Dumbledore a peur…

Un petit mot avant le chapitre tellement attendu :

J'ai été complètement pris par le temps… Mon activité scolaire m'a requis mon plein temps : j'avais en effet un bac blanc, un vrai bac blanc à préparer. Maintenant que les soucis sont finis, et que les remords ou déceptions ne font que commencer, je peux m'attarder un peu plus longtemps sur ma fiction ! Surtout que je suis seul pour tout le week-end ! C'est le plus long chapitre que j'ai écrit. Bon, je ne vais pas m'attarder plus, je vous souhaite une bonne lecture. Ronaway.

Fito m'a aidé à écrire ce chapitre, mais je ne veux pas de jaloux.

Chapitre 15 : Révélations ?

Toute l'assemblée s'ébahit dans un même souffle. Damien et Harry avaient tous deux atterris au milieu d'un cercle  de mangemorts. Damien ne se sentait vraiment pas bien. De la bave pendait de sa bouche. Il avança de quelques pas, tomba sur les genoux, ouvrit sa bouche et, se tenant les côtes, vomit sur le sol. Harry, malgré la vive douleur qu'il ressentait au niveau de sa cicatrice, n'attendit pas que les mangemorts réfléchissent à ce qu'il allait se passer. Il dégaina sa baguette sur-le-champ et, le regard lançant des éclairs, il tournoya sa baguette au-dessus de sa tête en criant « Stupefix ». Les yeux en pleurs, la gorge en feu, Damien put tout de même entrevoir quatre ou cinq faisceaux sortant de la baguette d'Harry et percutant des mangemorts bêtement surpris.

Les autres mirent un certain temps à réagir. Même Voldemort, assis dans un coin de la salle, sembla trouver la réaction désespérée d'Harry assez amusante. Bientôt, sept autres mangemorts tombèrent à terre, Harry ne cessait de tournoyer autour de lui, profitant de l'étonnement de ses adversaires pour lancer des sorts dans toutes les directions. Les autres ne tardèrent pas à réagir. Dégainant rageusement leurs baguettes, ils commencèrent à tirer un peu au hasard. Une pluie de lumières se dirigea vers Harry, qui s'aplatit avec beaucoup de souplesse au sol. Les sorts, lui frôlant ses vêtements, percutèrent les sorciers situés derrière lui. Harry opta d'ailleurs pour une nouvelle tactique. Il fit violemment tomber tous les sorciers autour de lui en faisant tourbillonner sa baguette à terre tout en faisant graviter l'un des corps inertes qui jonchait sur le sol.

« Tu ne pourras pas résister longtemps »

Damien releva la tête et vit Voldemort, un sourire ne cachant tout de même pas sa surprise pendant à ses lèvres, approchait lentement vers Harry. Il souleva sa baguette en murmurant : « Experlianus ferrae »

Harry fut alors brutalement projeté en arrière, obligé de lâcher en même temps sa baguette. Il atterrit sur une chaise en fer. Deux battants se fermèrent au niveau de ses poignets et de ses jambes. Voldemort, la baguette d'Harry à la main, satisfait d'avoir rétabli un certain calme dans la salle, réanima d'un seul coup de baguette l'ensemble des sorciers à terre. Il se tourna alors vers Damien, qui n'avait pas bougé de place depuis qu'il était arrivé, le visage cependant moins pâle. Une flaque visqueuse s'étalait devant de lui. Les mangemorts reformèrent rapidement un cercle.

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« La plaisanterie avait assez duré… déclara Voldemort tout en s'approchant de Damien.

-Oh, maître ! Comment avez-vous pu les emmener ici ? » Demanda un des mangemorts tout en s'étalant par terre.

Damien, la respiration coupée, la bouche ouverte, vit une ombre s'approchait petit à petit de lui. Il osa relever la tête pour soutenir le regard de serpent au-dessus de lui, malgré les frissons qui lui parcouraient le dos.

« Tu n'as pas de baguette, petit, tant mieux… et tu es malade après une transplantation ! »

Voldemort, un étonnant sourire aux lèvres, leva très lentement sa baguette, presque avec une grâce, fredonna ce qui parut être une incantation. Damien sentit tous ses soucis disparaître d'un seul coup. « Diriges-toi vers la chaise ! Assieds-toi ! » Voilà ce que paraissaient être ses désirs les plus  profonds. Damien courut, presque joyeusement, vers la « dite » chaise sous le rire des mangemorts. Damien ne sembla revenir dans sa vision de la réalité qu'au moment où les griffes, se refermant, l'empêchèrent de se mouvoir librement.

Satisfait de sa prestation, Voldemort leva la main pour mettre fin aux rires :

« Mes chers mangemorts, je ne dois absolument pas vous féliciter par la démonstration qu m'a été proposé ! A un contre vingt, ce môme a réussi à en stupéfixer plus de la moitié, et par votre maladresse habituelle, vous vous êtes vous-mêmes stupéfixés entre vous ! Quelle honte, et en plus, vous vous prétendez être au service d'un certain Lord ! Quelle honte ! N'oubliez pas que vous devez me rendre treize ans ! TREIZE ANS ! Alors, je vous recommande d'éviter les faux pas» Finit-il par dire en criant.

