Chapitre 2 – Une nuit mouvementée
Titre : Seul à jamais
Disclaimer : Je n'ai aucun droit sur le seigneur des anneaux. Cette magnifique œuvre appartient à Tolkien ainsi que les personnages.
Summary : La réaction de Frodon lorsqu'il découvre la mort de ses parents. N.B. J'ai changée l'âge des personnages par rapport à la différence d'âge des acteurs dans le film.
Reviews :
************************************
Une eau noire, profonde l'entourait. Se débattant faiblement vers la surface, il réprima un sanglot lorsque le visage amical et chaleureux de son père lui vint à l'esprit. Il se rappelait parfaitement de chaque toucher, chaque caresse, chaque parole prononcée. Il se rappelait de la douceur de sa mère, la gentillesse de son père. Des larmes coulaient maintenant à travers l'eau. Chaque molécule se mélangeant parfaitement comme l'amour qu'il éprouvait pour eux. Il sentit son cœur battre fortement sous sa poitrine, lorsqu'il s'aperçut qu'il ne parvenait à atteindre la surface. L'eau ne l'entraînait que plus profondément dans cette abyme profond, dont il ne pouvait sortir.
''Je vais mourir'' pensa tristement Frodon, espérant que jamais plus il ne reverrait cette eau qui était le tombeau de ses parents et qui bientôt serait le sien. Dans un dernier effort, il essaya vainement de rejoindre la lumière de l'extérieur, mais il sentit un contact froid contre son bras. Un contact familier et qu'à jamais il chérirait. Frodon se retourna vers ses parents qui lui souriaient gentiment. Il voulu tendre ses bras vers eux, mais il ne pouvait les atteindrent. Il ferma les yeux, essayant à jamais de mémoriser cet instant, mais lorsqu'il les rouvris, ses parents ne flottaient que librement à travers l'eau. Les yeux verts émeraude de sa mère le regardant fixement, d'un regard inexpressif. Ses lèvres, jadis d'un rouge profond et chaleureuses, étaient d'un bleu limpide. Frodon aurait voulu partir, mais le cadavre de sa mère tendit des bras avides vers lui. Il les sentit se refermer rapidement autours de lui. C'était trop tard. Il ne pouvait sortir de l'étreinte aimante de sa mère qui ne souhaitait qu'il ne la rejoigne.
*************************************
- Non !!! Cria Frodon, se réveillant soudainement et respirant difficilement.
Il sentit des larmes couler le long de ses lèvres pâles. Merry et Pippin, réveiller par le cri, ouvrirent rapidement la porte de l'immense chambre, pour y trouver leur cousin en pleurs.
- Frodon . . . fit gentiment Pippin.
- Allez-vous en !!! Cria Frodon, secoué de sanglots.
- Partir serait certainement te trahir lorsque tu as tant besoin de nous ! Je me montrerai certainement cruel en te disant cela, Frodon, mais nous sommes la seule famille qu'il te reste ! Fit Merry, s'assoyant sur le lit de Frodon.
- Je n'ai pas besoin de vous ! Je n'ai besoin de personnes ! Fit Frodon
- Tu as besoin de nous et tu le sais ! Ne le nie pas car le plus longtemps tu l'ignora, le plus longtemps cela te prendra à accepter la mort de tes parents ! Fis Pippin.
- Maman et papa ne sont pas morts ! Ils sont vivants ! Cria Frodon, sentant sa rage se déverser en ses paroles.
- Ils sont morts ! Tu ne le comprends pas ça ? Tes – parents – sont – morts ! Pourquoi te caches-tu ainsi la vérité ? Fit-il vigoureusement.
- Pippin ! dit Merry, l'obligeant à s'arrêter. Il savait que son cousin n'essayait qu'aider, mais ne pouvait-il pas voir que cela ne faisait qu'empirer ce qui était déjà ?
- Je suis terriblement désolé, Frodon ! S'excusa Pippin, voulant le prendre contre lui comme on le fait si souvent avec un enfant apeuré, mais Frodon se dégagea de rapidement de son l'étreinte.
- Ne – me – touche – pas ! Fit-il, refoulant ses larmes.
- Frodon, nous ne voulons que t'aider ! Tu peux refuser de croire à la mort de tes parents, nous n'y pouvons rien, mais tu ne peux refuser notre aide ! Fit Merry.
- Laissez moi seul ! Cria t'il
Merry soupira puis se leva suivi de Pippin.
- Je suis désolé de l'épreuve que tu doives traverser ! Si tu as besoin de quoique ce soit, n'hésite pas à venir nous voir ! Proposa Merry avant de sortir.
