'homme, Ben s'avanca et posa bruyament sa main droite sur le comptoir, le controlleur écarquilla les yeux devant sa chevalière et après s'être assurer qu'il ne revait pas se leva et d'un ton admiratif demanda :

« Que puis-je pour vous seigneur chevalier ? »

Ben eut un sourir face au changement de comportement de l'homme et répondit :

« Je suis porteur d'un message du conseil pour le ministre de la magie. »

L'employé hocha la tête d'un air empréssé et écrivit une courte lettre à destination de l'assistant du ministre, d'un coup de baguette la lettre se plia en forme d'avion et s'envola jusqu'à son destinataire. Ben attendi patiement l'arrivé de son « éscorte » tout en éxaminant les restes de la fontaine, il seccoua la tête en plaignant intérieurement son élève qui avait subit tant de malheurs.

L'arrivée d'un homme roux, à l'air précieux, le sortit de ses pensées, comme pour tout les futurs chevaliers, le conseil avait pris des renseignements poussés sur Harry, Ben n'eut donc aucun mal à reconnaitre Percy Weasley et dut faire un éffort de volonté pour ne pas l'incrusté dans un mur, en espérant que le choc lui rende le peu de raison qu'il avait jamais pu avoir.

Percy s'inclina devant le chevalier, Ben sourit intérieurement, Percy ne devait avoir de considération pour personne qu'il ne sache supérieur à lui, et se présenta :

« Je suis Perceval Weasley, l'assistant personel du ministre, et je serrais ravi de transmettre le message du conseil à Mr le ministre. »

Ben se résolu à lui faire un peu peur, convaincu que cela amuserait Harry, d'une voix froide et méprisante il dit :

« Soit vous êtes nouveau, soit vous êtes stupide les affaires du conseil ne concerne pas les sous-fifres. Surtout ceux qui trahisse leur propres familles. »

Percy devint blanc sous la remontrance de l'homme et après avoir difficilement, et bruyament, déglutit s'excusa et dit :

« Heu dans ce cas je vais vous menez au bureau du ministre. »

Sans même prendre la peine de lui jeter un regard, Ben acquiessa et partit en direction des assenceurs. Ce que Percy ignorait, comme beaucoup d'ailleurs, c'est que le ministère avait été construit par l'ordre, et à ce titre Ben savait parfaitement où trouver le ministre.

Ne se demandant même pas si Percy le suivait, Ben appella l'ascenceur et monta dedans, l'assistant du ministre ayant à peine le temps de s'engouffrer dans la cabine avant que les portes ne se refermment.

Appuyé dans un coin Ben dévisageai Percy, comme s'il avait été un sujet d'étude particulièrement répugnant, dont il serais interessant d'étudier le métabolisme, en le disséquant par exemple. De plus en plus mal à l'aise, Percy tenta de se donner un contenance en examinant les dossiers qu'il portait, après quelques minutes, particulièrement longues pour le jeune homme, l'assenceur atteint enfin l'étage demandé.

Toujours silencieux, Ben sortit de la cabine, non sans avoir involontairement fait tomber les dossiers que portait l'assistant. Il tourna à gauche et après avoir frappé à une porte entra dans l'antichambre du bureau du ministre. Une jeune femme, dont les talents devait plus s'exprimer en-dessous d'un bureau qu'au-dessus, terriblement occupée à se limer les ongles, lui demanda d'un ton désintéréssé :

« Vous avez rendez-vous ? »

Ben leva les yeux au ciel, si cette acceuil refletait la mentalité du ministre alors le conseil avait bien fait de l'envoyer. Il n'eut même pas le temps de répondre que Percy entra en disant :

« Monsieur est chevalier Penny, il porte un message du conseil. »

Penny laissa immédiatement sa lime à ongle, pour se précipiter sur la porte du bureau, après en avoir reçu l'autorisation elle passa la tête par l'entrebaillement, mais Fudge ne lui laissa pas le temps de parler, Ben entendit distinctement l'homme censé défendre le monde de la magie dire :

