La fin d'une vie.
Harry commençait à être anxieux, le ciel se colorait de plus en plus signalant l'arrivée prochaine de Hélios, et personne ne venait. Il se sentait comme lors du tournoi, imaginant qu'il échouerait simplement parce qu'il n'avait pas bouger. Il ne cessait de balayer l'atrium du regard, espérant voir quelqu'un arriver, il poussa un soupir de soulagement en voyant un homme apparemment très âgé s'avancer vers lui.
La première chose à laquelle pensa Harry en le voyant était : est-ce que chaque haut lieu de magie à son « Dumbledore » ? Le vieil homme dégageai le même mélange de folie douce et de puissance que le directeur de Poudlard, Harry le trouva immédiatement sympathique, même s'il n'avait pas été vêtu de blanc, il se serrais incliner devant lui.
Quand le vieillard fut à quelques pas, Harry mit un genoux en terre et inclina la tête, il entendit le vieil homme glouss :
« Relève-toi Harry, je ne mérite pas tant de déférence. Mais j'apprécie le geste. »
Harry se releva en souriant, la voix de l'homme était extraordinairement jeune, c'en était un plaisir de voir ses vieilles lèvres parler aussi sûrement, c'était rassurant de savoir que certain atteignait cet âge apparemment canonique tout en gardant toutes leurs facultés. Le vieil homme fit apparaître une chevalier d'or mais qui ne portait pas le symbole du soleil devant Harry et dit :
« Met la à ton doigt Harry, et prouve que tu es digne de la porter. »
Abasourdi d'être reconnu comme chevalier d'or potentiel, Harry prit la chevalière avec respect et la passa doucement à son doigt. Il fut immédiatement transporté dans un autre endroit.
Il se trouvait à l'entrée d'une village, en pleine nuit, jetant un coup d'œil aux étoiles il jugea que l'on était fin octobre ou début novembre, cette constatation faite, il fut pris d'un sombre pressentiment. Mais il ne laissa pas ses peurs l'envahir, il regarda tout autour de lui, et aperçu un panneau, il s'approcha, et eut la confirmation de son pressentiment, le nom du village était Godric Hollow.
Le survivant souffla un bon coup, avant de s'avancer, il savait ce qu'il devait chercher et ce qu'il devait faire, ou plutôt ne pas faire. Aussi douloureux que cela soit il n'avait pas le droit d'intervenir, les conséquence pourraient être désastreuses.
Il n'eut pas à chercher bien longtemps, en voyant un silhouette encapuchonné apparaître devant une grande maison. Concluant qu'il était visible et solide dans cet endroit, puisque dans le cas contraire il n'aurais pu intervenir et que sa présence n'aurait pas été une épreuve, il invoqua un charme d'invisibilité et se mit à suivre la silhouette, se retenant à chaque pas de lui sauter dessus pour la tuée.
Il vit l'homme, pour peu qu'on puisse qualifié cette créature ainsi, forcée la porte de la maison et entrée en silence, il se glissa derrière lui et entendit un homme crier :
« Lily ! Prends Harry et va-t'en ! C'est lui ! Va-t'en. Cours ! Je vais le retenir… »
Ensuite se furent les deux mots bien trop familier à son goût :
« Avada Kedavra »
Un cri de femme, un bébé qui pleure, l'homme qui monte les escaliers, et lui qui était là, ne pouvant qu'assisté en direct à la mort de ses parents. Les lois du temps étaient très strict, et même s'il avait joué une fois avec, il ne pouvait le faire ici, les conséquences étaient trop imprévisibles. Si Voldemort ne tuais pas sa mère, il ne mettrais pas fin pour 14 années au règne de Tom, et combien d'autre mourraient alors ?
Mais il voulait voir, pas qu'il en eut besoin, mais il voulait savoir comme cela c'était passé exactement, il voulait voir le sort de mort rebondir sur lui et frappé Voldemort, il voulait au moins être présent pour les derniers moments de sa mère.
