L'été de la cinquième année :

James soupira de contentement en regardant le lever du soleil de la grande baie vitré de sa chambre. Il bâilla, et regarda d'un regard bouffi, son horloge en forme d'un souaffle. Il était six heures du matin étonnament, mais ce qui était le plus étonnant c'est qu'il soit réveiller, alors que James faisait d'habitude la grasse matinée pendant les vacances. Mais il était simplement réveillé car il voulait réfléchir à son sujet préféré : Lily Evans.

Il s'était enfin avoué qu'il était amoureux d'elle, mais il ne l'avait pas dit à Sirius, Remus et Peter. Il ri tout bas en essayant d'imaginer leurs réaction. Sirius sauterait de joie, Remus sourirait sciemment, et Peter, et bien Peter resterait Peter.

Si seulement Lily pouvait ignorer mes défauts, pensa tristement James. C'est alors qu'il pensa soudainement à changer. Il se mit à tout planifier. Il arrêterait d'embêter les passants innocents sans raison, mai Rogue serait une exception, à cause de ce qu'il était, et bien Rogue, et un Serpentard. Ensuite il essaierait d'arrêter d'appeler Lily par son nom de famille, et se concentrerait sur son prénom. Et en dernier il agirait avec plus d'humilité, sans parader, bien que le Quidditch serait une exception. Oui, James avait tout prévu... sauf qu'il devait passer ses nuits dans son lit sans dormir dans son lit et penser à travailler. Parce que si il travaillait, il serait le garçon le plus en extase de la terre, mais si il ne travaillait pas il serait comme un bout de viande mort, et Lily le détesterait encore plus que maintenant, si c'était possible. Cependant il fut interrompu dans ses pensées par Madame Potter qui l'appelait pour déjeuner.

James fit un effort pour se trainer en bas, où ses parents étaient déjà assis. Jacey, un de leurs elfes de maison, servait du pain grillé, les oeufs, et un assortiment de muffins.

"Bonjour, Maître James," la salua-t-il de façon aimable, comme in prenait un siège à côté de son père.

"Jour, Jace," marmona James en frottant ses yeux endormi. "Et arrête de m'appeler Maître Jame, James est bien."

"Si le maître- James le souhaite, monsieur."

"Alors pourquoi est-ce que tu t'es réveillé en premier, James ?" demanda Monsieur Potter, comme il abaissait son exemplaire de la Gazette du Sorcier de son regard. "Ta mère t'a entendu t'affairer en haut, alors elle t'a appelé à descendre."

"Oh, je réfléchissais juste."

"Que veux-tu élaborer ?"

James rougi. "C'et un peu privé."

"Ce ne serait pas à Lily ?"

"Comment tu l'as su ?" demanda-t-il avec étonnement.

Monsieur potter ri tout bas. "Je suis ton père, c'est normal que je le sache, James. maintenant dis moi quel est ton problème."

Jame fini par raconter l'histoire entière de sa découverte de son amour pour Lily à ses parents, et son rejet amère par la rousse. Monsieur Potter écouta d'un air compatissant et Madame Potter hocha une ou deux fois la tête.

"Lily a raison, cher," dit cette dernière attentionnément, comme il finisait son histoire, "tu dois arrêter d'embêter les gens. C'est mal et je suis étonné que Dumbledore n'est rien remarqué et n'est rien fait."

"Euh, je pense qu'il s'n est rendu compte, puisqu'il a nommé Lun-Remus préfet en espérant faire changer Sirius et moi."

"Pas la peine de dire que les tentatives de Remu ont échoué," dit Monsieur Potter, d'un air tordu.

Mais avant que l'un d'eux ne puiss rajouter quelque chose, leur cheminé trembla et un garçon décoiffé arriva avec sa malle, son balai et un hibou dans les bras qu'il laissa tomber."

"Sirius ?" dit Monsieur potter d'un air absent. "Que fais-tu ici ? Je pnse que tu es un peu en avance, mon garçon, puisque toi et les autres ami de James ne deviez arriver que la semaine prochaine, je crois..."

"Je sais," souffla Sirius, "mais j'ai beosin de vous demander une faveur."

Les trois Potter attendirent qu'il continue de parler, curieux de ce qu'il avait à dire.

