Flawed Lines
Auteur : Diagonilst
Traductrice : Hermichocos
Avertissement : Cela se déroule au cours de la 5ème année d'Harry, il n'y donc aucun spoilers.
Chapitre 1 : Faiblesse exploitée
Harry supposa qu'il devait se sentir chanceux que son oncle ne soit pas venu le chercher dans la gare même, ainsi il aurait du subir encore plus longtemps les foudres de Vernon concernant à quel point il devrait être reconnaissant qu'ils le prennent à Privet Drive pour ces vacances-ci.
Après plusieurs minutes interminables, alors que son oncle commençait de nouveau à se répéter, Harry ignora la diatribe et regretta amèrement de ne pas être à Poudlard.
Il avait un très mauvais pressentiment concernant le cours des évènements. Et par ailleurs, la pensée de l'été dernier ne l'aidait guère à se rassurer. En effet, les Dursley n'avait pas tant apprécié le tour de passe-passe des jumeaux avec la langue de Dudley et ils n'avaient pas hésité à le faire payer à Harry puisque son parrain ne s'était pas encore manifesté pour le défendre. Les travaux ménagers avaient remplis chacun de ses moments où il était éveillé et Dudley saisissait chaque occasion pour le narguer.
Mais à présent, son traitement serait nettement plus sévère que précédemment, compte tenu que sa famille ne s'était pas attendu à le voir débarquer pour Noël, et ils n'étaient certainement pas heureux de leur fardeau.
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En parvenant à la maison, Harry traîna sa valise hors de la voiture pour la rentrer à l'intérieur. Une fois retourné à l'extérieur, il remarqua qu'il n y avait plus aucun signe de sa chouette Hedwige tandis que sa cage se trouvait étendue sur le sol, tordu de tous les côtés.
_ Qu'as-tu fait d'elle ? S'écria Harry d'une voix rempli de colère. Utiliser Hedwige pour l'atteindre lui révélait une cruauté totale de leur part, qu'on s'en prenne à lui, d'accord mais il en était hors de question pour sa chouette. C'était le premier vrai cadeau d'anniversaire qu'il n'ait jamais reçu. Sa première véritable amie, il pouvait toujours lui parler de quoi que ce soit.
_ Rien que ce stupide pigeon n'ai pas mérité, ricana Dudley, qui, si cela pouvait être possible était encore plus gras qu'auparavant. Il était évident que le régime était un échec, ou plus probablement, qu'il se goinfrait à l'insu de tante pétunia.
Son cousin semblait se ravir de la détresse d'Harry.
_ Je m'en suis débarrassé pour toujours.
_ Qu'est-ce que tu lui as fait ? Chuchota Harry, désespéré. Immédiatement, il imagina un corps blessé, couché sous une voiture, jeté sans ménagement dans une poubelle ou encore utilisé comme nourriture pour le chien des voisins.
_ Ton stupide animal de compagnie était tellement effrayé, il ne reviendra jamais, déclara Dudley donnant un minime espoir à Harry
Hedwige n'est pas morte, pensa-t-il, elle est vivante.
Il était heureux qu'elle se soit échappée, sachant qu'elle pourrait s'occuper d'elle-même et qu'elle serait bien mieux toute seule lâchée dans la nature qu'enfermée ici. Peut-être irait-elle à Poudlard, ainsi la reverrait-il là bas.
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Plusieurs travaux ménagers lui avaient été assignés, se concentrant essentiellement dans la maison. Cela ressemblait trait pour trait à ceux de l'été précédent mise à part que le travail semblait d'autant plus dur. Il n'avait pas passé Noël ici pendant quatre ans et lui faire faire tout le travail pour les célébrations devait sans doute atténuer leur mauvaise humeur. Toutes les tâches extérieures se déroulèrent dans un froid amer et fréquemment sous la pluie, développant chez lui un sérieux rhume.
