Titre : Les miroirs du temps

Auteur : Polgara86 (et pas Polgara la sorcière , hélas )
correctrice :M4r13 (elle a bcp de boulot la pauvre ! (ndc : vouivoui !!))
Avertissement :PG13 (même si le début est soft , cela va se corser au fils de l'histoire)
Spoilers : Les cinq tomes
Disclaimer : L'univers, les personnages de Harry Potter ne m'appartiennent pas et je ne touche aucun argent (donc je suis et resterait pauvre ). Tout appartient à JK Rowling (que je trouve très belle et qui est aujourd'hui une des femmes les plus riche du monde) (ndc : tu as besoin d'argent ou quoi ??)
Résume général : Après la perte de Sirius , Harry se renferme peu à peu sur lui même . La rentrée à Poudlard se passe cependant assez bien jusqu'à..

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Dans un salon éclairé seulement par une cheminée, une jeune fille à l'aspect inquiétant installée confortablement sur un fauteuil. Un livre repose sur ses genoux. Un café heu....chocolat chaud fume sur une petite table à côté du fauteuil

Pol : Bonjour chers invités. Vous aimez les histoires bizarres ? Où le réel et l'étrange se mêlent ? Peut être vous ne croyez pas à la magie, aux affaires inexpliqués (nda: allez voir Mulder, il pourra mieux vous renseignez). Vous êtes ici pour voir si ....

Rogue : /d'un coup de baguette, le décor disparaît/

Pol: heeeeee ! Tu bousilles mon effet !

Rogue : Je refuse de commenter une fic d'une fille qui se croit dans " Monstres et Merveilles".

Pol: /boude/

Rogue : Enfin l'histoire commence ! Potter va enfin faire quelque chose d'intelligent ! Oui je sais que cela vous étonne ! Vous avez du mal à y croire ! Mais c'est moi qui vous le dis ! Potter va mourir...

Pol: NON MAIS TU DIT N'IMPORTE QUOI ! T'AS RIEN COMPRIS !

Rogue: Il est pas ...

Pol: /lui montre la suite/

Rogue: oooohhh ! Je vois. Bon et bien la vie est parfois ainsi. Il y a des déceptions, des ...

Pol : ok c'est bon arrêtes ! Bon, je vais pas vous embêter plus longtemps. Je vous remercie pour vos reviews. Elles me font très plaisir et me motivent. Cette fic me tient vraiment à coeur car je l'avais imaginée il y a longtemps et je tenais absolument à ...

Rogue : Tu me donnes mal à la tête ! Laisse les lecteurs lire la suite !

Pol : et c'est toi qui dit ça ?

Rogue: /hausse les épaules/ c'est une fiction.

Pol: /s'installe par terre et médite sur cette réponse/

Rogue: et voila ! Elle a encore décroché.

Chapitre 5 : rêve, lumière et voyage

Il était triste. Il faisait des efforts sur lui même pour ne pas le paraître mais le fait et qu'il se sentait étrangement vide. Quelques jours s'étaient passés depuis la rentrée. Tout s'annonçait pour le mieux, mais malgré lui, il restait détaché de tout. Oui, bien sûr, il était heureux d'être capitaine, d'avoir Lupin comme professeur. Mais si au début cela lui avait fait plaisir, ce fut de courte durée.

Plus rien ne semblait l'atteindre, à part peut être les disputes avec Malefoy. Seul le serpentard arrivait à le sortir de sa torpeur. Ils se battaient souvent au grand désarrois de tous. Mais les deux élèves avait besoin de se défouler sur quelque chose et ils avaient trouver en leur rival, le candidat idéal. Par exemple, Un jour alors qu'il dînait avec ses amis de Griffondor dans la salle. Drago s'approcha pour une fois, pas entouré de ses 2 gorilles. Il supportait mal que son rival déjà célèbre, soit devenu carrément la coqueluche de toute l'école et du monde des sorciers.

- Ca alors ! Le Survivant mange comme tout le monde ? dit il froidement. Ron réagit au quart de tour.

- Dégage Malefoy !

- Ce n'est pas à toi que je m'adresse Weasel. Alors Petit-Pote-Potter où est passé ton répondant ?

- La ferme fifils-à-papa. Retourne à ta table rejoindre tes copains démunis de cervelle.

Malefoy rougit à l'interpellation fifils-à-papa. D'une part parce qu'à cause de Potter son père était en prison, mais sans doute aussi, parce que c'était vrai.

- C'est mieux d'être un fils-à-papa, comme tu dis, qu'un assassin !

