Disclaimer : Je désire spécifier que je n'ai pas écrit cette histoire.
L'auteure réelle de cette histoire est Honolulu. J'ai décidé de traduire
cette histoire de l'anglais parce que je suis littéralement tombée en amour
avec ! La satanique et Sauronniale Josianne qui vous conseille de lire ce
qui suit. =D
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Note de l'auteure (Honlulu) : C'est ma première fic sur le seigneur des anneaux alors soyez gentils s'il-vous plaît. Veuillez s'il-vous plaît lire et commenter. Les commentaires me motivent toujours à updater plus rapidement. Alors, commentez.
La vie est nulle Par Dreamweaver
Bonjour. Mon nom est Maria Lanosa. Je suis danseuse de ballet. enfin. j'étais. Il y a deux ans de cela, mes parents et moi avons eu un accident. Un accident de voiture pour être plus spécifique. Il faisait noir et nous retournions à la maison, je venais de terminer mon récital. Mon père conduisait. La lumière était devenue verte et nous étions en train de traverser l'intersection quand un chauffard a décidé de brûler un feu rouge. Son auto nous a heurtés de plein fouet.
Les médecins m'ont dit que mon père avait été tué sur le coup. Ma mère. Disons simplement qu'elle ne se réveillera pas bientôt. Les médecins ne croyaient pas que j'allais passer au travers, mais je leur ai prouvé le contraire. Ça n'était pas facile mais je n'allais pas démontrer de faiblesse.
À cause de l'accident, ça a pris beaucoup de temps à mes jambes pour guérir. J'allais à une école de performance. Mots clés : allais, étais. À mon école, tes pieds veulent tout dire. J'allais à cette école grâce à une bourse d'étude mais quand ils ont découverts que ça allait prendre pas mal de temps à mes jambes pour guérir, ils m'ont laissé tomber. J'aimais aller à cette école, o combien je souhaiterais pouvoir y retourner mais sans la bourse il m'est impossible de m'offrir les frais de scolarité.
Je vais maintenant à une école secondaire publique. Je suis des cours de chant puisque ma voix n'est pas si mal. J'ai décidé de prendre J.N.O.T.C. (Junior Naval Officers Training Corps) pour pouvoir me faire des muscles grâce à l'entraînement physique. Je fais également du kickboxing après l'école. Je danse encore mais en privé. Mes jambes doivent se réhabituer au poids et à la tension que je mets dessus. Étant donné que je n'ai pas de famille, j'ai consulté un avocat et je me suis fait émanciper. J'habite dans un appartement merdique parce qu'avec le peu d'argent que je gagne je dois payer des factures médicales. Ma vie maintenant. elle est nulle.
Première partie :
Maria marchait vers l'entrepôt où elle irait se pratiquer à danser par elle-même. À l'intérieur il y avait un plancher de bois et les murs étaient couverts par des miroirs. Maria plaça ses cheveux en un chignon. Elle enleva son sac à dos et prit ses escarpins ainsi que ses vêtements de danse. Maria enfila se camisole en Prima Cotton, son justaucorps avec du velours Burgundy et des collants blancs. Elle chaussa ses souliers et les attacha autour de ses chevilles. Elle s'étira, avant d'exécuter une position.
Maria étendit sa jambe droite derrière elle, levant en même temps sa main gauche dans les airs. Une fois dans cette position elle se mit sur la pointe des pieds, son visage transpirant, elle pouvait déjà sentir la tension sur ses orteils et ses jambes. Incapable de tenir plus longtemps, elle redescendit sa jambe et répartit à nouveau son poids sur les deux. Maria étira ses jambes une fois de plus.
Maria prit le radio qu'elle avait apporté avec elle et y mit un disque compact. Elle allait danser sur une chanson intitulée Exaltation par James Sweringen. Plaçant son corps dans une position elle attendit que la musique débute, lui signalant de commencer. Comme la musique débutait, elle souleva son pied droit lentement dans les airs et alla « en pointe ».