Ne se nourrissant que des restes qu'il pouvait voler dans les plats après les repas, qui n'étaient pas grands choses vu la quantité à laquelle mangeait ces porcs, il n'était certainement pas en bonne santé et il eut bientôt beaucoup de mal à rassembler son énergie, même pour les tâches les plus simples. Le compte à rebours était déclenché, comptant les jours qui le séparaient à la rentrée de Poudlard.
Dudley, lui, était particulièrement agaçant. Il s'assurait à chaque fois de ralentir tout ce qu'Harry entreprenait de faire, invitant sans cesse ses amis. Le 21 décembre, les amis de Dudley vinrent pour faire une fête d'avant-noël. Harry, bien sûr, avait toujours des tâches ménagères à faire imposées par l'oncle Vernon qui se ferait un plaisir de le punir avec vigueur si le travail n'était pas fait à temps. Alors qu'il polissait la rampe de l'escalier, son cousin s'approcha.
Seul un souffle rauque lui fit connaître sa présence, seulement Harry ne le remarqua pas à temps et il vola tête la première en bas de l'escalier. Sa tête craqua péniblement contre le mur et le monde sembla tourner autour de lui tandis que sa vue se troublait à vue d'œil. Il se leva le plus lentement possible, essayant de cacher au mieux sa faiblesse naissante et chercha à tâtons ses lunettes. Une fois trouvées, il essaya de les remettre avant de remarquer que les verres étaient brisés et la monture pliée en deux. Dudley et ses amis trouvèrent cela fortement amusant alors qu'il l'observait, riant de sa situation désespérée. Il serait à présent incapable d'achever à temps les corvées s'il ne pouvait plus voir, sans y ajouter Dudley et sa bande.
Il se dirigea donc vers l'extérieur où une pluie glaciale battait à torrent, cependant, il savait qu'ici ils ne le suivraient pas, même pour le plaisir de le torturer, voulant se tenir au chaud. Il resta dehors, contusionné, frissonnant, éternuant à la mort alors que sa tête le martelait, jusqu'à ce que la bande soit partie. Après avoir vérifié que Dudley était fermement installé devant la télé, Harry se glissa discrètement dans la maison par la porte de la cuisine, monta rapidement les escaliers laissant derrière lui une traînée de gouttes et de flaques d'eau avant de s'enfermer rapidement dans sa chambre et de sortir de sous sa planche sa baguette. Il se félicita de ne pas l'avoir laissé dans sa valise qui était elle, enfermée dans le grenier qui lui était entièrement inaccessible. Il n'avait pas d'autre moyen que d'utiliser la magie.
Pointant sa baguette magique vers ses lunettes, Harry murmura un sortilège de réparation et soupira de soulagement alors que les verres se reformaient peu à peu. Il les glissa sur son nez, se permettant presque de se détendre.
C'est alors qu'il entendit le battant de la boite aux lettres en bas. Cependant, le facteur était déjà passé ce matin. Cela ne pouvait signifier qu'une seule chose …
Harry se précipita vers l'escalier pour se saisir de la lettre. Au dos se trouvait un cachet du ministère de la magie. Ses mains tremblaient tandis qu'il entreprit de l'ouvrir.
« Cher Mr Potter,
Une utilisation non autorisée de sortilège vient d'être détecté à votre domicile à 17h35. Cessez, s'il vous plait, immédiatement toute utilisation de la magie sans quoi une expulsion de Poudlard vous attend ainsi qu'une enquête officielle du ministère.
Le service des enquêtes du ministère de la magie,
Cordialement. »
Le corps d'Harry ne cessait de trembler. Il ne pourrait désormais plus utiliser le moindre sortilège, aucune magie telle qu'elle soit. Pas s'il voulait retourner à l'école, et il souhaitait plus que tout revenir à Poudlard car, la vie qu'il avait ici ne valait pas la peine d'être vécue.
Soudainement, alors qu'il ne s'y attendait pas, la lettre lui fut arrachée des mains par une prise potelée. Dudley.
« Je serais étonné qu'il puisse en réalité la lire, pensa Harry ».
Mais vite, les instincts de Dudley reprirent le dessus et il donna à Harry un bon coup de pied afin de le mettre hors d'atteinte de la lettre.
