Disclaimer : Malheureusement, je n'ai pas écrit cette histoire *soupir*, mais je vous la traduit quand même parce que je l'adore !!! =D Elentir gurl

La vie est nulle

Par : Dreamweaver

« de. » Maria roula à sa droite alors que la flèche était tirée et qu'elle frappait à l'endroit où Maria gisait deux secondes avant. Elle se leva et, sans même regarder l'horrible créature, se tourna et partit à courir. Elle toucha les bretelles de son sac à dos pour s'assurer qu'il tenait solidement sur ses épaules. Maria pouvait entendre les feuilles craquer derrière elle et elle assuma que la créature devait l'avoir prise en chasse.

Elle courait aussi rapidement qu'elle le pouvait, les branches d'arbres égratignant ses bras. Son esprit se demandait si elle devrait se retourner pour voir si la créature était en effet derrière elle. Maria tourna la tête et vit que la créature était 5 pieds(1.66 mètres) derrière elle et qu'elle la rattrapait. 'Maudit Maria ! On ne doit jamais se retourner, t'as vu les films pourtant !' Pensa-t-elle, se maudissant.

Elle couru dans une clairière, seulement pour trouver un autre type affreux. Elle s'arrêta avant de foncer dans lui, ce qui permit à son poursuivant de l'attraper par derrière. « Lâchez-moi ! » Ses yeux s'écarquillèrent alors que l'autre commençait à se rapprocher. Maria regarda autour pour voir s'il y avait quoi que ce soit qu'elle pourrait utiliser pour les distraire.

La créature prit son menton et l'obligea à lui faire face. Maria détourna la tête à cause de son odeur. L'odeur nauséabonde du monstre lui donnait des haut-le-c?ur. La créature lui donna un coup de poing dans l'estomac. L'air fut expulsé de ses poumons. Celui qui tenait Maria la lança contre le sol. Maria haletait pour de l'air, tout en tenant son ventre à cause de la douleur.

« Fuck. » Maria se releva, seulement pour être renvoyée au sol par un autre coup. Il semblait que ces êtres horribles se servaient d'elle comme d'un jouet. Chaque fois qu'elle essaierait de se relever ou de se sauver, ils la frapperaient pour qu'elle tombe de nouveau par terre. Ils continuaient à lui donner des coups de pied, de poing et même des gifles. Maria mordit sa lèvre, la faisant saigner, elle n'allait pas leur donner la satisfaction de l'entendre crier. Le sang commença à couler à cause d'une coupure sur son front.

' Relèves-toi idiote ! Ne prend pas cette merde en restant sur ton cul ! Relèves-toi ! Riposte !' Lui criait son esprit. 'Souviens-toi de ton entraînement à tes cours de kickboxing ! Riposte ! NE RESTE PAS SUR TON CUL ET COMBATS !' Quand une des créatures baissa son pied pour lui en donner un coup au visage, elle le saisit et tira de toutes ses forces par en arrière, faisant tomber l'être sordide. L'autre remarqua cela et lui donna un coup de poing en plein visage.

Des points noirs dansaient devant les yeux de Maria mais elle secoua la tête, refusant de perdre conscience. Avec son bras droit, elle donna un grand coup sur les jambes de la créature, la faisant tomber à son tour. Elle se releva. Elle était quasi-certaine que ses côtes devaient être couvertes d'ecchymoses, ainsi que le reste de son corps, mais elle était contente que rien ne soit brisé. Elle prit son sac et en sortit un canif qu'elle transportait toujours avec elle.

Un des créatures la renversa en lui donnant répétitivement des coups de pieds dans le dos. Son visage se tordait de douleur. Elle fit sortir la lame de son canif et coupa le pied de son assaillant. La créature lâcha un cri de douleur. Elle regarda autour d'elle et trouva une grosse branche. Elle rampa vers elle et allait l'atteindre quand elle reçu un coup de pied dans le ventre qui la força à s'en éloigner.

