FERMETURE FORCEE

Auteur : Androma

Suite du fanfic : " L'histoire sans fin " partie 4 : Retour mouvement

Mail de l'auteur : fanfics.dromalaposte.net

Spoiler : suite de mes fanfics " L'histoire sans fin ", " Et ça recommence… ", " Cette fois-ci je réponds oui ", " Retour mouvementé "

Saison : après l'épisode " Diviser pour conquérir "

Statut : partie 5

Résumé : Le gouvernement décide de fermer le SGC, ce qui rend les membres de SG-1 totalement bouleversés.

Catégorie : S/J romance, suspense et puis peut-être autre chose, mais à vous de voir…

Classe : tout public

Archive : Francofanfic, SG1France, thotlibis et tous ceux à qui j'aurais dit oui, ou qui m'auront demand

Disclaimer : à moi, cela n'est pas ; de l'argent, je n'en reçois pas… merci Yoda ! (en plus ça rime !)

Note de l'auteur : j'ai pas grand chose à dire pour l'instant, mais lisez la note de la fin du fanfic ! Ah si, comme d'hab, merci à ma cousine Alyssa (au fait lisez ses fanfics et dites lui ce que vous en pensez, mais son meilleur est en cours d'écriture !), et aussi un grand merci à tous ceux qui m'ont envoyé un p'tit mail, et pour répondre à la question de beaucoup, Le point sur une relation 2, et presque fini, il faut que j'analyse encore un épisode et que je relise bien et c'est bon.

Note de l'auteur 2 : Au fait en parlant de " le point sur une relation 2 ", si vous avez un avis sur la relation Sam/Jack (à mon avis vous en avez un), envoyez moi un E-mail avec tout ce que vous en pensez, SVP !!!! je vais en faire une synthèse et la publier comme ça tout le monde verra l'avis des autres. Et n'ayez pas peur, que vous soyez auteur, lecture, ou seulement fan, envoyez moi un E- mail !!!!!!

L J L J L J L J L J L J

Sam vit tout à coup Jack pâlir, on aurait dit un mort.

Jack :Ils n'ont…ils ne l'ont pas fait ?

Hammond : Malheureusement si mon colonel. Ils ont mis leur menace à exécution.

Jack : Mais… comment le président a-t-il pu accepter ?

Hammond : Cette décision vient de lui.

Daniel :Qu'est-ce qu'il se passe ?

Hammond : le gouvernement a décidé de fermer les portes du SGC et de boucler la Porte.

Sam :Mais… pourquoi ?

Hammond : Il trouve que le programme Porte des étoiles fait trop de frais pour ce que ça rapporte.

Teal'C : pourtant général Hammond, nous avons beaucoup d'alliés dans la galaxie prêts à nous aider en cas de conflit avec les goaou'lds.

Jack :Oui mais pour eux, ça compte pas…

Hammond : Colonel, n'allez pas trop loin ;

Jack :Ah oui ? Et bien je préfère m'en aller.

Il sortit de la salle en claquant la porte.

Hammond : Major Carter, vous voulez bien…

Sam :Oui, bien sûr mon général.

Elle partit en courant et alla vers les quartiers de Jack.

Hammond : Daniel, Teal'C, allez vous changer les idées à la surface.

Daniel et Teal'C partirent mais n'avaient pas l'intention de faire ce que le général leur avait ordonné. Ils allaient mener leur petite enquête et s'ils trouvaient quelque chose, préviendraient Jack et Sam, mais ils croyaient pour l'instant, à raison, qu'ils devaient discuter à deux. Pendant ce temps, Hammond était resté seul dans la salle, assis, à réfléchir à ce qu'il se passait.

Pensées d'Hammond : Ce n'est pas normal, le Président était le plus enthousiaste pour le SGC, et maintenant il veut tout arrêter, sans raison…

? :Mon général, que faites-vous là tout seul ?