« Pas maintenant Penny, tu m'a déjà épuisé tout à l'heure mais je te promet que je te laisserais m'attacher au bureau cet après-midi. »

Ben secoua la tête d'un air desespérer, tandis que Percy prenait un couleur se mariant parfaitement avec celle de ses cheveux, la secrétaire se trémoussa, peut-être d'impatience, et d'une voix faussement professionelle dit :

« Mr le ministre, il y a là un chevalier qui porte un message du conseil. »

Ben imagina sans peine le visage de Fudge devenir alternativement rouge puis blanc. L'inquiètude du ministre n'était pas totalement infondé, le conseil n'interferait que très rarement avec la politique du ministère ce concentrant davantage sur l'action, mais aucun ministre ne pouvait garder son siège longtemps sans l'aval du conseil, et vut l'année passée, Fudge devait déjà se voir en controleur du magicobus.

Tentant de conserver une voix ferme il dit :

« Eh bien faite le entrer Penny. »

La secrétaire s'éffaca et fit signe à Ben de rentrer, il avait à peine fait deux pas, qu'il vit le mouvement de Percy pour le suivre. D'un bloc il se retourna vers le jeune homme et sur le même ton que dans l'atrium dit :

« Vous devez être un imbécile, il me semblais avoir été clair. »

La rougeur qui avait colorée les joues du troisième Weasley s'éffaca pour laisser place au blanc, il bafouilla une excuse et sortit de l'antichambre, résolu à mettre le plus de distance possible entre lui et le chevalier.

Ben rentra enfin dans le bureau du ministre, ce dernier, un sourir crispé sur le visage se leva et lui tendit la main en disant :

« C'est un honneur chevalier, je suis ravi de voir que le conseil est là pour nous soutenir. »

Ben négligea la main et s'assit sans attendre d'invitation,Fudge était rester figé par le vent qu'il venait de se prendre. Le chevalier, devant l'air éberluer du ministre, dit :

« Je vous en prie prenez place. »

Fudge sembla reprendre pieds dans la réalité et s'executa, sans même penser un instant à faire remarquer au chevalier qu'il était dans son bureau. Une fois le ministre assis Ben commenca :

« Je ne vais pas y aller par quattre chemins Mr Fudge, votre lacheter et votre stupidité nous ont fait perdre un an, sans compter la rancoeur du survivant à votre égard. Devant ce fait le conseil vous propose 3 choix, soit vous déléguer à Dumbledore tout les pouvoirs concernant la guerre, soit vous démissionez, soit vous mourrez. »

Fudge devint aussi pâle qu'un fantôme à la dernière proposition, difficilement il bredouilla :

« Je meurs ? »

Ben hocha la tête d'un air satisfait :

« Oui, mais vous mourerez en héros, disons tuer par Voldemort en personne, belle fin pour un incapable. »

Connaissant pertinemant la puissance d'un chevalier Fudge garda le silence face à l'insulte et dit :

« Mais j'ai compris qu'il était de retour, et je vais tout faire pour l'arreter. »

Ben sourit :

« Mr Fudge, je suis injuste avec vous, vous n'êtes pas incapable, du moins pas totalement. Durant les treizes années de paix vous avez été un ministre acceptable mais vous n'avez pas la carure nécéssaire à la guerre. »

Fudge ouvrit la bouche pour protester mais Ben ne lui en laissa pas le temps :

« Allons Fudge soyez réaliste, si le survivant n'avait pas défait Voldemort il y a maintenant près de 15 ans vous n'auriez jamais été élu, les sorciers ne vous ont choisi que parceque la paix était revenu et que vous étiez bon pour gérer un pays à reconstruire. Sans Harry Potter vous ne seriez pas ici, vous auriez continuer à vous occupez des nouvelles inventions sorcières, et sans Dumbledore et ses conseils vous ne seriez pas rester ministre aussi longtemps.