Il suivit Voldemort à l'étage, sa mère c'était enfermée, dans la chambre d'enfant, piètre protection, toujours invisible il ne fut remarquer ni par sa mère, ni par Voldemort, mais le bébé, le bébé le regardait en souriant. Il se regardait lui même, le bébé souriant et le jeune homme pleurant, sachant à quoi était condamné cet enfant.
Il vit avec peine sa mère tenter de protégé son enfant, et Voldemort perdre patience, jusqu'à la tuée. Il vit l'enfant par terre, le regard toujours fixé sur lui, il vit Voldemort rire et traiter sa mère d'idiote, il ressentit une joie sauvage en sachant ce qui attendait le mage noir. Il le vit pointé sa baguette sur le front du bébé, et rire devant cette proie si faible, offerte à lui comme sur un plateau.
Le jeune homme affichait un rictus cruel, attendant avec impatience d'entendre les cris pathétiques de Voldemort, il espérait de tout cœur qu'il souffrirait beaucoup, il n'avait plus souhaité autant de mal à quelqu'un depuis le ministère quand il avait lancé un doloris sur Bellatrix Lestrange.
Voldemort se délectait de tuer l'enfant, croyant ainsi mettre fin à la prophétie, Harry voulait qu'il agisse vite, son contrôle lui échappait de plus en plus, il rêvait de torturer longuement Voldemort, de lui faire pousser des cris aigus de douleur, de le voir supplié pour que cela s'arrête. s'il l'attaquait maintenant, Voldemort n'aurait aucune chance, mais il ne pouvait pas, et sa haine, sa rage s'en trouvait décuplée.
L'ersatz d'être humain, prononça enfin le sortilège, comme dans un rêve, Harry vit la lumière verte sortir au ralenti de la baguette et se diriger vers l'enfant, l'enfant qui ne le lâchais pas des yeux et continuais à sourire. La lumière émeraude frappa le front du bébé, exactement à l'endroit de sa cicatrice, et il vit avec plaisir, la lumière rebondir sur le front de l'enfant, il vit avec plaisir l'étonnement horrifié du mage noir. Le sourire de l'adolescent ce fit encore plus cruel, en entendant le mage noir crier d'une voix aiguë, le sort le frappa de plein fouet, le faisant explosé, détruisant ainsi la maison. Harry ferma les yeux sous la violence de la lumière, et quand il les rouvrit, il vit le bébé, qui cette fois pleurait en tendant les bras vers lui, et en babillant péniblement :
« Pa ! Pa ! »
Le sourire cruel s'effaça pour refaire place aux larmes, il aurait voulu consoler l'enfant, mais il n'avait pas le droit d'intervenir, il ferma les yeux tentant de chasser de son esprit l'image du bébé l'appelant comme son père. Il entendit un grand « crac », et ouvrit les yeux pour voir avec soulagement Hagrid apparaître. Le demi-géant pris le bébé dans ses bras en pleurant, il eut à peine le temps de le calmer, qu'un bruit de moteur se fit entendre, Harry regarda autour de lui et finit par lever la tête, pour voir une moto volante descendre vers eux, il savait qui c'était même s'il ne pouvait encore le voir. Cet rencontre allait lui faire mal, voir son parrain, jeune, avant Azkaban, quelques heures avant son arrestation, c'était encore plus dur, surtout en sachant qu'il mourrait quelques années après son évasion.
Sirius se posa et se précipita vers Hagrid, s'en suivit une longue discussion entre les deux hommes, chacun voulant emmener l'enfant avec lui. Sirius finit par céder, et donna sa moto à Hagrid, aussitôt après le départ du demi-géant il transplana, et Harry fut contraint de le suivre.
Un mot de sa part aurait suffit à tout arrêter, un mot et Sirius ne serrait jamais aller en prison, Sirius l'aurait élevé à la place des Dursley, un mot et toute sa vie changerait. Autant Harry savait, que s'il était intervenu pour ses parents, Voldemort n'aurait pas disparu pendant 14 ans et donc aurait tué beaucoup de monde, même ses parents si ca se trouve, autant il ne voyait aucune raison pour que Sirius passe 12 ans de sa vie à Azkaban.