Hammond : Docteur Fraisier, je réfléchissais. Pourriez-vous faire une annonce pour que la majorité du personnel disponible se réunisse en salle d'embarquement ?

Janet (interloquée) : oui, bien sûr…

L J L J L J L J L J L J

TOC-TOC

Jack :Dans peu de temps je pourrais vous interdire l'entrée.

? (en entrant) : Même à moi ?

Jack :Ah, désolé.

Sam :Qu'est-ce que tu veux dire par là ?

Jack :Que j'en est marre !

Sam :Marre de quoi ? Le général a déjà été très complaisant de nous prévenir avant le reste du SGC.

Jack :Ça nous fait une belle jambe !

Sam :Calme-toi !

Elle le prit dans ses bras et l'embrassa tendrement, mais elle avait oublié de fermer la porte et malheureusement…

? : Major, colonel ! Que faites-vous ?

Jack :Mon général, ce n'est pas ce que vous croyez !

Hammond : La bonne excuse !

" TOUT LE PERSONNEL EST DEMANDE EN SALLE D'EMBARQUEMENT PAR ORDRE DU GENERAL HAMMOND. "

Hammond : Je vous attends en salle d'embarquement dans les minutes qui suivent sinon…

Jack : Sinon quoi, vous allez nous renvoyer ?

Hammond : Colonel, calmez-vous comme la si bien dit le major Carter et, s'il vous plait, ne profitez pas de la situation !

Jack :C'est bête, mais ça ne me plait pas.

Hammond : Jack, je vais déjà perdre beaucoup, mais ne me faites pas perdre mon meilleur élément.

Sam :Mon général…

Hammond : Avec votre respect major, je ne parle pas de vous mais du colonel.

Jack :mais…

Hammond était déjà parti vers la salle d'embarquement.

Jack :Ça me conforte dans mon idée.

Sam :Laquelle ?

Jack se dirigea vers son bureau et en sortit un papier d'allure officielle. Il le tendit à Sam. Quand elle lut ce qui y était écrit, elle hésita à ce qu'elle devait croire.

Sam :Tu ne va pas vraiment…

Jack :démissionné ? Si.

Sam :Mais pourquoi ?

Jack :Pour deux raisons… qui en fait n'en font qu'une.

Premièrement, je préfère démissionner avant que le SGC ne ferme, je ne serai plus tenu comme militaire, alors que si j'attends, ils n'accepteront plus ma démission et j'aurais donc toujours le statut de militaire.

Deuxièmement, maintenant que le général nous a vu, je suis sûr de ma décision, il ne pourra plus nous poursuivre si je ne suis plus militaire. Les deux raisons… pour toi.

Sam :Mais tu as bien entendu ce qu'il a dit, tu es son meilleur élément.

Jack :Qu'es-ce que ça change ?

Sam :Tout, justement.

Jack : Au fond je sais que tu as raison, mais j'ai mes raisons.

Sam :Arrête avec tes jeux de mots.

Jack :Désolé mais c'est plus fort que moi.

Sam : Viens, on doit y aller.

Jack :D'accord mais c'est bien parce que c'est toi.

Ils s'en allèrent mais Jack prit tout de même sa demande de démission.

L J L J L J L J L J L J

SALLE D'EMBARQUEMENT

Tout le monde se demandait ce qu'il se passait, mais personne ne croyait à une mauvaise nouvelle, quoique vue la tête du général Hammond, personne ne croyait non plus à une explosion de joie à l'annonce de la nouvelle.

Major Graham : Que se passe-t-il, général Hammond ?

Hammond : nous devons d'abord attendre SG-1.

A ce moment, Jack et Sam firent leur entrée dans la salle, assez remarquée vu que tout le monde les attendait.

Jack (tout haut) : Daniel et Teal'Cne sont pas là ? Je devrais faire comme eux plus souvent. Général, je voudrais vous donner officiellement ma démission.