"je me suis encore disputer avec mes parents," dit-il et James et les siens le regardèrent d'un air absent son meilleur ami avec un regard plein de sympathie. "Ma mère hurlait comme d'habitude que je choisissait mal mes amis, mais elle a insulté votre famille. Elle vous a appelé traîtres de sang, car vous favorisez les Moldus et les Nés-Moldus, et elle déteste les deux. je n'ai pas pu en supporter plus. j'ai emballer toutes mes affaires dans ma malle en les rétrécissant et je suis venu. j'espérais que vous pourriez me donner un edroit pour vivre pour que j puisse rester jusqu'à ce que je trouve un travail et que j'ai mon propre logement."

"Bien sûr que tu peux rester ici, Sirius," consentit Madame Potter, larmoyante. "Tu es toujours le bienvenu ici. C'est un peu grand cette maison pour nous trois..."

"Merci," dit Sirius en paraissant soulagé. il souri à James. "j'ai l'impression que tu as reçu un frère adoptif Cornedrue."

James ri avec ses parents. "Tu es le meilleur genre de frères que je puisse avoir, Patmol. Bienvenue chez la famille potter. Oh, mais je te conseille de garder ton nom de famille, Black, même si tu le déteste beaucoup, parce que Sirius potter paraitra bizarre à tout le monde à l'école. ils penserons que nous nous aimons et que nous comptons nous épouser comme des sorcier gays."

Arabella sourit penaudement. "Ouais. Je leur ais dit il y a longtemps, et ils pensent que j'ai eut une relation régulière avec Sirius pendant trois ans sans interruption."

Lily, Jennifer et Violette rirent sous cape, alors que Arabella rougissait furieusement.

"C'est contradictoire," ri Violette.

"Tu ne vas pas leur dire, n'est-ce pas ?" demanda Arabella clairement horrifiée.

"Pourquoi le ferais-je ? Ce n'est aucunement mes affaires."

"Et bien continue alors," l'encouragea Jennifer, "écris une réponse à Sirius."

"Je ne vais pas l'écrire devant vous. Je serais dans ma chambre si vous avez besoin de moi." Elle parti sans rien dire de plus, ne ngligeant la crise de rire nerveux derrière elle.

"Pourquoi n'écrit-elle donc pas devant nous ?" demanda Violette à haute voix.

"Oh, Vi, ce n'est pas évident ?" Lily soupira etri doucement et nerveusement. "Bella est allée écrire une lettre d'amoure loongue et spongieuse à son bien-aimé Sirius."

"Et pourquoi est-ce drôle ? Je pense que c'est romantique !"

Lily et Jennifer échangèrent un regard clairement exaspéré.

"Quoi ?" cria Violette sur la défensive. "C'est romantique ! Mais bien évidemment pas aussi romantique que James avec Lily."

Jennifer alla rapidement aux côtés de Violette, contre Lily.

"Ouais," continua-t-elle en négligeant les protestations de Lily, "tu aimes James. Ne me regarde pas comme ça ! C'est vrai."

"Depuis quand es-tu aussi extraverti, Vi ? je me souviens de nos trois ou quatre premières années à Poudlard. Tu étais si calme et douce, bien que tu étais impudente lorsqu'il s'agissat de Potter et moi à former un couple. Mai maintenant..."

Violette souri. "Maintenant je uis connue et populaire comme vous les filles, hein ?"

"De quoi parles-tu ?" exigea Jennifer. "Tu as toujours été populaire."

"Ouais peut-être. Tu te souviens de ce que m'a dit Amos Diggory avant la quatrième année ?"

"Euh... pas exactement."

"Ouais, et bien il a dit que vous étiez les trois filles les plus populaires de Poudlard, et que j'étai juste une laide perdante."

Lily grogna. "pourquoi écoutes-tu cet abruti ? Tu es jolie, Vi, et si tu ne l'a pas déjà remarquer, beaucoup de garçons de Poudlard ont des vues sur toi."

"Pourtant je n'ai jamais été informé de cela."

"Je pensais que tu le savais."

"Tu as mal pensé, alor."

"Violette," dit jennifer impatiemment, "tu es populaire, intelligente, et la fille la plus agréable qu'il y ait. pourquoi se plaindre ? En plus avec Voldemort qui gagne en pouvoir, le mal est sur le point de nous abattre à n'importe quel moment maintenant."

