Sixième

Dans la chambre rouge de la demeure Sohma, l'anglaise continuait son récit :

- Puis, de bons amis de ma tante avaient proposé de m'héberger, mais c'est à ce moment qu'un secrétaire travaillant pour les ''anciens'' chefs m'a téléphoné en stipulant que par ordre des anciens, je me trouvais dans l'obligation de revenir ici.

Elle soupira en reposant la photo dans un petit coffret sur le dessus de la coiffeuse.

-Tu n'es donc pas venu vivre au manoir de ton plein gr ?

- Bien sûr que non ! J'aurais préféré mourir plutôt que de remettre les pieds dans ce manoir maudit ! s'écria-t-elle, indignée, en se levant du petit banc.

- Cest bien ce que je me disais ! Ha ha ha ! lança le chien retrouvant sa bonne humeur. Sur-ce il se leva pour sortir et laisser son amie. Ça m'as fait plaisir de te revoir, ma chère. Et tu sais, je n'habite pas très loin, tu peux venir chez moi quand tu veux ! Et surtout, ça te fera des vacances d'Akito. Puis je connais plusieurs personne qui aimerais te voir. Des personnes comme… nous.

- Tu sais parfaitement que je refuse de voir les membres des Douze, Shiguré. soupira-t-elle lui lançant un regard de reproche. Lui qui la connaissait, il savait ce qui la poussait à évité ainsi tout ceux qui sont maudits.

- Comme tu veux, mais sache que tu ne pourras pas te cacher toute ta vie, Kuro. lui dit gentiment son cousin.

- Et pourquoi pas ? Jusqu'à maintenant j'ai bien réussit comme ça, non ?! Alors, pourquoi ça ne continuerait pas ainsi ! lui cria-t-elle sans se rendre compte qu'elle s'emportait pour un rien et se montrait désagréable envers un homme qu'elle était heureuse de revoir.

- Si jamais tu changes d'idée Kuro-chan, tu es la bienvenue chez moi ! lui sourit tendrement Shiguré, nullement offensé par l'attitude de Mikuro. Puis il rentra chez lui.

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Les semaines passaient, et les printemps touchait à sa fin, se serait bientôt l'été, et les vacances. Cela faisait un mois à présent que les deux jumeaux vivaient sous le même toit. Ils avaient beaux habiter le même manoir, jamais ils ne se voyaient, et se parlaient encore moins, l'un ne supportait pas la vue de l'autre. Akito criait et se plaignait en la voyant, Mikuro ne disait rien, ne faisait rien, comme il en était autrefois. Que pouvait-elle faire de toute manière ? C'était SON manoir, c'était LUI le chef. De toute façon il était préférable de ne pas le provoquer, sinon l'un d'entre eux finiraient par mourir, tué par l'autre. Dans les dernières semaines, la jeune anglaise avait commencé à mettre le nez en dehors de son abri. Elle se promenait dans le manoir faisant attention de ne pas croiser son frère. Elle parlait aussi un peu plus a Hatori, mais restait toujours aussi muette face aux serviteurs.

Ce matin, alors qu'elle venait d'apercevoir le chef finir son petit déjeuné et sortir du salon, s'introduisit dans la pièce à présent vide. Son frère avait coutume de toujours aller passer un peux de temps à flâner seul dans sa chambre après s'être restauré, ce qui permettait à sa sœur d'errer librement dans la bâtisse. Elle s'assit donc avec un livre dans le salon, près des grandes portes coulissantes, grande-ouvertes qui donnaient une magnifique vue sur le dehors. Elle était profondément absorbée par sa lecture lorsque des bruits de pas se rapprochant la dérangèrent, quelqu'un entra dans la pièce et vint se placer juste devant elle, de sorte que en levant les yeux de sa lecture, elle aperçu deux pieds nus et le bas d'un kimono d'intérieur rouge.

- Je peux SAVOIR ce que tu fiches ICI !? cria l'arrivant.

Mikuro suivit des yeux le long de sont corps, partant des pieds, pour enfin croiser son regard enflammé de fureur.

- Je lis. fit-elle de façon qui se voulait non-provocatrice.

- Fiche le camp ! grogna-t-il entre ses dents, les poings serré.

Elle allait se lever et fuir vite mais… d'un côté, Akito ne valait mieux que personne. Elle n'avait pas à se plier à ses caprices. C'était SON toit à elle aussi. Durant tout sont enfance, elle faisait de son mieux pour ne pas l'énerver, pour ne pas lui parler, pour ne pas le voir. Maintenant qu'elle n'est plus une enfant, son frère n'a plus l'air si terrible que ça, à moins que se soit elle qui soit devenue moins… timide. L'anglaise décida de lui tenir tête pour une fois.

- … non, j'ai le droit d'être dans le salon si je veux. J'habite ici à présent et tu devras t'y faire.

Pour ce genre de réplique, il y a 13 ans, elle s'aurait pris une claque, mais aujourd'hui elle aurait surment la force de se battre peut-être ?

- Non tu n'as pas le droit ! HORS DE MA VUE, oiseau de malheur ! Rien que de te voir, de te sentir me répugne, sache que je ne te considère pas du tout comme un membre de ma famille. Honte de notre sang. lui cria Akito, debout la fixant, elle assise, de haut, comme un insecte. Comment osait-il lui hurler de tel monstruosité à la figure ? Es-ce là comment un frère doit se comporter devant sa sœur ? Remarque que, du côté de Mikuro, c'était réciproque. Elle se redressa, debout elle aussi devant lui, à même hauteur, nez à nez.

- Et pourquoi ma présence te dérange-t-elle à ce point, ''grand frère'' ? lui souffla-t-elle en pleine figure sur un ton arrogant. J'ai le droit de respirer ! J'ai le droit d'exister ! Qui es-tu d'abord pour me juger ainsi ?! Personne !! Tu..

Elle aurait pu se défouler encore longtemps en lui lançant ses quatre vérités, cependant, elle fut interrompu par une violente pression au niveau de sa gorge. Akito, d'une rapidité surprenante, avait passer une main autour de son cou et l'étranglait. Pour une garçon si maigre et malade, il avait une poigne de fer.

- Répete un peu, pour voir ?...

Commentaire de l'auteure: Humm... que du blabla qui s'éternise encore une fois.. lol. Bon et bien tant qu'a parler a la fin du chapitre autant m'adresser a toi Cybel (tu semble etre mon unique fan, mais c'est pas grave ). Alors dans tes reviews tu t'excusais, lol.. je ne vois pas pourquoi, ca en prend plus que ca pour m'offencer rassure toi! hihi.Pour les anciens, on découvrira plutard, chaque chose en son temps sourire diabolique. Pour Mikuro ben on en apprend sur elle chaque chapitre. Bref.. désolé pour ce chapitre qui fini d'une manière vraiment nul, car je l'ai couper en deux.. le reste de la scene dans le salon reprendra dans le prochain (le 7). Humm.. en passant, si tu es si impatiente de lire (lol mais non j'aime qu'on attende mes updates, sinon je n'ai pas de motivation.) tu devrais p-e aller voir sur mon site ( http:www.membres.lycos.fr/ladydairy ou le petit lien qu'il y a dans mon profil) car j'ai mis le chap 6 de PB sur mon site il y a 2 -3 semaines.. lol pauvre de toi tu as du attendre longtemps avant de lire! Gomenasai!! Sinon le 7 est pour bientot. Mais apres je vais prend une petite pause et continuer PaS (une autre de mes fics que j'adore trop! ma préféré).