La véritable histoire de Poudlard

A la suite de la bataille au chemin de traverse, l'entraînement ce fit encore plus dur, Ben voulait que son frère soit capable de faire face à toutes les situations possibles. Même s'il peina un peu, Harry suivit le rythme imposé par son maître, il savait qu'il aurait du faire mieux ce jours là, Ron, Ginny, Fred et Georges auraient très bien pu mourir si cela avait été le plan de Voldemort. Il aurait du retenir le mage noir plus longtemps, au moins le temps que Ben arrive et peut-être même jusqu'à l'arrivé des aurors.

C'était le 28 août, et Harry avait bien changé, suivant les conseils de son maître il avait développé sa musculature au-delà de ce que Ben estimait comme étant le minimum, et pour éviter d'avoir l'air trop impressionnant il avait usé de sa magie pour grandir. Deux mois plutôt il faisait dans les 1m60 et aujourd'hui il faisait environ 30 centimètres de plus, le petit garçon chétif était devenu un homme grand et musclé. Harry s'étonnait d'ailleurs souvent de sa nouvelle apparence, il était fier d'être aussi musclé que son maître, il était fier de lui ressemblé autant.

Allongé sur son lit, il soupira, aujourd'hui Ben était à une réunion du conseil, normalement elles se tenaient à minuit mais exceptionnellement celle-ci avait lieu en pleine journée. Harry soupira de nouveau, Ben l'avait réveille encore plus tôt que d'habitude pour le prévenir et depuis il n'avait pas pu se rendormir, Ben lui manquait, il avait pris l'habitude de dépendre de lui. Il décida de sortir tout de même de son lit, ne serrais ce que pour migrer au salon, où la télé l'attendait, une de ses rares journées de repos. Les elfes lui apportèrent son petit déjeuner tandis qu'il se vautrait dans le fauteuil de son maître, le plus confortable de la pièce.

La réunion avait commencée depuis plusieurs heures, quand le conseil aborda enfin le sujet qui l'intéressait. Tabris se leva et dit :

« Conseillers ! L'apprenti du chevalier de platine est apte à passer les épreuves. »

Il y eut un léger brouhaha de surprise, tous les conseillers savaient qu'il était doué, très doué même, et beaucoup avaient espéré qu'il y parvienne aussi rapidement, mais tout de même 2 mois c'était véritablement sans précédents. Un conseiller se leva et se tourna vers Ben pour demander :

« Confirmez-vous les dires du conseiller ? »

Ben hocha la tête :

« Je confirme ses dires, le survivant n'a plus rien à apprendre, la seule chose qui lui manque c'est la pratique, et cela il ne peut l'apprendre que sur le tas. »

Le plus vieux des conseiller, qui selon Tabris était déjà le doyen quand lui même avait commencé sa formation, se leva à son tour, son apparence frêle ne dissimulais en rien sa force magique il irradiait de puissance, dans l'ordre les deux seuls personnes qui aurait pu l'affronter à peu près à égalité était Tabris et Ben, et bientôt Harry. Le vieil homme parla, sa voix était ferme et jeune en fermant les yeux on aurait cru entendre parler un jeune homme :

« Ben, je fais confiance à ton jugement, et je suis sur que le conseil partage ma confiance. Ton apprenti seras testé, la question est comment ? – Il y eu un instant de flottement autour de la table, et le vieil homme reprit – Oui comment, comment pouvons nous testé un enfant qui à affronter Voldemort 6 fois et est encore vivant, comment pouvons nous testé un enfant qui à su vaincre un basilic, repoussé une centaine de détraqueurs, affronté un dragon et qui en plus est le plus jeune champion du tournoi des trois sorciers ? »

Ben et Tabris échangèrent un sourire, ils avaient tout deux pensé à ce problème, les tests habituelles seraient de la roupie de sansonnet pour Harry, il fallait trouver autre chose. Ben y avait longuement réfléchi, et avait quelques idées toutes sur le même principe, mais elles ferraient du mal à Harry, Tabris partageait son avis, ni l'un ni l'autre ne voulaient blesser leur protégé, mais ils n'avaient pas vraiment le choix. Ben toussa pour attirer l'attention et dit :

