Bon, alors, y'a une bonne et une mauvaise nouvelle ...
Mais avant tout, un immense merci à tous ceux qui m'ont écris pour me donner leur avis, je répondrais aux reviews la prochaine fois, promis, juré.
Revenons maintenant à mes nouvelles. Vous voulez la bonne ou la mauvaise ?
Bon, allez, la mauvaise, c'est que je pars deux semaines en vancences dans un endroit où il n'y y a pas internet. Donc, je suis très très désolée, mais je ne pourrai pas mettre la suite avant 2 (longues ?) semaines.
Mais la bonne, c'est que pour me faire pardonner, je vous ai mis ce chapitre beaucoup plus tôt que prévu.
Alors, ça compense ?
Bon, encore désolée, profitez bien de ce chapitre, et n'oubliez pas de reviewer, qui sait, peut-être que ça me fera rentrer plus vite ...
A très bientôt !!!
MINUIT MOINS DIX
Chapitre 3
Les semaines suivantes, Hermione se tint à sa résolution de ne plus jamais adresser la parole à Ron, même si c'était relativement difficile, compte tenu du fait qu'ils étaient dans la même maison, dans la même classe, qu'ils avaient un meilleur ami en commun, et surtout, surtout, qu'elle le trouvait irrésistible.
Il suffisait qu'il fasse son sourire typiquement Weasley, un peu moqueur, celui qui lui relevait le coin de la bouche et allumait une étincelle de malice dans ses yeux, pour qu'elle craque complètement, et elle devait rappeler l'image de lui, embrassant Lavande Brown à pleine bouche sur un canapé de la Salle Commune pour résister à l'envie irrésistible de lui pardonner. Même chose quand il éclatait de son rire caractéristique, un peu roque, et tellement communicatif, ou quand il racontait l'une de ses fameuses blagues. Même quand il piquait une colère noire, et que ses oreilles devenaient toutes rouges, elle avait envie de lui pardonner ...
Hermione savait que sa réaction était quelque peu injuste. Après tout, il était libre, il ne lui devait rien, et il pouvait bien sortir avec qui il voulait. Mais la simple pensée de lui embrassant une autre, serrant une autre dans ses bras, caressant une autre, et même ... faisant l'amour à une autre ... lui donnait envie de vomir. Elle ne pouvait même pas imaginer Ron, regardant une autre fille avec tendresse sans avoir envie d'éclater en sanglots.
Alors, elle préférait rester à l'écart, entretenir sa rancune, pour éviter de souffrir. Ou, du moins, souffrir le moins possible. Souffrir un peu moins, si possible. Il était plus facile de le détester que d'admettre qu'il n'avait rien fait de mal en embrassant Lavande. Et en sortant avec elle, car il SORTAIT avec Lavande. Et, comme le hasard fait bien les choses, elle les voyait partout, dans la Salle Commune, en cours, dans la Grande Salle, dans la cour, dans le jardin, et même ... à la bibliothèque, ce qui était un comble quand on connaissait Ron et Lavande ! Ils s'embrassaient, se tripotaient, et Lavande éclatait de son rire idiot, dans les bras de Ron. SON Ron ! aurait-elle voulu crier, mais elle n'avait aucun droit sur lui, se répétait-elle.
Alors elle continuait à l'ignorer, elle tentait de rayer définitivement Ronald Weasley de sa vie, et passait toutes ses journées à étudier. On aurait pu croire que cet aspect, au moins, serait positif pour sa moyenne (même si elle n'en avait pas besoin), mais non. Dès qu'Hermione prenait un livre, n'importe lequel, même le manuel de potions le plus rébarbatif, le visage de Ron apparaissait sur la page, et la poursuivait de page en page, de livre en livre. Elle était épuisée et à bout de nerf, devenait irritable, et repoussait toutes les personnes qui essayaient de l'approcher.
Bien sûr, Harry avait essayé de lui parler, de comprendre ce qui se passait, de la raisonner, et lui avait demandé de pardonner à Ron, quoi qu'il ait fait :
« - Enfin, 'Mione, ça fait trois semaines que tu ne lui as plus adressé la parole ! Qu'est-ce qu'il a fait ?