En même temps qu'elle dansait Maria regarderait dans les miroirs pour s'examiner. Quand la musique s'accélèrerait Maria exécuterait des mouvements plus difficiles. Ainsi elle fit un tour jeté (bond en tournant), ne faisant pas attention à ses pieds, Maria atterrit mal et s'effondra sur le sol. 'Maudit !' pensa-t-elle. Elle se releva en frottant son derrière.
Maria arrêta la musique et fit face au miroir. Elle plaça son corps en quatre positions et effectua un tendue. D'à partir de cela elle fit quelques bonds. Elle exécuta en premier un tour jeté, puis un grand jeté et un saut de chat. Elle répéta ce procédé jusqu'à ce qu'elle soit capable de faire chaque mouvement sans trébucher ou tomber. Maria se reposa un peu, prenant une serviette elle essuya sa sueur et but de l'eau. Après cinq minutes, Maria se plaça dans la position appropriée pour faire des fouettés. S'assurant que ses pieds étaient bien placés elle se mit en pointe et commença à faire en faire. Elle était capable d'en faire 5 en suite et s'apprêtait à en faire un sixième quand elle fit l'erreur de quitter trop tôt son support ce qui la fit chuter au sol.
'Fuck !' Maria ferma les yeux, frustrée. Elle prit de profondes inspirations, essayant de se calmer. Maria ouvrit les yeux et regarda son reflet. Des images commencèrent à défiler dans sa tête. Une image d'elle lorsqu'elle avait commencé ses cours de ballet, quand elle avait appris à faire des bonds, son premier récital, les encouragements de ses parents et le récital avant l'accident. Au lieu de voir son reflet dans la glace Maria se vit à l'hôpital reposant sur une civière avec des coupures, des meurtrissures et du sang séché recouvrant sa peau. Des tubes dans ses bras et sa bouche alors qu'elle reposait, inconsciente. Des médecins entourant son corps et tentant de la faire revivre.
Maria s'approcha du miroir, ses yeux se mouillant de larmes et s'agrandissant comme elle regardait l'image. Elle mis sa paume à plat contre le verre. Marra frappa le verre.
« Réveilles-toi. » Soupira-t-elle. Elle frappa de nouveau. « Réveilles-toi, réveilles-toi !!! » cria-t-elle à son reflet, ses deux mains frappant contre le miroir. « Réveilles-toi nom de Dieu !!! » Maria continua de frapper et de crier jusqu'à ce que la glace se fendille. Sa main droite frappa la partie abîmée du miroir, la surface tranchante coupant sa peau. Maria cria et la sera dans son autre main, contre elle. Regardant sa main, elle vit qu'elle avait commencé à saigner. Elle leva les yeux de sa blessure et vit que l'image d'elle à l'hôpital avait été remplacée par sa réflexion.
Maria retourna vers sons sac où elle transportait des pansements. Elle soigna sa main et se changea de nouveau, avec ses vêtements normaux. Elle prit son sac et son radio et quitta l'entrepôt, partant en direction de l'hôpital. Chaque jour elle allait à l'hôpital voir comment allait sa mère.
Maria entra dans la chambre d'hôpital et vit une infirmière qui regardait le dossier (bilan médical) de sa mère. « Bonjour Maria » dit l'infirmière. « Hey. Des changements ? » La salua-t-elle.
« Non, désolée. Vas-tu rester longtemps aujourd'hui ? »
« Non, je dois aller travailler. Je suis seulement passée pour voir comment elle allait. »
L'infirmière lui sourit et quitta la chambre. Maria laissa tomber son sac sur une chaise et s'approcha du lit. Maria prit les mains de sa mère dans les siennes et commença à lui raconter sa journée.
« Bonjour maman. Aujourd'hui, tout s'est bien déroulé. L'école me fait chier comme toujours. Je ne me suis pas battue aujourd'hui même si j'ai vraiment eu envie de frapper Felicia. J'ai pratiqué de nouveau dans l'entrepôt. Je m'améliore un peu à chaque fois. » Soupira-t-elle.
Une larme coula sur la joue de Maria. « Réveilles-toi bientôt. » Elle embrassa sa mère et remit sa main le long de son corps. Maria agrippa son sac et regarda sa mère une dernière fois avant de s'en aller travailler.
