Attention : il y a eu un souci avec la chapitre précédent car les dernières lignes n'avaient pas été prises en comptes. J'ai essayé plusieurs fois de corriger le problème mais allez savoir pourquoi, le site ne veut pas de la fin de mon chapitre donc, je vous le met ici :

« Qu'ils sont mignons. Vincent ne vous a donc pas appris à être intelligent à ce que je vois. Vous croyez vraiment avoir la moindre chance contre moi ? Vous êtes peut être puissants pour votre âge, mais vous n'êtes vraiment pas futé. »

On voyait dans le regard des deux garçons qu'ils ne savaient pas quoi faire et qu'ils perdaient espoir en l'issue de la bataille.

« Je vois que vous commencez à comprendre. Maintenant, vous allez me suivre bien gentiment ou je vous y forcerai. On était venu chercher les deux filles, et on a les deux garçons. C'est aussi bien. »

« Les deus filles ? Pourquoi voulez vous ces deux filles ? »

« Parce qu'elles ont un grand pouvoir, comme vous, et que mon pote Voldemort veut les faire rejoindre sa cause. En plus, elles plaisent beaucoup aux garçons que nous avons déjà, si vous voyez ce que je veux dire... » ricana le sorcier

« Je ne vous permettrai jamais de toucher à ces filles, JAMAIS ! » hurla Harry

Les auras des deux garçons se mirent à grandir dans le ciel qui commençait à se remplir de nuages, bientôt suivi par des éclairs. Le sorcier commença à prendre un air inquiet et se décida lui aussi. Son aura se mit à grandir à une vitesse incroyable et des dizaines d'éclairs à la fois éclatèrent en même temps. Enfin, il se décida :

« Terrassum » dit il en pointant sa baguette vers les deux garçons.

Une énorme boule d'énergie apparut au bout de sa baguette puis fut lancée sur Harry et Drago. La boule allait toucher les deux élèves quand une chose incroyable se passa : ils ouvrirent les yeux en même temps mais leurs yeux étaient noirs. Et la boule s'arrêta net devant eux. La boule resta ainsi plusieurs secondes et le sorcier prit un air ébahis devant un tel spectacle.

Puis, en même temps, les élèves crièrent : « returnus » et la boule de feu repartit dans le sens inverse vers le sorcier. Celui-ci lança un nouveau « terrassum » et sa boule alla s'écraser contre l'autre boule. L'effet fut immédiat : une énorme explosion repoussa les combattants très loin et une partie de la forêt fut rasée en quelques secondes.

Les deux élèves n'eurent pas de mal à se remettre de cette explosion mais le sorcier non plus.

« Alors là, je dois dire bravo ! Je ne pensais pas que vous étiez si forts. »

« Ca devient une habitude de nous dire ça. Pourtant, rien qu'à me regarder, on comprend tout de suite. » plaisanta Malefoy un instant

« Mais si vous croyez que vous allez me battre... »

« Et patati et patata... » recommença Drago

Le sorcier commença à joindre ses mains comme lors d'une prière et son aura se remit à grandir, plus vite encore que lors de la dernière attaque. Puis, il lança à nouveau un sort de terrassum.

Les deux élèves refirent la même chose que précédemment mais cette fois-ci, la boule ne s'arrêta pas et les frappa de plein fouet. Ils furent projetés plusieurs dizaines de mètres en arrière. Harry avait l'impression que tous ses os étaient cassés, il ne pouvait plus bouger un doigt sans une atroce douleur. Il regarda Malefoy et vit qu'il était inconscient.

Harry sentait que lui aussi plongeait dans l'inconscience. Ses forces le quittait peu à peu.

« Il faut que je résiste, sinon c'est la fin. » pensait Harry.

Mais il n'y parvint pas.

FIN du chapitre 8

Réponses aux reviews :

Dadmax : bien vu, ça risque d'être un sacré bordel

Line Weasley : non, je n'écris pas tout le temps deux chapitres d'un coup. Ca dépend l'inspiration. Je vois que tu aimes bien Malefoy... Moi aussi

Amy Evans : Merci beaucoup et voici d'autres révélations

Chapitre 9 : la guerre est totale

Harry se réveilla difficilement. Il mit un certain temps pour arriver à complètement ouvrir les yeux. Quand il y arriva enfin, tout était sombre autour de lui. Il ne parvenait pas à déterminer l'endroit où il se trouvait. Il essaya de bouger mais cela déclencha de fulgurantes douleurs le long de tout son corps.

