nda:Ouf la correction de tous les chapitres est finis , ont applaudit bien fort M4r13 pour son super boulot ! sans elle, j'aurais toujours pas finis!!
Sinon , j'ai modifié ce chapitre . C'est surtout lui qui à subit le plus de changement . je vous invite donc en attendant la suite de le redécouvrir . Merci de me suivre ! Je vous embrasses tous .
Titre : Les miroirs du temps
Auteur : Polgara86 (et pas Polgara la sorcière , hélas )
correctrice :M4r13 !!
Avertissement :PG13 (même si le début est soft , cela va se corser au fils de l'histoire)
Spoilers : Les cinq tomes.
Disclaimer : L'univers, les personnages de Harry Potter ne m'appartiennent pas et je ne touche aucun argent (donc je suis et resterait pauvre ). Tout appartient à JK Rowling
Résume général : Après la perte de Sirius , Harry se renferme peu à peu sur lui même . La rentrée à Poudlard se passe cependant assez bien jusqu'à…
oO§OooO§Oo
Pol: j'aurais voulut mettre la presentation de tous les perso sur cette page mais...
Rogue: /ricanne/ son copain les a effacé ainsi que nos dialogues qui allé avec et elle n'a pas le courage de les refaire. C'est tout benef pour moi ! /à l'air très soulagé/
Pol:ceux qui m'avait lu, ont une idée de pourquoi notre ami est aussi content que si je lui apprenais que Neville renonçait à la potion.
Rogue: je me demande pourquoi tout tes amis sont des cinglés.
Pol:(...)
Rogue: enfin à ce qui paraît qui se ressemble s'assemble
Pol: tu apprendras que j'assume completement le fait d'être folle ! mon chou
Rogue:O-oChapitre9 : pleine lune rouge
James, Peter et Sirius étaient installaient prés du lac. Sirius assis contre un grand chêne, les jambes croisées et les bras derrière sa tête, dans une pose décontractée. Il regardait avec une moue amusée, James en face de lui, assis dans l'herbe jouer avec son vif d'or tandis que Peter en tailleur l'admirait.
Il poussait des petits cris à chaque fois que James attrapait la balle dorée avec une dextérité extraordinaire.
« - Pourquoi tu prends pas le poste d'attrapeur ? demanda Peter, les yeux humides (pour changer) »
« - Parce que j'adore marquer des But contre Rosier, répondit James avec un sourire carnassier. »
« - Et moi, continua Sirius, J'apprécie envoyer les cognards sur la poire de Macnair. James range ton vif, manquerait plus que Peter s'oublie et mouille son pantalon. »
James rangea son vif, tandis que Peter rigolait stupidement. (Oui je ne l'aime pas, mais en fait qui l'aime ?)
« - En fait, ce soir c'est la pleine Lune ! Comment ont fait pour notre nouveau camarade qui partage notre dortoir ? » questionna Sirius.
« - C'est simple, mon Siri ! On dit que nous avons une blague à préparer. Lex connaît notre réputation. »
« - Oui, mais il ne va pas vouloir venir avec nous ? »
« - Je pense qu'il comprendra si on refuse, Pety : Vu qu'on ne le fréquente pas depuis longtemps. De tout façon, je ne crois pas qu'il soit du genre à s'imposer. »
« - Je suis d'accord avec toi Cornedrue, mais on ne pourra pas se servir de cette excuse à chaque fois. Sinon il va trouver cela bizarre que comme par hasard, nous avons un besoin subit de faire une blague tous les soirs de pleine lune ! »
« - Ouais t'as raison. Il risquerait de croire qu'on est dans une secte et que nous faisons des sacrifices d'animaux toutes ces nuits ! »
« - Quelle imagination Cornedrue ! »
« - Merci mon bon vieux Patmol ! »
Les trois garçons ricanèrent. Puis le visage de James pris une expression sérieuse. Sirius eut un léger rictus en rencontrant son regard, et Peter se mit à se tortiller, l'air tout excité. (Non mais il va se calmer !)
« - Au sujet du projet « maraudeur», dit James. Faut qu'on soit bien préparé et que tout le monde soit frappé, professeurs comme élèves ! »
« - Oui, Président Cornedrue ! Mais avant de parler de cela ne faut il pas attendre le secrétaire Lunard ? »
« - En effet mon cher sous président Patmol ! Mais qu'en pense notre trésorier ? »
« - Que je plains le secrétaire Lunard ainsi que Lex d'être en ce moment en divination ! »
« - Heee ! Tu sors du contexte ! »
« - Ouais mais il a raison Cornedrue ! Il faut faire une prière pour nos deux compagnons, prisonniers dans le grenier du Poudlard avec l'équivalent féminin de Servollo ! »
Ils se mirent sur les genoux en cercle dans une position de prière, tête baissée, secoué de tremblement nerveux.
« - Oh dieu de la farce, protèges nos amis, qu'ils nous reviennent sain et sauf ! » Pouffa James
« - Sans bouton ! » Ricana Sirius
« - Ni tic nerveux », dit d'une voix aigue Queudver
« - Bon, on va arrêter là, parce que sincèrement mes amis, nous avons l'air stupide ».
« - Je suis d'accord Cornedrue ».
Ils éclatèrent de rire et se laissèrent tomber dans l'herbe. En début d'automne, l'air était doux et le vent frais, agréable. Soudain, un craquement d'une branche se fit entendre. Sirius et James se retournèrent en même temps et purent voir Rogue non loin de la faire des efforts pour paraître inaperçu.
« - C'est pas vrai qu'il pas retenue la leçon de l'année dernière ! » Grogna Sirius.
« - Sirius ! T'avais faillit le tuer ! Si je n'étais pas aller le chercher ... »
« - Ouais ouais ! En tout cas, il change pas ses habitudes de nous espionner et d'espérer pouvoir nous dénoncer et qu'on soit renvoyé, ce sale bâtard graisseux ! Mérite qu'on le punisse ! On y va ? »
« - Attendez, c'est pas la peine il est loin maintenant », dit Peter un peu déçu.
« - Oui calmos, le clebs. On ne va pas le rater ! Mais laissons le croire quelque temps qu'il nous a échappé. C'est plus marrant de l'avoir par surprises »
Les garçons échangèrent des regards lourd en sous-entendus, puis se levèrent pour aller en direction de leur salle commune.
oO§OooO§Oo
Lex avec Remus, se rendaient en cours de divination. Ils montèrent l'échelle et Remus ouvrit la trappe. Il s'arrêta et se tourna vers son nouveau compagnon.
« - Lex, j'espère pour toi que tu n'as pas l'odorat fin et que tu as l'estomac solide », dit Remus avec un soupir à fendre l'âme.
Lex s'étonna des paroles de son amie mais lorsqu'il entra, elles prirent un sens. Les mauvaises odeurs étaient tellement puissantes qu'il en avait les larmes aux yeux. La salle était sombre, d'épais rideaux rongés par les mites cachaient la lumière. Des bougies violettes posées sur chaque petite table ronde étaient les seules sources de lumière. Le parquet du sol était caché par différent tapis , de genre variés , avec des symboles Égyptien , arabe , chinois et autre... Un léger voile gris recouvrait les murs. Tous semblaient s'unir pour empêcher la salle de respirer. Lex se demanda comment il n'allait pas suffoquer. Remus, habitué, se précipita vers une table près d'une fenêtre qu'il entrouvrit en poussant un peu le rideau rouge bordeaux.