Un pesant silence régnait à présent dans la salle. Tous les mangemorts s'accroupirent et se prosternèrent en signe de soumission. Pendant de longues secondes, personne n'osa bouger. Damien, assis sur sa chaise, ravala sa salive : il ne se rendit compte que la situation était grave qu'à partir de cet instant là. Il semblait sortir d'une longue période de torpeur… une très longue période où il ne savait pas ce qu'il faisait. Il se rappela avoir senti quelqu'un le retenir sur sa cape, alors qu'il élevait son bras pour éviter qu'une des piques du bracelet en cuir noir qu'il avait au poignet ne transperce Harry. Il essaya d'ouvrir sa bouche pour essayer de parler, de tourner la tête. Mais, à son horreur, il paraissait que sa bouche elle-même ne semblait plus exister.

« Alors, mon petit arrière cousin, quel effet cela fait d'être devant ton cher parent de la 2ème génération ? »

Damien, préoccupé de savoir où il était, n'écoutait cette conversation que sans grand intérêt. Il ne comprenait même pas que c'était à lui que Voldemort parlait. Cependant, les mangemorts autour de lui s'agitèrent, étonnés par cette révélation si étrange. Voldemort s'approcha de Damien, avec un grand sourire, qui rendait son visage encore plus effrayant.

« Sais-tu ça, cher Tom de vrai nom, cher Damien de faux nom… »

Damien sursauta en entendant son nom. Voldemort s'adressait bel et bien à lui.

« Bien-sûr que je m'adresse à toi. Dumbledore n'a certainement pas voulu te le dire, mais, je le répète, tu es parent avec moi, j'en suis persuadé ! On a tous les deux vécus au même endroit ! Ce n'est pas bizarre, ça ? Je vais te montrer mon pouvoir. Je vais te montrer la véritable voix qui a été tracée pour toi, Tom… »

Les mangemorts ne savaient pas si ce que leur maître disait était à prendre au premier degré, où si ce n'était qu'un moyen d'attirer un plus jeune ayant de redoutable capacité vers son camp.

« Je vais te montrer ce que Dumbledore a été capable de faire vis à vis de toi. Tu vas voir, ce qu'il a osé faire tellement il avait peu confiance en toi. »

Voldemort, d'un coup de baguette magique, fit apparaître une chaise confortable face à lui puis fit venir un énorme parchemin posé à une table au fond, jusqu'à lui.

« Je pense que tu ne vas pas être au bout de tes surprises, car depuis que tu es à Poudlard, un certain rat – Voldemort posa un regard vers Harry – m'a fait la liste des élèves pouvant être intéressé par moi ou qui puisse m'intéresser, d'ailleurs. Ce cher Queudver m'a  trouvé ça pour moi… »

Voldemort ouvrit le long parchemin qui se déroula brutalement jusqu'au sol. Damien ne comprit absolument pas de quoi Voldemort parlait. Ce dernier agitait son papier comme s'il s'agissait d'une liste pour faire les courses. Ne voyant aucune réaction, Voldemort commença à lire la liste.

« Cette année, tu as lu : « L'histoire de Poudlard », « Vos premiers pas en Magie »… enfin les premiers je les passe parce que  ce n'est pas vraiment intéressant. Aahh ! « Défense contre les forces du mal niveau 7 », « Métamorphose corporelle »… Voilà qui est mieux. »

Damien était pétrifié sur place. Tous les livres cités, il les avait lus. Ils se rappelaient d'ailleurs parfaitement du contenu de chacun. Qui pouvait s'être donné l'autorisation de regarder ce qu'il lisait ? Damien se rappela alors la réaction surprenante de Miss Pince, un soir où il avait tardé. Il se rappela le coup d'œil maladroit qu'elle avait jeté sur le titre du livre. Voldemort continua pendant un long moment à lire en donnant des appréciations sur le choix de certains livres. A la fin, il jeta son parchemin derrière sa tête et s'approcha à grands pas de Damien.

« Te rends-tu compte à quel point cet énergumène de Dumbledore t'a pourri la vie ? Combien de fois ne t'a t'il pas interdit de développer tes énormes capacités, de t'exprimer naturellement… Il voulait savoir quel niveau tu avais, ce que tu étais susceptible de savoir, il voulait te limiter. Avec moi, au contraire, tu auras la joie de vivre dans la gloire, dans le pouvoir ! Rejoints mes rangs… Ici, tu as des livres beaucoup plus intéressants que dans la minable bibliothèque de Poudlard. Ne choisis pas la voix de la soumission, et tous les deux, nous gouvernerons sur le monde. Ce monde sera dans notre main. On peut le faire. Il ne faut pas avoir peur. »

Les pinces immobilisant Damien se rouvrirent brutalement, mais celui-ci fut encore incapable de gesticuler librement, toujours sous l'emprise du sort de Voldemort. Ce dernier lui caressa le visage en pleur de Damien avec une rare douceur, lui sécha même les larmes.