_ Maman, papa, venez vite ! Hurla Dudley.
Le temps autour d'Harry sembla ralentir alors qu'il sentait sa propre perte, ses sens commençant déjà à s'engourdir.
Pétunia arriva dans le vestibule et s'arrêta, fixant son regard sur les flaques d'eau couvrant son plancher parfait. Elle eut alors un cri d'horreur.
_ Harry ! Harry c'est toi qui a fait ça n'est-ce pas ? Nettoie-moi ça immédiatement espèce de garçon maladroit, grinça-t-elle de sa voix perçante habituelle.
Harry, dont la gorge était sec et le nez chatouillé dû au changement soudain de température éternua. Fort. Deux fois.
_ Beurk, non seulement tu es un garçon répugnant mais en plus tu répands tes microbes partout. Comment oses-tu tenter de contaminer Dudlynouchet avec une de ces horribles maladies ? S'offensa-t-elle. Vernon, appela-t-elle ensuite.
Harry se gela sur place, mais alors que son oncle approchait, il commença à reculer lentement.
_ Regarde Vernon, regarde ce que le garçon a fait dans la maison. Et en plus de cela, il essaye d'infecter mon pauvre petit Dudley.
Ces dernières paroles arrachèrent à Harry un sourire intérieur alors que son cousin ne semblait guère apprécier.
_ Peu importe maman, papa regarde, Harry a reçu une lettre expliquant qu'il faisait de la magie.
Harry se rendit alors compte qu'il tenait toujours sa baguette magique. Cela n'était pas bon. Son oncle s'empara rapidement de la lettre et la parcourue, levant ensuite ses yeux froncés vers lui. Harry ne pouvait se rappeler avoir vu un regard aussi terrifiant dans les yeux de son oncle. Le visage entier de ce dernier tournait au pourpre alors qu'il commença à éclater sa colère.
_ J'ai supporté ton anormalité assez longtemps dans cette maison ! Cria-t-il.
_ Mais, oncle Vernon, j'essayais juste … Balbutia Harry, tremblant en plus grande partie alors que l'homme s'approchait dangereusement vers lui.
_ Assez, hurla Vernon, son poing frappant la tête d'Harry.
Le jeune sorcier sentit si fort le choc qu'il entendit une voix pataugeant dans son crâne tandis qu'il tombait maladroitement sur le plancher.
_ Comment oses-tu utiliser la magie dans notre maison.
Il ponctua cette phrase en lui infligeant un coup de pied dans l'estomac si vite qu'il n'eut même pas le temps de se rouler en boule afin de se protéger.
_Tu n'es qu'une espèce de tare, une abomination, un déchet inutile bouffant l'espace.
Le discours emphatique continua ainsi tandis qu'Harry accumulait énormément de contusions, suppliant son oncle d'arrêter, mais cela semblait le pousser davantage. Il n'était pas entièrement sûr d'être capable de marcher à nouveau. Ses lunettes étaient de nouveaux cassées, quoi qu'il ne soit pas dans l'état d'apprécier l'ironie du fait.
Il perdit presque connaissance, mais était toujours conscient quand on le traîna vers le placard sous l'escalier pour l'y jeter dedans sans pitié.
_ Tu resteras ici, sale maudit gosse, fut les derniers mots qu'il entendit avant de succomber à l'obscurité.
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Alors que les jours défilaient, Harry se trouvait toujours dans le placard, blessé plus que jamais et essayant de ne pas penser à où il se trouvait en réalité. Sa baguette magique avait été brisée par son oncle et il ne pouvait désormais plus se sauver avec la magie, bien que cela l'empêcherait d'être exclu. Quoi qu'il n'était pas entièrement certain qu'on le laisserait retourner à Poudlard sans baguette de toute façon. Il pourrait dire qu'il l'avait perdu, qu'elle avait été mangée par un alligator ou quoi que ce soit d'autre.