Frodon se retourna et laissa librement ses larmes couler le long de ses joues.
**********************************
Esmeralda Brandebouc sursauta lorsqu'elle entendit un cri. Son mari s'assit près d'elle et ils entendirent les pleurs émit par leur neveu avant d'entendre des pas le long du corridor et une porte qui s'ouvrit.
- Je vais allez voir s'il va bien ! Fit-elle
- Non . . . laisse les ! Murmura Saradoc
- Mais maintenant que ses parents sont morts, il est sous ma responsabilité ! Je ne puis le laisser seul ! Il n'a que 13 ans après tout (équivalent à 7 ans humains)
- Merry et Pippin seront parfaitement prendre soin de lui ! Ils sont plus vieux et mature !
Esmeralda soupira puis ferma les yeux
- Tu as certainement raison, mais je ne puis niez que je m'inquiète gravement pour lui !
- Qu'est-ce qui t'inquiète tant ? demanda Saradoc, regardant les yeux bruns de sa femme.
- Il est tellement seul... je n'ai jamais vu un enfant autant solitaire que lui, Nous sommes au moins 200 personnes dans cette demeure et il ne connaît que moi, toi, Merry et Pippin ! Fit Esmeralda.
- Je le sais... je discuterais de cela avec lui, demain ! Murmura t'il avant de se rendormir.
****************************
Le soleil brillait faiblement à l'horizon lorsque Saradoc entra dans la chambre de son neveu.
- Frodon ! Fit-il calmement
Aucune lumière ne s'infiltrait dans la pièce et Saradoc pouvait difficilement percevoir son neveu qui sanglotait faiblement dans la noirceur de la nuit.
- Frodon ! Je sais que tu es triste par rapport à la mort de tes parents, mais le plus longtemps, tu refuseras notre aide, le plus longtemps ce souvenir restera dans ta mémoire !
- Je n'ai pas besoin de vous . . . murmura Frodon
- Mais tu n'es pas seul ! Primula était ma sœur et jamais je ne la reverrais ! Tu reste toujours ici, seul . . . comment crois-tu que tes parents auraient réagis ? Serait-il fier que leur fils unique se détruise peu à peu ? demanda t'il
Frodon se leva vigoureusement. Sa peau pâle, luisant faiblement dans la lueur des quelques chandelles qui lentement brûlaient.
- Je n'ai pas besoin de vous ! Je n'ai besoin de personnes comme personne n'a besoin de moi ! Cria Frodon, des larmes coulant maintenant librement le long de son visage.
- Pourquoi personne n'aurait besoin de toi ? demanda Saradoc, surpris
- Je n'ai personne ! Personnes ne m'aiment ! Mes parents sont morts parce qu'ils en avaient assez de moi !! Je suis seul et je l'ai toujours été comme je le serai toujours ! murmura tristement Frodon.
- Tes parents t'aimaient ! Ils ne t'ont pas abandonnés, ils t'aimaient encore plus que tu ne le croies !
Frodon ferma les yeux et sanglota silencieusement, souhaitant que Saradoc parte et jamais ne revienne. Il revoyait sans cesse ce lac de sang lorsqu'il fermait les yeux et chaque fois, deux cadavres échouaient sur la rive, à ses pieds. Le corps de sa mère et celui de son père touchant légèrement ses pieds. Tout deux pâles et sans vie, le regardant intensément de leurs yeux froids et sans émotions. Leurs lèvres bleu et limpide complétant parfaitement ce décor de souffrance et de douleurs. Le jeune hobbit rouvrit lentement ses yeux d'un bleu qui rappelait la profondeur de l'océan.
- Pourquoi ? Sanglota t'il s'assoyant sur le lit, près de Saradoc.
- Personnes ne peut savoir pourquoi de telles choses arrivent . . . mais il ne faut abandonner toutes formes d'espoirs, car un jour tu acceptera la mort de tes parents et ce ne sera qu'un souvenir parmis tant d'autres ! la mort de tes parents est certes une chose tragique, mais il ne faut pas que tu souffre inutilement.
- Mais quand oublierais-je ? demanda Frodon
- Il ne faut pas que tu oublies, mais que tu acceptes ! Ils seront toujours là ! Chaque fois que tu te sens seul, tu peux leur parler ! Dans ton cœur tu sauras leurs réponses ! Fit-il
**********************************
Yeah !!! Fini !!! Est-ce que vous avez remarqué que Merry a pratiquement dit les mêmes paroles que son père ? Après tout, tel père, tel fils . . . j'espère que vous me reviewrer . . . seulement un petit mot d'encouragement ou un mot pour me dire ce que je devrais améliorer merci !!