"Jen !" s'écria Lily avec horreur.

"Quoi ? oh je sais que tu t'inquiètes à propos de ce vieux Voldemort, Lils, mais..."

"non, ce n'est pas ça, c'est juste ta dernière phrase."

Jennifer paru étonnée et fouilla son cerveau avant de se rendre finalement compte de ce que Lily avait dit. "Oh ça ! Ce n'est pas ça Lily ! Comme je veux le dire, la vie est trop courte pour conserver ses paroles."

Lily renifla, indignée, mais ne répliqua pas. Violette éclata de rire, et jennifer la rejoint quelque secondes après.

"Hé les filles, qu'est-ce qu'il y a ?" Arabella venait d'entrer, un rouleau de parchemin dans sa main, et elle salua les filles.

"Oh, abolument rien," claqua Lily.

Elle haussa un sourcil. "Ca va pas la peine de me claquer, Lily. Et vous pourquoi riiez vous les filles ?" Elle dirigea sa question vers Violette et Jennifer.

"Lily se souciait de regarder notre langue," dit Jennifer en souriant.

"Oh, Lily," soupira Arabella.

"Quoi ? Je ne veux pas des amies avec des bouches dégoutantes, merci bien."

"Ouais, ouais, où diable est donc Merlin ?" Elle se référait à son hibou grand duc, qui était sa fierté et sa joie de vivre... au moins comme les animaux favoris.

"Je pene qu'il livre un message," répondit Violette en bâillant.

"Quoi ? Comment cela se peut-il ? Merlin mon hibou ?"

"Je euh... j'ai envoyé une Beuglante à Remus," avoua Jennifer, rougissante.

"Et pourquoi diable as-tu fais cela, jen ? Pourquoi ne pas avoir utilisé Ginny, ta propre chouette ? ou Hannah et Godric, les hiboux de Lily et Violette ?"

"Et bien," commença Jennifer, "tu vois j'ai envoyé Ginny auparavant pour envoyer un mot doux à Remus. Hannah était toujours à chasser dehors et Vi ne me laisse jamais utilisé Godric. Alors Merlin était le seul disponible."

"Peut-être que tu aurais du te rendre compte que j'utilise Merlin moi aussi et qu'il n'était pas disponible pour tout le monde," dit Arabella sarcastiquement.

"Pourquoi donc l'aurais-je fait ? Tu avais qu'il était disponible pour tous."

"Je l'ai fait ? Et bien je devais être vraiment folle ce jour-là. De toute façon pourquoi as-tu envoyé un mot doux à Remus et ensuite une beuglante ? Jennifer Dean, tu dois être folle !"

"Je ne le suis pas !" cria jennifer avec passion.

A ce moment, Merlin tapa à la fenêtre impatiemment avec on bec, et Arabella ouvrit pour qu'il se mette sur son bras.

"Il a un message pour toi, Jen."

Jennifer prit le message, le scruta rapidement du regard et soudain éclata en larmes. Les trois autres fille la regardèrent alarmées. Elles prirent la lettre oubliée et la lirent silencieusement.

Chère Jennifer,

Pourquoi diable m'as-tu envoyé une Beuglante ? Ecoute je suis vraiment désolé si je t'ai négligé dernièrement., mais si je me souviens bien, c'est toi qui a commencé à me négliger. Toi et les filles ne nous parlaient pas après l'incident du lac impliquant Lily et James ! Mas si tu dois hurler contre moi ainsi alors que c'est ta faute, alors je pense que notre relation ne peu plus durer. Et tu as de la chance que je ne t'ai pas envoyé une Beuglante.

Remus.

"Oh, Jen," dit Arabella, ses yeux remplis de larmes. Les trois filles embrassèrent leur amie au coeur brisé, pleurant de tristesse, de colère et de déchirement pour elle.

"Fini la relation parfaite," chuchota Jennifer.

"Lunard, tu es l'idiot le plus débile que je connaisse dans le monde ntier. Mes félicitations," dit Sirius sarcastiquement, alors q'ils étaient tous enfermés dans la chambre de James. Franc était là aussi.

"Pourquoi as-tu fais cela ?" demanda Franc mystifié. "Je veux dire c'était ta copine."