Aucune nourriture ne lui était donnée, on lui permettait de sortir du placard sombre seulement pour se laver deux fois par jour sous la surveillance étroite de son oncle. Cependant, dès qu'il se retrouvait seul dans la salle de bain, il buvait l'eau du robinet afin d'essayer de soulager son mal de gorge. Une fièvre s'était emparée de lui quelques jours plus tôt et, il pu constater que cela s'aggravait sérieusement au fil du temps. Malgré tout, il conclut qu'il était mieux au fond de son placard dans son état battu que d'être en train d'exécuter ses corvées avec la fièvre qu'il traînait.
Pour passer le temps, Harry s'imaginait des scénarios d'un noël de plus passé en compagnie de ses amis. Il avait de longues conversations avec Ron concernant le Quidditch et se disputait avec Hermione au sujet de ses études. Ses rêves furent brutalement interrompus par Dudley qui sautait avec vigueur dans l'escalier.
La dernière illusion qu'il eut en tête n'était d'ailleurs guère plaisante. Tous les Serpentard étaient debout en face de son placard, pointant la porte du doigt en ricanant impitoyablement. Au front de cette troupe se trouvait Malfoy qui criait diverses choses dérogatoires sur sa famille et à quel point il pouvait être pathétique et inutile. Tous criaient à présent.
La porte disparu alors entièrement et il fut encerclé par la foule. Snape s'y trouvait également, plus apparent que tous.
_Je savais que vous ne vous élèveriez jamais à rien, Potter. Vous êtes absolument sans aucune valeur. Comment pourriez-vous sauver le monde de Voldemort alors que votre famille est un ennemi dont vous ne pouvez vous défaire ? J'ai pitié de vous, vraiment, se moqua-t-il.
Il eut ensuite Cédric. Harry ne leva pas le regard pour en être certain, mais il reconnu sa voix.
_ Je comptais sur toi, Harry. J'avais confiance en toi. Crois-tu que maintenant on t'écoutera, qu'on suivra tes ordres après ce que tu m'as fait ? Personne n'aura plus jamais confiance en toi, accusa-t-il.
Harry pleurnicha et serra sa
tête entre ses mains pour tenter de faire fuir ces mots. Ils avaient raison,
tous. Qu'avait-il à offrir ? Rien. Pourtant, chacun comptait sur lui. Bien
qu'il ne se soit pas battu, le fait qu'il soit encore en vie redonnait de
l'espoir aux gens. Mais ils ne connaissaient pas ses faiblesses où sa vie sans
aucun intérêt. Il devrait alors essayer de continuer à vivre en accord avec les
espérances de chacun, il essayerait mais il échouerait et tout le monde serait
si déçu de lui. C'est dans cet état d'esprit qu'Harry s'endormi en pleurant.
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Harry se réveilla dans des cris perçants, haletant tandis qu'il tentait de supprimer le choc éprouver par les sortilèges endoloris qui étaient passés en lui pendant ses cauchemars. L'accident l'avait fortement remué et fut suivit par d'énormes bruits de pas sur l'escalier et par des voix naissantes.
La personne descendue, il pouvait presque certifié qu'il s'agissait de son oncle, si on l'a considérait par son poids, quoique cela puisse se remettre en question avec Dudley. Aussitôt, on tira violemment sur la poignée de la porte et il fut saisit grossièrement par le col de son pull et brutalement jeté à terre par Vernon, celui-ci infligeant au garçon encore plus de contusions que la dernière fois tandis qu'il le traînait dans l'ancienne chambre de Dudley, où se trouvait également la tante Pétunia.
Bien qu'Harry ait des difficultés à voir, il pu discerner un brisement au niveau de la fenêtre et un étrange objet sur le plancher entouré d'une tâche. L'homme poussa Harry en avant.
_ Qu'est-ce que tu attends, prend-le, gronda-t-il. Ça vient de ton abrutie de chouette, elle est finalement revenue et elle a eu ce qu'elle méritait.