Maria se releva et commença à courir. « À l'aide ! QUELQU'UN ! AIDEZ-MOI S'IL-VOUS-PLAÎT !' Cria-t-elle de toutes ses forces. Aucune réponse. Du coin de l'?il elle pouvait voir les créatures qui couraient derrière elle. Faisant un 180? elle se retourna et couru le plus rapidement possible vers les créatures. Elle utilisa son élan e les renversa par terre. Maria enleva son sac pour ne plus avoir à se soucier d'un poids inutile. Avec le couteau suisse dans sa main, elle marcha sur un des créatures et trancha la gorge de celle qui la poursuivait depuis le début.

Maria se tourna pour faire la même chose à l'autre créature, seulement pour rencontrer un poing. Le poing entrant en contact avec sa mâchoire, elle fut projetée par en arrière. Elle recracha la feuille qui était dans sa bouche. Maria pouvait goûter le sang de sa lèvre éclatée. Elle tint fermement sa mâchoire et essuya le sang qui coulait dans ses yeux. Elle resserra sa prise sur son couteau et observa la créature qui lui avait causé le plus de blessures. Maria l'observait, tentant d'anticiper ses mouvements. La créature commença à tourner autour d'elle, la surveillant comme un prédateur prêt à attaquer sa proie.

La créature sortit son épée de son fourreau. Le métal brillait dans la lumière. Avec son épée en main il commença à attaquer. La seule chose que Maria pouvait faire était d'éviter la lame. Les coups d'épée étaient rapides et puissants. Elle se tourna pour éviter l'épée mais elle n'était pas assez rapide. La pointe de la lame trancha son bras droit de l'épaule au coude, coupant la manche longue de son chandail. Maria perdit sa prise sur son couteau et il tomba par terre. La coupure n'était pas assez profonde pour laisser une cicatrice, mais assez pour faire couler du sang.

« Ahh ! » Maria prit son bras droit et heurta l'arbre derrière elle. Elle leva les yeux et vit que l'épée faisait maintenant son chemin vers sa tête. Elle se lança contre le sol somme l'épée frappait l'arbre. La créature tenta de sortir l'épée de l'arbre mais elle était coincée. Profitant de sa chance, Maria se releva et envoya un coup de pied dans le ventre du monstre, l'éloignant de l'arme. Elle le frappa à nouveau avec un crochet du gauche en plein visage. La créature tomba sur ses genoux, attrapant sa tête, Maria lui envoya un coup de genou en plein visage. La créature tomba sur le sol, inconsciente.

Puisque les deux créatures étaient soi morte soi inconsciente, Maria fit une pause pour reprendre son souffle. Maria s'adossa à un arbre alors que l'adrénaline qui l'avait gardée en alerte s'en allait peu à peu et que son cerveau commençait à enregistrer la douleur. Elle grimaça comme elle touchait la plaie sur son front. Elle cracha le sang qui était dans sa bouche. Elle n'osait pas toucher sa mâchoire parce qu'elle savait qu'elle avait déjà dû commencer à bleuir. Elle se releva lentement, grimaçant en se souvenant que ses côtes étaient également couvertes d'ecchymoses.

Elle regarda autour d'elle et scruta le sol, à la recherche de son couteau. Déplaçant les feuilles, elle le retrouva. Elle utilisa son chandail pour enlever le sang qui couvrait la lame et le ferma, puis le remit dans sa poche. Elle observa la forêt la forêt environnante. Partout où elle regardait le sol était couvert de feuilles mortes et les arbres bloquaient sa vue. La zone était très jolie si on excluait la créature qui était morte d'avoir perdu tout son sang par l'entaille dans sa gorge et l'autre qui semblait avoir disparu.

'Un instant. Reviens en arrière. Où est l'autre ?' Pensa Maria comme elle parcourait le sol du regard à sa recherche. Elle s'approcha de l'endroit où elle l'avait laissé mais il n'y avait là que des feuilles en morceaux. Elle regarda autour mais ne vit rien. Maria se tourna pour scruter la forêt à nouveau et vit le visage de la créature. Ses yeux s'élargirent alors qu'elle sentit le métal froid pénétrer dans sa chair.

Elle baissa les yeux et vit une dague qui dépassait du côté gauche de son ventre. Ses yeux se remplirent de larmes. Elle regarda le visage de la créature qui était à un pouce (2.5 cm) du sien. La créature grogna et enfonça la lame plus profondément, jusqu'au manche. Une larme roula le long de la joue de Maria. Elle sentit sa main sur son ventre alors qu'il la repoussait, il empoigna le manche de la dague et la dégagea complètement du ventre de Maria. Maria tomba par terre au moment où la lame fut sortie d'elle.