Un brouharas'éleva dans la salle à la fin de cette phrase. Personne ne comprenait ; tout le monde avait peur que quelque chose de grave se prépare.

Jack repartit aussi vite qu'il était arrivé. Sam resta là pour voir la tête des autres équipes présentes.

Hammond : Nous pouvons enfin commencer. Je crois que vous vous doutez tous qu'une mauvaise nouvelle s'annonce…

Janet :Apparemment assez mauvaise pour que le colonel laisse tout tomber…

Sam (tout bas) : Il n'y a pas que cette raison l

Hammond : Comme je le disais, j'ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer. Le SGCfermera ses portes dans maintenant exactement 72 heures soit 3 jours, le temps que le reste des équipes reviennent sur Terre.

Le brouharase fit moins dense, puis inaudible ; plus personne n'osait respirer, personne n'y croyait, par contre tout le monde comprenait la réaction du colonel O'Neill.

Des questions survenaient de partout, la majorité : " Pourquoi ? " , la plupart sans réponse.

Hammond : Réunion dans la salle de briefing dans 30 minutes pour tous les commandants d'équipe. Docteur Fraiser, vous êtes aussi conviée, vous pourrez ainsi faire votre rapport aux infirmiers.

Cette simple phrase avait un peu calmé l'assemblée. Savoir que dans environ une heure, tout le monde saurait le pourquoi du comment était (un peu) rassurant.

Hammond (plus bas) : faîtes appeler le colonel O'Neill, seul, dans mon bureau.

Janet : Oui mon général. J'y vais de ce pas.

En effet, quelques instants plus tard :

" LE COLONEL O'NEILL EST DEMANDE, SEUL, DANS LE BUREAU DU GENERAL HAMMOND "

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Sam (courant) : Jack, attends !

Jack (arrivant devant ses quartiers et la tirant à l'intérieur): Voilà, on est enfin libres.

Il voulait l'embrasser mais elle l'en empêcha.

Sam : Ce n'est pas la solution.

Jack : Pourquoi tu dis ça ?

Sam : je ne veux pas que tu arrêtes tout pour moi.

Jack : officieusement, c'est vrai ; mais officiellement, c'est à cause du gouvernement que j'arrête, seul Hammond est au courant pour nous.

" LE COLONEL O'NEILL EST DEMANDE, SEUL, DANS LE BUREAU DU GENERAL HAMMOND "

Jack : Désolé, je dois y aller, et seul, comme la si bien fait remarquer celui qui a parlé.

Il sortit de la pièce sans laisser le temps à Sam de répondre.

Il se dirigea vers le bureau du général Hammond, tout en sachant exactement ce que son supérieur avait à lui dire.

Arrivé devant la porte, il ne prit même pas la peine de frapper, après tout il n'était plus militaire.

Jack : Qu'y a t il m… monsieur ?

Hammond : Tout à l'heure, vous n'étiez pas sérieux ?

Jack : Désolé, mais c'était la décision la plus censée de toute ma vie.

Hammond : mais pensez à l'armée, pensez au SGC…

Jack : le SGC ? pour le temps qu'il lui reste à vivre !

Hammond : ce n'est pas ce que je voulais dire…

Jack : oh si. De toute façon ma décision est prise : j'attends le retour des équipes pour leur dire adieu et je plis bagages avec Sam.

Hammond : vous lui avez demandé ? elle est d'accord ?

Jack : euhhh… bien sûr ! qu'est ce que vous croyiez.

Il partit en fermant la porte doucement par rapport à ce qui bouillonnait dans sa tête.

L J L J L J L J L J L J

Sam s'était allongée sur le lit de Jack et s'était assoupie malgré elle.

Dans ses rêves.

Martouf : Sam... Il ne faut pas que tu restes avec Jack, il ne t'arriveras que des malheurs. Sam… écoute moi… tu dois quitter Jack, personne n'est au courant, c'est mal sain… mais si quelqu'un le savait, il penserait comme moi… ne m'aimes-tu pas ? L'aimes-tu plus que moi ?