« J'ai quelques idées pour les tests que nous pourrions lui imposé – Le doyen lui fit signe de continuer – Je pense qu'il faut le testé sur sa capacité à se contrôler, je lui ai appris les règles du temps, et je pense qu'il nous faut commencer par là….. »

Harry était rester scotché devant la télé toute la journée, une journée à se griller les neurones sans avoir à réfléchir ou à se fatiguer ce n'était pas désagréable même s'il aurait préféré que Ben soit là. Il était plongé dans une intrigue policière assez bien ficelée, quand il sentit un mouvement d'air vers son cou, une seconde plus tard son sabre arrêtait une lame lumineuse. L'attaque cessa et Harry dit :

« Trop facile ! »

Ben gloussa et répondit :

« Alors explique moi pourquoi tu ne porte plus qu'un t-shirt ! »

Harry baissa les yeux et rougit, pas de gêne d'être litéralement à moitié nu, mais parce qu'il c'était encore fait avoir par son maître. Alors qu'il attaquait sans discrétion au niveau du cou, il avait coupé son pantalon et son caleçon sans qu'il s'en aperçoive. Harry grogna :

« T'es chiant, il va encore falloir que je répare mes fringues. »

Ben rangea son sabre et répondit :

« Tu n'as qu'a être plus attentif ! »

D'un mouvement de main, Harry répara ses vêtements et se rhabilla. Il laissa ensuite son maître prendre place dans le fauteuil et s'assit sur ses genoux en disant :

« Je me suis ennuyé tout seul, tu m'as manquer. »

Ben sourit et le sera contre lui, un moment de silence plus tard Harry demanda :

« Alors de quoi avez-vous parlez ? »

Le sourire du chevalier s'effaça et il répondit :

« De toi, le conseil pense que tu es prêt, tu passera les épreuves demain, et ne me demande pas lesquelles, ma mémoire à été scellée, donc je n'en sais rien. »

Harry tiqua :

« Pourquoi ont-ils scellé ta mémoire, ils ne te font pas confiance ? »

Ben sourit à la fureur contrôlée de son élève, Harry haïssait toutes personnes qui disait du mal de son maître, il expliqua :

« C'est la procédure normale Harry, Tabris à subit la même chose quand j'ai passé les épreuves, le conseil n'est pas suffisamment aveugle pour croire que les chevaliers ne s'attachent pas à leurs apprenti, et donc qu'ils voudront les protégés, ainsi ils ne sont pas tentés. »

Harry hocha la tête d'un air incertain, pour lui son maître était au-dessus de ce genre de choses, il savait bien qu'il avait tendance à l'idéaliser mais il ne pouvait pas s'en empêcher. Il chassa ses pensées improductive et dit :

« Bon puisse qu'il ne sert à rien d'en parler, parlons d'autre chose. Tient je sais, raconte moi l'histoire de Gryfondor et Serpentard ! »

Ben sourit, à cet instant Harry semblait vraiment être un petit garçon réclamant une histoire. Il se racla la gorge et commença :

« Il y a plus de mille ans, dans un village d'Ecosse, naquirent deux garçons. Le plus âgé des deux naquit sous le signe des gémeaux, le cadet naquit sous le signe du lion. Les deux garçons étaient très puissants, à tel point que l'ordre les remarquas et leur proposa de devenir chevalier. Le lion était très enthousiaste à cette idée, l'autre l'était beaucoup moins, mais ils étaient aussi proche que des frères, et l'aîné refusa de laisser partir son petit frère sans lui.

A l'âge de 15 ans ils vinrent au cercle, au début le conseil voulu les confiés à deux maîtres différents, mais le cadet était tellement dépendant de son « frère » qu'il furent obligé de ne pas les séparés. Ainsi ils commencèrent leur formation, ensemble devenants de plus en plus proche, certains murmurent même qu'ils furent amants.