Titre : Seul à jamais
Disclaimer : Je n'ai aucun droit sur le seigneur des anneaux. Cette magnifique œuvre appartient à Tolkien ainsi que les personnages.
Summary : La réaction de Frodon lorsqu'il découvre la mort de ses parents. N.B. J'ai changée l'âge des personnages par rapport à la différence d'âge des acteurs dans le film.
Reviews :
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Une eau noire, profonde l'entourait. Se débattant faiblement vers la surface, il réprima un sanglot lorsque le visage amical et chaleureux de son père lui vint à l'esprit. Il se rappelait parfaitement de chaque toucher, chaque caresse, chaque parole prononcée. Il se rappelait de la douceur de sa mère, la gentillesse de son père. Des larmes coulaient maintenant à travers l'eau. Chaque molécule se mélangeant parfaitement comme l'amour qu'il éprouvait pour eux. Il sentit son cœur battre fortement sous sa poitrine, lorsqu'il s'aperçut qu'il ne parvenait à atteindre la surface. L'eau ne l'entraînait que plus profondément dans cette abyme profond, dont il ne pouvait sortir.
''Je vais mourir'' pensa tristement Frodon, espérant que jamais plus il ne reverrait cette eau qui était le tombeau de ses parents et qui bientôt serait le sien. Dans un dernier effort, il essaya vainement de rejoindre la lumière de l'extérieur, mais il sentit un contact froid contre son bras. Un contact familier et qu'à jamais il chérirait. Frodon se retourna vers ses parents qui lui souriaient gentiment. Il voulu tendre ses bras vers eux, mais il ne pouvait les atteindrent. Il ferma les yeux, essayant à jamais de mémoriser cet instant, mais lorsqu'il les rouvris, ses parents ne flottaient que librement à travers l'eau. Les yeux verts émeraude de sa mère le regardant fixement, d'un regard inexpressif. Ses lèvres, jadis d'un rouge profond et chaleureuses, étaient d'un bleu limpide. Frodon aurait voulu partir, mais le cadavre de sa mère tendit des bras avides vers lui. Il les sentit se refermer rapidement autours de lui. C'était trop tard. Il ne pouvait sortir de l'étreinte aimante de sa mère qui ne souhaitait qu'il ne la rejoigne.
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- Non !!! Cria Frodon, se réveillant soudainement et respirant difficilement.
Il sentit des larmes couler le long de ses lèvres pâles. Merry et Pippin, réveiller par le cri, ouvrirent rapidement la porte de l'immense chambre, pour y trouver leur cousin en pleurs.
- Frodon . . . fit gentiment Pippin.
- Allez-vous en !!! Cria Frodon, secoué de sanglots.
- Partir serait certainement te trahir lorsque tu as tant besoin de nous ! Je me montrerai certainement cruel en te disant cela, Frodon, mais nous sommes la seule famille qu'il te reste ! Fit Merry, s'assoyant sur le lit de Frodon.
- Je n'ai pas besoin de vous ! Je n'ai besoin de personnes ! Fit Frodon
- Tu as besoin de nous et tu le sais ! Ne le nie pas car le plus longtemps tu l'ignora, le plus longtemps cela te prendra à accepter la mort de tes parents ! Fis Pippin.
- Maman et papa ne sont pas morts ! Ils sont vivants ! Cria Frodon, sentant sa rage se déverser en ses paroles.
- Ils sont morts ! Tu ne le comprends pas ça ? Tes – parents – sont – morts ! Pourquoi te caches-tu ainsi la vérité ? Fit-il vigoureusement.
- Pippin ! dit Merry, l'obligeant à s'arrêter. Il savait que son cousin n'essayait qu'aider, mais ne pouvait-il pas voir que cela ne faisait qu'empirer ce qui était déjà ?
- Je suis terriblement désolé, Frodon ! S'excusa Pippin, voulant le prendre contre lui comme on le fait si souvent avec un enfant apeuré, mais Frodon se dégagea de rapidement de son l'étreinte.
- Ne – me – touche – pas ! Fit-il, refoulant ses larmes.
- Frodon, nous ne voulons que t'aider ! Tu peux refuser de croire à la mort de tes parents, nous n'y pouvons rien, mais tu ne peux refuser notre aide ! Fit Merry.
- Laissez moi seul ! Cria t'il
Merry soupira puis se leva suivi de Pippin.
- Je suis désolé de l'épreuve que tu doives traverser ! Si tu as besoin de quoique ce soit, n'hésite pas à venir nous voir ! Proposa Merry avant de sortir.