Il vit son parrain, suivre la trace de ce sale petit rat, et à nouveau il rêva de l'attraper avant lui et de le torturer longuement. Il vit son parrain coincé le rat dans un cul-de-sac, il étouffa de rage en l'entendant accusé Sirius d'avoir trahi ses parents, se retenant à grand peine de l'étrangler de ses propres mains. Il vit l'explosion qui tua tant de gens innocents, et contrairement à Sirius, il vit le rat se transformé après s'être coupé un doigt. Il eut mal, quand il vit son parrain rire comme un fou en croyant le traître mort, il n'avait qu'une envie se précipiter dans ses bras pour le calmer et lui dire qu'il l'aimait.
Les aurors arrivèrent et Sirius fut arrêter, Harry pleura de le voir toujours riant, alors qu'on le conduisait, sans procès, à Azkaban. Et puis tout s'arrêta, il se retrouva dans l'atrium, les joues toujours baignées de larmes, il vit le vieil homme lui faire un sourire d'excuse, et une nouvelle fois il transporté ailleurs.
Cette fois-ci, il n'eut pas besoin de chercher pour savoir où il était, cet endroit avait hanté ses cauchemar pendant près de trois mois : la salle de la mort. Toujours invisible, il vit ses amis en mauvaise posture, puis les membres de l'ordre apparaître.
Il revécu une nouvelle fois la douloureuse intervention de Lupin l'empêchant d'aller aider Sirius, il sentit sa haine l'envahir à nouveau en voyant Bellatrix Lestrange. Il ferma les yeux au moment où Sirius passa à travers le voile, il entendit le rire de triomphe de Lestrange, et leva la main pour la frapper de toute sa haine, la faire longuement souffrir sans la tuée, la maintenir en vie des années en la torturant jour après jour. Il ne devait pas, il le savait mais il n'avait plus la force de résister, dans un murmure il dit :
« Aidez-moi ! »
Alors il sentit une nouvelle présence à ses cotés, une main se posa doucement sur son bras tendu et une voix aimée dit :
« Tu ne dois pas intervenir Harry. »
Harry se retourna et enfoui son visage dans le cou de Tabris, il ne voulait plus voir ni entendre ce qui ce passait, il voulait quitté cet endroit et ne jamais y revenir, il voulait rentré, il voulait se blottir contre Ben et ne plus bouger.
La salle de mort s'effaça, et il fut de nouveau dans l'atrium, Tabris le tenait toujours serrer contre lui, le vieil homme toussa doucement pour attirer son attention, Harry se dégagea avec réticence de l'étreinte du conseiller et dévisagea l'aïeul. Malgré ses joues marquées de larmes et ses yeux rouges il ne détourna pas les yeux quand le vieil homme planta son regard dans le sien.
Un instant plus tard, Harry sentit une attaque mentale d'une force sans précédant se briser sur ses défenses, grognant de fureur il renforça ses barrières et contre-attaqua, il ne ce laisserais pas faire aussi facilement.
Aucun d'eux n'abandonna, aucun d'eux ne détourna le regard, leurs volontés s'affrontaient puisant dans leurs magies respectives la force de ne pas cligner des yeux, la force de se défendre et de contre-attaquer. Tabris observais ce duel de loin, il avait aider une fois, il ne pouvait faire davantage, mais à cet instant Harry n'en avait pas besoin, il tenait tête au plus puissant légilimence de toute la planète sans problème. Tabris était fier de lui, il prenait sa part dans la force de Harry, bien qu'il ne soit jamais intervenu dans sa formation il s'estimait un peu responsable de son succès, après tout il avait former le maître du jeune homme.