« - Pourquoi tu ne l'ouvres pas en entier », se plaignit Lex.
« - Parce que la prof ne veut pas qu'on le fasse normalement. Cela ferait fuir l'au-delà, répondit il en roulant des yeux ».
Ils se laissèrent tomber sur les poufs, tandis que les élèves entrèrent. Tous se battaient pour les places à côté des fenêtres et être le plus loin possible du gros fauteuil sur l'estrade, près d'une cheminée où brûlait un feu mauve.
Amy et Lily vinrent arrivèrent à leur tour et vint s'installer près d'eux.
« - Chen ai marre ! cha pu trop ichi !! », Dit Amy en se bouchant le nez
« - C'est vrai ! C'est pire que d'habitude », geint Lily. « Ah en fait, juste comme ça, comment va Potter ? ».
Lex et Remus échangèrent un regard surpris.
« - Pourquoi ? »
« - Disons que j'étais énervée, vous savez pour sa dernière plaisanterie. Et je n'ai pas ménagé mes insultes. Je pense avoir exagéré un peu. Enfin, voilà. Heu ... Lupin, tu ne pourrais pas t'excuser pour moi ? »
« - Non. »
Surprise par la réponse rapide et ferme, Lily se tourna vers Lex.
« - Lex..? »
Lunard fronça ses sourcils. Depuis quand Lily l'appelait son nouveau compagnon par son prénom, alors qu'elle ne l'avait jamais fait pour eux après 6 ans dans la même classe. Quand s'était il rapprocher ? Avec ses trois autres amis, ils avaient en effet remarqué une complicité entre eux. Mais là, il lui parut clair qu'ils étaient beaucoup plus proche qu'il ne le croyait.
« - Non, désolé Lily. Mais si tu ne veux pas t'excuser en face, tu peux le faire implicitement »,dit malicieusement Lex
« - Comment ? »dit elle avec une lueur d'intérêt dans ses yeux vert.
Amy, la main sur son nez et sa bouche attrapa le bras de Lily et d'un mouvement de tête, indiqua l'entrée. Lex ouvrit des yeux rond: une petite vieille au visage extrêmement ridée, emmitouflée dans diverse châles de pas très bon goûts, se hissait avec difficulté à travers la trappe .
Le premier réflexe de Lex fut d'aller l'aider. Il se leva et, suivit des regards des autres, se dirigea vers son professeur. Mais lorsqu'il fut proche et qu'il lui prit la main, sa puanteur le pris par surprise et il faillit la lâcher. Une odeur de quelqu'un dont les mots savons, déodorant, douche, bain... devaient lui être étranger.
Mais c'est courageusement qu'il affirma sa prise et la hissa en dehors de la trappe. Elle lui fit un sourire reconnaissant dévoilant des dents noircis et jaune et Lex recula d'un pas. Il remarqua alors qu'elle avait un troisième oeil sur le front qui brillait d'une couleur mauve. Il écarquilla les siens devant ce phénomène. Le professeur frotta ses mains sur sa robe sale, jadis, sans doute violette ou rose.
« - Merci bébé lion. Tu peux retourner t'asseoir ».
Les différents élèves d'abord surpris, éclatèrent de rire au surnom que venait de lui donner le professeur. Lex retourna à sa place, l'air hagard. Il se laissa tomber sur son pouf.
« - Cette prof me surprendra toujours », dit Remus en souriant. « Elle appelait James comme cela aussi ».
« - Tu as été très courageux de la toucher », déclara Lily.
« - Cha chest bien vrai ! » Rajouta Amy
« - Vous avez vu son troisième oeil ? » demanda Lex.
Les 3 élèves pouffèrent, comme si Lex venait de sortir une bonne blague. Lex reposa son regard sur le professeur qui sortait des boules de cristal et les faisaient s'envoler vers les tables. L'oeil sur son front, toujours brillant d'une jolie couleur mauve se renferma peu à peu. Mais il semblait le seul témoin de cela et la question était pourquoi ?
Le cours se passa relativement bien. Le professeur ne prenait pas vraiment la matière au sérieux, elle regardait les élèves faire en souriant béatement et en répondant aux questions lorsqu'on lui en posait. Le cours aurait pu même être agréable, s'il ne régnait pas dans la salle un climat d'oppression dû au manque d'aération. On pouvait à peine respirer et cela devenait vite une torture.
Lily prédit à Lex qu'une fille habillée de rouge aller un jour lui mordre le nez. Et Remus annonça à Amy que quand la licorne deviendra rose, elle devrait Éviter les coins sombres. Lorsque la sonnerie retentit, Lex attendit que les autres soit partis et alla voir son professeur.
« - Mrs Factis ... »
« - Oui bébé lion ? »
« - Heu... je ne voudrez pas paraître impolie, mais avez vous un troisième oeil ? » Lex se sentit soudain un peu stupide.
Mrs Factis eut un léger sursaut, et tout d'un coup attrapa le bras de Lex qui de stupeur cogna son genou contre une table. La boule de cristal qui était dessus, tomba et se brisa. Lex voulut s'excuser, mais son coeur fit un bond quand il vit, le troisième oeil de la vieille femme devenue rouge. Sa poigne se referma avec une force étonnante sur le bras du jeune homme qui tenta de se dégager vainement. Elle récita alors comme une formule d'une voix rauque :
« - Le lion a la crinière noir... Toi qui est derrière l'ange salvateur... caché ... Contrôle ta colère et ta haine ! Ne te souilles pas dans le sang... Ta douleur... Ta souffrance ne cesseront pas avant longtemps... Mais ai foi en ceux qui t'aime... Car tu aimeras... La dualité cessera seulement quand ta vérité tu accepteras. Le lion et l'ange réunis, le griffon d'or renaîtra... »
L'oeil rouge repris sa lumière mauve d'avant puis se referma. Lex resta abasourdi un moment, tandis que le professeur le dévisageait intensément. Elle le lâcha enfin et comme si cela fut un déclic, Lex se réveilla de sa stupeur et se précipita vers la trappe. Alors qu'il descendait, il entendit.
« - Voyez j'avais raison ... il ne sait rien ... il est ignorant ... comme il va avoir mal le pauvre...oui, oui, oui...la pleine lune sera rouge ce soir ... ».
Lex courut comme un fou dans les couloir du château. Une fois qu'il pensa avoir mis assez de distance entre son professeur et lui, il appuya son dos contre le mur afin de reprendre son souffle. Un frisson lui parcourut l'échine quand il entendit une voix. Un voix sèche et grave pourtant familière qui dit dans un murmure
#déjà-vu#.
Il secoua sa tête et décida de ne pas y accorder de l'importance. En repensant à son professeur, il se convainquit qu'il venait d'assister, sans aucun doute, à un délire d'une vielle femme qui croyait être en possession du troisième oeil.
#Et sur son front ? C'était quoi ? Une pustule ?# Souffla l'étranger sarcastique en son esprit. Lex préféra l'ignorer.