Harry commençait à paniquer. Il voulait savoir où il était et pourquoi il avait si mal.

« Calmes toi Potter, on est à Poudlard. »

Harry sursauta en entendant cette voix lui parler mais reconnut très vite la voix de Malefoy.

« Pourquoi c'est si sombre ? Où sommes nous ? » demanda Harry

« Décidemment, t'es vraiment plus bête que tes chaussettes. C'est sombre parce qu'il fait nuit, imbécile. On est à l'infirmerie. »

« Qu'est ce qu'il s'est passé ? On était en train de combattre je sais plus comment il s'appelle et maintenant, on est ici. Dis moi ce qui s'est passé !!! »

« Je te le dirai quand je le saurai. Mais si tu veux, je peux te raconter des histoires de contes de fées, j'en connais certaines qui sont pas mal du tout. »

« Arrêtes de te foutre de ma gueule où je vais me lever et tu vas morfler »

« Ouille ouille ouille, j'ai trop peur, au secours... T'as cru que j'étais poil de carotte ? Je ne suis pas un déchet, moi. »

« Et n'insultes pas Ron !!! Tu ferais moins le fier s'il était devant toi. »

« Quoi ? Tu crois que j'ai peur de ce rongeur ? Tu es vraiment stupide Potter... »

« Cette fois, c'en est trop ! »

Harry essaya de se relever mais n'arriva même pas à bouger le moindre de ses membres.

« Alors Potter, on est rouillé ? » ricana Malefoy

« Tu verras quand je pourrai me lever, je vais te faire ravaler ta fierté. »

Un bruit de porte se fit entendre et des pas se rapprochèrent des lits des deux élèves.

« A peine réveillé que vous vous voulez réveiller toute l'école à ce que je vois. Vous allez vous taire et vous reposez. Vous êtes encore très faible. » s'énerva madame Pomfresh.

« Potter a toujours été faible, ça ne lui change pas beaucoup. »

« Ca suffit monsieur Malefoy. Dormez un point c'est tout !!! »

L'infirmière repartit et les deux élèves se remirent à dormir en se jurant que chacun paierait bientôt.

« Harry. Harry. Réveilles toi. C'est moi, Ron. »

« Tu veux qu'il meure de dégoût ? Voir ta tête au réveil, ça peut choquer beaucoup de monde Weasley. » plaisanta Malefoy

« Toi, la langue de serpent, tu la fermes. »

« Moi, ce que j'en dis, c'était pour le bien de ton copain. Je voulais rendre service, c'est tout. » dit Malefoy d'un ton faussement gentil.

Harry se réveilla assez facilement et eu l'agréable surprise de constater que si son corps était encore douloureux, il pouvait néanmoins bouger.

« Ron, expliques moi ce qui s'est passé. »

« Je ne sais pas trop. Il n'y a que des rumeurs. Mais le professeur Monet est avec madame Pomfresh, je vais l'appeler. »

« Monet est revenu ? »

« Oui, et il vous a même sauvé la vie. Mais ne bouges surtout pas, je vais le chercher. »

« C'est sûr que dans son état, il pourrait faire un match de quidditch. » plaisanta Drago

« Ta gueule Malefoy !!! » cria Ron, excédé par les remarques de Drago.

Puis Ron partit chercher Monet et ils revinrent tous les deux.

« Salut les enfants. Ca va mieux ? »

« Racontez nous ce qui s'est passé professeur. »

« Bon, alors allons y. Quand je suis revenu à Poudlard, j'ai senti plusieurs grosses énergies à quelques kilomètres du château. Donc, j'y suis allé et ce que j'y ai vu m'a surpris, et le mot est faible. J'ai tout de suite reconnu Wagner mais par contre, j'ai eu du mal à en croire mes yeux quand j'ai vu qu'il combattait contre vos amies Ginny et Hermione. »