Comme tu t'en doute, ils n'avaient aucune formation préalable, et durent tout apprendre du début. Ils mirent une année pour être prêt à passer les épreuves, à l'époque c'était exceptionnel de mettre si peu de temps. Ils furent sacrés chevalier le même jour, et pendant quelques années furent des chevaliers ont ne peu plus normaux. Puis le cadet eu une idée, le cercle était un lieu d'enseignement élitiste, seuls les plus puissants pouvaient y venir, il n'existait aucune école de magie dans le monde. Il proposa donc à son frère de fonder une école, qui accueillerais tous les enfants dotés de magie. Son frère accepta, et ils demandèrent au conseil de renoncer à leur statut de chevalier, promettant néanmoins que si une véritable menace se présentait ils reviendraient pour aider.

Le conseil ne pouvait les laisser déambuler dans le monde doté de tout leurs pouvoirs, et ceci sans aucun contrôle, mais le projet était audacieux, c'était réellement une très bonne idée, aussi le conseil scella en partie leur pouvoir et leur mémoire, certaines connaissance ne devant jamais quitter le cercle.

Les deux frères retournèrent dans leur village natal, accompagnés de deux enchanteresses, à eux 4 ils construire un château et ainsi Poudlard fut fondé.

Durant les première années, tout ce passa à merveille, ils vivaient tout les 4 en parfaite harmonie, même si chacun avait ses goûts et ses idées propre. Puis il y eut un problème, à eux 4 ils ne pouvaient enseigné qu'à un nombre limités d'élèves, et vint un jour où ils durent choisir entre un sang pur et un enfant de moldu. L'enfant de moldu était plus prometteur, aussi les deux enchanteresse et le lion décidèrent de l'accepter plutôt que l'autre, mais le 4° n'était pas d'accord, ainsi commença la scission entre eux.

Au fils des mois, l'enfant de moldu du subir de plus en plus d'injustice de la part de l'aîné, à tel point que les trois autre durent intervenir, furieux l'aîné quitta le château promettant qu'il reviendrait tôt ou tard.

Il disparu pendant plus d'un an, personne ne sait ce qu'il fit durant ce temps, mais quand il revint il avait récupéré tout ses pouvoirs de chevalier, le sceaux avait été brisé. Le conseil, qui surveillait avec attention les débuts de cette école, rappela le lion et débloqua ses pouvoirs, ainsi qu'il l'avait promis la menace c'était révélée et il devait l'affronter.

Leur combat dura plus longtemps qu'aucun autre, certains sortilège employés ce jour là auraient même terrifié Voldemort, après un jour et une nuit de combats, le lion réussi à vaincre son frère, refusant de le tuer, il usa de toute sa puissance, mettant sa propre vie en danger, pour sceller de nouveau les pouvoirs de l'autre, intégrant au sceau une sécurité si le sceau était brisé par un autre que lui alors son frère mourrait.

Le lion le laissa repartir, et il disparu, la seule chose que l'on sait c'est qu'il fonda une autre école en Europe centrale, Durmstrang, il y enseigna la magie noire.

Le lion ne se remit jamais totalement de son combat et mourut quelques années plus tard, on dit que lors de son enterrement, son frère était là et pleura pour la dernière fois puisqu'il se donna la mort juste après, se condamnant lui même pour la mort de son petit frère. Le lion était Gryfondor et l'aîné Serpentard. »

Harry avait but les paroles de son maître, l'histoire était assez belle, et surtout déstabilisante, ainsi ceux dont on disais aujourd'hui qu'ils avaient étés les plus grands ennemis de tout les temps, s'aimaient en réalité. Ben le tira de ses pensées en disant :

« Bien que je ne puisse rien te dire sur la nature des épreuves, je peut te dire deux ou trois choses en général. »

Harry hocha la tête, signe qu'il écoutait et le chevalier continua :

« Les épreuves n'ont pas de durées prédéterminées, elles peuvent durées dix minutes comme dix jours. Durant tes épreuves tu aura le droit de demander de l'aide, mais une seule fois !

