Voilà ma nouvelle histoire sur le seigneur des anneaux.
Je tiens à préciser que Morgane, célèbre auteur qui a écrit L'amour
Immortel, m'a aidée pour la première partie
Ce serait bien si vous pouviez m'envoyer des critiques soit dans espaces
lecteurs ou sur mon adresse
wishmerryllhotmail.com
merci d'avance
bonne lecture
INELUCTABLE DESTINEE
Elle avançait rapidement. Elle avait une mission à accomplir. Pour son honneur, pour qu'il soit une dernière fois fière d'elle. Elle portait une lourde cotte de maille et un casque en tête de mort protégeait son visage. Une ceinture à laquelle s'accrochaient une épée et deux dagues, retenait son pantalon en cuir noir. En dessous de son armure, une tunique en cuir, elle aussi, épousait ses formes, mais celles-ci étaient cachées par sa cotte. Elle marchait d'un pas léger et alerte, à l'affût du moindre bruit. Ses pieds se déposaient délicatement sur l'épais tapis d'aiguilles de pin et de feuilles mortes. L'automne avait pris la place de l'été. Au détour du chemin, elle s'arrêta net. En face d'elle se tenait un nain. Il semblait bourru et avait déjà sa main sur sa hache.
Quoi êtes-vous ? Demanda-t-elle ne restant sur ses gardes. Je ne vois pas pourquoi je vous répondrais ! Peut-être parce que je vous ai posé la question, rétorqua sarcastiquement la guerrière.
Gimli resta un moment étonné. Il n'arrivait pas à savoir si son interlocuteur ou interlocutrice était une femme ou un homme. Sa voix, bien que déformée par son casque peu accueillant, était assez grave sans l'être autant que celle d'un homme. Sous ses vêtements masculins, il ne parvenait à discerner la vraie nature du corps du guerrier qui lui apparaissait déjà comme mince et élancé.
Je ne veux rien savoir! Se reprit-il, que voulez-vous ? Ca dépend de vous, si vous me laissez passer ou non...
Elle eut à peine fini sa phrase que Gimli avait sorti sa hache et la chargeait. Elle sauta promptement et évita l'arme qui alla se ficher sur l'arbre derrière elle. Elle laissa son épée dans son fourreau. Elle savait qu'il ne tiendrait pas longtemps et qu'elle le battrait facilement, sans problèmes et sans conséquences. Gimli, furieux, serra les poings et se dirigea vers elle ne courant. Tel un toréador, elle fit un saut sur le côté et le nain ne battit que le vide. IL n'eut le temps de se retourner, qu'un coup sec du tranchant de la main s'abattit sur sa nuque. Il ne vit plus que le noir et sombra peu à peu dans l'inconscience. Elle regarda froidement le nain affalé sur le sol. Encore une fois, elle n'avait pu freiner sa force, elle n'avait pas vraiment voulu lui faire mal. Elle poussa un léger soupir agacé.
Je lui avais juste demandé son nom
Elle arracha la lourde hache de l'arbre et la déposa à ses côtés.
Ca minimisera le fait que je l'ai assommé Lorsqu'elle releva la tête, elle se retrouva face à l'éclat argenté d'une pointe d'acier. Elle leva un peu plus la tête et croisa le regard froid d'un elfe. Elle ne l'avait pas entendu venir et il la maîtrisait, à présent, d'une main experte de son arc. Un seul regard lui apprit qu'il n'hésiterait pas à la tuer. Malgré la position bien plus que délicate dans laquelle elle se trouvait, elle ne put s'empêcher de l'observer intensément. Son visage, même s'il s'était fait dur et menaçant, était d'une surprenant beauté, comme tous les elfes. Il croisa son regard. Elle vit alors un voile de surprise passer sur ses yeux bleus. Sans le savoir, le regard de la jeune femme s'était fait profond et troublant. L'elfe ne savait que penser d'elle, mais se sentait troublé par son regard si intense qui le traversait le mettant presque à nu. Aussi troublé qu'elle même l'était par le charme de ses yeux bleus.