Je trouve que le conseil vous offre des choix honorables, mourir en héros ou reconaitre vos erreurs, tard, mais les reconnaitre tout de même. Il vous offre même la possibilité de gardez votre place, de mon point de vue c'est plus que ce que vous méritez. Ah autre chose avant que j'oublie, si vous voulez gardez votre place vous devrez également présenter des excuses publiques à Dumbledore et surtout au survivant. »

Fudge déglutit péniblement et demanda :

« Combien de temps….. »

Ben le couppa :

« Rien du tout, je veut votre réponse maintenant. »

Fudge hocha difficilement la tête et, après quelques instants, lacha :

« Je garde mon poste ! »

Ben acquiessa à son tour et dit :

« Nous l'avions prevu. – Il sortit un rouleau de parchemin de sa poche – Voici le texte des excuses, ainsi que la délégation de tout les pouvoirs concernant la guerre à Albus Dumbledore. »

Il posa le rouleau sur le bureau et sans un mot supplémentaire sortit, laissant le ministre totalement éberlué.

Il n'eut pas la satisfaction de croiser à nouveau Percy, durant le trajet jusqu'à l'atrium. Le controleur lui fit un signe de tête quand il passa devant lui et Ben utilisa une nouvelle fois une des cheminés pour se rendre dans un autre haut lieu de pouvoir du monde magique :

« Poudlard ! »

Le collège étant quasiment vide durant les vaccances, sont arrivés passa inapercu, froncant les sourcils devant se manque de précautions, il se dirigea vers la grande salle. Mine de rien sa mission au ministère avait durée plus qu'il ne le semblait et l'heure du déjeuner était déjà là.

Le chevalier s'avanca d'un pas conquérant sous le plafond magique, souriant au regard choqués des professeurs présents. Dumbeldore se leva et , l'ayant identifier dès qu'il avait mit un pieds dans l'enceinte de l'école, le salua :

« Bienvenue chevalier. »

Les quelques professeurs présents hoquetèrent de surprise, il était rare qu'un chevalier vienne à Poudlard, mais une chose encore plus curieuse les fits oublier ce fait. Le bruit se répandant rapidement, tous les professeurs, sauf le directeur, se tournèrent vers Rogue qui, rareté supreme, souriait. Le sinistre professeur de potions se leva et , après avoir fait le tour de la table sauta dans les bras du chevalier en disant :

« Ben, sale gosse, que vient tu faire ici. »

Le chevalier acceuilli avec plaisir l'étreinte de son vieil ami et répondit :

« Plusieurs choses Sev', dont une te concerne. »

Badinant, comme personne ne l'en aurais cru cappable, le maitre des potions répondit d'un ton faussement affecté :

« Moi qui croyais que je te manquais, tu me brise le coeur.

Encore faudrait-il que tu en ai un, batard graisseux. »

Ce fut la première fois que beaucoup de professeurs virent l'austère maitre des potions rire réelllement. Une fois que tout deux furent calmer, Dumbledore s'enquerra des motifs qui avaient poussé un chevalier à venir à Poudlard. Toute trace de joie disparu de son visage Ben dit :

« Je pense qu'il vaut mieux que nous en parlions seuls professeur. »

Dumbledore hocha la tête et mena le chevalier dans son bureau, sitôt la porte passée, Ben fut assailli par une tornade rouge et or piallant son ravissement à haute voix. Le chevalier sourit et caressa le phénix doucement, avec une petite trille de joie ce dernier ce posa sur son épaule, apparement résolu à ne pas en bouger avant un moment. Dumbledore sourit à l'éxubérance de son compagnon, Fumsek n'était pas à proprement palrer un animal de compagnie avide de caresses, seules quelques personnes trouvaient grâce à ses yeux, en fait seulement trois : lui-même, le chevalier et Harry.