« Je te laisse deux choix : soit tu me rejoins, soit tu meurs en même temps que ton ami à côté. Réfléchis bien, petit ami ! Je te laisse le temps… »

Voldemort se leva et se présenta à l'assemblée l'entourant. Damien entendit les plaintes de Harry juste à côté de lui. Que devait-il faire, accepter ou non ?

«Vous vous demandez tous comment nos deux invités sont arrivés jusqu'ici ? Et bien je vais vous expliquer le plus clairement possible. »

Voldemort s'approcha de la table.

« Je vous présente ainsi ma toute dernière invention, dit Voldemort, après avoir inspecté  les visages voilés de ses hommes. Une invention qui va révolutionner notre possibilité de maîtriser le monde ! Cette invention est : cette potion… Une potion incolore ! Une potion qui agit sur l'organisme en maîtrisant l'individu d'une manière quasi-parfaite ! Sa durée est de manière générale beaucoup plus longue que le fait d'utiliser le sortilège inventé par notre prédécesseur et vénéré Serpentard, l'imperium ! »

Voldemort s'empara d'une souris et la força à boire le contenu d'un chaudron. Il l'a fit déplacer d'un coin de la salle à l'autre, en dansant parfois – ce qui fit rire la plupart des personnes – en faisant des cabrioles arrières ou toutes sortes d'acrobaties non naturelles.

Les mangemorts poussèrent de petits cris d'admiration. Voldemort, quittant le chaudron puis tournant autour de Damien et Harry, semblait en proie d'une joie extrême, d'une frétillante excitation qui l'empêchait de se tenir tranquille. Tout en parlant, il gravit pas à pas, les marches d'un escalier qui menaient sur une estrade assez élevée, qui coupait la grande salle en deux.

« L'avantage de ma potion, c'est qu'elle ne vous demande aucune capacité magique, contrairement au sort. On peut avoir accès directement à son corps d'une manière physique ou le commander à distance à partir d'ici. C'est ainsi, grâce à ma nouvelle invention, que nos deux amis sont arrivés jusqu'ici ! C'est ainsi que, cette fois-ci, je l'ai tuerai sans les laisser se battre, car ils m'ont assez contrarié mes plans ! Demain sera le grand jour ! Demain, la presse du monde entier, les sorciers du monde entier verront partout l'exécution de ses deux morveux, et cela sera ainsi la première victoire depuis ma réhabilitation ! Les moldus ou autres sangs de bourbes impurs, tout ça sera éliminé ! J'annonce avec toute ma voix, avec tout mon être : JE SUIS DE RETOUR ! »

Une salve d'applaudissements suivirent ce discours. Il semblait y avoir, derrière cette sorte de scène, de nombreux autres mangemorts que Damien n'avait pas remarqué. Il tourna son regard vers Harry pour regarder sa réaction. Ce dernier était tout aussi pâle que lui, ne cessant jeter des regards furtifs de droite à gauche, comme si la présence d'un nombre encore plus important de mangemorts l'avaient affolé. Voldemort sauta de l'estrade fredonnant un air, il leva sa baguette, faisant léviter les deux chaises sur lequel était assis Damien et Harry.

« J'aimerais comprendre pourquoi tu as si lamentablement subi mon adorable doloris, Harry Potter, lors de notre dernière rencontre... Mais je n'ai pas le temps à ça pour le moment. La victoire est à portée de main, et il serait fâcheux de négliger certains détails de dernières minutes… »

Le mage noir, le visage souriant se tourna alors vers Damien.

« Alors as-tu choisis, merveilleux enfant ? Demanda t'il. Si tu acceptes, il ne te reste qu'à faire une chose, te lever et venir vers moi. »

Damien entendait Harry gesticuler, lui disant de ne pas y aller, pourtant l'envie le rongeait. Il fallait bien qu'il se venge de tout ce qu'on l'avait empêché de faire. D'un autre côté, la perspective de vivre sous la domination d'un mage noir n'avait rien d'enchantant.

« Je ne vais pas te laisser un choix permanent, mon ami… »

Damien, hésitant, fut pris par le temps. Il ne se rendit pas compte des trois minutes qui écoulèrent. Les deux pinces se refermèrent alors comme un couperet.

« Macnair, Malefoy, emmenez-les ! »

Damien ne comprit pas le reste de la conversation. Un serpent surgit de l'ombre et avança vers eux.

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Damien sentit son siège s'élever et s'avancer dans les airs.

« Arrêtez ! Imbéciles ! Cria un Voldemort, hors de lui-même.