- R ... rien.
- Y'a forcément quelque chose. Il a dit ou fait quelque chose qui t'a blessée ?
- Non.
- Mais alors pourquoi ?
- ...
- Hermione, ne te fâche pas, mais Ginny et moi, nous avons une théorie.
- Ah oui ?
- Oui. Elle pense, et je suis d'accord, que tu es amoureuse de Ron, et que tu l'as surpris en train d'embrasser Lavande, et que tu as été blessée. Mais, plutôt que de lui avouer que tu l'aimais, tu as préféré lui faire la tête. On se trompe ?
- Totalement. En tout cas, bravo pour votre imagination à tous les deux !
- 'Mione, je te connais par cœur, tu es ma meilleure amie, on a traversé des épreuves terribles ensemble. Alors, ne me mens pas.
- Je ... elle éclata en sanglots. D'accord ? Tu veux savoir pourquoi je n'adresse plus la parole à Ron ? Je l'ai surpris avec Lavande, à l'embrasser à pleine bouche, et ça m'a fait tellement mal, j'ai cru que j'allais mourir sur place ...
- ...
- Alors je préfère encore ne plus être son amie du tout que devoir les supporter ensemble à longueur de journée. Ca y est, t'es content ?
- Oui. Je veux dire ... Non, bien sûr que non. Je suis désolé, 'Mione. Mais tu ne crois pas que tu devrais lui en parler, au lieu de lui laisser croire qu'il a fait quelque chose de mal ?
- Non, cria-t-elle. C'est déjà assez dur que toi et Ginny, vous soyez au courant, et que vous ayez pitié de moi ! Je ne veux pas que lui ait pitié de moi ! Je préfère encore qu'il me déteste ! Il se sentirait coupable, il essayerait de me ménager, et ce serait encore pire !
- Mais ... tu n'as jamais envisagé la possibilité qu'il puisse t'aimer aussi ? Après tout, puisque vous n'en avez jamais parl ...
- Maintenant ça suffit ! Tu vas pas essayé de me redonner de l'espoir, non ? Je sais que Ron ne pourra jamais s'intéresser à une fille comme moi, alors c'est pas la peine !
- Une fille comment ?
- Laide ... Maintenant, laisse-moi. Et, Harry ?
- Oui ?
- N'en parle à personne, s'il te plaît.
- Je te le promets. Mais je continue à croire que tu as tort, Hermione.
- Harry, je t'en prie, laisse-moi ... je ... je dois réviser ! »
Elle avait pris le premier prétexte qui lui était venu à l'esprit pour mettre fin à cette conversation qu'elle détestait, et Harry fit semblant de la croire et la laissa seule, comme elle le souhaitait.
Deux jours plus tard, c'était au tour de Ginny de passer à l'attaque :
« - Allez, Hermione, viens avec moi, on va bien s'amuser, tu verras !
- Non, c'est hors de question.
- Pourquoi ?
- J'ai vraiment pas le cœur à ça, tu devrais le savoir, puisque tu es au courant !
- Je comprends, mais c'est vraiment pas la bonne méthode pour oublier un garçon !
- Comment ça ?
- Ben, ou tu veux vraiment l'oublier, et alors, le meilleur moyen, c'est de tomber amoureuse de quelqu'un d'autre, ou tu ne veux pas vraiment l'oublier, et le meilleur moyen de le conquérir, c'est de le rendre jaloux. Dans les deux cas, ce bal, c'est exactement ce qu'il te faut !
- Je veux l'oublier, mais je suis encore folle amoureuse de lui, et je ne veux personne d'autre.
- Alors viens t'amuser, te changer les idées ...
- Je déteste danser !
- C'est pas un bal, c'est un bal masqu ! Le plus drôle, c'est de deviner qui sont les autres. En plus, Dumbledore a décidé que chacun devait arriver seul, garder son masque jusqu'à minuit, et ne pas révéler son identité avant. Donc, l'intérêt principal, c'est de trouver qui est qui. C'est une sorte de jeu. Et personne ne saura qui tu es.