"Oh, je ne sais oas," répondit Remus négligemment. "Ca devait être à cause de l'époque du mois je suppose, et en plus elle m'a envoyé une Beuglante ! Et avant cela elle m'avait envoyé une boîte de Chocogrenouilles et de Souris Glacé. Je n'aime pas les filles aussi imprévisible, merci bien."

James roula les yeux en direction de Franc, Sirius et Peter. "Tu l'aimes toujours ?"

"Et bien..." Il hésita. "je ne sais pas."

"Personnellement je pense que c'est particulièrement stupide," dit Peter. "je veux dire, vous deux étiez si bien ensemble. Pourquoi dinc as-tu eut besoin de la laisser tomber à cause d'une stupide Beuglante ?"

Après ceci, Sirius éclat de rire. Les 4 autres garçons le dévisagèrent en se questionnant sur sa santé d'esprit.

"Qu'est-ce qui ne va pas avec toi, Patmol ?" soupira James en secouant la tête. "je devrais peut-être appelé Papa. Sainte Mangouste ?"

Franc et Remus rirent sous cape, alor que James et Peter le dévisageait toujours, restant perplexe au garçon qui les regardait d'un air maniaque.

"Désolé," s'excusa Sirius en toussant. "C'est juste ça, ce que Quedvert a dit, c'est drôle, n'est-ce pas ? je veux dire mettre fin à cette relation pour une beuglante ? Pour une enveloppe rouge ?"

La bouche de James se courba en un sourire. "C'est pas le genre de ce que l'ancien Lunard aurait fait."

"Je suis d'accord," consentit Peter.

"Tu sais," dit Franc soudainement, "j'ai décidé que les filles étaient trop compliquées. La plupart des problèmes de maintenant ne proviennent pas de Voldemort mais des filles. En premier James souffre d'un amour apparemment non partagé. En suite je largue Alice sans aucune raison, essaye de lui parler, et découvre que c'est complètement inutile. Maintenant Remu renvoie sa douce amie, tout ça à cause d'une vulgaire beuglante et maintenant ils ont ruiné leur relation. Femmes !"

"Amen à cela !" dirent les Maraudeurs avec passion.

"Et bien c'est sans offense," interrompit Peter plutôt rouge, "mais vous n'êtes pas tous étrangers à tous ces évènements ? Lily déteste Cornedrue, car elle le trouve arrogant et odieux. Alice te déteste Franc car tu l'as largué sans y réfléchir quparavant. Et maintenant Lunard tu es en colère contre Jennifer juste parce qu'elle t'a envoyé une Beuglante. Nous sommes aussi jolis et compliqués, tu sais."

"Quedvert marque un point," admis Remus. "Je suis un tel crétin, je sors Jennifer de mon esprit à cause d'une beuglante. J'ai du lui brisé le coeur."

"Dis lui donc que tu es désolé," suggéra James, comme si c'était la réponse la plus évidente.

"Tu me prends pour un idiot ?" dit-il incrédulement. "Je ne suis pas désolé ! C'est elle qui doit être désolé."

Les quatre autres garçons grognèrent bruyamment, en mettant leurs mains pour cacher leur visage.

"Nous devons toujours allés à la maison de Arabella, vous vous souvenez ?" rappela James. "Au fait Franc, le devoir nous appel... Nous devons allé à la maison de la copine de Sirius, puisqu'il doit lui dire quelque chose d'important." Il grimaça.

"Ah ? Quoi ?" Franc scruta curieusement un Sirius rougisant.

"Que je l'aime," marmonna ce dernier.

Le futur septième année souri. "C'est doux, je me souviens de la première fois où je l'ai dit à Alice."

"Vraiment ? Que c'est-il passé ?" demanda Sirius avidement en espérant que ce soit quelque chose de positif.

"Je te le dirai une autre fois," dit Franc avec une vague de regret. "Maintenant je suppose que toi et les gar devez partir pour la maison d'Arabella. On se reverra bientôt, les gars." Il disparut de la chambre de James.

"Je déteste ce gamin," grogna James. "J'ai hâte d'avoir mon permis de transplaner, ainsi je n'aurais plus besoin d'utiliser la poudre de cheminette."

"Oh, ça va," dit Remus joyeusement, "juste encore une année à attendre."