Des feuilles volèrent dans les airs quand Maria entra en contact avec le sol. La créature n'allait pas être gentille et lui donner rapidement la mort, elle allait seulement la laisser là à saigner jusqu'à ce que mort s'en suive. Elle tâtonna dans sa poche et prit son couteau suisse. Elle ouvrit la lame et la regarda. Elle ne savait pas depuis combien de temps elle gisait sur le sol, il lui semblait que ça faisait des siècles. Maria se plaça en position assise et vit la créature qui s'éloignait.

Elle releva son bras droit dans les airs. Visant sa cible elle donna un petit coup du poignet et la lame partit, avant de frapper sa cible. Le corps du monstre se raidit un instant et heurta ensuite le sol, morte, la lame sortant de sa tête. N'étant pas quelqu'un à mourir si facilement, Maria rampa jusqu'à son sac où elle avait une trousse de premier soin. Adossée à un arbre, Maria sortit de la gaze, de l'onguent et un pansement.

Elle nettoya la plaie sur son front avec la gaze, y appliqua de l'onguent et y mit le pansement. Elle mit également de l'onguent sur sa lèvre et nettoya son bras. Son bras gauche était couvert de sang provenant de sa blessure. Elle prit de la gaze et l'enroula autour de son bras puis tapa dessus. De l'eau tomba sur son nez. Maria regarda le ciel et vit qu'il était gris et nuageux. De la pluie commença à tomber. « Fucking great. Cette journée se déroule de mieux en mieux. » Se murmura-t-elle.

Maria utilisa de l'eau de pluie pour nettoyer les plaies sur son ventre. Déchirant un grand morceau de gaze, elle le pressa contre sa blessure. Elle inclina la tête par en arrière pour pouvoir enlever un peu de sang de son visage. Elle se regarda. Le chandail noir à manches longues était déchiré au bras droit et trempé de sang. Il y avait un trou dans la zone de l'estomac où la dague avait été enfoncée, aussi couverte de sang. Sa paire de jeans bleue était couverte de saleté et de traces de pieds, mais autrement correcte. Son corps était couvert de bleus, de sang et de coupures.

Maria rangea la trousse de premier soin et prit la serviette qu'elle utilisait pour essuyer sa sueur quand elle dansait. Sachant que la gaze serait incapable d'arrêter tout le sang qui coulait, elle plaça la serviette contre la plaie sur son ventre. Elle mit son sac sur ses épaules, se releva et marcha lentement vers le corps de la créature morte. Elle retira le couteau de dans sa tête, le nettoya et le remit dans sa poche.

Maria regarda autour, essayant de décider par où elle devrait aller. Ne sachant pas le moins du monde où elle était, elle prit simplement une direction au hasard et marcha droit devant elle, pensant qu'elle allait sûrement finir par rencontrer quelqu'un. La pluie continuait à tomber, détrempant son corps. Moins d'une heure plus tard Maria commença à voir des points noirs. Secouant sa tête, elle se força à continuer à marcher. Se secouant à nouveau pour rester éveillée, Maria trébucha et tomba par terre.

Elle se tourna sur le dos et regarda le ciel morne, la pluie tombant sur son visage. 'Je vais mourir' Pensa-t-elle. Maria ferma les yeux et commença à chanter pour elle-même.

I close my eyes,

And I see you standing there,

I cry tears of sorrow,

I die.

Ses larmes commencèrent à se mêler à la pluie. « Aidez-moi quelqu'un, s'il vous plaît ! Je ne veux pas mourir ! Pas maintenant ! » Cria-t-elle, sans jamais ouvrir les yeux. Elle recommença à chanter.

How can you see into my eyes

Like open doors

Leading you into my core

Where I've become so numb ?

Without a soul ;

My spirit's sleeping somewhere cold,

Until you find it there and lead it back home.

(Wake me up.)

Wake me up inside.

(Save me.)

Call my name and save me from the dark.

(Wake me up.)

Bid my blood to run.

(I can't wake up.)