- J'ai pas envie de sortir.
- Tu vas pas rester enfermée dans ta chambre jusqu'à ce que tu l'aies oublié, parce que, si tu l'aimes vraiment autant que tu le dis, c'est pas près d'arriver. Et Dumbledore aura besoin de la chambre l'an prochain !
- Très drôle ! Mais Hermione ne put réfréner un petit sourire amusé, qu'elle s'empressa d'effacer dès qu'elle s'en aperçut.
- Allez, viens ...
- J'ai pas envie.
- Fais pas ta tête de mule ! Allez, viens avec moi !
- Non.
- Si.
- Non.
- Si. Allez, ça peut durer des heures comme ça. Et tu me connais, je suis têtue comme une mule quand je m'y mets.
- JE NE VEUX PAS Y ALLER ! C'est plus clair comme ça ?
- Non. De toute façon, ne discute pas, ordre du médecin.
- Du médecin ?!?
- Oui, le célèbre Harry Potter, tu connais ?
- Ginny ...
- Hermione ...
- Mais je ...
- Ah, tu as dit oui !
- Mais j'ai pas dit oui !
- Tu n'as pas dit non, c'est la même chose ! Allez, accepte !
- Je ... Hermione poussa un grand soupir exaspéré. D'accord. Mais je reste pas longtemps, et c'est juste pour te faire plaisir ...
- Youpi ! Hip Hip Hip ... Hourra ! Ginny sautait dans tous les sens. Une dernière chose ... Je m'occupe des costumes, et tu mettras le tien sans discuter.
- Mais ...
- Hermione !
- Bon, d'accord, au point où j'en suis ...
- Génial !
- Ouais, comme tu dis ... » soupira Hermione.
Vous avez de la chance, la fin de celui-là, c'est pas un cliffhanger !!!
Bon, je vous dis à dans deux semaines, et ne m'oubliez pas pendant ce temps-là ...
Bisous
Julie
Mais avant tout, un immense merci à tous ceux qui m'ont écris pour me donner leur avis, je répondrais aux reviews la prochaine fois, promis, juré.
Revenons maintenant à mes nouvelles. Vous voulez la bonne ou la mauvaise ?
Bon, allez, la mauvaise, c'est que je pars deux semaines en vancences dans un endroit où il n'y y a pas internet. Donc, je suis très très désolée, mais je ne pourrai pas mettre la suite avant 2 (longues ?) semaines.
Mais la bonne, c'est que pour me faire pardonner, je vous ai mis ce chapitre beaucoup plus tôt que prévu.
Alors, ça compense ?
Bon, encore désolée, profitez bien de ce chapitre, et n'oubliez pas de reviewer, qui sait, peut-être que ça me fera rentrer plus vite ...
A très bientôt !!!
MINUIT MOINS DIX
Chapitre 3
Les semaines suivantes, Hermione se tint à sa résolution de ne plus jamais adresser la parole à Ron, même si c'était relativement difficile, compte tenu du fait qu'ils étaient dans la même maison, dans la même classe, qu'ils avaient un meilleur ami en commun, et surtout, surtout, qu'elle le trouvait irrésistible.
Il suffisait qu'il fasse son sourire typiquement Weasley, un peu moqueur, celui qui lui relevait le coin de la bouche et allumait une étincelle de malice dans ses yeux, pour qu'elle craque complètement, et elle devait rappeler l'image de lui, embrassant Lavande Brown à pleine bouche sur un canapé de la Salle Commune pour résister à l'envie irrésistible de lui pardonner. Même chose quand il éclatait de son rire caractéristique, un peu roque, et tellement communicatif, ou quand il racontait l'une de ses fameuses blagues. Même quand il piquait une colère noire, et que ses oreilles devenaient toutes rouges, elle avait envie de lui pardonner ...