"je déteste quand tu e aussi optimiste, Lunard," dit Sirius d'un air maussade. "Bon, allons chez Bella afin que j'acomplise ma mission."

"Nous alons devoir rester là-bas pendant trois semaines," rappela James. "Notre maison va être rempli avec tous les Potter du monde et ça va faire beaucoup. Maman et Papa auront à peine assez de place pour moi. Je remercie Merlin de ne pas devoir revoir toute cette famille." Il frémit.

Les Maraudeurs allèrent à la cheminée et lancèrent un peu de poudre de cheminette dans l'âtre et crcièrent "Résidence Figg."

"Sirius !" s'écria Arabella lorsqu'ils sortirent de la cheminée en toussant. Elle l'embrassa solidement et le yeux de Madame Figg commencèrent à s'humidifier.

"Potter," dit Lily sèchement.

"Evans," répondit-il pareseusement.

Jennifer et Remu évitèrent chacun le regard de l'autre pendant que Violette et Peter échangeaient un amical bonjour. Sirius en eut assez de ceci.

"Alors, Bonjour Jennifer," dit-il doucement, "Comment vas-tu ce soir ?"

"Je pense que tu dois montrer au gars où ils devront 'unstaller, Jen," dit Arabella en comprenant rapidement le petit jeu de Sirius.

"Moi ?" Ses yeux se rétrécirent. "Ceci est ta maison, Bella."

Remus faillit presque rire mais se retint juste à temps. L'esprit mordantet la langue acérée de Jennifer était ce qu'il apréciait le plu chez elle.

"Oui mais tu vois..."

"Elle doit parler à Sirius tu te souviens ?" dit Lily rapidement pour tirer son amie de là.

Jennifer soupira lugubrement et emmena le Maraudeurs en haut, dans une grande chambre, assez spacieuse. "Vous serez là, j'espère que vous aimerez."

"Tu ne ressembles plus à la Jennifer normale avec qui nous étions amis," l'accusa Sirius.

"Les choses changent Sirius." Elle partit sans rien dire de plus.

"Tu vois bien Lunard ?" dit Jaes doucement.

"Ouais," soupira Remus en secouant la tête tristement en regardant son (il eut un mouvement de recul à ces mots) ex-copine.

"Oh, Merlin, vous ne devinerez jamais ce qu'il m'arrive," hurla Arabella alors qu'elle se jetait sur son lit joyeusement.

"Quoi ?" crièrent Lily et Violette avec agitation.

"Sirius m'a dit qu'il m'aimait." Elle soupira rêveusement et attendit les réactions.

"C'est si doux !" cria Violette, ses yeux remplis de larmes.

"Oui, ça l'est," consentit Lily. "Je suis si heureuse pour toi Bella."

"Merci les filles. Hé, où est passé Jennifer ?"

"Euh..." Les deu filles se regardèrent.

"Alors ?"

"Nous ne savons pas où elle est," admis VIolette après un moment de silence.

"QUOI ?"

"Elle a disparu. Les garçns sont dehors à sa recherche, de même que tes parents. Ils nous ont dit de rester ici à t'attendre sinon tu serais alarmée de ne plus voir personne sans aucune trace."

"Hé les filles," salua Sirius en arrivant en courant dans la chambre. "Vous avez vu les gars ? Ils ne sont pas ici."

"Ils sont partis à la recherche de Jen," répondit Arabella, tremblante. "Elle a disparu."

"ELLE EST QUOI ?"

"Elle est un peu dérangée en ce moment," dit Lily doucement.

"Et bien, Remus est aussi perturbé. Sauf qu'il ne demandera pas aprdon de ce qu'il a fait à Jen. Oh Merlin ces deux-là sont si têtes de mules..."

"Allons suivre les autres..." dit Arabella en regardant furieusement son copain.

Les 4 sortirent sous un ciel sombre, rendant la viibilité faible.

"Ouch, regarde où tu vas, Evans."

"Ferme-la Black."

"Vi, tu marche sur mon pied !"

"Sirius tu le serres le cou et j'aimerais que tu me laisse respirer."

"Oh, désolé."

"Vous pouvez pas tous la fermer," siffla Violette qui scrutait l'arrière cour en fronçant les sourcils. "Honnêtement Bella, tu aurais pu apporter une lampe de poche."

"Une quoi ?"