On n'a pas idée d'être aussi beau
Pourquoi vous êtes-vous attaquée à mon ami ? Demanda-t-il d'une voix blanche, en évitant de la regarder dans les yeux. C'est lui qui a commencé, je n'ai fait que me protéger. Mais vous êtes un elfe, n'est-ce pas ? Oui. Et c'est un nain ? Oui. Vous ne répondez que par monosyllabe ? Et surtout ne répondez pas non ! Le moment n'est pas à la plaisanterie. Vous n'êtes pas en position de faire de l'humour, tel qu'il soit, répondit Legolas d'une voix sèche après un instant de réflexion Dîtes-moi, voulez-vous vraiment vous battre ? Vous avez attaqué et même peut-être tué mon ami ! Il n'est pas mort, juste inconscient, corrigea-t-elle. Juste inconscient ! Vous m'annoncez ça comme si de rien n'était, comme si vous ne lui aviez jamais fracassé le crâne et en plus vous ironiser ! Si vous étiez son ennemi alors vous êtes le mien ! Si vous le prenez comme ça...
Elle était toujours sous l'emprise de sa flèche, elle sentait l'acier contre sa peau. Elle eut un léger sourire qui inquiéta Legolas. Seul un fou sourit à la mort. Il l'avait maîtrisée jusque là, elle lui avait cette satisfaction... D'un geste vif, plus rapide que la vue, elle détourna la flèche qui égratigna son cou, laissant une estafilade. Le sang commença à couler contrastant vivement avec la blancheur de sa peau diaphane. Legolas eut un bref instant de surprise, un instant qui ne dura qu'une seconde mais qui permit à la jeune femme de retrouver son assurance. Elle se releva immédiatement et sortit son épée. La lame était noire, parcourue de runes inconnues et mystérieuses qui se teignirent un instant de rouge. L'elfe se reprit et visa la jambe, mais la guerrière fut plus rapide, d'un geste presque désinvolte elle trancha la flèche. Brisée en deux parties, elle tomba lamentablement à terre, à ses pieds. Legolas n'avait jamais vu cela, une telle rapidité ne pouvait être digne que des guerriers elfes les plus expérimentés, mais peu pouvait se vanter d'un tel exploit. L'elfe n'eut le temps d'encocher une flèche, elle sautait déjà sur lui. Un combat acharné s'en suivit. Il n'avait jamais vu une telle force chez ce qu'il pensait être une femme. Mais lui aussi savait se battre, et son expérience en la matière jouait en sa faveur. Alors que son visage n'était qu'à quelques centimètres du sien, elle murmura un flot de paroles de paroles d'une langue inconnue, mais la dernière phrase était en elfique, Legolas l'entendit distinctement : dors, je le veux. La jeune femme se releva et regarda le corps de l'elfe, puis celui du nain
Deux victimes ne moins de deux minutes... Bravo Wishmerryll, tu pouvais pas mieux faire
Son instinct lui cria de se protéger. Wish tendit l'oreille. U bruit se fit entendre sur le chemin. Le virage que prenait celui-ci empêchait la guerrière de voir qui arrivait.
Trois hommes, plutôt légers, et ils parlent assez fort. Mais dans quel pétrin t'es-tu fourrée ?
Wish monta avec souplesse dans un arbre. De là, elle surveillait la route et elle allait pouvoir les voir arriver. Frodon marchait en silence tandis que Merry et Pippin bavardaient gaiement de leur sujet préféré : la nourriture. Elle les regardait à travers les branches mais sans pouvoir bien les voir.
En tous cas, les deux derrière font plus de bruit qu'un troupeau d'oliphants !
Lorsque Merry et Pippin éclatèrent d'un même rire, la jeune femme eut un pincement au cœur. Frodon s'arrêta net. Il avait vu les corps étendus de ses deux amis. Il sortit Dard, mais la lame ne vira pas au bleu. Merry et Pippin avaient arrêté de bavarder et avaient immédiatement empoigné leurs épées. Wish les observait attentivement cherchant la moindre occasion. Frodon se dirigeait sous sa branche, c'était le moment. Elle sauta.