Le combat dura longtemps, puis, alors que les barrières du survivant allaient cédés, le vieil homme cessa ses attaques en soupirant, d'un ton enjoué il dit :
« Félicitations, tu es très doué. Voldemort n'aura aucune chance contre tes défenses même alors que tu es vulnérable elles sont très puissantes. »
Harry était en nage, le combat l'avait épuisé, il hocha la tête en remerciement et le vieil homme reprit :
« En tant que représentant du conseil, je te reconnais comme chevalier de l'ordre de la lumière. »
Harry senti alors la partie sceller de sa mémoire s'ouvrir déversant de nouveaux souvenirs en lui. Il pleura de joie en se rappelant les liens qui l'unissait à Ben. Immédiatement prévenu, ce dernier apparu derrière lui et l'entoura de ses bras en murmurant :
« Je suis fier de toi petit frère. »
Harry se laissa aller dans les bras de son frère, épuisé par ses épreuves, il jeta un coup d'œil au ciel, tandis que Ben le prenait dans ses bras pour le ramener, ce qui lui avait paru des jours, n'avait en réalité pris que quelques heures, il n'était même pas midi.
Ben le ramena chez eux, et comme après son premier essai dans le marais, le lava. Il le déposa ensuite dans le lit du salon, et dit :
« Demain tu seras sacré chevalier devant l'ordre, en attendant repose-toi »
Harry l'attira péniblement dans le lit en murmurant d'une voix ensommeillée :
« Reste avec moi grand frère. »
Harry s'endormit rapidement dans les bras de son frère, tandis que ce dernier savourait le fait d'avoir son petit frère à ses cotés en tant que tel.
Le lendemain, Ben le réveilla à 11h, la cérémonie avait lieu à midi, l'heure où la lumière triomphait totalement des ombres. Autant Harry n'avait pas été nerveux la veille, autant il l'était aujourd'hui, même s'il savourait le fait d'être bientôt sacré chevalier. Le sacre avait lieu dans l'atrium du palais, devant tout les membres de l'ordre des conseillers aux apprentis, et c'était cela qui le rendait nerveux, tout ces gens qui le regarderait.
Ben mangea avec appétit, contrairement à son élève, et le chevalier ne se gêna pas pour lui rappeler les petites réflexions qu'il lui avait faites la veille, ce qui ne fit rire l'adolescent que très difficilement. Ben secoua la tête, ils avaient le même caractère, à savoir toujours prompt à balancer une remarque sarcastique, mais prenant assez mal que quelqu'un leur en envoie une. Il fallait aussi dire que Harry avait eu le temps de dépasser son niveau limite avec 5 ans à supporter Severus.
Le chevalier grimaca en pensant au maître des potions, il allait au devant d'une scène monumentale, aussi bien d'un coté que de l'autre, Severus ignorais qu'il était le fils de James et Lily, et Harry ignorait tout autant qu'il était ami avec Severus. Il faillit tout raconter à son frère, mais ce n'était pas vraiment le jour, Harry avait suffisament de choses en tête.
Ils finirent de déjeuner en silence, tout deux plongés dans leur angoisses, puis Harry se prépara, son maître lui avait donné les vêtements traditionels pour le sacre, à savoir un pantalon, une chemise et une aube, tout les trois blancs ajouter à cela une paire de bottes en peau de dragon blanc. De son coté, Ben en tant que maître du nouveau chevalier était intégralement vetu de vert, symbole des connaissances qu'il avait transmises à son élève.
A midi moins quart, il étaient prêts, Ben lui repeta une derniere fois, les gestes et les paroles qu'il devrait faire et dire, puis il se rendirent au palais.
L'ordre était rasemblé, l'atrium gouillait de monde, et pourtant on aurait entendu une mouche volée, pas un bruit, tout les chevaliers et apprentis étaient silencieux, tous regardait l'estrade sur laquelle le conseil se trouvait. Onze conseillers se trouvaient assis derrière une longue table d'ébene, seul Tabris était debout devant la table. Harry souffla un bon coup, et s'avanca vers l'estrade, dès que les gens avaient senti sa présence ils s'étaient écartés formant une haie d'honneur pour lui et son maître. Ben était un pas derrière lui, le rassurant par sa seule présence, droit et fier Harry monta les quelques marches menant à l'estrade et se placa devant Tabris, tandis que Ben prenait place à gauche du conseiller.