« Ginny et Hermione ? Comment... » mais Harry fut interrompu par Monet

« Laissez moi finir s'il vous plait. Il y avait donc Ginny et Hermione qui lançaient des attaques contre Wagner et celui-ci les rendaient. Je vous ai vus allongés sur le sol inconscients et je dois dire que j'étais assez surpris : je pensais que je voyais mal car c'est plutôt vos copines qui auraient dû être inconscientes et vous en train de les défendre. Mais le plus surprenant, c'est qu'elles tenaient tête contre Wagner. Bien sûr, il était loin du sommet de sa puissance, mais quand même... Finalement, je suis intervenu et devant moi plus les deux filles, il a préféré fuir. Mais en jurant que ce n'était que le début. Et je veux bien le croire. »

« Mais alors, Hermione et Ginny sont les deux autres élèves que Voldemort recherche ?! »

« C'est exact. Nous attendions la confirmation de nos soupçons. Maintenant, nous en sommes certain. Et elle sont vraiment très puissante. Je comprend pourquoi Voldemort les veut absolument. Ce que je n'explique pas, c'est comment Voldemort le savait alors que nous même ne le savions pas. »

Puis, il reprit :

« Elles vous attendent dans la tour des Gryffondors. J'ai obtenu de madame Pomfresh que vous puissiez sortir de l'infirmerie. Pensez à la remercier car elle a fait un boulot extraordinaire. »

Les deux élèves se levèrent difficilement puis quittèrent l'infirmerie en remerciant l'infirmière. Ils marchaient dans le château, Harry avec un air de satisfaction à l'idée de retrouver Ginny, tandis que Drago avait l'air soucieux, ce que remarqua Harry :

« T'es pas content ? On est vivants et on va retrouver nos copines. Pourquoi tu fais la gueule ? »

« Je sais pas, j'ai un sentiment de malaise. Je trouve que tout va trop vite, je sais pas comment l'expliquer. »

« T'as vraiment l'esprit tordu Malefoy. »

Et ils continuèrent leur marche en silence. Quand ils entrèrent dans la salle commune des Gryffondors, Hermione et Ginny leur sauta au coup en pleurant et en remerciant le ciel.

« Vous êtes seules ici ? Où sont les autres élèves ? » demanda Drago

« Ils sont en cours. Mais on s'en fout maintenant que vous êtes revenus. »

Puis, Ginny prit Harry par la main et ils montèrent dans une chambre, bientôt suivi d'Hermione et de Drago qui allèrent dans une autre chambre. Drago était fatigué et s'allongea sur l'un des lits dans l'espoir de se reposer mais Hermione ne le laissa pas en paix, au contraire. Elle se mit à califourchon sur Drago et commença à l'embrasser. Elle enleva ses vêtements et enleva ceux de Malefoy puis commença à l'embrasser sur le torse tout en descendant en direction de son sexe. Quand enfin, elle prit le sexe de Drago et le mit dans sa bouche, celui-ci se leva brusquement avec une colère énorme :

« Qui es tu ? Réponds moi ou je te tue pétasse !!! »

Harry, qui lui aussi profitait de ce moment d'intimité, entendit de la chambre Malefoy crier et se rhabilla, malgré les protestations de Ginny. Il sortit en courant de sa chambre et entra dans celle où Drago se trouvait.

« Mais qu'est ce qui t'arrive ? T'es malade ? Je t'ai déjà dit que si tu touchait à Hermione, je te tuais !!! »

« Sauf que cette pute n'est pas Hermione, petit malin. Hermione m'a toujours dit qu'elle me sucerait le jour où on serait marié car c'était la plus grande preuve d'amour que je pouvais lui donner. Mais là, elle m'a sucé comme si elle en avait l'habitude, sans même que j'ai à la supplier. » déclara avec rage Malefoy

Harry ne savait pas trop quoi penser de ce que Malefoy venait de dire. Ginny arriva et commença à dire à Harry que son ami était devenu fou et qu'il ne fallait pas l'écouter. Harry regardait les yeux de Malefoy et ne les quittaient plus. Et l'impensable arriva : Harry prit Ginny par le cou et commença à l'étrangler.

« Drago a beaucoup de défauts, mais si il dit que ce n'est pas Hermione, je lui fais confiance. » déclara Harry en serrant de plus en plus le cou de Ginny.