Beaucoup de la table de Griffondor se levèrent blêmes de ce que venait dire Malefoy qui faisait référence à Cédric Diggory. Mais la réaction de Harry fut plus violente. Il se jeta sur le Serpentard et lui décocha un direct du droit en plein sur la figure qui le fit vacillé.

D'abord surpris il se rua sur le Griffondor à son tour. Oubliant la magie, chacun essaya de faire plus de mal possible à l'autre. Ils se retrouvèrent à terre, à se balancer des coups de pieds et coups poings.

Harry entendit la voix du professeur McGonagall crier «Hagrid ! Vous tous ! Mais enfin séparez les !!» Harry sentit une poigne solide le relever et l'éloigner de son ennemi. Il se débattait comme un fou, tout ce qui comptait était de faire souffrir le serpentard au moins autant que lui.

- Ca SUFFIT! hurla le professeur de métamorphose. Vous n'avez pas HONTE ! C'est quoi ces façons de se battre à la moldue !!!

- Professeur, tenta Ron, c'est Malefoy qui ...

- Je ne veux pas le savoir Weasley. Il faut être au moins 2 pour se battre que je sache. Puis en s'adressant à Harry et Draco : J'enlève 50 points à vos maisons respectives et vous aurez deux mois de retenue ! Je suis outrée par votre comportement indigne. Maintenant dites moi si vous êtes calmés, qu'on puisse vous lâcher ?

Harry était maintenu par Lupin, l'arcade sourcilière fendue, le sang dégoulinant sur la figure, face à lui Draco tenu par Hagrid, l'oeil virant au violet et le nez ensanglanté. Tout les deux livides, non sans se regarder avec des yeux qui lançaient des Avada Kedavra, hochèrent la tête en signe d'acquiescement.

- Très bien, suivez moi jusqu'à l'infirmerie. Je ne veux pas que sur le chemin vous recommenciez votre combat de coqs.

Après cette altercation, Harry se retrouva pratiquement mis en retenu pour tout le premier trimestre. Il allait parfois voir Lupin pour qu'il lui parle des maraudeurs. Depuis Sirius, Lupin était tout ce qu'il lui restait d'un passé qui lui filait entre les doigts comme du sable. Il lui arrivait de regarder l'album de ses parents cherchant à mémoriser leur traits mais une partie de lui disait à quoi bon, puisqu'il ne les connaîtrait jamais. Il culpabilisait : ses parents, Sirius, Cédric mort pour lui, à cause de lui. Il craignait ses rêves et ne dormait presque plus. Ses capacités d'occlumancie pourtant amélioré, n'étaient pas suffisante. Son lien avec le mage noir était très puissant et dur à contrôler. Le seul plus, était qu'il n'avait plus de vision la journée.

Mais lorsqu'il s'assoupissait, ses barrières tombaient et de sombres visions l'envahissaient. Si seulement il avait laissé Sirius tuer le rat, il ne serait pas mort, Cédric non plus, Voldemort ne serait pas revenu et le sacrifice de ses parents n'aurait pas été vain. Dumbledore avait parlé de noblesse, Harry ,lui, pensait à de la stupidité. Alors il supportait mal que tout le monde le considère comme un héros depuis que la gazette du sorcier refaisait son éloge, après l'avoir traité de cinglé pendant une année entière. C'est donc si facile de faire changer d'avis les gens ?

Le journal des sorciers avait même déclaré qu'avec Dumbledore et le Survivant, Poudlard était l'endroit le plus sûr au monde. Depuis il recevait beaucoup de courriers de ses admirateurs et admiratrices qu'il ne lisait même plus. Mais il n'avait beau ne pas y répondre, il en recevait de plus en plus. Il soupçonnait même les frères Crivey d'avoir ouvert son fan-club (il les avait vu réuni avec tout un groupe qui lui j était de fréquent coup d'oeil d'admiration). Harry était à la fois gêné de tout ceci et fatigué. Il était obligé de se montrer sous son meilleur jour : plaisanter, être sûr de lui, rassurer tout le monde... Il avait l'impression de porter un masque souriant pour cacher son visage triste et anxieux. Non, il ne se sentait vraiment pas comme un héros.

Alors qu'il revenait d'une retenue, lorsqu'il passa la porte gardée par le portrait de la grosse dame, il se retrouva face à Ron et Hermione. Et Harry n'eut pas besoin de legilimens pour connaître leur intention. Ils voulaient lui parler de Sirius, ses rêves, les réunions de l'Ordre, le fait qu'en une semaine il est réussit à gagner 4 mois de retenus...