Frodon se retourna et laissa librement ses larmes couler le long de ses joues.
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Esmeralda Brandebouc sursauta lorsqu'elle entendit un cri. Son mari s'assit près d'elle et ils entendirent les pleurs émit par leur neveu avant d'entendre des pas le long du corridor et une porte qui s'ouvrit.
- Je vais allez voir s'il va bien ! Fit-elle
- Non . . . laisse les ! Murmura Saradoc
- Mais maintenant que ses parents sont morts, il est sous ma responsabilité ! Je ne puis le laisser seul ! Il n'a que 13 ans après tout (équivalent à 7 ans humains)
- Merry et Pippin seront parfaitement prendre soin de lui ! Ils sont plus vieux et mature !
Esmeralda soupira puis ferma les yeux
- Tu as certainement raison, mais je ne puis niez que je m'inquiète gravement pour lui !
- Qu'est-ce qui t'inquiète tant ? demanda Saradoc, regardant les yeux bruns de sa femme.
- Il est tellement seul... je n'ai jamais vu un enfant autant solitaire que lui, Nous sommes au moins 200 personnes dans cette demeure et il ne connaît que moi, toi, Merry et Pippin ! Fit Esmeralda.
- Je le sais... je discuterais de cela avec lui, demain ! Murmura t'il avant de se rendormir.
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Le soleil brillait faiblement à l'horizon lorsque Saradoc entra dans la chambre de son neveu.
- Frodon ! Fit-il calmement
Aucune lumière ne s'infiltrait dans la pièce et Saradoc pouvait difficilement percevoir son neveu qui sanglotait faiblement dans la noirceur de la nuit.
- Frodon ! Je sais que tu es triste par rapport à la mort de tes parents, mais le plus longtemps, tu refuseras notre aide, le plus longtemps ce souvenir restera dans ta mémoire !
- Je n'ai pas besoin de vous . . . murmura Frodon
- Mais tu n'es pas seul ! Primula était ma sœur et jamais je ne la reverrais ! Tu reste toujours ici, seul . . . comment crois-tu que tes parents auraient réagis ? Serait-il fier que leur fils unique se détruise peu à peu ? demanda t'il
Frodon se leva vigoureusement. Sa peau pâle, luisant faiblement dans la lueur des quelques chandelles qui lentement brûlaient.
- Je n'ai pas besoin de vous ! Je n'ai besoin de personnes comme personne n'a besoin de moi ! Cria Frodon, des larmes coulant maintenant librement le long de son visage.
- Pourquoi personne n'aurait besoin de toi ? demanda Saradoc, surpris
- Je n'ai personne ! Personnes ne m'aiment ! Mes parents sont morts parce qu'ils en avaient assez de moi !! Je suis seul et je l'ai toujours été comme je le serai toujours ! murmura tristement Frodon.
- Tes parents t'aimaient ! Ils ne t'ont pas abandonnés, ils t'aimaient encore plus que tu ne le croies !
Frodon ferma les yeux et sanglota silencieusement, souhaitant que Saradoc parte et jamais ne revienne. Il revoyait sans cesse ce lac de sang lorsqu'il fermait les yeux et chaque fois, deux cadavres échouaient sur la rive, à ses pieds. Le corps de sa mère et celui de son père touchant légèrement ses pieds. Tout deux pâles et sans vie, le regardant intensément de leurs yeux froids et sans émotions. Leurs lèvres bleu et limpide complétant parfaitement ce décor de souffrance et de douleurs. Le jeune hobbit rouvrit lentement ses yeux d'un bleu qui rappelait la profondeur de l'océan.
- Pourquoi ? Sanglota t'il s'assoyant sur le lit, près de Saradoc.
- Personnes ne peut savoir pourquoi de telles choses arrivent . . . mais il ne faut abandonner toutes formes d'espoirs, car un jour tu acceptera la mort de tes parents et ce ne sera qu'un souvenir parmis tant d'autres ! la mort de tes parents est certes une chose tragique, mais il ne faut pas que tu souffre inutilement.
- Mais quand oublierais-je ? demanda Frodon
- Il ne faut pas que tu oublies, mais que tu acceptes ! Ils seront toujours là ! Chaque fois que tu te sens seul, tu peux leur parler ! Dans ton cœur tu sauras leurs réponses ! Fit-il
**********************************
Yeah !!! Fini !!! Est-ce que vous avez remarqué que Merry a pratiquement dit les mêmes paroles que son père ? Après tout, tel père, tel fils . . . j'espère que vous me reviewrer . . . seulement un petit mot d'encouragement ou un mot pour me dire ce que je devrais améliorer merci !!