C'est toi qui m'aideras ?

Non, ce seras Tabris, moi je n'ai pas le droit d'intervenir. Les épreuves peuvent portés aussi bien sur ta force magique, que ton intelligence ou tes capacités en occlumencie. Il n'y a aucune règle. Les épreuves commencerons demain au lever du soleil, je t'emmènerais au palais, et ensuite tu devras t'en sortir seul. Tu as des questions ?

Non, enfin si une.

Je t'écoute.

On fait quoi maintenant ? »

Ben rit légèrement, et répondit :

« Soirée moldue ?

Soirée moldue ! »

Il ne leur fallut qu'un instant pour transformer le salon, et une nouvelle fois ils se vautrèrent devant la télé. Bien entendu Ben, ne laissa pas son élève veillé toute la nuit, il était 20h quand il lui lança un charme de sommeil en murmurant :

« Bonne nuit petit frère. »

Harry fut réveillé par son maître, alors qu'il faisait encore nuit noire, pour une fois il ne rechigna pas, curieusement il n'était absolument pas anxieux, ce qui n'était pas le cas de son maître. Ben avait descendu quelques vêtements pour son élève, et chassait les grains de poussière imaginaire qui étaient sur le pantalon. Harry rit :

« Ben déstresse, tout ce passeras bien. »

Le chevalier nia :

« Je ne suis pas stressé. »

L'adolescent sourit :

« Menteur, tu es mort de trouille. »

Ben allait de nouveau nier, mais à la place il rit, curieux Harry demanda :

« Qu'est-ce qu'il y a de drôle ? »

Le chevalier secoua la tête :

« J'ai eu exactement la même discussion avec Tabris le jour de mes épreuves. Aujourd'hui je comprends mieux pourquoi il était anxieux. »

L'ai faussement peiné, le survivant demanda :

« Tu doute de moi ? »

Ben était tellement stressé qu'il ne remarqua même pas que son élève n'était pas sérieux, il s'assit sur le lit et le prit dans ses bras en disant :

« Bien sur que non Harry, je sais très bien que tu peut y arriver, mais j'ai peur que tu soit blesser. »

Harry s'abandonna un moment entre les bras protecteur de Ben puis répondit :

« Je serrais prudent, je te promet. »

Ben hocha la tête et lui ébouriffa les cheveux en disant :

« J'espère bien sale gosse, sinon je te prive de dessert. »

Ils rirent tout les deux, chassant la tension qui habitait le chevalier. Une fois lavé et habiller, Harry prit son petit déjeuner en compagnie de son maître, qui avait retrouvé son anxiété, et ne put rien avalé, Harry gloussa et dit :

« On dirait moi avant un match de Quidditch. »

Ben rit jaune :

« On verras quand tu aura un élève, comment tu te sent le matin de ses épreuves. »

Résolu à le détendre, Harry se leva et alla s'asseoir sur ses genoux, il se blotti contre lui en disant :

« Ben ne t'inquiète pas, j'en sortirais indemne et je ferrais tout pour que tu soit fier de moi. »

Le chevalier sourit :

« Je suis déjà fier de toi petit lion. »

Harry le remercia puis une question lui vint :

« Ben, comment on change de statut dans l'ordre ? Je veut dire comment on devient chevalier d'or ? »

Ben sourit, ravi de trouver un dérivatif à ses sombres pensées et expliqua :

« Il y a plusieurs façons. La première, la plus rare, est que le conseil te reconnaît comme chevalier d'or juste après tes épreuves. Un autre moyen consiste à défier un chevalier d'or, mais selon des règles très stricts, et seulement à certaines périodes de l'année. un troisième moyen est, si un chevalier d'ordre supérieur meurt, le conseil désigne le plus puissant des chevalier du rang inférieur pour prendre sa place. Un dernier moyen est d'accomplir un coup d'éclat, sauver un membre de l'ordre, ou quelque chose comme ca. »

Le survivant fronca les sourcils et demanda :

« Et il n'y a jamais de malversations ? »

Ben soupira :