"un appareil Moldu qui produit de la lumière," répondit LIly ausitôt.

"Nous n'avon pas besoin de cela," dit Arabella en grognant. "Nous avons de baguettes, tu te souviens ?"

"Sauf qu'on ne peux pas les utiliser pendant les vacances."

"Oh ouais."

IL y avait des pas qui résonnaient près d'eux et des voix s'y mêlaient.

"Arabella ? Sirius ? Lily ? Violette ?" demanda James en les regardant avec l'aide de la lumière. "Nous avons trouvé Jennifer."

Jennifer avaça, toute pâle. "Je suis désolée," grinça-t-elle. "Je ne voulais pas m'enfuir. Je suis sortie dehors car j'avais besoin de réfléchir et Voldemort s'est emparé de moi."

"Voldemort ?" répéta Lily faiblement.

"Il a dit que je devais le mener à James et quand j'ai refusé..."

"Il l'a torturé avec le sortilège cruciatus," chuchota Remus en se tenant à côté de James et de Jennifer.

"Oh, Jenny !" Les trois filles entourèrent Jennifer de leurs bras et l'embrassèrent solidement.

"Il t'a juste voulu ?" demanda Lily, en regagnant sa posture d'origine et en examinant James. "Il n'a pas voulu me tuer aussi ?"

"Et bien il ne l'a pas mentionné. Je ne sais même pas pourquoi tu tt'en soucies, je n'ai jamai entendu personne voulant être tué."

Remus donnant nettement un coup dans les côtes de James, faisant lâcher un "Ouch" à ce dernier.

"Pourquoi Voldemort te veut-il encore, James ?" demanda nettemenent Sirius en rentrant dans la maison.

C'est Monsieur Figg qui lui répondit. "Je crois que Voldemort te veux à cause d'un enfant."

"Mais alors pourquoi n'a-t-il pas besoin de Lily ?"

"Et bien vous voyez, James est plus puissant que Lily, et Voldemort pense qu'il l'empêcherait de commettre loe meurtre de cet enfant car il est plus robuste."

"Je suis aussi forte que Potter !" s'indigna Lily.

"Bien sûr que tu l'es, cher," dit Madame Figg d'un air absent.

Lily renifla mais ne répondit pas. Après tout, pourquoi se plaindre, son ami était sur le chemin de Voldemort... pour le moment.

"JE TE DETESTE POTTER !" cria Lily, en se déviageant dans le miroir. Au lieu de voir ses joues pâles et ses yeux verts, elle vit la tête d'un chat.

"Pourquoi Lily, je ne savais pas que tu avais un aussi grand goût pour la mode." James ri sous cape ainsi que Sirius et Peter.

"Cornedrue," l'avertit Remus.

Les yeux de James s'élargirent et il se cacha derrière le dos de Remus ce qui n'était pas dur en comptant le fait que James était assez petit de taille.

"Maintenant, regarde ce que tu as fait, Cornedrue," siffla-t-il. "Lily te déteste plus que jamais !"

"Oh tu es si optimiste Lunard. Elle m'aime tu te souviens ?"

Remus grogna bruyamment, mais n'ajouta rien. Il traina plutôt les trois autres Maraudeurs dans leur chambre et ferma leur porte.

"Cornedrue, tu dois commencer maintenant à dégonfler," annonça-t-il.

James cligna des yeux. "Excuse moi ?"

Sirius parla à son tour. "Cornedrie, Liy te déteste, donc ce que Lunard essaie de te dire..."

"C'est que tu dois agir en gentleman pour que Lily t'aime," fini Peter.

"Vous avez planifié tout cela d'avance les gars ?" demanda James, incrédule.

Sirius se redressa. "C'était entièrement une idée de Lunard !" Il pointa un doigt accusateur sur Reus qui roula les yeux en signe de réponse.

"Mais pourquoi dois-je 'dégonfler' ou de quelque façon que vous l'ayez appelé ?"

Remus grogna. "Sans vouloir t'offenser, Cornedrue, mais tu es arrogant et un crétin intimidant."

"Pourquoi es-tu ami avec moi alors ?" dit-il sarcastiquement.

"Parce que tu es probablement la seul personne qui accepte ma condition de loup-garou." Voir l'expression sur le visage de James était insetimable. "Non, je te fais marcher juste. Mais c'est ce que Lily pense."