Hermione savait que sa réaction était quelque peu injuste. Après tout, il était libre, il ne lui devait rien, et il pouvait bien sortir avec qui il voulait. Mais la simple pensée de lui embrassant une autre, serrant une autre dans ses bras, caressant une autre, et même ... faisant l'amour à une autre ... lui donnait envie de vomir. Elle ne pouvait même pas imaginer Ron, regardant une autre fille avec tendresse sans avoir envie d'éclater en sanglots.
Alors, elle préférait rester à l'écart, entretenir sa rancune, pour éviter de souffrir. Ou, du moins, souffrir le moins possible. Souffrir un peu moins, si possible. Il était plus facile de le détester que d'admettre qu'il n'avait rien fait de mal en embrassant Lavande. Et en sortant avec elle, car il SORTAIT avec Lavande. Et, comme le hasard fait bien les choses, elle les voyait partout, dans la Salle Commune, en cours, dans la Grande Salle, dans la cour, dans le jardin, et même ... à la bibliothèque, ce qui était un comble quand on connaissait Ron et Lavande ! Ils s'embrassaient, se tripotaient, et Lavande éclatait de son rire idiot, dans les bras de Ron. SON Ron ! aurait-elle voulu crier, mais elle n'avait aucun droit sur lui, se répétait-elle.
Alors elle continuait à l'ignorer, elle tentait de rayer définitivement Ronald Weasley de sa vie, et passait toutes ses journées à étudier. On aurait pu croire que cet aspect, au moins, serait positif pour sa moyenne (même si elle n'en avait pas besoin), mais non. Dès qu'Hermione prenait un livre, n'importe lequel, même le manuel de potions le plus rébarbatif, le visage de Ron apparaissait sur la page, et la poursuivait de page en page, de livre en livre. Elle était épuisée et à bout de nerf, devenait irritable, et repoussait toutes les personnes qui essayaient de l'approcher.
Bien sûr, Harry avait essayé de lui parler, de comprendre ce qui se passait, de la raisonner, et lui avait demandé de pardonner à Ron, quoi qu'il ait fait :
« - Enfin, 'Mione, ça fait trois semaines que tu ne lui as plus adressé la parole ! Qu'est-ce qu'il a fait ?
- R ... rien.
- Y'a forcément quelque chose. Il a dit ou fait quelque chose qui t'a blessée ?
- Non.
- Mais alors pourquoi ?
- ...
- Hermione, ne te fâche pas, mais Ginny et moi, nous avons une théorie.
- Ah oui ?
- Oui. Elle pense, et je suis d'accord, que tu es amoureuse de Ron, et que tu l'as surpris en train d'embrasser Lavande, et que tu as été blessée. Mais, plutôt que de lui avouer que tu l'aimais, tu as préféré lui faire la tête. On se trompe ?
- Totalement. En tout cas, bravo pour votre imagination à tous les deux !
- 'Mione, je te connais par cœur, tu es ma meilleure amie, on a traversé des épreuves terribles ensemble. Alors, ne me mens pas.
- Je ... elle éclata en sanglots. D'accord ? Tu veux savoir pourquoi je n'adresse plus la parole à Ron ? Je l'ai surpris avec Lavande, à l'embrasser à pleine bouche, et ça m'a fait tellement mal, j'ai cru que j'allais mourir sur place ...
- ...
- Alors je préfère encore ne plus être son amie du tout que devoir les supporter ensemble à longueur de journée. Ca y est, t'es content ?
- Oui. Je veux dire ... Non, bien sûr que non. Je suis désolé, 'Mione. Mais tu ne crois pas que tu devrais lui en parler, au lieu de lui laisser croire qu'il a fait quelque chose de mal ?
- Non, cria-t-elle. C'est déjà assez dur que toi et Ginny, vous soyez au courant, et que vous ayez pitié de moi ! Je ne veux pas que lui ait pitié de moi ! Je préfère encore qu'il me déteste ! Il se sentirait coupable, il essayerait de me ménager, et ce serait encore pire !
- Mais ... tu n'as jamais envisagé la possibilité qu'il puisse t'aimer aussi ? Après tout, puisque vous n'en avez jamais parl ...