Il se releva et parti d'un pas décidé. Il ne voulait pas accorder de l'importance à ce qui venait de lui arriver.
oO§OooO§Oo
Narcissa se dirigeait à pas précipité vers sa classe de métamorphose. Elle était en retard, tout cela à cause de sa sadique de soeur. Celle-ci avait insisté pour lui raconter comment cela s'était passé avec sa dernière conquête. Ou plutôt victime. Narcissa ne se souvenait plus le nom du garçon tout ce qu'elle savait et qu'il était un Serdaigle. Quand Bellatrix le quitta, il avait d'après elle tentait de se tailler les veines. (Quelle réaction stupide!). Elle eut un haut-le-coeur en se souvenant le visage de sa soeur. On aurait dit qu'on venait de lui apprendre que noël avait été avancé !
Alors qu'elle arrivait à une intersection elle rentra en plein fouet dans quelqu'un. Elle fut projetée en arrière, et tomba sur son derrière. Assise sur le sol froid, elle leva des yeux furieux. ("C'est pas vrai ! Pas lui ").
Lex la regarda surpris et lui sourit.
« - Je suis désolé », dit il en lui tendant la main.
Elle l'ignora, attrapa son sac et se releva. Elle partit presque en courant sans se retourner. #Pourquoi fallait-il qu'elle tombe encore sur lui ! Cela devait être un genre de mauvais sort ! Il l'énervait avec ses airs de je-suis-super-gentil-et-tout-le-monde-maimeuh ! Erk ! Sûrement un gars avec une vie parfaite, qui aura une petite amie parfaite et un boulot parfait! Un peu comme Potter le chieur#.
Elle n'avait pas été étonnée quand on lui avait raconté la fugue de son cousin. Il criait toujours haut et fort qu'un jour il se casserait de cette famille de 'merde' et qu'il en avait rien à 'foutre' d'être un Black et cela depuis qu'il avait 7 ans ! De son côté, sa famille avait elle aussi son vilain petit canard. L'aînée des soeurs Blacks, s'étaient, Oh honte sur leur famille, mariée avec un moldu. Depuis, pour les Blacks elle n'existait plus. Parfois Narcissa se demandait si elle était heureuse. Le problème avec son cousin, c'est qu'étant un mâle, s'il venait lui à se marier avec une moldue, il lui donnerait le grand et noble nom des Blacks. En conséquence il faisait plus grincer des dents que sa pauvre soeur .
Elle avait pendant une période comme passion de faire des recherches sur les racines des familles anciennes des sorciers. La légende qu'elle préférait était sans contexte celle des Hélios.
La nymphe, les larmes aux yeux d'avoir retrouver sa robe, serra contre son coeur son amant et ses enfants et après les avoir bénit, s'envola dans les cieux. Les descendants sont aujourd'hui bénit entre tous car il porte la marque de l'amour en eux.
Narcissa, se demanda si ce Hélios faisait vraiment partit de cette famille. Car celle-ci n'avait pas non plus échappée au massacre du seigneur des ténèbres malgré son histoire. Ce qui prouvait à ses yeux l'inutilité du sentiment amoureux qui n'apportait rien, sauf la souffrance. L'étrangeté de l'affaire, ce qu'elle n'avait pas dit à Severus, c'est que normalement il ne devait pas en rester. Le seigneur des ténèbres les aurait tous massacré. La famille n'était pas déjà nombreuse, et leur refus obstiné de soutenir le Lord Noir, avait signé leur disparition. Donc, la question était d'où sortait Alexiel Hélios ? Narcissa avait l'impression que comme son aïeul , il était tombé du ciel .
Pendant qu'elle entra dans la classe, elle se fit la promesse intérieur de se renseigner un peu plus sur le jeune homme.
C'est à peine si elle suivit le cours de métamorphose. Toute ses pensées étaient tournée vers un visage souriant, des bras qui entourent sa taille, une senteur légèrement teintée de vanille... Que lui arrivait il ? Pourquoi la tête de Mr je-suis-le-nouveau-super-mysterieux la tourmentait?
Elle remarqua qu'en plus Mrs-je-ne-sais-pas-ce-que-le-mot-decoiffé-veut-dire lui lançait son regard je-vais-t'interroger-gare-a-toi-si-tu-n'as-pas-suivi ! Elle pesta intérieurement. Le professeur attendait visiblement quelque chose et elle ne savait pas quoi ! Elle jeta un coup d'oeil au tableau "du raton laveur a la bièraubeurre ". Non mais franchement à quoi cela pouvait-il bien servir ? De plus qu'est ce qui leur disait que les élèves n'allaient pas user à tort et à travers de cette formule. Quoique, il faudrait d'abord trouver des ratons laveur.
« - Miss Black, alors j'attend !
» Et zut, Mrs je-ne-ri-qu'une-fois-par-décenie lui avait bel et bien posée une question. Ou peut être attendait elle qu'elle transforme son raton. Ses yeux froids se posèrent sur l'animal qui tirait sur la corde qui le maintenait prisonnier. Un sourire fugace passa sur son beau visage quand elle imagina le beau Lucius dans cette position ! Cela serait bien fait pour sa gueule de je-suis-un-vilain-méchant-et-fier-de-l'être.
« - Miss Black, nous n'avons pas que cela à faire ! ».
Elle leva sa baguette, prononça la formule et un pichet de bièraubeurre pris la place du raton. Sous les yeux horrifiés des élèves, elle pris le pichet et le porta a ses lèvres. Elle en but quelques gorgées, comme si de rien n'était.
« - 5 point pour serpentard », dit le professeur McGonagall en repartant vers l'estrade sans partager l'effarement de ses élèves.
Narcissa échangea un sourire ironique avec Eve. Elle tourna son visage vers les Serdaigles et remarqua que l'un deux, très pâle, avaient les avant-bras bandés.
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La pleine lune brillait d'une couleur rouge. Elle était la seule source de lumière dans le parc et se reflétait dans les eaux sombres du lac. Un léger vent frais soufflait sur les hautes herbes, et un grand arbre laissaient ses branches se lever au gré du vent. L'arbre possédait un aspect irréel, ses longues branches, tombant sur le sol caressant l'herbe et ses longues racinent se mouvaient comme animé d'une vie propre. Le saule semblait attendre l'arrivée de quelque chose ou quelqu'un. Alors que la Lune ronde brillait de mille feux, un drôle de cortège fit son apparition .
Un cerf majestueux suivit d'un immense chien noir et d'un rat se dirigeaient vers l'arbre. Le cerf fit un signe de tête au rat qui se précipita vers les racines de l'arbre les contourna, et alla appuyer sur une sorte de levier.
Les branches se séparèrent pour laisser apparaître un tunnel. Et alors surgit du passage un loup gris. Le qualificatif de loup n'était qu'un moyen pratique de le nommer. L'animal en question était bien plus grand et plus puissant qu'un loup ordinaire. Ses membres étaient plus long, son museau et sa queue plus petite. Les yeux jaunes dévisagèrent le petit groupe, il s'approcha et les renifla. Le lycanthrope, les reconnut et avec un hurlement les invita à le suivre alors qu'il s'élançait vers le lac.
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Les flammes montaient haut dans le ciel étoilé, caressant la lune rouge. Tout le village brûlait...
Il avançait...
Le feu gigantesque éclairait les lieux comme en plein jour. Il y régnait un chaleur infernal et l'odeur de chair cramée et la fumée irritaient les poumons, piquaient les yeux.
Il marchait sur la grande rue, traversant la grande place du village.