Maria entra dans un restaurant appelé Greasy Spoons (cuillères grasses). Elle se dirigea vers les toilettes où elle enfila son uniforme. 5 heures plus tard, elle s'assit sur une banquette avec les pieds sur la table, comptant son pourboire. Après avoir terminé, Maria retourna aux toilettes où elle se changea de nouveau. Elle était prête à quitter quand son patron l'appela. « Maria ! » cria-t-il.
« Quoi ? »
« Tu as reçu un coup de téléphone. »
« De qui ? »
« Comme si je le savais. Viens le prendre. »
Le visage de Maria prit une expression confuse et elle alla répondre au téléphone. « Allo ? »
« Bonjour, est-ce que je parle à Maria Lanosa ? » Questionna la voix au téléphone.
« Oui c'est elle. Qui le demande ? »
« Je m'appelle Marcus Reeves. Je travaille à l'hôpital St.Mary. » Maria serra le téléphone, effrayée de ce qu'il allait lui dire. « Mon appel concerne votre mère. » Elle serra le combiné davantage. « Je suis désolé de vous dire cela mais votre mère est - - - - -. » Le monde commença à ralentir comme il prononçait les derniers mots.
Elle laissa tomber le combiné et, avec son sac d'école sur le dos, quitta le restaurant en courant. Des larmes coulaient sur son visage tandis qu'elle courait vers l'hôpital. Au lieu de prendre l'ascenseur, Maria couru les 6 paliers d'escaliers et ne s'arrêta pas avant d'avoir atteint la porte de chambre de sa mère. Comme elle se tenait dans le cadre de porte, sa poitrine se soulevant pour de l'air, l'infirmière enlevait les aiguilles et le moniteur cardiaque.
« Allez-vous en. » L'infirmière se retourna pour lui faire face. « Allez-vous en. » L'infirmière obéit et quitta la pièce. Maria ferma la porte et marcha jusqu'au lit. Ses mains tremblantes, elle toucha le visage de sa mère. Elle la toucha et retira immédiatement ses mains.
'Tu es si froide.' Pensa-t-elle. Maria tira une chaise jusqu'au lit et prit les mains de sa mère. Elle ne savait depuis combien de temps elle était assise à tenir ses mains quand le médecin toucha son épaule.
« Maria, il est temps de la laisser. » Lui dit-il. Maria se leva et regarda le visage de sa mère. Elle embrassa sa tempe et relâcha doucement sa prise sur ses mains et les plaça sur son lit. Le docteur la guida hors de la chambre tandis que l'infirmière couvrait le corps.
« Maria, si jamais vous avez besoin d'en parler - - -. » Avant qu'il n'ait seulement pu terminer sa phrase Maria se libéra de sa prise et partit.
Maria ne savait pas où ses pieds la conduisait, mais elle s'en contrefichait. Elle se retrouva finalement à l'entrepôt et regarda son reflet dans une des glaces. Elle fut saisie par son apparence : ses yeux étaient injectés de sang et son visage pâle. Elle s'adossa au miroir, se laissa glisser jusqu'au sol et commença à pleurer, simplement pleurer. Aucun bruit, seulement des larmes silencieuses. Maria pleura jusqu'à ce qu'il n'y ait plus assez d'eau dans son corps pour produire des larmes. Elle sortit une photo sur laquelle elle et ses parents souriaient à la camera. L'épuisement gagna lentement son corps et elle s'endormit.
Une aveuglante lumière blanche submergea le corps de Maria. Comme la lumière s'ajustait Maria n'était plus dans l'entrepôt. Elle ouvrit les yeux et sentit que quelque chose rampait sur son ventre. Elle baissa les yeux pour s'apercevoir que c'était une araignée. « Ahh ! » Maria sauta sur ses pieds et se débarrassa de la bestiole du revers de la main. Après s'être assurée que rien d'autre de dégoûtant ne rampât sur elle ou son sac à dos elle prit conscience de l'environnement dans lequel elle se trouvait.