Sam (toujours dans ses rêves) : mais le général le sait, il nous a vu nous embrasser…

Martouf : c'est ce que je dis : est-il pour ou contre votre union, réfléchis bien…

?: Sam, Sam, réveille toi. Le petit oiseau va se lever…

Sam : non, il faut que j'écoute ce qu'il a à me dire. Je crois que c'est important…. Non, laisse moi…

?: important, c'est Jolinar ?

Sam : non, c'est M… (ouvrant les yeux) Ah Jack ! Euh… c'est personne. Ce n'était qu'un rêve après tout.

Jack (suspicieux) : oui, tu as peut-être raison…

Sam (reprenant ses esprits) : qu'est-ce qu'il s'est passé avec le général ?

Jack : rien, la routine ! (voyant la tête de Sam) il n'était pas très content, mais bon, c'est ma décision, pas la sienne. Mais je crois qu'il a une idée derrière la tête.

Sam : tu le connais…

Jack : C'est bien ce qui m'inquiète… j'aimerais bien connaître ses pensées.

Sam : tu le sauras bien assez tôt, je crois.

Jack : qu'est-ce que tu mijotes ?

Sam : euh… rien. Je suis fatiguée, c'est tout.

Jack : alors viens avec moi.

Il l'entraîna de force vers ses quartiers et la cloua à son lit. Elle n'obtempéra pas facilement mais la fatigue l'envahie de nouveau. En plus, des nausées se faisaient sentir.

Sam : je ne me sens pas très bien : je crois que je vais dormir un peu et je vais aller voir Janet.

Jack : vas-y, pendant ce temps, je vais écrire mes rapports en retard : il faut que je me mette à jour avant mon départ.

L J L J L J L J L J L J

H – 70

(temps avant fermeture du SGC)

Daniel et Teal'C avaient commencé leur enquête, mais ça n'avançait pas très vite. Comme prévu, ils devaient se retrouver au mess du SGC à 15 heures pour mettre en commun ce qu'ils avaient découverts.

Daniel : je crois que nous devrions échanger nos rôles : je suis allergique aux ordinateurs et vous n'êtes pas très bavards…

Teal'C : je vous avait prévenu, quand vous avez dit : " vous vous occupé d'interroger des agents et moi je m'occupe d'Internet ", je vous avez dit que c'était une mauvaise idée.

Daniel : Pas besoin d'en rajouter…

Teal'C : je n'en rajoute pas, docteur Jackson, ce n'est que la vérité.

Daniel : ouais, bon… rendez-vous dans dix heures, vers dix huit heures, ici même. D'ici là, j'espère qu'on aura du nouveau…

Teal'C : a tout à l'heure docteur Jackson.

Il se leva et quitta le mess, laissant Daniel vagabonder dans ses pensées. Quelques minutes plus tard, il s'aperçut que ses pensées avaient pris le dessus sur son conscient.

Daniel (tout bas mais assez fort pour que les officiers assis à la table voisine l'entende) : Merde ! quinze minutes de perdues !

Le colonel Simmons et le major Graham, qui étaient justement assis à la table voisine, et, à cet instant, regardaient Daniel d'un air bizarre.

Daniel : continuez à manger et surtout, ne vous occuper pas de moi.

Les officiers lui obéirent, ce qui remplit de joie Daniel : il ne fallait pas qu'on s'intéresse à lui, pas maintenant.

L J L J L J L J L J L J

Sam rêvait encore, si on peut appeler ça rêver. Elle n'arrêtait pas de se retourner et avait un sommeil (très) agité. Comme à son précédent sommeil, ses rêves étaient habités par Martouf.

DANS SES REVES

Martouf : Samantha, m'as-tu écouté ? As-tu quitté Jack ?

Sam : non, et je ne le veux pour rien au monde.

Martouf : même pas en souvenir d'elle ?