Les hurlements de douleur, de peur se répercutaient en échos contre les ruines de désolation d'anciennes maisons. Des pleures d'enfants, des supplications, des injures, des cries d'animaux... se mélangeaient. Plusieurs cadavres gisaient à terre, rougissant de sang frais le chemin.
Il marchait lentement, se laissant aller à la contemplation du sinistre spectacle. Sentant l'odeur de mort.
Certains courraient en feu, tel des torches humaines. D'autres baignaient dans leur sang. Seul ceux en cape et cagoule noir circuler sans dommage et certain en s'amusant même.
Et lui, il avançait s'enfonçant davantage dans le paysage cauchemardesque.
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Le cerf allonger dans la douce herbe, regardait d'un œil amusé le chien et le loup luttaient l'un contre l'autre en poussant des jappements joyeux. Le rat, sur une pierre sautait gaiement comme pour les encourager. Il jouait au sein de la nuit. Ils étaient les maîtres de lieux.
Unis pas le secret et le mensonge. Mais ce mensonge avait un goût doux et exaltait leur sens. Ils étaient victorieux de tous, aucun se douter de leurs escapades. Revenus à l'état sauvage, ensemble comme jamais. A la vie, à la mort.
La nuit était belle, la nuit était douce, la nuit était calme. o
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Il entra dans la demeure, il entra sans se soucier du feu qui brûlait les murs. Il entra dans le salon où cinq des siens attendaient. Une femme nue, brûlée et en sang gisait par terre. Une petite fille, dormait du sommeil éternel près d'elle. L'autre, le père, le visage marqué de brûlure et de sang, les larmes striant ses joues le regardait la peur mêlée à la haine.
L'homme brun était brisé et il en éprouvait un intense et morbide satisfaction.
Un crie strident résonna de l'extérieur, sonnant comme un douce musique à ses oreilles, faisant frissonner l'autre. Ils parlèrent mais il n'entendit pas ce qui sortait de leur bouche. Ils parlaient mais à ses oreilles seul les hurlements, les bruits de dehors lui venaient. Une partie de lui se demanda alors ce qu'il faisait là. Soudain il put saisir un mot
« - Doloris »
Le brun se tordit de douleur sous ses tortures. Mais il demeura silencieux. Il augmenta le sortilège et enfin sa voix rejoignit celle des autres. Les autres riaient. Au bout de plusieurs heures de douleur et de souffrance pour sa victime, il se lassa. Et il le tua.
La nuit sera à l'image de la mort, la nuit sera dur, la nuit sera excitante.
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Le lycanthrope se perdit dans la contemplation de la lune rouge. Il jeta sa tête en arrière et hurla. Le chien noir, le rejoignit. Et leur chant résonna dans le parc. Le cerf, pris le rat sur sa tête et couru vers la forêt interdite. Le loup et le chien les rattrapèrent rapidement et la joyeuse compagnie s'enfoncèrent dans la pénombre des arbres.
Ils ne leur restaient le temps que pour une dernière course au clair de lune. Après il faudrait ramener le loup à sa prison, redevenir civilisé. Redevenir des êtres humains. L'appel était pourtant parfois si fort, qu'il peinait à émerger de ses sensations à l'état brut. Mais pour l'instant, ils étaient Cornedrue, Patmol, Lunard et Queudver.
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Il sortit de la demeure qui menaçait de s'écrouler d'une minute à l'autre. Il avait eu ce qu'il voulait encore une fois. Il avança pour une dernière balade dans le village bientôt réduit en cendre. Les hurlements avaient fait place à un silence oppressant. La fumée noire obscurcissait le ciel, cachant les étoiles. Pourtant la lune écarlate, comme-ci, elle aussi avait été souillé par le sang ressortait de toute sa splendeur. Elle se tenait au côté d'un crâne d'où sortait un serpent, brillant d'une lumière verte.
Les mangemorts se préparaient à partir. Ils allaient redevenir des sorciers de la société en attendant la prochaine nuit pour ôter ce costume. Car, la cagoule et la cape noir ne cachait pas leur identité mais dévoiler au contraire leur véritable nature.
Lui, leur seigneur murmura :
« - Ma marque des ténèbres se répand ».
Sa vengeance sera un jour complète. L'immortel repartit en riant accompagnée de ses mangemorts. Qui serait assez puissant ou fou pour un jour défier leur maître ?
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Dans les dortoirs des garçons de Griffondor, dans la chambre des maraudeurs, un jeune homme se réveilla soudainement, le visage en sueur en poussant un léger cri dans un souffle. Quelques heures plutôt, il se roulait et débattait de douleur. Une douleur atroce contre un ennemi invisible.
Des images en désordre, des odeurs de morts, de sang et surtout de lui, l'homme serpent était venu dans son esprit. La cicatrice en forme d'éclair l'avait brûlé à un tel point qu'il avait cru un moment que son crâne était en train de se fendre en deux. Il se leva et ses jambes se dérobèrent sous ses pieds.
Allonger par terre, son corps secoué de tremblements incontrôlables, il chercha le sens des visions. Les cris de douleurs se répétèrent comme un bruit sourd et vibraient dans ses oreilles, pris de nausée, il se mit debout et réussit à aller dans la salle de bain. Ne pouvant plus se retenir, il vomit par dessus la cuvette. Un mal de crâne lancinant le martelait. Il passa sa tête sous un jet d'eau froide, et quand son esprit fut un peu moins embrouillé, il tenta de démêler ce qui lui était venus pendant son sommeil. Il ne pensait pas que c'était des souvenirs.
C'était autre chose, mais quoi ? Son premier réflexe fut d'aller voir Dumbledore, mais sa raison l'en empêcha. Qu'allait il pouvoir raconter au vieil homme ? Il ne pouvait venir à 4 heures du matin à cause d'un cauchemar ! Un rêve juste un simple rêve. Il retourna se coucher. Il se demanda soudainement comment cela se faisait qu'avec ses hurlements il n'avait réveillé personne.
#sortilège d'insonorisation#
Il sursauta. Quelqu'un lui avait parlé ? Mais qui ? Il avait déjà eu ce genre d'impression plusieurs fois depuis qu'il était ici. Et déjà plus tôt dans la journée la voix s'était adressé à lui. Il devenait complètement fou ou quoi ! Ou peut être il était déjà cinglé avant qu'il ne perde la mémoire.
Il se concentra et chercha le contact mais il ne perçut plus rien. Sortilège d'insonorisation? Oui, cela ne serait pas étonnant de la part de ses quatre nouveaux amis.
Malgré les terribles visions, il se sentit tellement épuisé qu'il se rendormit. Comme si c'était chose d'habituelle pour lui.
Il n'entendit pas quelques instants plus tard, trois de ses compagnons de chambres rejoindre leur lit. Ceux ci ne se doutait pas de ce qui les attendait pour le lendemain.
##fin de chapitre##
Bande annonce du chapitre suivant : "...j'ai le triste et dur devoir de vous annoncer que plusieurs attaque simultanées de mangemorts ont eu lieu cette nuit , il y a eu beaucoup de victimes et..."(...) Sirius pâlit "il est mort" murmura t'il...
Pol: j'embrasse tout le monde et je vous remerci pour vos encouragement. Maintenant que tout à été corrigé la suite ne devrait pas tarder. Mais je veux des reviews !!