Souple comme un félin, elle atterrit silencieusement sur le sol qui était deux mètres plus bas. Merry et Pippin n'eurent le temps de ne rien faire ou dire, Wish avait placé la lame de son épée sur la gorge du hobbit. Reculez, ordonna-t-elle d'une voix sèche déformée par son casque effrayant. Et laissez vos armes à terre.
Cela ne servait à rien, et la guerrière le savait : elle pouvait tuer les trois hobbits en deux temps trois mouvements, et ce n'était pas leurs ridicules armes qui l'arrêteraient.
Qui êtes-vous ? Demanda Frodon. C'est moi qui pose les questions ici Si tu ne veux pas avoir la gorge tranchée, ne dis plus un mot sans que je te l'autorise. ... Ce sont tes amis ? Murmura-t-elle à l'oreille de Frodon qui hocha vigoureusement la tête. Dis leur de ne rien faire sinon... Sinon quoi ? Vous allez me tuer ? Cracha-t-il.
La voix hargneuse de Frodon étonna la guerrière : normalement c'était elle qui n'avait pas peur de la mort, rien ne la retenait, rien ne lui faisait aimer la vie.
Non. C'est eux qui auront des problèmes. Je... Qui es-tu ? Le coupa-t-elle. Tu es un hobbit non ?
Frodon fut étonné, c'était bien la première fois qu'il croisait quelqu'un qui savait ce qu'était un hobbit.
Je suis Frodon, fils de Drogon.
Wish se releva d'un coup. Ce n'était qu'un cauchemar, elle allait se réveiller ! Frodon en profita pour reculer mais la guerrière fut plus rapide, elle l'attrapa par le bras et le força à se retourner.
Répète ! Répète ta réponse ! Et par Eru faîtes que j'ai mal entendu ! Je... je suis Frodon, répéta-t-il pas très rassuré. Toi, lâches cette arme ! Cria Wish à Pippin qui avait ramassé son épée. Tu es Frodon, reprit-elle en murmurant. L'hobbit crut déceler une pointe d'amertume dans sa voix. ...Oui. Et ce sont tes amis ? Demanda-t-elle en désignant les deux corps. Oui. Oh, la gaffe.
Voilà ! j'espère que ça vous a fait plaisir Oubliez pas un mot pour l'auteur qui se tue presque à la tâche !
wishmerryllhotmail.com
INELUCTABLE DESTINEE
Elle avançait rapidement. Elle avait une mission à accomplir. Pour son honneur, pour qu'il soit une dernière fois fière d'elle. Elle portait une lourde cotte de maille et un casque en tête de mort protégeait son visage. Une ceinture à laquelle s'accrochaient une épée et deux dagues, retenait son pantalon en cuir noir. En dessous de son armure, une tunique en cuir, elle aussi, épousait ses formes, mais celles-ci étaient cachées par sa cotte. Elle marchait d'un pas léger et alerte, à l'affût du moindre bruit. Ses pieds se déposaient délicatement sur l'épais tapis d'aiguilles de pin et de feuilles mortes. L'automne avait pris la place de l'été. Au détour du chemin, elle s'arrêta net. En face d'elle se tenait un nain. Il semblait bourru et avait déjà sa main sur sa hache.
Quoi êtes-vous ? Demanda-t-elle ne restant sur ses gardes. Je ne vois pas pourquoi je vous répondrais ! Peut-être parce que je vous ai posé la question, rétorqua sarcastiquement la guerrière.
Gimli resta un moment étonné. Il n'arrivait pas à savoir si son interlocuteur ou interlocutrice était une femme ou un homme. Sa voix, bien que déformée par son casque peu accueillant, était assez grave sans l'être autant que celle d'un homme. Sous ses vêtements masculins, il ne parvenait à discerner la vraie nature du corps du guerrier qui lui apparaissait déjà comme mince et élancé.
Je ne veux rien savoir! Se reprit-il, que voulez-vous ? Ca dépend de vous, si vous me laissez passer ou non...