Tandis qu'Harry s'approchait, il aperçut un colis avec Hedwige non loin, couchée, le cou tordu. Il poussa un cri, comprenant qu'il l'avait perdu et une larme coula le long de sa joue. Il accourut vers elle et dirigea ses doigts dans ses plumes douces, sentant un flux de culpabilité l'envahir. Elle était revenue pour lui. Elle était morte à cause de lui, à cause de la haine de sa famille pour lui. Il n'était même pas étonné du geste de son oncle. Mais c'était de sa faute.
_ Regarde ce qu'il y a dans le colis garçon stupide, incita son oncle.
Sachant que la vengeance était inutile, Harry mis doucement Hedwige sur le côté et regarda du coin de l'œil l'étiquette.
A Harry :
J'espère que tu vas bien vu que je n'ai pas de nouvelles, mais Hedwige est venue pour prendre ton cadeau comme à son habitude. Il y a un aussi un cadeau de maman. Ne l'ouvre pas avant le matin.
Ron.
Cela doit être la veille de Noël, compris Harry. Il avait perdu toute notion du temps depuis qu'il se trouvait enfermé.
_ C'est juste mon cadeau de Noël de Ron, dit-il.
Son oncle sembla réfléchir un instant avant de prendre la parole.
_ Est-ce que c'est un de ceux qui sont venus l'été dernier ?
_ Non, répondit rapidement Harry, trop rapidement.
Les yeux porcins de son oncle se rétrécirent.
_ Jette-moi ça par la fenêtre, je ne veux pas de ça dans ma maison.
_ Mais …
_ Maintenant, garçon.
Il n'y avait aucune discussion possible avec lui quand il se trouvait dans cet état-ci. Harry espéra seulement que cela ne soit pas trop fragile, peut-être pourrait-il alors le récupérer le matin même. Il se rappela soudainement qu'il serait bientôt de retour dans son placard et tout espoir quitta son esprit.
Harry s'empara du paquet avec résignation. Il eut juste le temps de remarquer que l'objet semblait lourd avant de le jeter par la fenêtre. Celui-ci tomba sur la route et éclata. Les jumeaux Weasley devaient sans doute y avoir rajoutés quelques unes de leurs inventions afin de le distraire. Le boum résultant du colis était terriblement bruyant.
_ Tu as sûrement du réveiller le voisinage entier espèce de sale mioche. Pétunia, ferme les rideaux avant qu'ils ne remarquent que cela vient de notre maison.
Vernon tenta de se calmer.
_ C'était une bombe. Après avoir ajouté une queue de cochon et allongé la langue à Dudley, tu as pensé à aller plus loin en essayant de tuer notre fils. Meurtrier !
Le battement commença alors. Après un moment, Harry tomba dans l'escalier. Son oncle utilisait tout ce qui lui tombait sous la main pour frapper son neveu avec. Tandis qu'il cognait le garçon avec une lampe, la base céramique et la nuance de verre coupa profondément plusieurs parties de son corps.
La douleur détruisait Harry des pieds à la tête. Il s'était juré de ne pas crier, il ne crierait pas, il ne le ferait pas. Il ne pouvait cependant pas s'empêcher de le supplier.
_ S'il te plait, oncle Vernon, arrête-toi s'il te plait … Ne me blesse pas s'il te plait.
Et finalement, alors que sa respiration devenait irrégulière en raison de la douleur présente à sa poitrine, il tenta une dernière fois les supplications.
_ S'il te plait, s'il te plait, s'il te plait … Chuchota-il à maintes reprises.
Mais Vernon n'en avait que faire et sauta sur son bras. Harry s'entendit hurler avant de défaillir.
Les reviewers :
Coucou à tous !
Je vous remercie énormément pour tout ces gentils reviews -) ça m'a motivé pour ce chapitre qui j'espère est à la hauteur de vos attentes. Je suis désolée mais je ne ferais pas réponses individuelles pour ce chapitre ci car je n'ai pas grand-chose à vous répondre pour le moment, l'histoire ne venant que de commencer. J'espère cependant que cela ne vous empêchera pas de rewiewer ce chapitre là ^^
J'attends avec impatience vos impressions
Merci !
Hermichocos