Rogue: On dit je voudrais si cela est possible des reviews s'il vous plait ! petite insolante !!
Pol:c'est l'hopital qui se moque de la charité !!
Sinon , j'ai modifié ce chapitre . C'est surtout lui qui à subit le plus de changement . je vous invite donc en attendant la suite de le redécouvrir . Merci de me suivre ! Je vous embrasses tous .
Titre : Les miroirs du temps
Auteur : Polgara86 (et pas Polgara la sorcière , hélas )
correctrice :M4r13 !!
Avertissement :PG13 (même si le début est soft , cela va se corser au fils de l'histoire)
Spoilers : Les cinq tomes.
Disclaimer : L'univers, les personnages de Harry Potter ne m'appartiennent pas et je ne touche aucun argent (donc je suis et resterait pauvre ). Tout appartient à JK Rowling
Résume général : Après la perte de Sirius , Harry se renferme peu à peu sur lui même . La rentrée à Poudlard se passe cependant assez bien jusqu'à…
Pol: j'aurais voulut mettre la presentation de tous les perso sur cette page mais...
Rogue: /ricanne/ son copain les a effacé ainsi que nos dialogues qui allé avec et elle n'a pas le courage de les refaire. C'est tout benef pour moi ! /à l'air très soulagé/
Pol:ceux qui m'avait lu, ont une idée de pourquoi notre ami est aussi content que si je lui apprenais que Neville renonçait à la potion.
Rogue: je me demande pourquoi tout tes amis sont des cinglés.
Pol:(...)
Rogue: enfin à ce qui paraît qui se ressemble s'assemble
Pol: tu apprendras que j'assume completement le fait d'être folle ! mon chou
Rogue:O-o
James, Peter et Sirius étaient installaient prés du lac. Sirius assis contre un grand chêne, les jambes croisées et les bras derrière sa tête, dans une pose décontractée. Il regardait avec une moue amusée, James en face de lui, assis dans l'herbe jouer avec son vif d'or tandis que Peter en tailleur l'admirait.
Il poussait des petits cris à chaque fois que James attrapait la balle dorée avec une dextérité extraordinaire.
« - Pourquoi tu prends pas le poste d'attrapeur ? demanda Peter, les yeux humides (pour changer) »
« - Parce que j'adore marquer des But contre Rosier, répondit James avec un sourire carnassier. »
« - Et moi, continua Sirius, J'apprécie envoyer les cognards sur la poire de Macnair. James range ton vif, manquerait plus que Peter s'oublie et mouille son pantalon. »
James rangea son vif, tandis que Peter rigolait stupidement. (Oui je ne l'aime pas, mais en fait qui l'aime ?)
« - En fait, ce soir c'est la pleine Lune ! Comment ont fait pour notre nouveau camarade qui partage notre dortoir ? » questionna Sirius.
« - C'est simple, mon Siri ! On dit que nous avons une blague à préparer. Lex connaît notre réputation. »
« - Oui, mais il ne va pas vouloir venir avec nous ? »
« - Je pense qu'il comprendra si on refuse, Pety : Vu qu'on ne le fréquente pas depuis longtemps. De tout façon, je ne crois pas qu'il soit du genre à s'imposer. »
« - Je suis d'accord avec toi Cornedrue, mais on ne pourra pas se servir de cette excuse à chaque fois. Sinon il va trouver cela bizarre que comme par hasard, nous avons un besoin subit de faire une blague tous les soirs de pleine lune ! »
« - Ouais t'as raison. Il risquerait de croire qu'on est dans une secte et que nous faisons des sacrifices d'animaux toutes ces nuits ! »
« - Quelle imagination Cornedrue ! »
« - Merci mon bon vieux Patmol ! »
Les trois garçons ricanèrent. Puis le visage de James pris une expression sérieuse. Sirius eut un léger rictus en rencontrant son regard, et Peter se mit à se tortiller, l'air tout excité. (Non mais il va se calmer !)
« - Au sujet du projet « maraudeur», dit James. Faut qu'on soit bien préparé et que tout le monde soit frappé, professeurs comme élèves ! »
« - Oui, Président Cornedrue ! Mais avant de parler de cela ne faut il pas attendre le secrétaire Lunard ? »
« - En effet mon cher sous président Patmol ! Mais qu'en pense notre trésorier ? »
« - Que je plains le secrétaire Lunard ainsi que Lex d'être en ce moment en divination ! »
« - Heee ! Tu sors du contexte ! »
« - Ouais mais il a raison Cornedrue ! Il faut faire une prière pour nos deux compagnons, prisonniers dans le grenier du Poudlard avec l'équivalent féminin de Servollo ! »
Ils se mirent sur les genoux en cercle dans une position de prière, tête baissée, secoué de tremblement nerveux.
« - Oh dieu de la farce, protèges nos amis, qu'ils nous reviennent sain et sauf ! » Pouffa James
« - Sans bouton ! » Ricana Sirius
« - Ni tic nerveux », dit d'une voix aigue Queudver
« - Bon, on va arrêter là, parce que sincèrement mes amis, nous avons l'air stupide ».
« - Je suis d'accord Cornedrue ».
Ils éclatèrent de rire et se laissèrent tomber dans l'herbe. En début d'automne, l'air était doux et le vent frais, agréable. Soudain, un craquement d'une branche se fit entendre. Sirius et James se retournèrent en même temps et purent voir Rogue non loin de la faire des efforts pour paraître inaperçu.
« - C'est pas vrai qu'il pas retenue la leçon de l'année dernière ! » Grogna Sirius.
« - Sirius ! T'avais faillit le tuer ! Si je n'étais pas aller le chercher ... »
« - Ouais ouais ! En tout cas, il change pas ses habitudes de nous espionner et d'espérer pouvoir nous dénoncer et qu'on soit renvoyé, ce sale bâtard graisseux ! Mérite qu'on le punisse ! On y va ? »
« - Attendez, c'est pas la peine il est loin maintenant », dit Peter un peu déçu.
« - Oui calmos, le clebs. On ne va pas le rater ! Mais laissons le croire quelque temps qu'il nous a échappé. C'est plus marrant de l'avoir par surprises »
Les garçons échangèrent des regards lourd en sous-entendus, puis se levèrent pour aller en direction de leur salle commune.
Lex avec Remus, se rendaient en cours de divination. Ils montèrent l'échelle et Remus ouvrit la trappe. Il s'arrêta et se tourna vers son nouveau compagnon.
« - Lex, j'espère pour toi que tu n'as pas l'odorat fin et que tu as l'estomac solide », dit Remus avec un soupir à fendre l'âme.
Lex s'étonna des paroles de son amie mais lorsqu'il entra, elles prirent un sens. Les mauvaises odeurs étaient tellement puissantes qu'il en avait les larmes aux yeux. La salle était sombre, d'épais rideaux rongés par les mites cachaient la lumière. Des bougies violettes posées sur chaque petite table ronde étaient les seules sources de lumière. Le parquet du sol était caché par différent tapis , de genre variés , avec des symboles Égyptien , arabe , chinois et autre... Un léger voile gris recouvrait les murs. Tous semblaient s'unir pour empêcher la salle de respirer. Lex se demanda comment il n'allait pas suffoquer. Remus, habitué, se précipita vers une table près d'une fenêtre qu'il entrouvrit en poussant un peu le rideau rouge bordeaux.