- Harry, commença Hermione. Ron et moi nous avons parlé et ...

- On est inquiet pour toi mon vieux. T'es plus pareil ! Tu nous caches des trucs...

- Tu as l'air de te fiche de tout ! C'est à peine si tu nous répond quand on te parle.

Harry toujours debout, les écoutait. Il était crevé, il en avait marre. Ce n'était vraiment pas le moment ! Qu'est ce qu'ils voulaient ? Partager ses rêves ? Ils voulaient voir eux aussi des gens mourir des manières les plus atroces ? Ils désiraient qu'il leur dise qu'il assistait aux massacres par les yeux de Voldemort...?

- Sirius nous manque aussi ! Argumenta Hermione. Quoi que tu penses ce n'est pas de ta faute ! On a tous nos parts de responsabilité et en même temps on est coupable de rien ! Les vrais fautifs sont Voldemort (Ron grimaça) et ses mangemorts ! Cela ne sert a rien de...

- SUFFIT Hermione ! Il est près de 11 heures ! Je suis fatigué ! Je vais me coucher.

Harry se dirigea vers les escaliers, mais Ron attrapa son bras.

- On essaye de t'aider ! Tu peux comprendre ça ? Arrête de vouloir tout porter tout seul ! Cria Ron.

Harry se dégagea de Ron et commença à monter les marches.

- En fin de compte on est toujours seul et on affronte la mort seul, Ron. Vous n'y pouvez rien! Je suis désolé. Et il partit se coucher. Ron se tourna vers Hermione, le visage déformé par la colère et l'anxiété.

- Qu'a t il voulut dire ?

- Je sais pas, murmura Hermione, les yeux en larmes. Je pense que cela à quelque chose avoir avec la prophétie.

Harry dans son lit, sentait ses yeux le piquer mais il ravala ses pleurs. Il entendit Ron remonter et il ferma ses paupières faisant semblant de dormir. Puis, petit à petit, il sombra dans un profond sommeil.

Il faisait noir. Où était-il ? Il voulut se lever et se cogna contre le plafond. Si sombre ... et il n'avait pas sa baguette. Il se recroquevilla dans ses couvertures. Cet endroit lui était familier. Etrangement calme, il chercha dans sa mémoire le souvenir d'un tel lieu. Soudain il sut... Mais était-ce bien sûr ? Il leva son bras dans le vide et trouva la petite chaîne. Geste automatique, qu'il avait tant de fois... il l'a tira. La lumière... enfin. Il savait maintenant où il était. Le placard, sous l'escalier. Mais pourquoi était-il là ? Qu'avait-il fait ? Il se leva et tenta d'ouvrir la porte… en vain.

« Tante Pétunia !? ...Oncle Vernon?! .. Dudley?!... » Personne. La rage monta en lui comme un flot, inondant son être. Il hurla à la porte de s'ouvrir. Ce qu'elle fit. L'ampoule explosa. Mais il n'en n'avait cure. Tout ce qu'il voulait c'était sortir... s'en sortir. Il se dirigea vers la porte d'entrée.

- Harry.....Harry... Une voix douce, si envoûtante, d'où venait-elle ? L'obscurité se répandit autour de lui. Il suffoquait, il fallait qu'il aille dehors... suivre la lumière. Cette lueur, une sphère phosphorescente qui était restée alors que la noirceur s'était installée comme un brouillard opaque. L'étincelle rassurante lui murmurait qu'il était toujours un être humain. La voix venait d'elle. De cette aurore minuscule, si brillante, si belle. Il avançait pas à pas, difficilement mais quand enfin il l'atteignit ...

- Lève-toi, il est temps.

Harry ouvrit les yeux. Il était dans son dortoir et ses camarades de chambre dormaient tranquillement. Et ils avaient bien raison, il allait bientôt être minuit. Harry se leva et s'habilla silencieusement. Il prit sa baguette et sortit du repaire des Griffondors. Pourquoi ? Il ne savait pas, il avait agi sans réfléchir. Obéissant à un appel auquel il lui était impossible de ne pas répondre. C'est alors qu'il la vit, la lueur l'attendait. Comme un somnambule il l'a suivie. Il prit des passages qu'il ne connaissait pas, et très vite il se trouva dans un Poudlard qui lui était inconnu. Pourtant aucune peur ne se reflétait dans ses prunelles vertes. Il suivait les traces de la clarté avec confiance.

Harry entra dans une grande salle au plafond élevé. Il leva les yeux et vit les runes rouges inscrites sur le plafond. De longues colonnes d'ivoire aux reflets arc-en-ciel, s'entrelaçaient et formaient une coupole. Il était retourné là où tout avait commencé.