Quelques minutes avant que le soleil n'atteigne son zénith, Harry s'agenouilla devant Tabris, d'une voix sure le conseiller dit :
« Aujourd'hui nous acceuillons Harry James Potter parmis nous ! Que le conseille se prononce pour décider s'il en est digne. »
L'un après l'autre les onze conseillers se levèrent et d'une voix forte dirent :
« Il en est digne ! »
Tabris se tourna alors vers Ben et demanda :
« Que celui qui l'a former décide s'il en est digne ! »
Avec la même assurance que les conseillers, Ben répondit :
« Il en est digne ! »
Tabris se tourna alors vers Harry et demanda :
« Harry James Potter, tu as été reconnu digne d'être sacré chevalier de la lumière. Jure tu de servir la lumière même au péril de ta vie ? »
Avec une assurance qu'il ne ressentait pas une seconde avant, l'adolescent répondit :
« Je le jure ! »
Tabris continua :
« Renonce tu aux ténèbres.
J'y renonce.
Renonce tu au mal
J'y renonce
Jure-tu d'obéir au conseil et à tes supérieurs ?
Je le jure.
Harry James Potter, par la lumière je te reconnais comme chevalier de notre ordre, je te reconnais comme notre pair à tous. »
Harry tendit la main droite, et Tabris lui ôta sa chevalière, le soleil venait d'atteindre son zénith, Tabris leva la chevalière au-dessus de sa tête en disant :
« Que le soleil, symbole de notre ordre te reconnaisse, Harry James Potter »
Harry vit alors un rayon doré frappé sa chevalière, sur laquelle il se réfléchit inondant l'atrium de lumière, d'une voix forte Tabris reprit :
« Le soleil t'a reconnu comme serviteur de la lumière. »
Harry tendit de nouveau la main droite et Tabris lui repassa sa chevalière, qui désormais portait le symbole du soleil, au doigt en disant :
« Recoit maintenant cet anneau, symbole de ta charge de chevalier de la lumière. »
Harry fut alors entourré d'une lumière dorée, et Tabris dit :
« Ordre de la lumière acceuille ton nouveau frère ! »
Toute l'assistance éclata en applaudissement. Harry se releva un peu étourdi de tout ce décorum, il n'eut pas le temps de se remettre que Ben l'avait déjà pris dans ses bras en disant :
« Je suis tellement fier de toi petit fère. »
Toutes les personnes présentes, du moins celles ayant suffisament de pouvoir, firent apparaitre à boire et à manger. L'ordre entier festoya toute la journée et une bonne partie de la nuit pour acceuillir son nouveau membre.
La nuit était déjà bien avancé, quand Ben ramena son frère, qui ne tenait même plus sur ses jambes tellement il avait bu. Mais le chevalier de platine ne semblait pas mécontent pour autant, c'était la tradition, le nouveau chevalier ne pouvait refuser de trinquer avec les membres de l'ordre ou les apprentis, lui même avait mit trois jours pour se remettre complètement de la gueule de bois qui avait suivit son sacre.
Harry dormit toute la journée et la nuit du lendemain, un petit cadeau de son frère pour lui éviter les désagréments consécutif à une trop forte consomation d'alcool.
Harry aurait bien aimé continuer à vivre au cercle, mais il devait éfectuer sa première mission en tant que chevalier, la plus terrible qui soit selon Ben, enseigner à une bande d'adolescents la DCFM. Pour s'assurer qu'il ne serrais pas trop surveiller par ses amis, les profs de DCFM ayant toujours eu des choses à cachés, il avait adopté l 'apparence qu'il avait au chemin de traverse, son combat contre les mangemorts et Tom avait rapidement fait la une de la gazette et ses amis seraient ainsi moins soupsonneux.