Maria regarda autour d'elle pour se rendre compte qu'elle n'était plus dans l'entrepôt mais dans une.forêt ? « Qu'est-ce que. ? » Maria regardait autour d'elle, complètement perdue.
« Allo ? Y a-t-il quelqu'un ? » Appela- t- elle, pour avoir en guise de réponse le silence le plus complet. Elle fourra la photo dans sa poche et décida d'explorer les alentours. Elle se promenait, entourée d'arbres et des branches et souhaitait qu'elle rencontrerait bientôt quelqu'un.
« Comment est-ce que je suis arrivée ici ? » Se murmura-t-elle. Un son provenant de derrière elle la fit s'arrêter et se retourner.
« Allo ? Y a-t-il quelqu'un ? » Appela-t-elle. Rien. Supposant que ça n'était que le vent, elle continua à marcher. Un grand bruissement de feuilles la fit s'arrêter à nouveau. Son corps se raidit. « Maintenant je sais qu'il y a quelque chose là. » dit-elle. Elle se retourna. « Venez qui que vous soyez. »
Une affreuse et énorme créature sortit des buissons. Elle avait quelque peu l'air humaine à Maria. Elle avait une peau brun foncée et sentait.MAUVAIS. La créature portait une épée, un arc et des flèches. Maria plongea vers le sol quand une flèche se planta dans l'arbre devant lequel elle était quelques secondes plus tôt. Ses yeux s'agrandirent alors que la créature se préparait à tirer une autre flèche. « Oh mer- -. »
À suivre.
Veuillez lire et commenter. J'espère que vous trouvez cette histoire intéressante. Et je vais ajouter un autre chapitre bientôt. Veuillez commenter s.v.p.
- - - - - - - - - - - - -
Note de la traductrice : Si vous allez lire l'histoire originale en anglais vous allez voir qu »il manque 2 ou 3 phrases dans cette version mais c'est parce qu'il y a des choses que je crois impossibles à traduire (ex : What the hell am I doing here ?). Même chose pour certains jurons. La répétition de Maria fait partie de la version originale mais j'ai tout de même remplacé certains Maria par elle. Je vais bientôt updater le prochain chapitre en français. L'histoire originale est intitulée Life Sucks et elle a été écrite par Honolulu. Merci.
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Note de l'auteure (Honlulu) : C'est ma première fic sur le seigneur des anneaux alors soyez gentils s'il-vous plaît. Veuillez s'il-vous plaît lire et commenter. Les commentaires me motivent toujours à updater plus rapidement. Alors, commentez.
La vie est nulle Par Dreamweaver
Bonjour. Mon nom est Maria Lanosa. Je suis danseuse de ballet. enfin. j'étais. Il y a deux ans de cela, mes parents et moi avons eu un accident. Un accident de voiture pour être plus spécifique. Il faisait noir et nous retournions à la maison, je venais de terminer mon récital. Mon père conduisait. La lumière était devenue verte et nous étions en train de traverser l'intersection quand un chauffard a décidé de brûler un feu rouge. Son auto nous a heurtés de plein fouet.
Les médecins m'ont dit que mon père avait été tué sur le coup. Ma mère. Disons simplement qu'elle ne se réveillera pas bientôt. Les médecins ne croyaient pas que j'allais passer au travers, mais je leur ai prouvé le contraire. Ça n'était pas facile mais je n'allais pas démontrer de faiblesse.
À cause de l'accident, ça a pris beaucoup de temps à mes jambes pour guérir. J'allais à une école de performance. Mots clés : allais, étais. À mon école, tes pieds veulent tout dire. J'allais à cette école grâce à une bourse d'étude mais quand ils ont découverts que ça allait prendre pas mal de temps à mes jambes pour guérir, ils m'ont laissé tomber. J'aimais aller à cette école, o combien je souhaiterais pouvoir y retourner mais sans la bourse il m'est impossible de m'offrir les frais de scolarité.