Il en était sûr, mais il ne comprenait ni quoi ni comment. Quatre statues représentant les animaux des 4 fondateurs, au centre un miroir arrondi incrusté dans le sol, et au plafond un autre miroir qui lui faisait face.

La lueur se plaça au-dessus, invitant Harry à suivre son exemple. Après s'être mis au centre du miroir, la lumière disparut et Harry reposa son regard sur les runes. Il ne sut pas ce qu'il le prit, mais un flot de formules jaillit hors de sa bouche.

Et c'est seulement à cet instant qu'il se réveilla et prit conscience du lieu où il était. Il vit avec horreur ses pieds s'enfoncer dans le miroir. Il tenta de se dégager mais il n'y arriva pas. Il appela à l'aide mais personne ne vint. Alors qu'il était pris jusqu'à la taille, des lumières rouges, vertes, jaunes et bleues fusèrent des statues, s'unirent en une seule blanche qui ricocha sur le miroir du plafond et se focalisa sur lui.

Il hurla de terreur et de douleur quand la lumière l'atteignit. Comme une brûlure, une souffrance pire que le doloris. Il allait devenir fou quand la brûlure se transforma en une agréable chaleur. Il tenta de faire un geste mais il ne pouvait plus bouger. Le miroir l'avait aspiré jusqu'au cou.

Ebloui par l'aveuglante lumière, les yeux fermés brûlant de larmes, il tenta une dernière fois d'appeler au secours.

- Papa...Maman... Et il sentit sa bouche se remplirent d'un liquide amer, glacé et compacte tandis qu'il disparaissait dans le miroir. Cette fois, il en était sûr : le Survivant allait mourir.

Il tombait, il avait l'impression de traverser des portes par milliers. Une multitude d'images se versait en lui sans qu'il en ait aucun contrôle.

Sirius sembla mettre un temps infini à tomber. Son corps se courba avec grâce et bascula en arrière, à travers le voile déchiré suspendu à l'arcade.

Harry vit la peur et la surprise se mêler sur le visage de son parrain qui traversa l'antique arcade et disparut au delà du voile.

- Qu'est ce que... non… arrêtez....

Il était dans le cimetière, Voldemort venait de renaître devant lui. Il se battait en duel sous les yeux des mangemorts. Soudain alors que le mage noir lui lançait un sort de mort, Harry décider à mourir debout jeta l'Expelliarmus. Alors le miracle se re-déroula sous les yeux d'Harry. Le dôme, le chant du phénix, l'écho de Cédric, de Bertha, d'un vieil homme et de ses parents.

- Non ...je ne veux pas revoir ça...

Il se revit dans le labyrinthe, lui et Cédric allait prendre le trophée... ensemble

- NON C'EST UN PIEGE!!

Il se revit accomplir les Épreuves du tournoi des trois sorciers.

Le lac…

-Je ne les abandonnerai pas ! ...

Le dragon…

«Accio Éclair de feu »

-Le quatrième champion est «Harry Potter ».

Ron lui tournait le dos. Ron ce n'est pas ma faute

C'est des dizaines de détraqueurs, ils encerclent Sirius, Hermione, lui et Ron.

« Spero Patronum ! »

Un cerf argenté surgit et chargea les détraqueurs.

-Pourquoi je revois...

Ginny est inerte sur le sol, Tom Elvis Jedusor la toise. Il inscrit en lettres enflammées son nom qu'il transforme en «je suis Voldemort ». Il revoit le combat : Le basilic, le phénix, l'Epée de Griffondor et enfin quand il transperce le journal noir avec le crochet du serpent.

-...tous ses souvenirs ?

Sa première année. Son amitié avec Ron et Hermione. Hagrid...le Troll.... Rogue... Draco Malefoy. La découverte du quidditch. La pierre philosophale. Voldemort…

- Est ce que je suis....

Sa vie terne, triste, sans amour et sans espoir chez les Dursley. Sa solitude, ses humiliations, son ignorance, la lettre, début de l'espoir d'un monde meilleur. La découverte...

-...en train de mourir ??

« Lily ! Prend Harry et va-t'en! C'est lui ! Va-t'en ! Cours! Je vais le retenir... » Des pas précipités, des cris, des lumières fusent. Le silence. Des pleurs.

- Pas Harry, pas Harry, je vous en supplie, pas lui !

- pousse toi, espèce d'idiote...allez, pousse toi...