Elle eut à peine fini sa phrase que Gimli avait sorti sa hache et la chargeait. Elle sauta promptement et évita l'arme qui alla se ficher sur l'arbre derrière elle. Elle laissa son épée dans son fourreau. Elle savait qu'il ne tiendrait pas longtemps et qu'elle le battrait facilement, sans problèmes et sans conséquences. Gimli, furieux, serra les poings et se dirigea vers elle ne courant. Tel un toréador, elle fit un saut sur le côté et le nain ne battit que le vide. IL n'eut le temps de se retourner, qu'un coup sec du tranchant de la main s'abattit sur sa nuque. Il ne vit plus que le noir et sombra peu à peu dans l'inconscience. Elle regarda froidement le nain affalé sur le sol. Encore une fois, elle n'avait pu freiner sa force, elle n'avait pas vraiment voulu lui faire mal. Elle poussa un léger soupir agacé.
Je lui avais juste demandé son nom
Elle arracha la lourde hache de l'arbre et la déposa à ses côtés.
Ca minimisera le fait que je l'ai assommé Lorsqu'elle releva la tête, elle se retrouva face à l'éclat argenté d'une pointe d'acier. Elle leva un peu plus la tête et croisa le regard froid d'un elfe. Elle ne l'avait pas entendu venir et il la maîtrisait, à présent, d'une main experte de son arc. Un seul regard lui apprit qu'il n'hésiterait pas à la tuer. Malgré la position bien plus que délicate dans laquelle elle se trouvait, elle ne put s'empêcher de l'observer intensément. Son visage, même s'il s'était fait dur et menaçant, était d'une surprenant beauté, comme tous les elfes. Il croisa son regard. Elle vit alors un voile de surprise passer sur ses yeux bleus. Sans le savoir, le regard de la jeune femme s'était fait profond et troublant. L'elfe ne savait que penser d'elle, mais se sentait troublé par son regard si intense qui le traversait le mettant presque à nu. Aussi troublé qu'elle même l'était par le charme de ses yeux bleus.
On n'a pas idée d'être aussi beau
Pourquoi vous êtes-vous attaquée à mon ami ? Demanda-t-il d'une voix blanche, en évitant de la regarder dans les yeux. C'est lui qui a commencé, je n'ai fait que me protéger. Mais vous êtes un elfe, n'est-ce pas ? Oui. Et c'est un nain ? Oui. Vous ne répondez que par monosyllabe ? Et surtout ne répondez pas non ! Le moment n'est pas à la plaisanterie. Vous n'êtes pas en position de faire de l'humour, tel qu'il soit, répondit Legolas d'une voix sèche après un instant de réflexion Dîtes-moi, voulez-vous vraiment vous battre ? Vous avez attaqué et même peut-être tué mon ami ! Il n'est pas mort, juste inconscient, corrigea-t-elle. Juste inconscient ! Vous m'annoncez ça comme si de rien n'était, comme si vous ne lui aviez jamais fracassé le crâne et en plus vous ironiser ! Si vous étiez son ennemi alors vous êtes le mien ! Si vous le prenez comme ça...
Elle était toujours sous l'emprise de sa flèche, elle sentait l'acier contre sa peau. Elle eut un léger sourire qui inquiéta Legolas. Seul un fou sourit à la mort. Il l'avait maîtrisée jusque là, elle lui avait cette satisfaction... D'un geste vif, plus rapide que la vue, elle détourna la flèche qui égratigna son cou, laissant une estafilade. Le sang commença à couler contrastant vivement avec la blancheur de sa peau diaphane. Legolas eut un bref instant de surprise, un instant qui ne dura qu'une seconde mais qui permit à la jeune femme de retrouver son assurance. Elle se releva immédiatement et sortit son épée. La lame était noire, parcourue de runes inconnues et mystérieuses qui se teignirent un instant de rouge. L'elfe se reprit et visa la jambe, mais la guerrière fut plus rapide, d'un geste presque désinvolte elle trancha la flèche. Brisée en deux parties, elle tomba lamentablement à terre, à ses pieds. Legolas n'avait jamais vu cela, une telle rapidité ne pouvait être digne que des guerriers elfes les plus expérimentés, mais peu pouvait se vanter d'un tel exploit. L'elfe n'eut le temps d'encocher une flèche, elle sautait déjà sur lui. Un combat acharné s'en suivit. Il n'avait jamais vu une telle force chez ce qu'il pensait être une femme. Mais lui aussi savait se battre, et son expérience en la matière jouait en sa faveur. Alors que son visage n'était qu'à quelques centimètres du sien, elle murmura un flot de paroles de paroles d'une langue inconnue, mais la dernière phrase était en elfique, Legolas l'entendit distinctement : dors, je le veux. La jeune femme se releva et regarda le corps de l'elfe, puis celui du nain
Deux victimes ne moins de deux minutes... Bravo Wishmerryll, tu pouvais pas mieux faire
Son instinct lui cria de se protéger. Wish tendit l'oreille. U bruit se fit entendre sur le chemin. Le virage que prenait celui-ci empêchait la guerrière de voir qui arrivait.