Alors qu'elle commençait à suffoquer dangereusement, tout ce qui les entourait commença à devenir floue et un nouveau décor apparut. Ginny était parvenu à se retirer de l'emprise de Harry tellement il était surpris de ce qui se passait. Les deux filles se métamorphosèrent en deux autres filles d'une laideur assez incroyable, et d'autres personnes se matérialisèrent devant les deux compagnons. La surprise fut de taille : Plusieurs dizaines de mangemorts étaient présents, dont le père de Drago, ainsi que Voldemort.

« Et bien Lucius, on dirait que ton fils est bien plus malin que toi » ricana Voldemort.

« Qu'est ce qu'il se passe ? Pourquoi on est là ? » demanda Harry avec panique

« C'est évident Potter. On nous a ramené dans leur cachette et ils commencent leur lavage de cerveau. Et ils voulaient nous faire changer grâce à des fausses Hermione et Ginny car ce sont les personnes qui comptent le plus pour nous. » déclara calmement Drago.

« Mais ce n'est pas grave. Nous allons utiliser un sort d'amnésie puis vous rééduquer. Ce sera peut être long, mais ça en vaut le coup. » dit Voldemort.

Il se mit devant les deux jeunes garçons et leva sa baguette. Mais alors qu' il allait prononcer le sort, l'un des murs explosa. Sous la violence du choc, tout le monde fut projeté en arrière et Harry mit plusieurs secondes à s'en remettre. Ce qu'il vit parut irréel : six sorciers habillés en sorcier de l'ordre du zodiaque étaient alignés et leurs auras se confondaient totalement. Ce spectacle était superbe et subjuguait tous les mangemorts, y compris Voldemort. Le plus âgé des six sorciers prit la parole :

« Messieurs, nous allons venir parmi vous récupérer les deux enfants que vous avez enlevé. Toute opposition à notre action sera considéré comme une grave entrave et sera alors réprimé en conséquence. »

L'un des sorcier s'avança alors vers Harry et Drago, puis les invita à les suivre. Harry et Drago le suivit mais Voldemort essaya de s'interposer. Mais avant qu'il puisse faire plus d'un pas, le sorcier Wagner l'en empêcha en lui disant qu'ils n'avaient pas la moindre chance.

Les deux élèves arrivèrent à hauteur des autres sorciers et remarquèrent que le sorcier qui était venu les chercher était une femme. Celle-ci emmena les deux garçons vers l'un des sorcier qui n'était autre que le professeur Monet. Puis, la voix de Wagner intervint :

« Tu n'aurais pas dû faire ça Vincent. L'histoire aurait pu se régler entre nous deux, mais au lieu de cela, tu as préféré faire participer l'ordre dans une guerre qui ne la concernait pas. Tu ne te rend pas compte des conséquences et des répercussions que ça va entraîner. »

Monet allait répondre mais le vieux sorcier l'en empêcha puis parla :

« Honte à toi Wagner. La mission de Vincent était de protéger ces enfants, ce qui est une cause noble. Jamais Vincent ne serait intervenu dans cette guerre qui ne nous concerne pas sauf si l'on s'attaquait à ces enfants ou à lui-même. C'est ton intervention qui fait que l'ordre est maintenant mêlé à cette stupide guerre. »

« Non Marius, Vincent vous a emmené ici pour récupérer ces garçons, c'est donc de sa faute. »

« Voyons Wagner, tu connais nos lois : toute mission crapuleuse donne droit aux sorciers de l'ordre de contrer un ou plusieurs de ses sorciers. Ta mission étant contraire à toute noblesse et toute moralité, nous avons agi. Tu savais parfaitement qu'en agissant ainsi, tu t'exposais à nos lois. »

« Le seul problème, c'est que je ne suis pas seul dans cette histoire. Le reste de l'ordre attend mon appel pour intervenir dans ce que nous croyons être une mission noble, et je peux vous dire que votre implication va précipiter leur participation. Vous allez l'avoir votre guerre Marius, je vous le promet. »

« Ce qui doit advenir adviendra mon ami. » conclut le vieux sorcier.

Monet prit alors les deux garçons par la main et tous les sorciers transplanèrent jusqu'au château de Poudlard, ce qui eu l'effet d'étonner Harry qui pensait qu'on ne pouvait pas transplaner dans Poudlard. Il posa la question à son professeur qui lui répondit que les sorciers avec un certain pouvoir le pouvait.