Before I come undone.

(Save me.)

Save me from the nothing I've become.

Now that I know what I'm without

You can't just leave me.

Breathe into me make me real.

Bring me to life.

(Wake me up)

Wake me up inside.

(I can't wake up.)

Wake me up inside.

(Save me.)

Call my name and save me from the dark.

(Wake me up.)

Bid my blood to run

(I can't wake up.)

Before I come undone.

(Save me.)

Save me from the nothing I've become.

Bring me to life

I've been living a lie/ There's nothing inside

Bring me to life.

Frozen inside without your touch,

Without your love, darling.

Only you are the life among the death.

All of this sight.

I can't believe I couldn't see

Kept in the dark,

But you were there in front of me

I've been sleeping a thousand years it seems

I've got to open my eyes to everything

Without a thought

Without a voice.

Without a soul

Don't let me die here/ There must be something more

(Wake me up)

Wake me up inside.

(I can't wake up.)

Wake me up inside.

(Save me.)

Call my name and save me from the dark.

(Wake me up.)

Bid my blood to run

(I can't wake up.)

Before I come undone.

(Save me.)

Save me from the nothing I've become.

Bring me to life

I've been living a lie/ There's nothing inside

Bring me to life.

La dernière partie de la chanson mourut sur ses lèvres tandis que Maria sombrait dans les ténèbres. Près de là un elf sur son cheval se dirigeait vers elle. L'elf avait entendu le cri et les vers sinistres. L'elf accéléra le rythme de sa monture quand elle ne put plus entendre de voix. Elle scruta la zone d'où les paroles provenaient. Avec sa vision perçante elle une forme gisant sur le sol. Elle s'en approcha et vit que c'était une femme qui était inconsciente et qui saignait.

L'elf descendit de son cheval et prit Maria qu'elle plaça sur son cheval. L'elf-femme monta à son tour sur son destrier et partit à bride abattue vers Fondcombe. « Ouvrez les portes. » Cria l'elf. Elle tira les rênes pour arrêter son cheval. Un autre elf s'approcha d'elle.

« Dame Arwen, qu'est-ce qui ne va pas ? »
« Faites venir mon père immédiatement. » Dit-elle à l'elf. Bientôt deux autres gardes arrivèrent avec le seigneur Elrond.
« Arwen, qu'y a-t-il ? » demanda-t-il.
« Père, j'ai trouvé une humaine blessée. Ses blessures sont graves et si vous ne faites rien pour elle, elle va bientôt mourir. » Lui dit- elle.
« Gardes, occupez-vous d'elle et amenez-la chez les guérisseurs. Arwen, dis-moi comment tu l'as trouvée. » Dit Elrond.
« Je chevauchais quand j'ai entendu quelqu'un crier à l'aide. J'ai suivi la voix et je l'ai trouvée inconsciente. J'ai déjà envoyé des gardes fouiller les lieux où je l'ai trouvée. »
« Bien, allons aider les guérisseurs. » Arwen et Elrond retournèrent à la Maison. Ils aidaient les guérisseurs quand quelqu'un frappa à la porte.

« Vous pouvez entrer. » Cria Elrond.

Un garde entra et fit une révérence. « Seigneur Elrond, dame Arwen. J'ai fouillé l'endroit que vous m'avez indiqué comme vous l'avez ordonné. » « Bien, qu'avez-vous trouvé ? » Demanda Arwen. « J'ai suivi la piste de sang que j'assumais être celui de l'humaine. Je l'ai suivie et peu après j'ai trouvé deux orcs. » Dit-il. « Des orcs, près de Fondcombe ? » « Oui madama. Deux orcs morts. Je présume que l'humaine doit être celle qui les a tués tous deux. » Dit-il.

Arwen se tourna vers Elrond. « Père, pensez-vous que ce soit réellement elle qui les ait tués ? »
« Je ne sais pas Arwen mais nous allons le lui demander à son réveil. »
Les trois baissèrent les yeux sur Maria.

À suivre.

- - - - - - - - - - - - Note de la traductrice(E.G.) : Il y a quelques expressions que j'ai laissé en ang lais, mais c'est parce que je suis incapable de les traduire. Merci. Reviewez s.v.p. ^-^