Sam ne comprenait pas, mais tout à coup, tout s'éclaircit. Jolinarapparut, enfin Sampensait que c'était elle, car elle ne l'avait jamais vraiment bien vue, mais elle sentait que c'était elle.

Jolinar : tu te souviens de moi, j'espère… bien que je sois toujours à tes côtés…

Sam : bien sûr, comment pourrais-je t'oublier ? Tu feras toujours partie de moi.

Jolinar : donc écoute-moi. Tu te souviens de ce que t'a dit Martouf ? Il avait et a toujours raison.. Tu ne dois pas rester avec Jack. En mémoire de moi. Je suis morte pour toi. Tu me dois bien ça…

Sam se réveilla en sursaut. Il fallait vraiment qu'elle sache ce qu'il lui arrivait.

Elle se leva mais trébucha : elle se retint à son bureau. Elle commença à avance, mais fébrilement. Elle était décidée, elle devait aller voir Janet.

Elle s'avança dans le couloir, heureusement pour elle l'infirmerie n'était pas loin de ses quartiers. Quand elle arriva devant le bureau de Janet, celle-ci la vit et vint à sa rencontre.

Janet : Sam, vous n'allez pas bien ?

Sam : je peux vous voir, en privé ?

Janet (interloquée) : oui, bien sûr, entrez.

Sam : merci beaucoup, je dois vous parler.

Elles entrèrent à deux.

Pensées de Sam :

Mince ! si je veux lui parler de mes rêves, il faudra aussi que je lui parle de ma relation avec de ma relation avec Jack, j'y avais pas pensé. Et puis merde : c'est ma meilleure amie, et avec le secret professionnel… Allez, je me lance !

Elles s'assirent l'une en face de l'autre. Janet attendait avec impatience les confidences de son amie. Elle sentait que quelque chose (de bien ou de mal) était arrivé ; peut-être même les deux !

Sam : voilà. Ce que je vais vous dire ne doit pas sortir de la pièce.

Janet : C'est médical ou personnel ?

Sam : les deux… les caméras, peut-on les débrancher ?

Janet : bien sûr.

Elle se leva et alla appuyer sur un bouton de la caméra. Le voyant lumineux prouvant que l'objet était en état de marche et qu'il était en train de fonctionner s'éteignit.

Janet revint à sa place et se ré-assit.

Janet : C'est bon.

Sam : S'il vous plait…

Janet : On n'est qu'à deux : tutoie moi.

Sam : si tu veux. Donc je disais s'il TE plait, essaie de ne pas me couper, sinon je n'y arriverai pas…

Janet : Vas-y.

Sam : il y a quelques semaines J… le colonel O'Neill (dans sa tête Janet avait déjà compris) m'a donné une lettre contenant ses sentiments à mon égard… (Janet avait vu juste !) après, il est venu me voir et on s'est embrassé pour la première fois. Puis on a eu ces congés, où je suis allée dans le Minnesota. Là, il s'est passé des choses merveilleuses…

FLASH BACK

Jack et Sam étaient sur la route qui menaient au chalet de celui-ci. Plus que 10 minutes de route, et leurs vraies vacances commenceraient… plus à se soucier de la base, de l'armée, et surtout du règlement de non-fraternisation entre deux officiers exerçant sous la même chaîne de commandement.

Jack : une simple question : pourquoi étais-tu venue me voir… pour me dire au revoir quand je t'avais invité pour le Minnesota ? (voyant que Sam ne comprenait pas) avant que Thor ne me téléporte (voir saison 3 épisode Némésis).

Sam : je voulais te répondre que je venais quand même mais au dernier moment, j'ai eu peur intérieurement et j'ai refusé, ce que je n'aurais peut- être pas dû faire…

Jack : je ne sais pas si j'aurais tenu une semaine avec… le major, sans toi… rien qu'avec la scientifique quoi…

Sam : C'est bon, j'avais compris.