Je vais maintenant à une école secondaire publique. Je suis des cours de chant puisque ma voix n'est pas si mal. J'ai décidé de prendre J.N.O.T.C. (Junior Naval Officers Training Corps) pour pouvoir me faire des muscles grâce à l'entraînement physique. Je fais également du kickboxing après l'école. Je danse encore mais en privé. Mes jambes doivent se réhabituer au poids et à la tension que je mets dessus. Étant donné que je n'ai pas de famille, j'ai consulté un avocat et je me suis fait émanciper. J'habite dans un appartement merdique parce qu'avec le peu d'argent que je gagne je dois payer des factures médicales. Ma vie maintenant. elle est nulle.
Première partie :
Maria marchait vers l'entrepôt où elle irait se pratiquer à danser par elle-même. À l'intérieur il y avait un plancher de bois et les murs étaient couverts par des miroirs. Maria plaça ses cheveux en un chignon. Elle enleva son sac à dos et prit ses escarpins ainsi que ses vêtements de danse. Maria enfila se camisole en Prima Cotton, son justaucorps avec du velours Burgundy et des collants blancs. Elle chaussa ses souliers et les attacha autour de ses chevilles. Elle s'étira, avant d'exécuter une position.
Maria étendit sa jambe droite derrière elle, levant en même temps sa main gauche dans les airs. Une fois dans cette position elle se mit sur la pointe des pieds, son visage transpirant, elle pouvait déjà sentir la tension sur ses orteils et ses jambes. Incapable de tenir plus longtemps, elle redescendit sa jambe et répartit à nouveau son poids sur les deux. Maria étira ses jambes une fois de plus.
Maria prit le radio qu'elle avait apporté avec elle et y mit un disque compact. Elle allait danser sur une chanson intitulée Exaltation par James Sweringen. Plaçant son corps dans une position elle attendit que la musique débute, lui signalant de commencer. Comme la musique débutait, elle souleva son pied droit lentement dans les airs et alla « en pointe ».
En même temps qu'elle dansait Maria regarderait dans les miroirs pour s'examiner. Quand la musique s'accélèrerait Maria exécuterait des mouvements plus difficiles. Ainsi elle fit un tour jeté (bond en tournant), ne faisant pas attention à ses pieds, Maria atterrit mal et s'effondra sur le sol. 'Maudit !' pensa-t-elle. Elle se releva en frottant son derrière.
Maria arrêta la musique et fit face au miroir. Elle plaça son corps en quatre positions et effectua un tendue. D'à partir de cela elle fit quelques bonds. Elle exécuta en premier un tour jeté, puis un grand jeté et un saut de chat. Elle répéta ce procédé jusqu'à ce qu'elle soit capable de faire chaque mouvement sans trébucher ou tomber. Maria se reposa un peu, prenant une serviette elle essuya sa sueur et but de l'eau. Après cinq minutes, Maria se plaça dans la position appropriée pour faire des fouettés. S'assurant que ses pieds étaient bien placés elle se mit en pointe et commença à faire en faire. Elle était capable d'en faire 5 en suite et s'apprêtait à en faire un sixième quand elle fit l'erreur de quitter trop tôt son support ce qui la fit chuter au sol.
'Fuck !' Maria ferma les yeux, frustrée. Elle prit de profondes inspirations, essayant de se calmer. Maria ouvrit les yeux et regarda son reflet. Des images commencèrent à défiler dans sa tête. Une image d'elle lorsqu'elle avait commencé ses cours de ballet, quand elle avait appris à faire des bonds, son premier récital, les encouragements de ses parents et le récital avant l'accident. Au lieu de voir son reflet dans la glace Maria se vit à l'hôpital reposant sur une civière avec des coupures, des meurtrissures et du sang séché recouvrant sa peau. Des tubes dans ses bras et sa bouche alors qu'elle reposait, inconsciente. Des médecins entourant son corps et tentant de la faire revivre.
Maria s'approcha du miroir, ses yeux se mouillant de larmes et s'agrandissant comme elle regardait l'image. Elle mis sa paume à plat contre le verre. Marra frappa le verre.