« Ca arrive, regarde Akito, mais c'est rare, il n'y a pas de dictature des chevaliers d'ordre supérieur sur les autres, et donc il n'y a pas de grande différences entre le statut d'un chevalier d'or et celui d'un chevalier de bronze, la seule différence est la puissance. D'une certaine façon il est même plus difficile d'être chevalier d'or, car on attends d'eux une conduite exemplaire. »

L'adolescent rit :

« Et le chevalier de platine ? il doit montrer l'exemple aussi ? Parce que si c'est le cas c'est raté. »

Ben le chatouilla pour le punir de son manque flagrant de respect, et dit :

« Moi je suis une exception Harry, les autres chevaliers qui sont plus âgés que moi, me respectent à cause de ma puissance, mais ils me voient aussi comme leur petit frère et sont indulgents avec moi. Ils m'ont tous consolé ou gardé quand j'était enfant, va essayer d'être un exemple pour quelqu'un qui à changer tes couches. Ce qui fait qu'ils sont tous assez paternaliste avec moi. »

Harry rit de nouveau, en lui pinçant la joue :

« Le bébé du cercle. »

Ben rit à son tour en répondant :

« Oui il y a un peu de ca. »

Sur ce Harry retourna à sa place et finit de manger. Puis ils sortirent, le ciel commençait à se colorer sous le feu solaire, et Harry écoutait les ultimes recommandations de son maître. Après quelques minutes de marche, ils parvinrent au palais, qui abritait entre autre la bibliothèque et la salle du conseil. La bâtisse était de style gréco-romain, avec un atrium de la taille d'un terrain de Quidditch au centre, elle était évidemment enchantée pour que la température en soit toujours agréable, sans compté les centaines de sortilèges de protections que détecta le survivant. Encore plus que Poudlard cet endroit, était une véritable forteresse.

Ben le mena dans l'atrium avant de disparaître il le prit dans ses bras en murmurant :

« Bonne chance petit lion, quelqu'un va venir te chercher. »

RAR :

Job3-14 : Merci, comme tu vois il n'y a pas de rupture.

Popov : Pour le niveau de Harry, tu le sauras au prochain chapitre, et ce n'est pas parcequ'il va à Poudlard en tant que prof qu'il ne pourra pas se lier avec Draco. Merci

Yami ni hikari : Merci.

Onarluca : C'était fait exprès ( tu t'en serrais jamais douté hein ?), et il va y aller en tant que prof, héhé les serpentard vont devoir se tenir à carreaux.

Van : Merci

Phantme : Je suis assez d'accord avec ton frère il n'y avait pas beaucoup d'action, mais la deuxième partie serra plus active (normalement). Je n'ai pas encore recu le premier chapitre (seulement l'autre mail). Merci

Cloclo : Merci

Math : Je suis rassurer j'avais peur d'avori été un peu dur, je suis d'accord sur le faite de partager ses opinion, mais le problème de l'écrit c'est qu'on ne peut se fier qu'aux mot pas à l'intonation et donc on ne peut pas tempéré ce qu'on lit. Merci

Big apple : Merci

Felly : Tu les aura même tout de suite, (je suis trop bon je sais). Pour la deuxième partie je te promet rien (je suis très distrait par nature). Merci

Alaet : Merci

Abel : Merci

La folle : Dsl, pourquoi dechu ? Facile ! Si Kaoru n'avait pas été un ange Shinji aurait pu être heureux avec lui (pas forcément en couple, quoique……) ou alors il aurait pu refuser sa mission, il est Tabris (l'ange du libre arbitre) et don aurait pu choisir de ne pas le faire, de là il aurait été dechu. Tu comprends ? Je suis peut-être pas très clair.

Petites sorcière : Comment je fais ? Je les écrits ! Tu vois tu n'as même pas besoin de poser la question pour le slash, tu connais déjà la réponse. Heu j'avoue que la suite de ta review est un peu embouillé et que je comprends pas tout ce que tu dit, donc je me contenterais d'un merci pour ce que j'ai pu comprendre.