« - Pourquoi tu ne l'ouvres pas en entier », se plaignit Lex.
« - Parce que la prof ne veut pas qu'on le fasse normalement. Cela ferait fuir l'au-delà, répondit il en roulant des yeux ».
Ils se laissèrent tomber sur les poufs, tandis que les élèves entrèrent. Tous se battaient pour les places à côté des fenêtres et être le plus loin possible du gros fauteuil sur l'estrade, près d'une cheminée où brûlait un feu mauve.
Amy et Lily vinrent arrivèrent à leur tour et vint s'installer près d'eux.
« - Chen ai marre ! cha pu trop ichi !! », Dit Amy en se bouchant le nez
« - C'est vrai ! C'est pire que d'habitude », geint Lily. « Ah en fait, juste comme ça, comment va Potter ? ».
Lex et Remus échangèrent un regard surpris.
« - Pourquoi ? »
« - Disons que j'étais énervée, vous savez pour sa dernière plaisanterie. Et je n'ai pas ménagé mes insultes. Je pense avoir exagéré un peu. Enfin, voilà. Heu ... Lupin, tu ne pourrais pas t'excuser pour moi ? »
« - Non. »
Surprise par la réponse rapide et ferme, Lily se tourna vers Lex.
« - Lex..? »
Lunard fronça ses sourcils. Depuis quand Lily l'appelait son nouveau compagnon par son prénom, alors qu'elle ne l'avait jamais fait pour eux après 6 ans dans la même classe. Quand s'était il rapprocher ? Avec ses trois autres amis, ils avaient en effet remarqué une complicité entre eux. Mais là, il lui parut clair qu'ils étaient beaucoup plus proche qu'il ne le croyait.
« - Non, désolé Lily. Mais si tu ne veux pas t'excuser en face, tu peux le faire implicitement »,dit malicieusement Lex
« - Comment ? »dit elle avec une lueur d'intérêt dans ses yeux vert.
Amy, la main sur son nez et sa bouche attrapa le bras de Lily et d'un mouvement de tête, indiqua l'entrée. Lex ouvrit des yeux rond: une petite vieille au visage extrêmement ridée, emmitouflée dans diverse châles de pas très bon goûts, se hissait avec difficulté à travers la trappe .
Le premier réflexe de Lex fut d'aller l'aider. Il se leva et, suivit des regards des autres, se dirigea vers son professeur. Mais lorsqu'il fut proche et qu'il lui prit la main, sa puanteur le pris par surprise et il faillit la lâcher. Une odeur de quelqu'un dont les mots savons, déodorant, douche, bain... devaient lui être étranger.
Mais c'est courageusement qu'il affirma sa prise et la hissa en dehors de la trappe. Elle lui fit un sourire reconnaissant dévoilant des dents noircis et jaune et Lex recula d'un pas. Il remarqua alors qu'elle avait un troisième oeil sur le front qui brillait d'une couleur mauve. Il écarquilla les siens devant ce phénomène. Le professeur frotta ses mains sur sa robe sale, jadis, sans doute violette ou rose.
« - Merci bébé lion. Tu peux retourner t'asseoir ».
Les différents élèves d'abord surpris, éclatèrent de rire au surnom que venait de lui donner le professeur. Lex retourna à sa place, l'air hagard. Il se laissa tomber sur son pouf.
« - Cette prof me surprendra toujours », dit Remus en souriant. « Elle appelait James comme cela aussi ».
« - Tu as été très courageux de la toucher », déclara Lily.
« - Cha chest bien vrai ! » Rajouta Amy
« - Vous avez vu son troisième oeil ? » demanda Lex.
Les 3 élèves pouffèrent, comme si Lex venait de sortir une bonne blague. Lex reposa son regard sur le professeur qui sortait des boules de cristal et les faisaient s'envoler vers les tables. L'oeil sur son front, toujours brillant d'une jolie couleur mauve se renferma peu à peu. Mais il semblait le seul témoin de cela et la question était pourquoi ?
Le cours se passa relativement bien. Le professeur ne prenait pas vraiment la matière au sérieux, elle regardait les élèves faire en souriant béatement et en répondant aux questions lorsqu'on lui en posait. Le cours aurait pu même être agréable, s'il ne régnait pas dans la salle un climat d'oppression dû au manque d'aération. On pouvait à peine respirer et cela devenait vite une torture.
Lily prédit à Lex qu'une fille habillée de rouge aller un jour lui mordre le nez. Et Remus annonça à Amy que quand la licorne deviendra rose, elle devrait Éviter les coins sombres. Lorsque la sonnerie retentit, Lex attendit que les autres soit partis et alla voir son professeur.
« - Mrs Factis ... »
« - Oui bébé lion ? »
« - Heu... je ne voudrez pas paraître impolie, mais avez vous un troisième oeil ? » Lex se sentit soudain un peu stupide.
Mrs Factis eut un léger sursaut, et tout d'un coup attrapa le bras de Lex qui de stupeur cogna son genou contre une table. La boule de cristal qui était dessus, tomba et se brisa. Lex voulut s'excuser, mais son coeur fit un bond quand il vit, le troisième oeil de la vieille femme devenue rouge. Sa poigne se referma avec une force étonnante sur le bras du jeune homme qui tenta de se dégager vainement. Elle récita alors comme une formule d'une voix rauque :
« - Le lion a la crinière noir... Toi qui est derrière l'ange salvateur... caché ... Contrôle ta colère et ta haine ! Ne te souilles pas dans le sang... Ta douleur... Ta souffrance ne cesseront pas avant longtemps... Mais ai foi en ceux qui t'aime... Car tu aimeras... La dualité cessera seulement quand ta vérité tu accepteras. Le lion et l'ange réunis, le griffon d'or renaîtra... »
L'oeil rouge repris sa lumière mauve d'avant puis se referma. Lex resta abasourdi un moment, tandis que le professeur le dévisageait intensément. Elle le lâcha enfin et comme si cela fut un déclic, Lex se réveilla de sa stupeur et se précipita vers la trappe. Alors qu'il descendait, il entendit.
« - Voyez j'avais raison ... il ne sait rien ... il est ignorant ... comme il va avoir mal le pauvre...oui, oui, oui...la pleine lune sera rouge ce soir ... ».
Lex courut comme un fou dans les couloir du château. Une fois qu'il pensa avoir mis assez de distance entre son professeur et lui, il appuya son dos contre le mur afin de reprendre son souffle. Un frisson lui parcourut l'échine quand il entendit une voix. Un voix sèche et grave pourtant familière qui dit dans un murmure
#déjà-vu#.
Il secoua sa tête et décida de ne pas y accorder de l'importance. En repensant à son professeur, il se convainquit qu'il venait d'assister, sans aucun doute, à un délire d'une vielle femme qui croyait être en possession du troisième oeil.
#Et sur son front ? C'était quoi ? Une pustule ?# Souffla l'étranger sarcastique en son esprit. Lex préféra l'ignorer.
Il se releva et parti d'un pas décidé. Il ne voulait pas accorder de l'importance à ce qui venait de lui arriver.