« Réveilles-toi. » Soupira-t-elle. Elle frappa de nouveau. « Réveilles-toi, réveilles-toi !!! » cria-t-elle à son reflet, ses deux mains frappant contre le miroir. « Réveilles-toi nom de Dieu !!! » Maria continua de frapper et de crier jusqu'à ce que la glace se fendille. Sa main droite frappa la partie abîmée du miroir, la surface tranchante coupant sa peau. Maria cria et la sera dans son autre main, contre elle. Regardant sa main, elle vit qu'elle avait commencé à saigner. Elle leva les yeux de sa blessure et vit que l'image d'elle à l'hôpital avait été remplacée par sa réflexion.
Maria retourna vers sons sac où elle transportait des pansements. Elle soigna sa main et se changea de nouveau, avec ses vêtements normaux. Elle prit son sac et son radio et quitta l'entrepôt, partant en direction de l'hôpital. Chaque jour elle allait à l'hôpital voir comment allait sa mère.
Maria entra dans la chambre d'hôpital et vit une infirmière qui regardait le dossier (bilan médical) de sa mère. « Bonjour Maria » dit l'infirmière. « Hey. Des changements ? » La salua-t-elle.
« Non, désolée. Vas-tu rester longtemps aujourd'hui ? »
« Non, je dois aller travailler. Je suis seulement passée pour voir comment elle allait. »
L'infirmière lui sourit et quitta la chambre. Maria laissa tomber son sac sur une chaise et s'approcha du lit. Maria prit les mains de sa mère dans les siennes et commença à lui raconter sa journée.
« Bonjour maman. Aujourd'hui, tout s'est bien déroulé. L'école me fait chier comme toujours. Je ne me suis pas battue aujourd'hui même si j'ai vraiment eu envie de frapper Felicia. J'ai pratiqué de nouveau dans l'entrepôt. Je m'améliore un peu à chaque fois. » Soupira-t-elle.
Une larme coula sur la joue de Maria. « Réveilles-toi bientôt. » Elle embrassa sa mère et remit sa main le long de son corps. Maria agrippa son sac et regarda sa mère une dernière fois avant de s'en aller travailler.
Maria entra dans un restaurant appelé Greasy Spoons (cuillères grasses). Elle se dirigea vers les toilettes où elle enfila son uniforme. 5 heures plus tard, elle s'assit sur une banquette avec les pieds sur la table, comptant son pourboire. Après avoir terminé, Maria retourna aux toilettes où elle se changea de nouveau. Elle était prête à quitter quand son patron l'appela. « Maria ! » cria-t-il.
« Quoi ? »
« Tu as reçu un coup de téléphone. »
« De qui ? »
« Comme si je le savais. Viens le prendre. »
Le visage de Maria prit une expression confuse et elle alla répondre au téléphone. « Allo ? »
« Bonjour, est-ce que je parle à Maria Lanosa ? » Questionna la voix au téléphone.
« Oui c'est elle. Qui le demande ? »
« Je m'appelle Marcus Reeves. Je travaille à l'hôpital St.Mary. » Maria serra le téléphone, effrayée de ce qu'il allait lui dire. « Mon appel concerne votre mère. » Elle serra le combiné davantage. « Je suis désolé de vous dire cela mais votre mère est - - - - -. » Le monde commença à ralentir comme il prononçait les derniers mots.
Elle laissa tomber le combiné et, avec son sac d'école sur le dos, quitta le restaurant en courant. Des larmes coulaient sur son visage tandis qu'elle courait vers l'hôpital. Au lieu de prendre l'ascenseur, Maria couru les 6 paliers d'escaliers et ne s'arrêta pas avant d'avoir atteint la porte de chambre de sa mère. Comme elle se tenait dans le cadre de porte, sa poitrine se soulevant pour de l'air, l'infirmière enlevait les aiguilles et le moniteur cardiaque.
« Allez-vous en. » L'infirmière se retourna pour lui faire face. « Allez-vous en. » L'infirmière obéit et quitta la pièce. Maria ferma la porte et marcha jusqu'au lit. Ses mains tremblantes, elle toucha le visage de sa mère. Elle la toucha et retira immédiatement ses mains.
'Tu es si froide.' Pensa-t-elle. Maria tira une chaise jusqu'au lit et prit les mains de sa mère. Elle ne savait depuis combien de temps elle était assise à tenir ses mains quand le médecin toucha son épaule.