Le siège se posa brutalement par terre. Damien entendit une faible voix demander :

« Que se passe t'il, Maître ! »

« Malefoy, je vous prierai de ne pas oublier le sort réserver à nos prisonniers lors de nos trajets ! Je veux te voir après que cette facile tâche soit correctement accomplie ! Je les veux intacts et s'ils s'échappent, ce sera de ta faute… ton unique faute… Et je serai impardonnable » déclara t'il.

Le siège se releva. Damien entendit l'un des mangemorts déclarer qu'il n'échouerait jamais à une si facile tâche. Damien, sentit alors ses yeux picoter puis pleurer de douleur. Tout ça pour l'obliger à fermer ses yeux. Il ne remarqua pas que mes ces oreilles ne lui permettaient pas d'entendre les sons aux alentours. Il était enfermé dans un monde de sourd, de muet, d'aveuglement et de paraplégie… Il ne pouvait que se fier à ses sens, sentir une direction dans laquelle il allait. Après un long moment, sa concentration fut brutalement stoppée lorsque le siège retomba avec violence par terre et qu'il reprit ses sens auditifs et ses mouvements.

« CLLAAACK. »

Une énorme porte en fer se ferma brutalement. Damien commença par bouger sa tête et regarda tout autour de lui : Personne. Il tenta de forcer sur les deux pinces qui enfermaient ses poignets, mais malgré ses efforts restèrent vains Il ferma ses yeux, avec une volonté ferme de vouloir sortir de cet horrible cauchemar. Il leva la tête et cria le plus fort possible qu'il pût. Tout son corps vibra sous le cri strident qu'il émit.

« Tais-toi, petit idiot ! Tu ne peux que te plaindre qu'à toi-même ! C'est toi qui t'es fourré là dedans, à toi d'en sortir.

-Harry ? » Demanda un Damien commençant à être en larme.

Personne ne répondit.

« Harry, je ne comprends pas où je suis, comment ça se fait que je sois face à Voldemort alors qu'il me semble l'avoir vu fuir de Poudlard. Que s'est-il passé ? Pourquoi est-on ici ?

-Ne joue pas à l'idiot, petit… Tout est de ta faute.

-Ce n'est pas de ma faute… dit Damien une boule dans la gorge. Autant que je me souvienne, tu l'as vu toi-même… Ce n'est pas de ma faute ! Je me souviens d'avoir empêché Voldemort de te blesser avec sa manche, je ne pouvais plus te voir souffrir à ce point… Je n'ai pas pu résister… Ce n'est que je prétends avoir sauvé l'école, mais – Damien déglutit – je, enfin … tu comprends !

-Tu n'as fait qu'une imbécillité qui a eu de graves conséquences… pour moi et pour toi… Ton potentiel, même s'il est impressionnant, n'a fait que rendre pire la situation, idiot !

-Je ne comprends pas en quoi ce que j'ai fait… est grave »

Damien, les larmes aux yeux, écouta la terrible révélation qu'Harry dit avec lassitude et presque un certain amusement :

« Ce que tu ne sais pas, c'est que cela fait deux mois que l'on sait que le jour d'Halloween avait été le jour où Voldemort viendrait à Poudlard. De plus, tellement nos informations étaient précises, que l'on savait son but, son désir le plus cher, ses espoirs, ce qu'il pensait. On savait tout sur l'heure et on avait tout préparé ainsi pour que cela se passe selon le désir de Voldemort. Il devait entrer lui et ses mangemorts, faire sortir de la salle certains élèves, faire un petit discours amusant et venir me voir. Ensuite, il devait me forcer à m'emmener chez lui en transplanant. Ce qui allait s'avérer impossible parce que Dumbledore, lors du repas m'avait demandé de boire deux potions, une me permettant de ne ressentir aucune souffrance si Voldemort prenait le désir de me torturer, l'autre, pour m'empêcher de transplaner. J'étais donc en sécurité.

-Mais c'est qui c'est « on » ? Qu'est ce qui te prouve que tu étais en sécurité ? Cette entreprise n'était-elle pas trop dangereuse ? Coupa Damien en articulant avec peine.

-Les « on », je ne peux pas te le dire. On a fait un marché avec Dumbledore, c'est lui qui nous a convaincu que cette intrusion de Voldemort à Poudlard serait une réussite en tout point. Le plus important serait que l'ensemble du monde de la magie ait la preuve que Voldemort soit réellement de retour. Le ministère serait ainsi obligé d'accepter ceux à quoi il refusait de croire depuis un an. Le fait de montrer l'incapacité de Dumbledore de faire face à une attaque de mangemorts entraînerait une certaine inquiétude à la population, qui devrait se stimuler, s'organiser pour vaincre un mage noir. Dumbledore pensait que le fait que l'école soit attaqué porterait atteinte au ministre en place. Cette intrusion avait ensuite un second but : cela aurait permis d'expulser d'une manière légale certains élèves susceptibles d'être des espions au service de Voldemort. Cette entreprise ne représentait aucun danger, du moment que tous les élèves, confinés dans leur peur, resteraient assis à leur table, la tête dans leur assiette. Dumbledore était persuadé que Voldemort n'allait pas me tuer. Il était aussi persuadé que ce ne serait qu'à sa perte.