DRING-DRING

Le téléphone de Sam s'était mis à sonner. Jack descendit la vitre de la voiture, lui prit des mains son portable et le jeta par la fenêtre.

Jack : j'avais vraiment pas envie d'être dérang

Sam : ce n'est pas une raison de jeter mon portable par la fenêtre, j'allais pas répondre, je voulais seulement savoir qui essayait de me joindre… au fait, c'était qui ?

Jack : Daniel. D'ailleurs on ne saura sûrement jamais ce qu'il voulait, d'ici le temps qu'on rentre, il aura oublié ce qu'il voulait dire !

L J L J L J L J L J L J

QUELQUES MINUTES PLUS TARD

Sam : Mon colonel…

Jack : je veux bien " mon " mais pas " colonel " quand on est à deux.

Sam : je sais mais je ne suis pas encore habituée…désolée.

Jack : tu es pardonnée, évidemment…

Sam : donc je disais… c'est pas ça ton chalet ?

Jack : Pourquoi, il est trop petit ?

Sam : au contraire, il est gigantesque !

De dehors, le chalet paraissait tout fait de bois, avec une vue sur le lac, bien sûr ( c'est plus pratique pour les fainéants qui aiment pêcher, en l'occurrence Jack !), et entourée d'une forêt. Un chemin reliait la maison à un ponton. L'endroit était magnifique. D'ailleurs, Sam ne comprenait pas pourquoi un homme seul possédait un si grand chalet. A moins que…

Sam : Jack, depuis combien de temps as-tu ce chalet ?

Jack se gara près de la maison ; au début Sam croyait qu'il essayait d'éviter de répondre mais il stoppait simplement la voiture pour prendre son temps pour répondre.

Jack : en fait j'ai acheté ce chalet seulement deux mois avant que Charlie… (il eut du mal à finir sa phrase) avant que Charlie ne se tue. Avec Sara, on voulait lui faire une surprise pour les vacances d'été. Quelques mois plus tard, Charlie prenait mon arme et se tuait. Il ne l'a jamais su. On a décidé d'un commun accord que je gardais le chalet et Sara la maison ; ça lui faisait trop mal de rentrer dans le chalet. Depuis, à chaque vacance je viens ici.

Sam : mais pourquoi insistes-tu autant pour que je vienne ici ?

Jack : pour que tu rentres vraiment dans ma vie.

Jack avait les larmes aux yeux. Sam ne savait pas quoi dire, quoi faire, mais laissa son instinct la guider. Elle le prit dans ses bras et essaya de le calmer, mais rien ne pouvait supprimer sa douleur. Pas même elle.

Sam : tu n'étais pas obligé de me dire tout ça…

Jack : il le fallait, je ne pouvais pas le garder pour moi… (il préféra changer de sujet : après tout, c'est Jack, il a toujours voulu intérioriser ses émotions). Viens, on va prendre tes bagages et les installer.

Sam préféra ne rien dire. Elle connaissait bien son colonel, après tout, elle servait sous ses ordres depuis quatre ans environ, donc elle avait put l'observer, d'ailleurs, ça ne la gênait pas (de l'observer).

Elle le suivit et fut émerveillée par l'intérieur (mais je ne le décrirai pas tout de suite, je le ferai au fur et à mesure… PATIENCE). Jack posa la question à laquelle elle ne voulait pas répondre.

Jack : tu préfères la chambre d'amis ou…

Sam : on verra ce soir…

Elle l'embrassa pour ne pas répondre, elle ne savait pas si elle était prête…

H-66

Janet : Sam, ça à du être bizarre de désobéir au règlement comme ça…

Sam (sursautant): tu ne me le fais pas dire !

Janet : vous êtes décidés à le dire au général ou…

Sam : on n'en a pas encore vraiment parlé. Tu crois qu'on devrait ?

Janet (aux confidences les confidences) : avec le général, nous avions déjà parlé de vous deux… et il n'avait pas l'air contre votre union.