« Maria, il est temps de la laisser. » Lui dit-il. Maria se leva et regarda le visage de sa mère. Elle embrassa sa tempe et relâcha doucement sa prise sur ses mains et les plaça sur son lit. Le docteur la guida hors de la chambre tandis que l'infirmière couvrait le corps.
« Maria, si jamais vous avez besoin d'en parler - - -. » Avant qu'il n'ait seulement pu terminer sa phrase Maria se libéra de sa prise et partit.
Maria ne savait pas où ses pieds la conduisait, mais elle s'en contrefichait. Elle se retrouva finalement à l'entrepôt et regarda son reflet dans une des glaces. Elle fut saisie par son apparence : ses yeux étaient injectés de sang et son visage pâle. Elle s'adossa au miroir, se laissa glisser jusqu'au sol et commença à pleurer, simplement pleurer. Aucun bruit, seulement des larmes silencieuses. Maria pleura jusqu'à ce qu'il n'y ait plus assez d'eau dans son corps pour produire des larmes. Elle sortit une photo sur laquelle elle et ses parents souriaient à la camera. L'épuisement gagna lentement son corps et elle s'endormit.
Une aveuglante lumière blanche submergea le corps de Maria. Comme la lumière s'ajustait Maria n'était plus dans l'entrepôt. Elle ouvrit les yeux et sentit que quelque chose rampait sur son ventre. Elle baissa les yeux pour s'apercevoir que c'était une araignée. « Ahh ! » Maria sauta sur ses pieds et se débarrassa de la bestiole du revers de la main. Après s'être assurée que rien d'autre de dégoûtant ne rampât sur elle ou son sac à dos elle prit conscience de l'environnement dans lequel elle se trouvait.
Maria regarda autour d'elle pour se rendre compte qu'elle n'était plus dans l'entrepôt mais dans une.forêt ? « Qu'est-ce que. ? » Maria regardait autour d'elle, complètement perdue.
« Allo ? Y a-t-il quelqu'un ? » Appela- t- elle, pour avoir en guise de réponse le silence le plus complet. Elle fourra la photo dans sa poche et décida d'explorer les alentours. Elle se promenait, entourée d'arbres et des branches et souhaitait qu'elle rencontrerait bientôt quelqu'un.
« Comment est-ce que je suis arrivée ici ? » Se murmura-t-elle. Un son provenant de derrière elle la fit s'arrêter et se retourner.
« Allo ? Y a-t-il quelqu'un ? » Appela-t-elle. Rien. Supposant que ça n'était que le vent, elle continua à marcher. Un grand bruissement de feuilles la fit s'arrêter à nouveau. Son corps se raidit. « Maintenant je sais qu'il y a quelque chose là. » dit-elle. Elle se retourna. « Venez qui que vous soyez. »
Une affreuse et énorme créature sortit des buissons. Elle avait quelque peu l'air humaine à Maria. Elle avait une peau brun foncée et sentait.MAUVAIS. La créature portait une épée, un arc et des flèches. Maria plongea vers le sol quand une flèche se planta dans l'arbre devant lequel elle était quelques secondes plus tôt. Ses yeux s'agrandirent alors que la créature se préparait à tirer une autre flèche. « Oh mer- -. »
À suivre.
Veuillez lire et commenter. J'espère que vous trouvez cette histoire intéressante. Et je vais ajouter un autre chapitre bientôt. Veuillez commenter s.v.p.
- - - - - - - - - - - - -
Note de la traductrice : Si vous allez lire l'histoire originale en anglais vous allez voir qu »il manque 2 ou 3 phrases dans cette version mais c'est parce qu'il y a des choses que je crois impossibles à traduire (ex : What the hell am I doing here ?). Même chose pour certains jurons. La répétition de Maria fait partie de la version originale mais j'ai tout de même remplacé certains Maria par elle. Je vais bientôt updater le prochain chapitre en français. L'histoire originale est intitulée Life Sucks et elle a été écrite par Honolulu. Merci.