Chassant cette micro-intérogation de son esprit le directeur désigna un siège au chevalier qui s'assit avec plaisir. Après un moment de silence, Dumbledore hésitant à parler le premier, et Ben n'ayant aucunement l'intention de lui facilité la tâche, le vieil homme reposa sa question :

« Que me vaut le plaisir chevalier ? »

Ben sourit, il connaissait l'homme de réputation et en-dehors de son ingérence constante dans la vie du survivant il n'avait rien à lui reproché, de plus il avait la puissance nécéssaire pour devenir chevalier, ce fait seul forçant le respect. Le jeune homme s'éclairci la gorge et dit :

« Plusieurs choses professeur, tout d"abord vous receverez sous peu le controle totale des aurors et utre factions utile à la guerre, vous aurez tout pouvoir pour combattre Voldemort. »

Dumbledor sourit :

« Je vois mal Fudge acceptant de lui-même de me transmettre ces pouvoirs. »

Ben ne répondit pas se contentant d'un léger rire accompagné d'un hochement de tête. Après un autre silence il pris une voix beaucoup plus dure pour continuer son message :

« Le conseil à été informé des évenements relatifs au survivant lors de l"année passée. Inutile de vous dire que beaucoup vous désaprouve. Vous avez extremement mal juger le caractère de ce jeune homme, sans compter le fait de l"avoir placer chez ses monstres, à ce propos sont-ils morts ? Nous avons eu vent d"une attaque sur privet drive. »

Dumbeldore hocha la tête :

« Oui ils sont morts tout les trois, apparemments après une longue séance de torture, Voldemort voulant sans doute savoir où se trouvait Harry. Ce que j"aimerais bien savoir également. »

Il jetta un regard intérogateur au chevalier mais ce dernier conserva toute sa maitrise pour répondre :

« Cette question à déjà été posée professeur, et la réponse n'a pas changer nous n'en savons rien. »

Dumbeldore hocha la tête, convaincu que l'homme ne lui mentait pas, le chevalier reprit :

« Quoi qu'il en soit, si le survivant venait à revenir ici, le conseil vous………demande (il avait faillit dire ordonne) de ne plus intérferer dans sa vie, s'il veut rester ici pour les vaccances acceptez, s'il veut aller au 12 square grimaud acceptez. Laissez le libre de ses choix et ne lui dissimulé plus rien, du moins si vous êtes sur que son occlumencie est suffisante contre Voldemort. »

Le vénérable directeur acquiessa, si le conseil de l'ordre de la lumière lui demandais cela il le ferrait, c'était des alliés trop précieux pour se les mettres à dos. Ben reprit une voix plus chaleureuse pour dire :

« Et maintenant j'aimerais m'entretenir avec le professeur Rogue au sujet d'un de ses élèves. »

Dumbledore envoya presstement un fantôme chercher le dit professeur et pour patienter proposa un légère collation au chevalier qui se contenta d'un café. Il était en train de boire sa deuxième tasse quand Severus entra :

« Vous m'avez demandez Albus ?

Pas tout à fait Severus, c'est le chevalier qui m'a demander de vous appellez, à propos d'un de vos élèves apparement. »

Severus s'assit sous l'invitation du directeur et dévisagea son ami, attendant qu'il parler. Le chevalier ne joua pas au même jeu qu'avec le directeur et demanda :

« Sev' que pense tu de Drago Malefoy ? »

Le directeur des serpentard tiqua et répondit en pesant ses mots :

« Il est le chef de sa maison, un élève brillant.