Trois hommes, plutôt légers, et ils parlent assez fort. Mais dans quel pétrin t'es-tu fourrée ?
Wish monta avec souplesse dans un arbre. De là, elle surveillait la route et elle allait pouvoir les voir arriver. Frodon marchait en silence tandis que Merry et Pippin bavardaient gaiement de leur sujet préféré : la nourriture. Elle les regardait à travers les branches mais sans pouvoir bien les voir.
En tous cas, les deux derrière font plus de bruit qu'un troupeau d'oliphants !
Lorsque Merry et Pippin éclatèrent d'un même rire, la jeune femme eut un pincement au cœur. Frodon s'arrêta net. Il avait vu les corps étendus de ses deux amis. Il sortit Dard, mais la lame ne vira pas au bleu. Merry et Pippin avaient arrêté de bavarder et avaient immédiatement empoigné leurs épées. Wish les observait attentivement cherchant la moindre occasion. Frodon se dirigeait sous sa branche, c'était le moment. Elle sauta.
Souple comme un félin, elle atterrit silencieusement sur le sol qui était deux mètres plus bas. Merry et Pippin n'eurent le temps de ne rien faire ou dire, Wish avait placé la lame de son épée sur la gorge du hobbit. Reculez, ordonna-t-elle d'une voix sèche déformée par son casque effrayant. Et laissez vos armes à terre.
Cela ne servait à rien, et la guerrière le savait : elle pouvait tuer les trois hobbits en deux temps trois mouvements, et ce n'était pas leurs ridicules armes qui l'arrêteraient.
Qui êtes-vous ? Demanda Frodon. C'est moi qui pose les questions ici Si tu ne veux pas avoir la gorge tranchée, ne dis plus un mot sans que je te l'autorise. ... Ce sont tes amis ? Murmura-t-elle à l'oreille de Frodon qui hocha vigoureusement la tête. Dis leur de ne rien faire sinon... Sinon quoi ? Vous allez me tuer ? Cracha-t-il.
La voix hargneuse de Frodon étonna la guerrière : normalement c'était elle qui n'avait pas peur de la mort, rien ne la retenait, rien ne lui faisait aimer la vie.
Non. C'est eux qui auront des problèmes. Je... Qui es-tu ? Le coupa-t-elle. Tu es un hobbit non ?
Frodon fut étonné, c'était bien la première fois qu'il croisait quelqu'un qui savait ce qu'était un hobbit.
Je suis Frodon, fils de Drogon.
Wish se releva d'un coup. Ce n'était qu'un cauchemar, elle allait se réveiller ! Frodon en profita pour reculer mais la guerrière fut plus rapide, elle l'attrapa par le bras et le força à se retourner.
Répète ! Répète ta réponse ! Et par Eru faîtes que j'ai mal entendu ! Je... je suis Frodon, répéta-t-il pas très rassuré. Toi, lâches cette arme ! Cria Wish à Pippin qui avait ramassé son épée. Tu es Frodon, reprit-elle en murmurant. L'hobbit crut déceler une pointe d'amertume dans sa voix. ...Oui. Et ce sont tes amis ? Demanda-t-elle en désignant les deux corps. Oui. Oh, la gaffe.
Voilà ! j'espère que ça vous a fait plaisir Oubliez pas un mot pour l'auteur qui se tue presque à la tâche !
wishmerryllhotmail.com