"Je ne m'en préoccupe pas !"

Peter haussa un sourcil. "Je pensais que tu l'aimais."

"Je... Bon que faut-il que je fasse ?"

Remus sourit à Sirius et Peter et dit tout à James à propos de l' Opération faisoons un couple, et de comment il devait essayer de faire tomber Lily amoureuse de lui. Enviroon une demi heure plus tard, le quatre garçons étaient trempés de sueur alors que la chaleur du mois d'août remplissaient la maison. Mais tous les 4 souriaient largement.

"Ceci est le meilleur projet qu'on ai jamais eu, Lunard," dit SIrius en soupirant heureusement.

"Je sais que ça l'est. Un travail bien fait, camarades Maraudeurs. Maintenant Cornedrue tu as appris par coeur tout ce que nous avons dit ?"

"Bien sûr. Mais et toi et Jennifer ? Quand allez-vous vous remettre tou ensemble ?"

Le visage agréable de Remus se figea. "Je pense qu'elle doit d'abord demander pardon avant que nous n'ayons une chance de reconstruire n'importe quelle sorte de relation."

"Et tu as osé dire que Arabella et moi sommes têtus !" s'écria Sirius.

"Je ne suis pas têtu merci bien."

James resta silencieux pendant un moment. Il pensait à l'Opération faisons un couple comme l'appelait Sirius et Remus. Elle marcherait vraiment ? Ils avaient dit qu'il devait arrêter d'embêter les gens dans les couloirs (Rogue serait une exception bien sûr), arrêter d'appeler Lily 'Evans' et de ne pas parader (sauf en Quidditch), ce qui signifiait qu'il devait abandonner son vif d'or adoré qu'il avait piqué l'année dernière à Madame Bibine.

Il soupira lugubrement, mais ses yeux noisettes s'éclaircirent à la pensée de Lily. Il aimait tout en elle, ses cheveux roux sombres qui tombaient en cascade sur son dos, ses yeux verts brillants, sa personnalité... tout. Mais ce qui lui faisait le plus de peine c'est qu'elle n'aimerait jamais rien.

Pendant ce temps, dans la chambre des filles, Lily méditait sur ses propres pensées pendant que ses amies riaient nerveusement en parlant d'une potion d'Amour. Depuis que les Maraudeurs étaient arrivés à la maison d'Arabella, elle aviat un étrange sentiment dans l'estomac quand Jamezs passait.

Idiot sanglant, pensa Lily pitoyablement. je ne tombe pas amoureux de cet idiot, n'est-ce pas ?

Bien sûr que tu l'es.

Qui diable es-tu ?

Tu te souviens de moi ? Ta conscience ?

Oh non pas encore toi.

Bien sûr que c'est moi. Et tu es en train de tomber amoureuse de James Henry Potter, donc ça ne sert à rien de le nier. En plus il t'aime, alors pourquoi lui briser le coeur ?

Parce que c'est un crétin arrogant !

Sûrement que tu ne penses pas cela si ? Tu n'as jamais remarqué que quand tu dis cela tu ne le dis jamais directement en face de lui ?

QUOI ?

Je veux dire, tu ne dis jamais ces choses en face de James. Tu ne le dis que pour le démentir à tes amis. Tu es tmbé amoureuse de James, Lily, et il n'y a aucune façon de t'en sortir.

"Je ne suis pas tombée amoureuse de James Potter !" déclara-t-elle.

Arabella la regarda avec surprise. "Euh... Lily ? Tu te sens bien ?"

"NON." Lily renifla d'un air découragé et s'affala sur son lit. "Pourquoi tout le monde est donc persuader que j'aime James Potter ?"

"Parce que c'est la réalité," dit Jennifer avec un petit sourire. "Et James t'aime aussi. Combien de fois devons-nous te le dire ?"

Vous allez devoir me le dire jusqu'à la fin de ma vie, pensa Lily, en dévisageant le tas de devoirs de vacances intactes des semaines passées. Parce que si je suis tombée amoureuse de James il n'est pas tombé amoureux de moi.

Désolé pour le retard. Petits ennuis personnels. Je n'ai pas pu le mettre avant. Je répondrais mieux aux revieweurs dans le prochain chapitre.

A bientôt

Jennifer Evans