Narcissa se dirigeait à pas précipité vers sa classe de métamorphose. Elle était en retard, tout cela à cause de sa sadique de soeur. Celle-ci avait insisté pour lui raconter comment cela s'était passé avec sa dernière conquête. Ou plutôt victime. Narcissa ne se souvenait plus le nom du garçon tout ce qu'elle savait et qu'il était un Serdaigle. Quand Bellatrix le quitta, il avait d'après elle tentait de se tailler les veines. (Quelle réaction stupide!). Elle eut un haut-le-coeur en se souvenant le visage de sa soeur. On aurait dit qu'on venait de lui apprendre que noël avait été avancé !
Alors qu'elle arrivait à une intersection elle rentra en plein fouet dans quelqu'un. Elle fut projetée en arrière, et tomba sur son derrière. Assise sur le sol froid, elle leva des yeux furieux. ("C'est pas vrai ! Pas lui ").
Lex la regarda surpris et lui sourit.
« - Je suis désolé », dit il en lui tendant la main.
Elle l'ignora, attrapa son sac et se releva. Elle partit presque en courant sans se retourner. #Pourquoi fallait-il qu'elle tombe encore sur lui ! Cela devait être un genre de mauvais sort ! Il l'énervait avec ses airs de je-suis-super-gentil-et-tout-le-monde-maimeuh ! Erk ! Sûrement un gars avec une vie parfaite, qui aura une petite amie parfaite et un boulot parfait! Un peu comme Potter le chieur#.
Elle n'avait pas été étonnée quand on lui avait raconté la fugue de son cousin. Il criait toujours haut et fort qu'un jour il se casserait de cette famille de 'merde' et qu'il en avait rien à 'foutre' d'être un Black et cela depuis qu'il avait 7 ans ! De son côté, sa famille avait elle aussi son vilain petit canard. L'aînée des soeurs Blacks, s'étaient, Oh honte sur leur famille, mariée avec un moldu. Depuis, pour les Blacks elle n'existait plus. Parfois Narcissa se demandait si elle était heureuse. Le problème avec son cousin, c'est qu'étant un mâle, s'il venait lui à se marier avec une moldue, il lui donnerait le grand et noble nom des Blacks. En conséquence il faisait plus grincer des dents que sa pauvre soeur .
Elle avait pendant une période comme passion de faire des recherches sur les racines des familles anciennes des sorciers. La légende qu'elle préférait était sans contexte celle des Hélios.
La nymphe, les larmes aux yeux d'avoir retrouver sa robe, serra contre son coeur son amant et ses enfants et après les avoir bénit, s'envola dans les cieux. Les descendants sont aujourd'hui bénit entre tous car il porte la marque de l'amour en eux.
Narcissa, se demanda si ce Hélios faisait vraiment partit de cette famille. Car celle-ci n'avait pas non plus échappée au massacre du seigneur des ténèbres malgré son histoire. Ce qui prouvait à ses yeux l'inutilité du sentiment amoureux qui n'apportait rien, sauf la souffrance. L'étrangeté de l'affaire, ce qu'elle n'avait pas dit à Severus, c'est que normalement il ne devait pas en rester. Le seigneur des ténèbres les aurait tous massacré. La famille n'était pas déjà nombreuse, et leur refus obstiné de soutenir le Lord Noir, avait signé leur disparition. Donc, la question était d'où sortait Alexiel Hélios ? Narcissa avait l'impression que comme son aïeul , il était tombé du ciel .
Pendant qu'elle entra dans la classe, elle se fit la promesse intérieur de se renseigner un peu plus sur le jeune homme.
C'est à peine si elle suivit le cours de métamorphose. Toute ses pensées étaient tournée vers un visage souriant, des bras qui entourent sa taille, une senteur légèrement teintée de vanille... Que lui arrivait il ? Pourquoi la tête de Mr je-suis-le-nouveau-super-mysterieux la tourmentait?
Elle remarqua qu'en plus Mrs-je-ne-sais-pas-ce-que-le-mot-decoiffé-veut-dire lui lançait son regard je-vais-t'interroger-gare-a-toi-si-tu-n'as-pas-suivi ! Elle pesta intérieurement. Le professeur attendait visiblement quelque chose et elle ne savait pas quoi ! Elle jeta un coup d'oeil au tableau "du raton laveur a la bièraubeurre ". Non mais franchement à quoi cela pouvait-il bien servir ? De plus qu'est ce qui leur disait que les élèves n'allaient pas user à tort et à travers de cette formule. Quoique, il faudrait d'abord trouver des ratons laveur.
« - Miss Black, alors j'attend !
» Et zut, Mrs je-ne-ri-qu'une-fois-par-décenie lui avait bel et bien posée une question. Ou peut être attendait elle qu'elle transforme son raton. Ses yeux froids se posèrent sur l'animal qui tirait sur la corde qui le maintenait prisonnier. Un sourire fugace passa sur son beau visage quand elle imagina le beau Lucius dans cette position ! Cela serait bien fait pour sa gueule de je-suis-un-vilain-méchant-et-fier-de-l'être.
« - Miss Black, nous n'avons pas que cela à faire ! ».
Elle leva sa baguette, prononça la formule et un pichet de bièraubeurre pris la place du raton. Sous les yeux horrifiés des élèves, elle pris le pichet et le porta a ses lèvres. Elle en but quelques gorgées, comme si de rien n'était.
« - 5 point pour serpentard », dit le professeur McGonagall en repartant vers l'estrade sans partager l'effarement de ses élèves.
Narcissa échangea un sourire ironique avec Eve. Elle tourna son visage vers les Serdaigles et remarqua que l'un deux, très pâle, avaient les avant-bras bandés.
La pleine lune brillait d'une couleur rouge. Elle était la seule source de lumière dans le parc et se reflétait dans les eaux sombres du lac. Un léger vent frais soufflait sur les hautes herbes, et un grand arbre laissaient ses branches se lever au gré du vent. L'arbre possédait un aspect irréel, ses longues branches, tombant sur le sol caressant l'herbe et ses longues racinent se mouvaient comme animé d'une vie propre. Le saule semblait attendre l'arrivée de quelque chose ou quelqu'un. Alors que la Lune ronde brillait de mille feux, un drôle de cortège fit son apparition .
Un cerf majestueux suivit d'un immense chien noir et d'un rat se dirigeaient vers l'arbre. Le cerf fit un signe de tête au rat qui se précipita vers les racines de l'arbre les contourna, et alla appuyer sur une sorte de levier.
Les branches se séparèrent pour laisser apparaître un tunnel. Et alors surgit du passage un loup gris. Le qualificatif de loup n'était qu'un moyen pratique de le nommer. L'animal en question était bien plus grand et plus puissant qu'un loup ordinaire. Ses membres étaient plus long, son museau et sa queue plus petite. Les yeux jaunes dévisagèrent le petit groupe, il s'approcha et les renifla. Le lycanthrope, les reconnut et avec un hurlement les invita à le suivre alors qu'il s'élançait vers le lac.
Les flammes montaient haut dans le ciel étoilé, caressant la lune rouge. Tout le village brûlait...
Il avançait...
Le feu gigantesque éclairait les lieux comme en plein jour. Il y régnait un chaleur infernal et l'odeur de chair cramée et la fumée irritaient les poumons, piquaient les yeux.
Il marchait sur la grande rue, traversant la grande place du village.
Les hurlements de douleur, de peur se répercutaient en échos contre les ruines de désolation d'anciennes maisons. Des pleures d'enfants, des supplications, des injures, des cries d'animaux... se mélangeaient. Plusieurs cadavres gisaient à terre, rougissant de sang frais le chemin.
