Difficulté du chapitre : 3
NB : 1 Chapitre facile
2 Chapitre moyen
3 Chapitre difficilement accessible
Introduction :
Nous allons, dans ce deuxième chapitre, aborder le problème de l'économie telle que JK Rowling et les films nous la décrivent. L'économie regroupe en fait plusieurs grandes et très vastes notions toutes reliées entre elles : notamment le travail, le problème de l'échange des marchandises (le commerce) et la société ( à la fois consommatrice et productrice). Ce chapitre est relativement vaste et compliqué, et donc, accrochez-vous ! Autant vous prévenir tout de suite, je fais de la réflexion en direct, donc, il m'arrive parfois, après tout un paragraphe argumenté de contredire ce que j'avais auparavant présupposé. Excusez-m'en.
Nous allons dans un premier temps évacuer les choses les plus simples, pour pouvoir nous concentrer, à la fin sur ce qui nécessite plus de réflexion.
La magie, origine de la faillite de l'économie :
Dès le début, nous pouvons dire que le monde économique tel que nous le décrit JK Rowling, ne peut vraiment pas fonctionner. Les magiciens sont tout d'abord susceptible de dupliquer toutes sortes de choses (cela dépend tout de même de leur puissance magique), ils peuvent métamorphoser et donc, avoir à leur disposition et dans les plus brefs délais toutes sortes d'outils qu'ils n'ont même pas besoin d'aller acheter. Le commerce en prend donc un sale coup.
J'ai même lu, dans certaines fictions, des personnes susceptibles de faire apparaître des chaises (mais à quoi servent donc les menuisiers?), D'aménager, d'un coup de baguette, toute une pièce (mais à quoi servent les déménageurs?), De faire la cuisine (à quoi servent les elfes?), De nettoyer une maison du sous sol à la cave, de tout retapisser, de tout repeindre (d'une manière étonnement très artistique d'ailleurs). Et tout ça sur le dos des femmes de ménages, des peintres des plombiers... Non, concrètement, la baguette remplace toute cette classe sociale qui n'appartient généralement, il faut le reconnaître, pas à la classe des plus aisées. Dans un certain sens tant mieux!! N'empêche que tout une partie de notre société est éradiquée... Et ceux qui ne peuvent pas s'élever dans cette société, il ne trouve pas beaucoup de recours... Comme on le voit très bien dans le second film (au début, après que Harry ait atterri dans le quartier mal-famé du chemin de traverse, Les Allées des Embrumes, si je me souviens bien). Ils retombent dans des quartiers pouilleux du monde de la magie. D'ailleurs, en développant cette idée là, je pense à un truc que je n'avais jamais imaginé auparavant, pourquoi Voldemort ne combat-il pas la pauvreté? Il trouverait ainsi le soutien de la population et pourrait avoir le pouvoir... C'est certainement trop compliquer pour que cela soit compris par les enfants, j'imagine. Mais au moins, cela humaniserait le personnage de Voldemort et la cause de son combat serait plus fondée.
Comme personne n'est convaincu par ça, je vais tâcher de mieux expliquer… Le problème c'est qu'avec leur baguette, les sorciers peuvent faire tout vite fait bien fait! Transformer l'eau en vin, le sucre en sel, l'or en citrouille... D'un coup de baguette, ils sont coiffés comme Stalone! Ils prennent un sac de fruits, ils le transforment en une salade de fruit décorée de manière alléchante... Tout est si rapide, tout est si simple... Et c'est ça la chose qui nous différencie de nous, moldus. C'est quand même une énorme différence qui peut entraîner beaucoup de changements... dont ce-dernier, à savoir que tout métier appartenant en particulier au secteur des services devient à ce propos inutile
Un truc que j'ai parlé plus haut mais que l'on peut développer... On va commencer par un exemple. Dans certaines fictions, il est raconté que quelqu'un écrivant une lettre a la capacité de pouvoir dupliquée celle-ci. Et pourquoi ne peut-il pas dupliquer de la même manière un éclair de feu? Et faire ainsi ce que nous commençons à découvrir dans notre société depuis plusieurs années : La copie. Il suffit, en effet, qu'une personne achète un produit spécifique, la duplique et la transmette à d'autres et ainsi de suite... Il se crée tout un réseau de relation où chacune des personnes peut acheter un objet dupliqué au black ou le gagne gratuitement. On peut faire un parallèle avec ce dont je suggérais tout à l'heure, qui est la hantise de tout artiste dans le monde de la musique ou celui du cinéma : le développement du Peer to Peer. Bon, pour contredire cette notion de copie, JK Rowling nous laisse la voie ouverte. On peut ainsi s'imaginer que tout objet acheté est protégé de toute copie, comme dans les futurs CDs, d'ailleurs!