-Et les élèves, était-il en sécurité ?

-Une armée entière des meilleurs aurors attendait patiemment au fond de la salle, prêt à intervenir à tout moment. Les élèves seraient tous envoyés dans leur chambre au moindre problème. Tout avait été prévu pour que je sois le seul à sortir de la table.

Tous les sièges avaient été marqués d'un sort commun, et si un des maillons de la chaîne se rompait, le sort ne pouvait plus marcher. Le fait de te lever a eu plusieurs conséquences très graves. D'abord, tu as royalement dévoilé tes capacités à quelqu'un qui t'ignorait, tu as mis fin aux protections des élèves d'une manière misérable et surtout, tu as entraîné la mort d'une innocente. Je vais maintenant m'arrêter de te responsabiliser et de te mettre face à ta propre idiotie… Il ne me reste plus qu'à attendre ma mort de la manière la plus sereine. Je ne peux rien faire sans baguette. J'en ai de toute façon marre de ce monde, alors pourquoi ne pas accepter d'y mettre fin maintenant ! »

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Damien et Harry virent alors un serpent descendre lentement du plafond dans lequel il s'était tapi dans l'obscurité et fit le tour des deux chaises. Damien entendit alors un sifflement derrière lui.

« Harry ! »

Le sifflement devenait de plus en plus violent.

« Harry ! » répéta un Damien inquiet

-Tais-toi ! Je ne veux plus parler avec toi ! Je t'ai tout dit, tu assumes maintenant, petit-fils à Voldy ! Lui répondit-on

-Parce que tu crois à ses sornettes ? 

Damien essaya de se tourner, mais ses mains bloquées l'en empêchaient. Harry, quant à lui, resta un moment silencieux.

-Si je réussis à sortir de ces chaînes, tu pourras m'aider à sortir d'ici… »

-Tu rêves mon vieux ! » Ricana doucement Harry. Si déjà tu arrives à te libérer seul de cette chaise…

-Je n'ai pas envie de crever dans ce trou sans me battre. Je veux me battre jusqu'à la mort.

-Nous, sorciers, on dépend tous de notre baguette. Sans elle, on n'est rien, on n'est comme un moldu. Dumbledore a sans doute prévu un plan pour nous libérer d'ici. Contrairement à toi, je me refuse à mettre en péril la mission de secours qu'il a organisé.

-Après ce qu'il m'a fait, je ne crois en rien à Dumbledore, coupa brutalement Damien. Après tout, j'aurais très bien pu rejoindre les rangs de Voldemort !

-Le choix était le tien. Moi, de toute façon, je m'en moque : Je connais ma destinée ! »

Le sifflement reprit. Damien se rappela alors que la plupart des élèves de troisième année lui avaient raconté la faculté qu'avait ce fameux Harry à pouvoir parler aux serpents, cela s'appelait le… fourchlangue, lui semblait-il.

« Très bien, tu veux parler à ton serpent, ben moi je me casse d'ici » Dit-il avec violence.

Harry se remit à rire silencieusement. Damien, sentant une faim lui tenailler le ventre, le froid s'emparer de lui, essaya de vider son esprit pour trouver le meilleur moyen qu'il avait en ses capacités pour sortir de cette situation. Il essaya vainement la magie sans baguette. Après une longue réflexion, se plongeant toujours dans les méandres de son esprit, il devint tout d'un coup inconsciemment complètement invisible. Il sentit étonnement ses poignets traverser la matière. Ce n'était pas que de l'invisibilité, ça ! Il semblait être, en fait, comme un fantôme. Il rompit le sort, alors qu'il se situait au centre de la pièce. Il apparut face à un Harry complètement perplexe, voire hébété. Même Damien ne comprenait pas ce qui c'était passé : être invisible ne signifiait pas être fantôme ! Le serpent attendit quelques instants en tournant en rond. Puis, remarquant qu'un des prisonniers s'était échappé, il disparut brutalement de la salle, en ondulant à une vitesse impressionnante.

« Il est allé avertir son maître, maintenant on est réellement mort. » Dit Harry avec un certain sourire aux lèvres.