Sam : c'est vrai ce que tu dis, ou c'est juste pour m'inciter à aller le voir ?

Janet : tu crois que j'en serais capable ?

Sam : non c'est vrai, mais je suis tellement fatiguée que je dis n'importe quoi .

Janet (pour changer de sujet) : vas-y, continues de raconter ce qu'il s'est passé dans le Minnesota.

Sam : D'accord.

FLASH BACK

Deuxième jour de vacances

Matin, au réveil

Sam se réveillait toujours tôt le matin. Ce ne serait pas les vacances qui changeraient quelque chose. Cela faisait environ une demi-heure qu'elle était réveillée, et qu'elle observait (eh oui encore !) Jack, couché à côté d'elle. elle savait bien que ce n'était pas un matinal, et cela ne la dérangeait vraiment pas, ça lui laissait le temps de réfléchir, de se poser des questions, ce qui n'était peut-être pas un avantage ! elle se demandait si elle faisait bien d'être avec son supérieur hiérarchique, si…, si…, si… heureusement, à ce moment, Jack se réveilla et la regarda dans les yeux.

Jack : cette nuit, j'espère que je ne t'ai pas forcée à quoi que ce soit, hier dans la journée, quand je t'ai demandé si tu préférais la chambre d'amis ou la mienne, j'ai bien vu que tu hésitais.

Sam : c'est vrai. Au début, j'étais effrayée, mais tu m'as mise en confiance, comme toujours.

Elle avait rassurée Jack. Il avait vraiment peur de lui avoir forcé la main, mais apparemment, non. Il ne se serait jamais pardonné d'avoir fait mal, physiquement ou moralement, à Sam.

Sam : viens, lève toi.

Jack : non, il est trop tôt, reste avec moi.

Sam : laisse moi partir… je vais aller préparer le p'tit dej, attends moi l

Jack : reviens vite.

Sam : quand je te manquerai, tu n'auras cas te lever…

Jack : oh non… c'est un pêcher capital de se lever…

Sam : c'est le contraire, gros nigaud, c'est la paresse qui est un pêcher capital.

Jack : t'es sûr ? (Sam acquiesça) t'as toujours raison… c'est pas juste !

Sam sortit de la pièce à contre cœur, et se dirigea vers la cuisine. Quand elle entra dans la pièce, elle fut à nouveau émerveillée par la splendeur de la pièce. Elle fit le tour de la pièce et s'arrêta tout net devant une photo accrochée au réfrigérateur, c'était un petit garçon d'environ 10-12 ans, elle aurait parié que c'était Charlie… elle comprenait Jack, bien qu'elle n'ai jamais perdu d'enfant, mais ça devait être très dur, surtout pour un homme si renfermé que Jack, quoique c'était sûrement ça qu'il l'a refermé sur lui-même.

Elle regarda dans les placards pour voir ce qu'il y avait, pas grand chose, remarqua-t-elle.

Sam : bon, on fera avec les moyens du bord…

Janet : je ne veux pas t'offenser Sam, mais, il a mangé ?

Sam : merci de me rappeler mes grands talents de cuisinière…

Janet : alors…

Sam : je vais te raconter.

SUITE DU FLASH BACK

(toujours le deuxième jour, toujours le matin)

Ça faisait à peine quelques minutes que Sam " cuisinait " quand Jack se leva. Il entra dans la cuisine et entoura Sam de ses bras. Elle ne se retourna même pas, sachant pertinemment qui c'était.

Jack : tu m'as manqué.

Sam : Déjà ? et ben quand on ira en mission, je te dis pas, si on n'est pas ensemble pendant deux jours, tu vas piquer ta crise !

Jack : je verrai bien, mais pour l'instant on est loin, très loin de la base, alors ne parle plus de mission…

Sam : t'as raison… bon, on mange ?

Jack (la gourmandise à toute épreuve) :tu nous a préparé quoi ?