Il marchait lentement, se laissant aller à la contemplation du sinistre spectacle. Sentant l'odeur de mort.
Certains courraient en feu, tel des torches humaines. D'autres baignaient dans leur sang. Seul ceux en cape et cagoule noir circuler sans dommage et certain en s'amusant même.
Et lui, il avançait s'enfonçant davantage dans le paysage cauchemardesque.
Le cerf allonger dans la douce herbe, regardait d'un œil amusé le chien et le loup luttaient l'un contre l'autre en poussant des jappements joyeux. Le rat, sur une pierre sautait gaiement comme pour les encourager. Il jouait au sein de la nuit. Ils étaient les maîtres de lieux.
Unis pas le secret et le mensonge. Mais ce mensonge avait un goût doux et exaltait leur sens. Ils étaient victorieux de tous, aucun se douter de leurs escapades. Revenus à l'état sauvage, ensemble comme jamais. A la vie, à la mort.
La nuit était belle, la nuit était douce, la nuit était calme. o
Il entra dans la demeure, il entra sans se soucier du feu qui brûlait les murs. Il entra dans le salon où cinq des siens attendaient. Une femme nue, brûlée et en sang gisait par terre. Une petite fille, dormait du sommeil éternel près d'elle. L'autre, le père, le visage marqué de brûlure et de sang, les larmes striant ses joues le regardait la peur mêlée à la haine.
L'homme brun était brisé et il en éprouvait un intense et morbide satisfaction.
Un crie strident résonna de l'extérieur, sonnant comme un douce musique à ses oreilles, faisant frissonner l'autre. Ils parlèrent mais il n'entendit pas ce qui sortait de leur bouche. Ils parlaient mais à ses oreilles seul les hurlements, les bruits de dehors lui venaient. Une partie de lui se demanda alors ce qu'il faisait là. Soudain il put saisir un mot
« - Doloris »
Le brun se tordit de douleur sous ses tortures. Mais il demeura silencieux. Il augmenta le sortilège et enfin sa voix rejoignit celle des autres. Les autres riaient. Au bout de plusieurs heures de douleur et de souffrance pour sa victime, il se lassa. Et il le tua.
La nuit sera à l'image de la mort, la nuit sera dur, la nuit sera excitante.
Le lycanthrope se perdit dans la contemplation de la lune rouge. Il jeta sa tête en arrière et hurla. Le chien noir, le rejoignit. Et leur chant résonna dans le parc. Le cerf, pris le rat sur sa tête et couru vers la forêt interdite. Le loup et le chien les rattrapèrent rapidement et la joyeuse compagnie s'enfoncèrent dans la pénombre des arbres.
Ils ne leur restaient le temps que pour une dernière course au clair de lune. Après il faudrait ramener le loup à sa prison, redevenir civilisé. Redevenir des êtres humains. L'appel était pourtant parfois si fort, qu'il peinait à émerger de ses sensations à l'état brut. Mais pour l'instant, ils étaient Cornedrue, Patmol, Lunard et Queudver.
Il sortit de la demeure qui menaçait de s'écrouler d'une minute à l'autre. Il avait eu ce qu'il voulait encore une fois. Il avança pour une dernière balade dans le village bientôt réduit en cendre. Les hurlements avaient fait place à un silence oppressant. La fumée noire obscurcissait le ciel, cachant les étoiles. Pourtant la lune écarlate, comme-ci, elle aussi avait été souillé par le sang ressortait de toute sa splendeur. Elle se tenait au côté d'un crâne d'où sortait un serpent, brillant d'une lumière verte.
Les mangemorts se préparaient à partir. Ils allaient redevenir des sorciers de la société en attendant la prochaine nuit pour ôter ce costume. Car, la cagoule et la cape noir ne cachait pas leur identité mais dévoiler au contraire leur véritable nature.
Lui, leur seigneur murmura :
« - Ma marque des ténèbres se répand ».
Sa vengeance sera un jour complète. L'immortel repartit en riant accompagnée de ses mangemorts. Qui serait assez puissant ou fou pour un jour défier leur maître ?
Dans les dortoirs des garçons de Griffondor, dans la chambre des maraudeurs, un jeune homme se réveilla soudainement, le visage en sueur en poussant un léger cri dans un souffle. Quelques heures plutôt, il se roulait et débattait de douleur. Une douleur atroce contre un ennemi invisible.
Des images en désordre, des odeurs de morts, de sang et surtout de lui, l'homme serpent était venu dans son esprit. La cicatrice en forme d'éclair l'avait brûlé à un tel point qu'il avait cru un moment que son crâne était en train de se fendre en deux. Il se leva et ses jambes se dérobèrent sous ses pieds.
Allonger par terre, son corps secoué de tremblements incontrôlables, il chercha le sens des visions. Les cris de douleurs se répétèrent comme un bruit sourd et vibraient dans ses oreilles, pris de nausée, il se mit debout et réussit à aller dans la salle de bain. Ne pouvant plus se retenir, il vomit par dessus la cuvette. Un mal de crâne lancinant le martelait. Il passa sa tête sous un jet d'eau froide, et quand son esprit fut un peu moins embrouillé, il tenta de démêler ce qui lui était venus pendant son sommeil. Il ne pensait pas que c'était des souvenirs.
C'était autre chose, mais quoi ? Son premier réflexe fut d'aller voir Dumbledore, mais sa raison l'en empêcha. Qu'allait il pouvoir raconter au vieil homme ? Il ne pouvait venir à 4 heures du matin à cause d'un cauchemar ! Un rêve juste un simple rêve. Il retourna se coucher. Il se demanda soudainement comment cela se faisait qu'avec ses hurlements il n'avait réveillé personne.
#sortilège d'insonorisation#
Il sursauta. Quelqu'un lui avait parlé ? Mais qui ? Il avait déjà eu ce genre d'impression plusieurs fois depuis qu'il était ici. Et déjà plus tôt dans la journée la voix s'était adressé à lui. Il devenait complètement fou ou quoi ! Ou peut être il était déjà cinglé avant qu'il ne perde la mémoire.
Il se concentra et chercha le contact mais il ne perçut plus rien. Sortilège d'insonorisation? Oui, cela ne serait pas étonnant de la part de ses quatre nouveaux amis.
Malgré les terribles visions, il se sentit tellement épuisé qu'il se rendormit. Comme si c'était chose d'habituelle pour lui.
Il n'entendit pas quelques instants plus tard, trois de ses compagnons de chambres rejoindre leur lit. Ceux ci ne se doutait pas de ce qui les attendait pour le lendemain.
##fin de chapitre##
Bande annonce du chapitre suivant : "...j'ai le triste et dur devoir de vous annoncer que plusieurs attaque simultanées de mangemorts ont eu lieu cette nuit , il y a eu beaucoup de victimes et..."(...) Sirius pâlit "il est mort" murmura t'il...
Pol: j'embrasse tout le monde et je vous remerci pour vos encouragement. Maintenant que tout à été corrigé la suite ne devrait pas tarder. Mais je veux des reviews !!
Rogue: On dit je voudrais si cela est possible des reviews s'il vous plait ! petite insolante !!
Pol:c'est l'hopital qui se moque de la charité !!