Damien s'approcha à petits pas d'Harry et dit dans un murmure provoquant des frissons :

« Avec toutes les capacités que tu nous avais toutes cachées et dont j'ignore encore où tu les as assimilées, tu dois bien pouvoir faire quelque chose pour nous ! Tu dois bien savoir-faire un truc sans baguette ! C'est la mauvaise volonté et l'absence de motivation qui t'empêche d'y voir clair ! Plus on restera ici, plus on crèvera de faim, plus on sera susceptible de mourir ! Montre toute ta bonne volonté, fait ressentir tout ton désespoir, et, à ton étonnement tu seras libre, tout comme je l'ai fait moi ! »

Entendant cela, Harry pâlit, mal à l'aise. Il ferma les yeux, son visage se crispa au fur et à mesure qu'il se concentrait. Les paumes de sa main forcèrent les bords de sa chaise. Damien s'attendait à ce que celle-ci explose en mille morceaux ou que les pinces liant mains et poignets s'ouvrent avec brutalité. Mais, à son grand étonnement, ses mains s'affinèrent lentement devenant deux pattes noires et velues. Le vêtement le couvrant sembla se mouvoir, en se transformant en une couverture magnifiquement poilue, donnant envie d'être caressée. Le visage de Harry rétrécit, deux moustaches s'allongèrent autour de sa moustache, ses yeux toujours aussi verts s'épaissirent. Au fur et à mesure de sa transformation, l'animal enlevait ses pattes des pinces, lui permettant ainsi de mettre fin à une posture assez déplaisante à supporter. Damien était devenu blême face à cette panthère. Il n'avait entendu des métamorphoses que dans les mythologies grecques et égyptiennes. Il recula de quelques pas, effrayés. Mais la panthère, d'un air goguenard, s'avança vers lui, l'air de dire, et maintenant, comment on fait pour traverser la porte blindée en fer ?

Damien ne perdit pas une minute, il se concentra pendant un petit moment, puis recouvrant le mode « invisibilité », il réussit à traverser la porte. Il ressentit une immense joie, en voyant que les deux mangemorts qui les avaient menés jusqu'ici, avaient laissé leur clé sur la cerrure. Retrouvant son corps et toutes les limites qu'elles entraînent, Damien s'empressa de déverrouiller la porte. Harry sortit comme une furie. Il ne laissa pas le temps à Damien de respirer. Il traversa la seconde grille se situant à sa droite. Damien ne comprit absolument pas cette excitation subite. Il ferma la porte, mais à peine avait-il retrouvé son invisibilité, que la porte s'ouvrit brutalement. Une dizaine de mangemorts pénétrèrent dans la salle.

« OU SONT-ILS ALLES !! » Hurla de toutes ses forces Voldemort.

Damien tourna la tête. Il vit Harry, toujours en panthère, tapi dans l'obscurité, en train de faire des signes frénétiques. Damien s'approcha de lui, calmement, puis traversa du doigt la peau de l'animal comme pour montrer la direction dans laquelle il voulait allait. La panthère se retourna brutalement. Damien lui souffla à voix basse :

« Sortons par-là où ils sont entrés. »

La panthère acquiesça de la tête. Les mangemorts étaient, à présent, tous à l'intérieur de la salle dans lequel Damien et Harry avaient été enfermés. Il n'y avait qu'un mangemort qui observait à l'extérieur.

« Maintenant ! »

La panthère surgit à l'extérieur de sa cachette, percutant violemment le mangemort de garde, qui sous le coup du choc tomba. Harry, avec une agilité impressionnante, ferma la porte de la cellule, et, avec ses dents, ferma le verrou.

« Attrapez-les ! » Cria Voldemort.

Damien se déplaçait le plus vite qu'il pouvait. La voix était libre, il fallait en profiter un maximum. La porte fermée fut projetée en arrière. Le mage noir poussa un cri de Guerre effroyable, faisant presque trembler les murs.

 La panthère courrait comme une flèche, fermant avec ses pattes chacune des portes, traversant les barreaux des portes bloquées. Les mangemorts rencontrés étaient tellement surpris qu'ils en perdaient le réflexe de dégainer leurs baguettes. Après une course effrénée, leur faisant perdre toute notion de faim et du temps, les deux amis ralentirent le rythme lorsque Harry grimpa avec aisance sur des caisses et pénétra dans une salle obscure. La panthère s'assit le plus calmement possible pour observer et concentrer tous ses sens vers l'endroit d'où elle avait réussi à accéder à la salle. Damien n'en pouvait plus. Il s'approcha à pas lent, commença à vouloir monter sur la caisse, mais il ne fit que la traverser. Impossible d'avoir accès à la salle où s'était caché Harry. A bout de force, il réapparut enfin. Petit à petit, il commença à escalader chacune des caisses sous les grognements pressant de Harry. Il parvint à faire un ultime effort pour se hisser jusqu'à la cache. Un mangemort passa justement devant eux à ce moment là. Fort Heureusement, son empressement à retrouver les deux évadés fut sa faiblesse. Il n'entendit pas le craquement provoqué par Damien lorsque celui-ci se coucha, à bout de souffle, sur le sol.

« Je suis épuisé… mais au moins Voldemort ne peut pas nous trouver ici ! » Soupira t'il.