Ils venaient de recevoir leurs instructions du conseil, à savoir protéger Poudlard et les élèves, et étaient dans leur salon en compagnie de Tabris, qui semblait triste de les voirs partir pour au moins une année. Le conseiller tenait fermement le nouveau chevalier dans ses bras et ne cessait de lui répeter de faire attention et de surveiller Ben qui, selon lui, faisait n'importe quoi dès qu'il n'était pas derrière lui. Harry promit un nombre incalculable de fois qu'il reviendrait pour les vacances et qu'il ferrait attention, il avait un peu l'impression d'être avec Mme Weasley, toujours prête à lui faire moultes recomandations.
Le conseiller finit par partir, pretextant avoir des choses à faire mais Ben lui expliqua que Tabris était toujours mort de peur quand il partait en mission et qu'il tenait à Harry autant qu'il tenait à son fils adoptif.
Harrt allait s'avancer dans la cheminée quand son frère le retint et dit :
« Harry il y a une chose que tu doit savoir, avant qu'on y aille. »
Harry leva un sourcils interogateur, son frère semblait nerveux, ce qui était très rare, inquiet il demanda:
« Qu'est-ce que tu va me sortir pour être aussi tendu ? »
Ben hésita un long moment avant de dire :
« Je connais très bien un professeur à Poudlard, c'est un ami. »
Harry haussa les épaules en disant :
« Et alors ? »
Ben déglutit péniblement et dit :
« Et bien, disons que je sais que vous n'êtes pas les meilleurs amis du monde. »
Harry ne comprenait toujours pas :
« Y'a peu de profs, en dehors de Hagrid et Rémus avec qui je suis ami. »
Lasser de ne pouvoir l'amener de lui-même à en tirer la conclusion inévitable, Ben lacha :
« C'est Rogue ! »
Harry ecarquilla les yeux, puis secoua la tête en disant :
« Je vois mal Rogue être ami avec mon grand frère. »
Le chevalier de platine se racla la gorge et murmura :
« Faudrait qu'il le sache. »
L'adolescent se passa la main sur le visage et lacha :
« Je veut même pas savoir, de toute façon je n'y serrais pas en tant que Harry Potter, mais s'il me cherche il me trouvera. Je n'ai aucune raison de me laisser marcher sur la gueule par ce sale con, tu fait ce que tu veut, ca te regarde et je ne m'en melerais pas, mais ne t'attends pas à ce que je l'acceuille à bras ouverts. »
Ben hocha la tête, il avait penser qu'il le prendrait plus mal, il jugea tout de même utile de préciser une chose, au cas o :
« Harry, je veut être bien sur qu'il n'y a pas de malentendu, ok Severus est un ami et il est sympa avec moi, pas comme avec les élèves ou d'autres personnes, mais je ne le ferrais jamais passer avant toi, TU es la personne qui compte le plus pour moi et ce n'est parcequ'on seras à Poudlard que tu devras changer d'attitude avec moi. Tu comprends ? »
Le survivant eut un sourire rassurant pour son frère et dit :
« Ne t'en fait pas, je n'ai pas l'intention de redevenir adulte quand je serrais avec toi. »
Ben soupira de soulagement et le prit dans ses bras en disant :
« Je t'aime petit frère, ne doute jamais de ca. »
Harry eu un sourire étincellant à cette déclaration et répondit :
« Je t'aime aussi grand frère. »
Ben garda son petit frère serrer dans ses bras pendant un moment puis le lâcha et lui fit signe en s'inclinant d'utiliser la cheminée en usant d'un ton pompeux pour dire :
« Seigneur chevalier, si vous voulez bien. »
L'adolescent sourit aux pitreries de son grand frère et entra dans la cheminée, en faisant ca il mettait fin à sa vie d'apprenti, il n'était plus l'élève de Ben, mais professeur désormais. Jettant une bonne poignée de poudre dans l'âtre il cria :
« Poudlard ! »
FIN DE LA PREMIERE PARTIE DE HARRY POTTER : CHEVALIER.
Merci à tout mes reviewers, en éspérant vous retrouvez pour la deuxième partie.
Bisous à tous
AD