- Maintenant ça suffit ! Tu vas pas essayé de me redonner de l'espoir, non ? Je sais que Ron ne pourra jamais s'intéresser à une fille comme moi, alors c'est pas la peine !
- Une fille comment ?
- Laide ... Maintenant, laisse-moi. Et, Harry ?
- Oui ?
- N'en parle à personne, s'il te plaît.
- Je te le promets. Mais je continue à croire que tu as tort, Hermione.
- Harry, je t'en prie, laisse-moi ... je ... je dois réviser ! »
Elle avait pris le premier prétexte qui lui était venu à l'esprit pour mettre fin à cette conversation qu'elle détestait, et Harry fit semblant de la croire et la laissa seule, comme elle le souhaitait.
Deux jours plus tard, c'était au tour de Ginny de passer à l'attaque :
« - Allez, Hermione, viens avec moi, on va bien s'amuser, tu verras !
- Non, c'est hors de question.
- Pourquoi ?
- J'ai vraiment pas le cœur à ça, tu devrais le savoir, puisque tu es au courant !
- Je comprends, mais c'est vraiment pas la bonne méthode pour oublier un garçon !
- Comment ça ?
- Ben, ou tu veux vraiment l'oublier, et alors, le meilleur moyen, c'est de tomber amoureuse de quelqu'un d'autre, ou tu ne veux pas vraiment l'oublier, et le meilleur moyen de le conquérir, c'est de le rendre jaloux. Dans les deux cas, ce bal, c'est exactement ce qu'il te faut !
- Je veux l'oublier, mais je suis encore folle amoureuse de lui, et je ne veux personne d'autre.
- Alors viens t'amuser, te changer les idées ...
- Je déteste danser !
- C'est pas un bal, c'est un bal masqu ! Le plus drôle, c'est de deviner qui sont les autres. En plus, Dumbledore a décidé que chacun devait arriver seul, garder son masque jusqu'à minuit, et ne pas révéler son identité avant. Donc, l'intérêt principal, c'est de trouver qui est qui. C'est une sorte de jeu. Et personne ne saura qui tu es.
- J'ai pas envie de sortir.
- Tu vas pas rester enfermée dans ta chambre jusqu'à ce que tu l'aies oublié, parce que, si tu l'aimes vraiment autant que tu le dis, c'est pas près d'arriver. Et Dumbledore aura besoin de la chambre l'an prochain !
- Très drôle ! Mais Hermione ne put réfréner un petit sourire amusé, qu'elle s'empressa d'effacer dès qu'elle s'en aperçut.
- Allez, viens ...
- J'ai pas envie.
- Fais pas ta tête de mule ! Allez, viens avec moi !
- Non.
- Si.
- Non.
- Si. Allez, ça peut durer des heures comme ça. Et tu me connais, je suis têtue comme une mule quand je m'y mets.
- JE NE VEUX PAS Y ALLER ! C'est plus clair comme ça ?
- Non. De toute façon, ne discute pas, ordre du médecin.
- Du médecin ?!?
- Oui, le célèbre Harry Potter, tu connais ?
- Ginny ...
- Hermione ...
- Mais je ...
- Ah, tu as dit oui !
- Mais j'ai pas dit oui !
- Tu n'as pas dit non, c'est la même chose ! Allez, accepte !
- Je ... Hermione poussa un grand soupir exaspéré. D'accord. Mais je reste pas longtemps, et c'est juste pour te faire plaisir ...
- Youpi ! Hip Hip Hip ... Hourra ! Ginny sautait dans tous les sens. Une dernière chose ... Je m'occupe des costumes, et tu mettras le tien sans discuter.
- Mais ...
- Hermione !
- Bon, d'accord, au point où j'en suis ...
- Génial !
- Ouais, comme tu dis ... » soupira Hermione.
Vous avez de la chance, la fin de celui-là, c'est pas un cliffhanger !!!
Bon, je vous dis à dans deux semaines, et ne m'oubliez pas pendant ce temps-là ...
Bisous
Julie