Quelques minutes passèrent, aucun bruit ne vint les perturber. Harry se crispa tout d'un coup. Ses griffes s'ouvrirent. Damien se releva dans le plus grand silence, mais comprit aussitôt qu'il n'était pas passé inaperçu. Il recula vers le fond de la pièce alors que Harry s'apprêtait à jeter un coup de griffes sur le premier venant. Damien, réservant ses dernières ressources pour la fin, vit une trappe ouvrant sur une salle gigantesque. La salle de torture se situait à une vingtaine de mètres au-dessous d'eux. Des tables étaient jonchées d'objets plus ou moins horribles. Au fond, deux énormes cheminées projetaient un feu. Des personnes se trouvaient derrière chacune des portes prêtes à attaquer en cas d'intrusion subite. Harry poussa un grognement féroce, en griffant, mortellement le mangemort dont la tête venait de surgir de la trappe. Il fut tuer sur le coup. Des cris furent poussés au-dessous d'eux. Des sorts fusèrent de partout. Mais, aucun n'atteint la panthère. Celle-ci s'empara, avec sa bouche, de la baguette que le mangemort avait lâché en recevant le coup mortel.

« Arrêter les protections murales immédiatement » Hurla Voldemort.

« On peut peut-être s'échapper par-là ! » Souffla Damien.

Harry, hésitant, s'approcha de l'endroit que désignait Damien, la baguette toujours dans sa bouche. Il se retourna brutalement. Un serpent gravissait lentement la trappe. Sans hésiter davantage, la panthère poussa violemment Damien dans le vide et fondit sous lui comme pour lui amortir la chute. Pendant les quelques secondes que durèrent la chute d'une quinzaine de mètres, Damien s'agrippa à la peau de l'animal. Un gémissement strident fut poussé au moment où il atterrit au sol. Damien se retrouva par terre. Il vit Voldemort sauter d'en haut, à son tour, il vit des mangemorts, la baguette levée s'approchaient d'eux. Malgré sa blessure grave, Harry s'avança rapidité vers les cheminés où d'énormes feux crépitaient. Damien courut à lui, alors que Voldemort se relevait lentement, en souriant.

« Cette cheminée ne donnera pas accès à un lieu sûr, mes amis. Tout ce que vous faites est inutile. »

Il présenta sa baguette, en souriant. Harry se transforma brutalement en être humain. Tout en faisant face à Voldemort, il prit dans sa main une poudre verte qu'il jeta au feu. Avec un ultime effort, il pénétra dedans, leva la baguette qu'il avait volée. Tout le monde vit la cape de Voldemort s'agitait. Ce-dernier, sans ne rien remarquer ou plutôt faisant semblant de ne rien remarquer, continuait à s'avancer. Damien rejoignit Harry en se jetant à son tour dans le feu. La baguette d'Harry surgit de la cape.

Voldemort ne se tenait maintenant qu'à quelques centimètres du duo.

« Votre entreprise s'arrête là, sachez que toutes mes cheminées sont maintenant déconnectées et ces lieux sont protégés contre le transplanage. Et si Harry Potter veut faire la bagarre, épuisé comme il est, il n'y a aucun doute qu'il n'ira pas loin. »

Pendant que le seigneur noir parlait, Harry souffla quelques mots à l'oreille de Damien. Voldemort se situait maintenant face à eux, baguette levée :

« Mets petits oiselets, la fête est finie ! »

Damien cria « Poudlard ! »

Tout se passa alors très vite. Un tourbillon emporta les deux amis. Voldemort, malgré sa surprise, s'empara de la main d'Harry, et empêcha ainsi, le duo d'être transporté à mille lieux d'ici.

« Qui a connecté cette cheminée !! »Hurla t'il dans une rage palpable.

 Damien, tenant en vain Harry, avait peine à résister à l'attraction du mage noir. Sans ne comprendre ce qu'il faisait, il sentit son poing gauche de venir tout brûlant. Il ouvrit brutalement la paume de sa main, ce qui projeta Voldemort au fond de la salle. Damien et Harry disparurent de la cheminée dans un tourbillon.

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Réponses à mes rewiewers :

Pimousse fraise :

Et ce chapitre là ? Il éclaircit ou non les chapitres précédents… Si tu dis non, je craque ! Attention parce que la suite part sur de nouvelles bases scénaristiques jamais exploitées… J'espère tout de même que les révélations t'ont plu !

La suite n'a pas été rapide : j'ai eu un bac blanc à préparer, mon avenir à construire… C'est plus important que la fiction tout ça. Donc je l'ai laissé un peu tomber… C'est dommage, mais je ne pouvais pas faire autrement ! Merci d'être aussi assidue avec moi !

Luna13 :

Une nouvelle !!! Ah !! Je suis content !!! Il y a longtemps qu'aucun nouveau ne l'avait écrit ! 3 heures pour écrire ma fiction ? Mais elle est longue alors ? Ce que je sais, c'est que je mets beaucoup de temps à écrire chacun de ses chapitres ! Je pense avoir répondu à ta question dans ce chapitre… Allez, n'hésite pas si tu as d'autres questions ! Merci beaucoup !