L'argent :
Un autre truc qui n'apparaît, il me semble, que dans le chapitre IV. Les farfadets! Et oui! Ces fameuses pièces exactement identiques aux galions, mais qui disparaissent au bout de quelques temps... Peut-on éternellement tromper toute personne à partir de ce concept là? D'après JK Rowling, oui! Les frères Weasleys, Drago Malefoy, Ron Weasley, tous ces grands héros de l'histoire se font avoir. A part s'il existe des détecteurs de farfadets, pourquoi tout individu assez malin ne proposerait-il pas, au boulanger du coin, un galion qui n'a aucune valeur? Bon, je ne vais pas développer tous les problèmes que nous rencontrons dans la société, lorsque des faussaires laissent écoulé une quantité phénoménale de monnaie truquée. J'imagine que vous devez bien les connaître! Si non, dites-le-moi, cela ne me dérange pas.
En parlant d'argent, il me vient une autre idée. Même si cela se rapporte tout de même plus au terme financier qu'à tout ce qui touche à l'économie, on peut s'intéresser au problème de l'argent. Bon, d'après les livres et toutes les fictions que j'ai pu lire, tous magiciens n'utilisent seulement que des pièces... Voilà encore une grossière erreur! Comment allez-vous acheter le super méga ballet qui coûte 456 Galions avec une promo de 15%? Vous allez apporter plusieurs sacs remplies de Galions ou à la rigueur un camion? Non, concrètement. Absence de chéquier, absence de carte bancaire... Le top, à mon avis, ce serait que les gens paient avec leur baguette! Chaque baguette est propre au sorcier, alors il suffit que la baguette soit reliée au compte de la personne pour que tous nos soucis s'évanouissent. En clair, le système de paiement apparaît très ancestral et donc pas assez efficace. Concernant le problème des banques, faut-il vraiment que l'argent soit enfermé dans des coffres... qui ne sont, en plus, accessibles qu'à partir du moment où l'on possède la clé? D'ailleurs, la non-existence de pièces d'identité (idée qui sera développé dans un prochain chapitre) peut remettre en question le fonctionnement même de la banque des Gobelins. Je peux très bien piquer la clé de cette tête en l'air de Potter (on ne s'est d'ailleurs pas ce qu'elle devient sa clé) et aller chercher l'argent sur son compte qui est drôlement bien remplie. J'aurais peut-être du faire tout un chapitre sur le système bancaire, j'ai encore pleins d'autres idées en tête... Un autre très grave défaut! Je pense que c'est le plus gros, maintenant que j'y réfléchis. Un animal a le droit de retirer de l'argent sur un compte d'une personne supposée évadée et, en plus très dangereuse (idée qui sera reprise dans le chapitre sur la sécurité)! C'est du n'importe quoi. Un prisonnier s'étant évadé et qui est estimé dangereux vis à vis de la société, le premier truc que l'on fait, c'est de l'étouffer financièrement, en bloquant en particulier les accès aux comptes... Vous me direz qu'en braquant les banques, non seulement le prisonnier a de l'argent mais en plus il en a plus que tout ce qu'il possédait auparavant! Bon, je m'arrête là pour les comptes bancaires.
Les difficultés commencent maintenant :
AVERTISSEMENTS !!
Vous pouvez sauter tout ce paragraphe et aller au chapitre suivant, il n'y a aucun intérêt à lire ce truc !!!!
Voici maintenant un autre énorme pavé un peu moins accessible, sans doute. Nous allons donc nous interroger sur le commerce. On vient de voir certains exemples montrant que le monde de la magie est susceptible de nuire au commerce, le commerce des magiciens peut-il donc exister?