- Non, pas Harry, je vous en supplie, tuez-moi si vous voulez, tuez-moi à sa place. Un rire froid et cruel

- Non, pas Harry, je vous en supplie ! Ayez pitié… Ayez Pitié… Une voix suraiguë se mit à rire, la femme hurla, et Harry n'entendit plus rien du tout...

« Dans le salon, le père d'Harry par terre sur un tapis, le béb dans ses bras. Soudain il s'échappe à quatre pattes, prend appui sur la cuisse de son père et se lève.

- Lily ! Lily ! Amène le Copytout, Harry marche !! Il marche!! En effet, le bambin lance maladroitement sa jambe droite sous l'oeil vigilant de son père. La mère arrive en courant avec une sphère dans sa main. Elle la lâche et la sphère reste suspendu comme une lueur au-dessus de sa mère.

- Vas y mon bonhomme. Va voir maman...

- ouiiii....mon bébé c'est bien. Viens mon amour. L'enfant accélère le pas et se laisse tomber dans les bras de sa mère. Elle le lève, le câline et lui chuchote des mots d'amour. Le père applaudit.

- Bientôt il pourra monter sur un balai ! La femme s'arrête et lance un regard noir à son mari.

- Ce n'est pas déjà fait ? James rougit »

- Papa... Maman ... je suis là !

« -Tu crois vraiment que je vais y arriver ?

- Allons Sirius, c'est pas difficile. Harry est adorable, tu n'auras aucun mal à t'en occuper. Tu es son parrain tout de même.

- Je sais pas James. Il a quand même tes gènes.

- Qu'est ce que je dois comprendre ?

- Chéri, on va être en retard. Elle regarde Sirius et soupire.

- C'est vraiment dommage que ce soit un soir de pleine lune et que Rémus ne puisse pas venir.

- Qu'est ce que je dois comprendre? Le bébé dans les bras de Sirius gazouillait. »

- J'ai tellement de chose à vous dire...

« - Du Calme Cornedrue, je suis sur que ça va bien se passer.

- Facile à dire pour toi Lunard. Oh mon dieu ! Je vais être père.

- Vous avez pensé aux prénoms ?

- Oui Patmol, mais on hésite. Henri, Matthieu ou Wyatt si c'est un garçon. Rachel, Diane ou Agata si c'est une fille.

- pfffff moi j'ai beaucoup mieux. Sirius Jr si c'est un mec, Siriusissi si c'est une nana.

- Je t'en prie Lunard ! Dis moi que ce n'est pas ce clébard le parrain de ce pauvre enfant.

- No comment

- HÉÉÉÉ!!!

- C'est dommage que Pete n'ait pas pu venir.

- Tant pis pour lui. Moi j'aurais manqué ça pour rien au monde.

- On dirait que c'est ton enfant qui va naître.

- Les enfants de James et de Lily sont mes enfants.

- Comme je les plains.

- T'es jaloux Lunard que ce ne soit pas toi le parrain de Sirius Jr ou Siriusissi.

- N'importe quoi.

- Je refuse d'appeler mon bébé Sirius Jr ou Siriusissi !!!

Un médicomage entre.

- C'est un garçon. »

« - Pourquoi vous vous éloignez ? Dumbledore installé dans on bureau, assis en face de lui James et Lily avec un ventre arrondi.

- James, Lily. Je crains que votre futur enfant soit en danger de mort.

- QUOI !!!

- Il y a eu une prophétie... »

- Tout s'échappe, Revenez !! Ne me laissez pas seul ! Je ne veux plus être seul ! Je l'ai été si longtemps....

Les images s'arrêtèrent. Tout devint flou. Ses os lui firent mal, certains raccourcirent, d'autres s'allongèrent, son corps changeait. Des picotements sur chaque parcelle de sa peau. Il avait si mal, tout se brouillait dans son esprit. Avant de sombrer dans l'inconscience, il se sentit atterrir sur de l'herbe.

fin de chapitre

Bande annonce du chapitre suivant : un réveil dans un lieu tout blanc, une infirmerie ? Mais comment est il arrivé là?

Pol : eh eh eh eh eh

Rogue: je peux savoir ce qui t'arrive ?

Pol: bahh je sais pas quoi dire, alors je ricane de façon effrayante et sadique pour faire comprendre que...

Rogue: ...Tu n'as rien à dire

Pol: mheu non ! C'est pour montrer à quel point je suis ...

Rogue : Idiote ? Dénué de bon sens ? Une parfaite Griffondor à la Londubat ?

Pol : je te signale que c'est dans ta maison que se trouve Crabbe et Goyle.

Rogue: c'était un coup bas !

Pol : ;p