Et d'un point de vue humain ? Sincerement ? Sincerement ! C'est un sale petit con prétentieux et mauvais comme une teigne. »

Ben sourit puis continua :

« Au service de Voldemort ? »

Severus réfléchi un moment avant de répondre :

« Pas que je sache mais c'est son rêve, il veut devenir comme son père. »

Le visage du chevalier se fit pensif et après quelques instants il demanda :

« Une chance de le tourné vers la lumière ? »

Rogue grimaca et répondit :

« Infime, mais peut-être qu'en lui montrant qu'il y a des gens supérieurs à lui, en le rabaissant quoi, peut-être qu'il pourrait apprendre. Honnetement j'en doute. »

Le chevalier plongea à nouveau dans ses pensées pendant un instant puis demanda :

« Est-il vraiment d'accord avec les idées de Voldemort ou cherche-t-il la puissance et la liberté qui en découle ? »

Severus secoua la tête :

« Je ne sais vraiment pas Ben, la seule chose que je puis te dire c'est qu'il a du subir autant de doloris que Potter si ce n'est plus, à la différence que c'était notre cher Lucius qui lui lancait. Alors de là peut-être que c'est effectivement la liberté apportée par la puissance qu'il chercher, je ne serrais pas surpris s'il ne cherchait qu'à dépasser son père auprès de Voldemor pour pouvoir le tuer sans risques. »

Ben hocha la tête et dit :

« Bon très bien, je transmettrais tout cela au conseil, messieurs, bonne journée. »

Sur ce il se leva et quitta le bureau, il avait à peine fait quelques pas dans le couloir que Severus le rattrapa, un peu éssouflé il demanda :

« Ben est-ce que tu sait où peut être Potter, Dumbledore s"inquiète pour lui. »

Ben leva un sourcil interrogateur, et garda le silence, laissant le professeur de potions mariner dans son jus, il finit par craquer :

« Oui bon d'accord moi aussi je m'inquiète, content ? »

Ben lui fit un sourir éclatant avant de répondre :

« Hélas Sev" je n"en ai aucune idée, mais si je le vois je lui ferrais part de ton inquiètude je suis sur que ca lui ferra plaisir. »

Laissant le professeur de potions éructer contre lui il reprit son chemin et quelques instants plus tard fut de nouveau chez lui.

RAR :

Onarluca : Que dire sinon merci et voici la suite ?

Darkness Call : Ronronronronronronron (t'arrete pas surtout je ronrone de plaisir.)

Cloclo : Dsl j'avoue ne pas avoir relu ma Bible depuis longtemps donc j'ai pris un raccourci.

Darky : C'est SUPER sympa (lol)

Umbre : Je crois que je n'ai jamais apprécié autant une review (dsl pour les autres pas taper svp) mais étant moi-même fan de « Coeur de cristal » je savoure d'autant plus le fait que tu aime ma fic. Merci (petite larme d'émotion)

Kikou : Super review (lol)

Mary Lary : Surtout ne te sent pas obligé d'arreter les fleurs, merci.

Popov : Tient un habitué. Merci beaucoup de me suivre sur celle là aussi.

Phantme : Ben si tu te sent le courage fait moi signe après tes exams et on devrit pouvoir s'arranger, merci.

Van : Merci.

Callista : J'espere aussi, et non je n'ai aucune idée du nombre de chapitre, mais si je suis complétement mon idée elle serras sans doute très longue (j'ai dit si). Merci d'avoir aimer (et de l'avoir dit ca gâche rien.)

Sen : Merci, pour répondre à ta question non je n'impose aucune fréquence dans les parutions, c'est totalement à l'inspiration, mais pour l'instant ca va.

Petites sorcières : Merci, mais qui te dit que c'est son grand frère ? Après tout ca peut bien être un terme purement affectueux. Pour ce qui est du slash je ne sais pas encore si j'en met un ou pas.

David : Merci, et pour Drago, je ne sais pas encore s'il va venir ou pas, et s'il vient si je le fais se tourner vers la lumière ou pas ( c'est quand même une fic surtout sur Harry et Ben)

MERCI A TOUS ENCORE UNE FOIS

Petite annonce pour ceux qui suivent « Jouvence », non je n'ai aps arreter (je le dit tout de suite) mais l'inspi me manque dernièrement donc ne vous attendez pas à un nouveau chapitre rapidement.