Chen :

Tu as retrouvé ton chemin ? Et là il y a de l'action (je t'en supplie, admets-le !!!) Je n'ai vraiment eu que des soucis, ces temps-ci ! Donc, j'ai fait une pause narrative à un endroit vraiment sadique, je le reconnais. Je te recommande de survoler les chapitres 11 et 13 (si tu ne t'en souviens plus ! Depuis le temps, je comprends très bien !!) après avoir lu celui-ci. Ben quoi c'est dingue que personne ne soit satisfait par son travail, il ne faut pas être prétentieux dans la vie !!! Lorsque j'ai repris ce chapitre, après presque 4 semaines à n'avoir pas fait de trucs narratifs, j'ai eu beaucoup de difficulté à commencer. J'espère que tu retrouveras mon style… Si tu pleures à cause de la mort d'Alexandra, je te conjure de ne pas te suicider lors de mon dernier chapitre !!! Merci Beaucoup !!!

Aulili :

Tu as MSN ? Hier, j'étais Fito (celui qui n'arrête pas de dire « nananananère ») sur Msn Messenger™. Je n'ai pas eu le temps de m'asseoir tranquillement sur ma chaise après l'installation du logiciel, qu'il m'a lancé ces messages comme des coups de poings ! Enfin, je n'ai pas pu éviter le premier coup, mais il m'a pris de surprise ! J'en ai le nez d'ailleurs tout gonflé !!! On s'est demandé si tu avais Msn Messenger™… et si tu voulais bien discuter avec nous ! 

Bon, concernant ce g (rrr !!!) de chapitre, tu les as tes réponses ! C'est vrai que j'ai lu la fiction assez apocalyptique de ce Aliosys Dumbledore, ça m'a fait exploser de rire ! J'ai du respect pour les personnages de JKR Moi ! Au moins ! Comparé à lui, mon sadisme est un peu mêlé à du vinaigre un peu âpre… C'est du sadisme volatile… Pas à grande valeur donc ! Je ne révolutionne pas sur ce point ! Bon, j'espère que vous comprenez mieux mon Halloween, parce que je vais craquer sinon (je radote !)…

Je  n'ai pas dit qu'il fallait raccourcir les rewiews ! Je vous ai demandé d'arrêter ce combat de mégères (tu ne le prends pas mal, j'espère…) entre toi et Fito… Et d'ailleurs le message concernait plus Fito (le provocateur) que toi. Et de toute façon, j'ai une théorie chez moi : plus je reçois une rewiew d'importante taille, plus je suis content ! Je mets ainsi plus de temps à répondre à vos demandes, et ça me fait très plaisir !! Alors, si tu veux faire des pages de rewiews, je te garantis que je les lirais, et que j'y répondrais sans ne négliger aucun détail ! Avant d'écrire cette fiction, je me souviens d'avoir écris à chaque chapitre d'une fiction que j'aimais bien (au début = ce qui signifie : pas à la fin) des rewiews semblables aux-tiennes. Je me fais un plaisir à envoyer de longs paragraphes, mais ce que je vénère, c'est le moment où je reçois une réponse ! Bon alors qu'on soit clair là-dessus, j'aime les rewiews longues !!!

Sinon j'ai enfin fini Harry Potter 5, et le fait de le lire en français n'a changé en rien mon point de vue sur ce livre : il a donc confirmé ma lecture superficielle en anglais ! Je n'ai retrouvé l'univers que j'appréciais dans le 4ème livre, à partir de la page 584, c'est à dire, juste avant que Harry ne voit Mr Weasley se faire attaquer. Le livre est cent fois trois longs, les révélations finales ne m'ont pas épaté, le comportement de Harry laisse à désirer. L'idée de relation entre Harry-Voldemort - c'est à dire, la capacité de Voldemort d'utiliser Harry comme espion - j'en avais eu l'idée pour ma fiction, en la complexifiant avec la mise en scène de Damien !(Je ne sais pas si tu comprends bien…) C'est pour cela que je suis embêté : Pour les quelques chapitres avant la fin, on va m'accuser de plagiats ! Bon, je cherchais autres choses…

Alors, tu ne trouves pas que c'est une longue réponse, ça ? Bon, j'espère ou plutôt je vous supplie que tout soit au plus clair concernant tous les évènements qui se sont passés depuis le début de cette fiction ! Dans le chapitre suivant, je change d'idée !

A très bientôt (enfin j'espère !) Ronaway.

Et enfin Fito :

Bon ! Je vois, avec satisfaction, que mes interventions pacifistes ont fait des effets !! J'en suis très content ! Il ne faut pas que cela ne se termine mal ! Je n'ai pas envie de perdre ceux qui me soutiennent dans mon travail (pas très assidu) parce qu'ils ne s'apprécient pas entre eux ! Allez une bonne réconciliation fera l'affaire ! Merci de m'avoir relu le texte.

A très bientôt ! Ronaway !