Dumbledore les accueillirent avec l'air soulagé à la vue des deux élèves vivants. Il leur ordonna de rejoindre la tour des Gryffondors et s'en alla avec les sorciers.

Harry et Drago se mirent en marche vers la tour. Au bout d'un moment, Harry s'arrêta et demanda à Malefoy si cette fois ci, tout lui semblait normal à Poudlard. Malefoy souria et rassura Harry. Mais à peine avaient ils recommencés leur marche que Malefoy s'arrêta et posa une question :

« Pourquoi tu m'as fait confiance tout à l'heure quand je t'ai dit que ce n'était pas Hermione ? »

« Parce que malgré tes airs de macho, tu aimes plus que tout Hermione et si tu étais prêt à tuer cette fille, c'est que tu en étais certain. Tu n'aurais jamais pris le moindre risque. »

Drago acquiesca et reprit sa marche quand Harry rajouta :

« Et parce qu'avec toutes les galères qu'on commence à cumuler, je commence à avoir une confiance aveugle en toi. »

Harry avait dit ça avec une voix étouffée, et était étonné d'avoir dit ça. Drago lui fit un clin d'œil en signe d'approbation et ils se remirent à marcher.

« Mais ne crois pas qu'on soit amis Potter » lui rappela Malefoy.

« T'inquiètes pas pour ça » lui répondit Harry.

Quand ils arrivèrent, ils furent surpris de voir que Monet les attendait devant le portrait de la grosse dame.

« Qu'est ce que vous faîtes ici » demanda Harry

« Je vous attendais et j'en ai profité pour discuter avec cette charmante dame » répondit Monet en inclinant la tête vers la grosse dame qui se mit à rougir comme une tomate.

« Venez, allons plus loin. Au revoir madame, j'ai passé un très agréable moment en votre compagnie. »

« Revenez quand vous voulez cher ami, je ne bouge pas d'ici » répondit elle alors qu'on aurait dit que son visage allait exploser.

Ils s'éloignèrent puis Monet leur raconta tout depuis le début.

« Comme vous avez dû le deviner, Hermione et Ginny sont les deux élèves dont nous attendions la confirmation. Quand je suis revenu à Poudlard, on m'a dit que miss Granger et miss Weasley s'étaient fait attaquer et je suis allé les voir. Elles m'ont tout raconté et je suis parti vous chercher. Je ne vous ai pas trouvé mais quand j'ai vu qu'une grosse partie de la forêt avait été rasé, j'ai compris que vous aviez perdu le combat. Alors, j'ai appelé les autres sorciers de l'ordre et ils sont venus. Je leur ai expliqué la situation et nous sommes allé vous cherché. Si vous avez des questions, allez y, je vous écoute. »

« Qui étaient les deux élèves qui ont attaqué les filles ? »

« Ce sont deux des jeunes sorciers enlevés par Voldemort et ils venaient chercher vos amies parce qu'il leur était facile de se faire passer pour des élèves de l'école. »

« Pourquoi quand ils ont entendu mon nom, ils se sont enfuis ? » demanda Drago

« Je pense que c'est parce que vous deux plus vos deux amies, ça faisait beaucoup pour eux. Ils savaient qu'un Malefoy était parmi les élèves que Voldemort recherchait et même si vos amies n'ont pas réussie à se défendre, leurs pouvoirs pouvaient apparaître à tout moment. Et là, ils savaient qu'ils perdraient. »

« Comment nous avez vous trouvé ? »

« La femme qui est venu vous chercher dans la maison s'appelle Anaïs Verlan. C'est la plus forte de tout l'ordre et son pouvoir est telle qu'elle a pu sentir vos énergies très précisément. Dieu merci, elle est dans notre camp, ce qui n'est hélas pas le cas des six autres sorciers. »

« Je pensais que c'était le plus vieux qui était le plus puissant puisque tout le monde lui obéit ».

« Non. Si tout le monde lui obéit, c'est parce que c'est le plus ancien et le plus sage d'entre nous. »

« Une dernière chose professeur. Wagner parlait de terribles répercussions. A quoi devons nous nous attendre ? »

Monet soupira puis répondit :

« Au chaos. »