Sam : des gaufres. Tu aimes ?

Jack : tout ce que tu fais, j'adore.

Sam : alors, toutes mes expériences au naquada, tu aimes ?

Jack : tout… sauf ça !

Il goûta les gaufres que lui avait préparé Sam, mais s'étrangla. au début, Sam s'inquiéta, mais elle changea vite sa perception des choses : elle éclata de rire, mais à un point où elle ne pouvait plus s'arrêter. jack, une fois qu'il eut reprit son souffle, lui courut après, l'attrapa par le bras, puis ensuite la plaqua au sol : elle ne pouvait plus bouger.

Jack : rectification : j'aime tout ce que tu fais sauf : (il commença à compter sue ses doigts comme si il y avait beaucoup de choses) 1. Tes expériences 2. Tes gaufres 3. Etc 4. Etc 5. Etc…

Sam : pourtant, j'ai suivi la recette…

Jack : t'es sûre que tu n'aurais pas mis du sel au lieu du sucre ?…

Sam se promit en elle-même qu'elle se vengerait avant son retour à la base…

Janet : et, tu t'es vengée pour finir ?

Sam (toute rouge) : oui.

Janet : comment ?

Sam : je ne préfère pas te le dire, Jack me tuerait…

FLASH BACK

(mais cette fois-ci Sam le pense donc Janet ne l'entend pas)

Sam avait accroché les poignets et les chevilles de jack au lit et commençait à s'approcher dangereusement avec des instruments de torture (je ne vous direz pas quoi : faites marcher un peu votre petite tête ! (bon, si, entre autre un marqueur indélébile (idée d'un autre fanfic : " Y a-t-il quelqu'un pour sauver Carter ", de Sabrina)))

Jack la suppliait de le détacher, mais Sam n'avait pas, mais vraiment pas envie de le libéré : elle préférait profiter de la situation…

FIN DU FLASH BACK

(imaginez la suite et enoyez moi vos idées par mails, ça fait toujours plaisir !)

Janet : Sam ? Sam ? tu repenses à tout ce que vous avez fait pendant cette semaine ?

Sam (nostalgique, comme moi (voir la note de l'auteur au début du fic : Jack vs Sam : combat acharné, qui n'est pas encore paru, mais bientôt…)) : oui, mais c'est fini…

Alors, tu as une théorie ? (" moi j'ai une théorie, c'est peut-être un démon, il danse le démon non là je crois qu'on s'égare " désolée, je suis partie sur un délire, pour ceux qui ne regardent pas Buffy, ce sont des paroles extraites de la chanson " moi, j'ai une théorie ", saison 6, épisode " que le spectacle commence " ou en vo " once more with feelings " la chanson " I've got a theory ")

Janet : oui. Je pense avoir une idée : je dirais que l'essence de Jolinar, ce qui est resté en toi, essaie de reprendre le dessus, car elle aime, ou aimait, enfin tu me comprends, Martouf, et elle veut te faire croire que tu l'aimes aussi…

As-tu eu des relations avec d'autres hommes depuis que Jolinar a fusionné avec toi ?

Sam : un peu avec Narim, mais ça n'a pas été bien loin… sinon c'est tout.

Janet : Ca confirme ma théorie…

Sam : tu crois que je devrais aller voir Jack ?

A SUIVRE DANS :

A L'AIDE THOR !…

Note de l'auteur : je sais, vous vous dites que je suis dingue d'intercaler des trucs Buffy et tout, mais je suis comme ça, vous ne me changerez pas…

Deuxième raison pour laquelle je ne suis pas très saine d'esprit, la première partie de ce fanfic : " l'histoire sans fin ", faisait deux pages. Celui-ci en fait entre 20 et 25, alors…

Si vous ne m'écrivez pas je crois que je ne vais pas publier la sixième partie, ou bien je l'enverrai par mail à ce qui m'ont envoyé un mail…

MERCI ! ! ! ! ! ! !