Approfondissement du système économique :
Les 5 livres nous décrivent tous de la même manière le fonctionnement économique du monde de la magie. Ce dernier ressemble, en fait, fortement au notre. C'est à dire, d'une manière simplifiée, chaque personne est spécialisée à produire une chose qu'elle propose sur le marché et qui est achetée par ce qui n'ont pas la possibilité ou/ni les moyens de produire cette marchandise. C'est la base de tout échange. Ce dernier permet non seulement à tout homme de pouvoir survivre mais surtout impose aux hommes de vivre dans un semblant de communauté. Selon, Platon, grand philosophe grec, tout homme doit avoir en sa possession un minimum de besoins nécessaires à sa survie. Par exemple, un sorcier sans baguette n'en est plus un. Ne pratiquant plus la magie, il est un moldu qui a la spécificité, lors de sa jeunesse, de pratiquer de la magie de manière accidentelle. De même, un sorcier sans ses habits qui lui sont propres, à savoir cape et chapeau de sorcier, n'en ressemble plus à un. Tout cela nécessite donc des sorciers ayant des capacités à concevoir des baguettes ou des dons en couture… Comme tout sorcier à au moins besoin de ses deux choses, ils vont devoir se regrouper, proposer chacun leur marchandise - autre exemple, la nourriture (le marchand de citrouille, le vendeur de bonbons…), les boissons (le biéraubeurre…) et encore pleins d'autres choses ! – et ainsi, en se regroupant les hommes vont vivre en communauté, plus particulièrement dans les cités.
Vous suivez ? Si vous observez bien, on a assisté au même phénomène depuis que les hommes existent. Ce dernier a ralenti vers les années 80 et commence en fait à s'inverser. Enfin, je dérive un peu, l
Récapitulons. On a vu que les magiciens, pour pouvoir survivre, doivent échanger des marchandises. Or se pose le premier problème : le problème de l'échange. De manière logique on dirait que toute transaction se doit être équitable. A l'origine, nos ancêtres avaient inventé le troc. Mais celui-ci faisait défaut… Or, peut-on vraiment échanger trois hiboux contre un chaudron ? Que pouvez-vous répondre à ça ? Vous n'en avez que foutre! Je dois avouer que moi aussi. Mais, il suffit que l'un des hiboux soit malade pour que celui qui vend le chaudron se fasse entuber !
Bon, le problème des transactions équitables a pour origine la VALEUR de chaque marchandise. Ainsi, on doit donner une valeur à chaque objet proposé sur le marché. A partir de maintenant se fondent d'autres problèmes : A partir de quoi est fondée la valeur de chaque objet ? En quoi le troc n'est-il pas fonctionnel ?
La valeur de chaque objet peut-elle être basée sur quoi ? Il est clair que plus un objet est difficile à concevoir, plus sa valeur va augmenter. De même, le temps de travail, l'intensité du travail, le temps d'apprentissage (ou qualification), tout cela contribue à augmenter la valeur de tout objet. Dans le monde de la magie, on pourrait rajouter la puissance magique requise. Or à partir de maintenant, dans ce domaine, se posent les premiers problèmes... Suivant que l'on plus ou moins puissant (magiquement parlant) et bien on est susceptible de faire des choses plus ou moins extravagante. Il existe ainsi une inégalité naturelle entre les hommes qui a un impact beaucoup plus dramatique que les seules inégalités de richesse dont souffrent les hommes de notre monde. D'ailleurs, tout est intimement très lié... Dans un film, Scarface, le héros déclare que l'on doit avoir de l'argent pour être puissant. Dans ce monde là, c'est plutôt exactement le contraire, le puissant peut avoir de l'argent, les autres doivent être drôlement débrouillards pour pouvoir s'en sortir dans cette société. Il existe une sorte d'injustice que l'on développera sans doute plus tard.
Concernant la deuxième question, c'est plus simple. Le troc consiste à échanger un ensemble de marchandises contre un autre. En reprenant l'exemple vu plus haut, on a : 3 hiboux = 1 chaudron. Cela ne peut pas marcher. On peut donner une valeur à chaque objet séparé, mais il suffit qu'un hibou soit malade, par exemple, pour que la transaction ne puisse pas avoir lieu. Au final, le troc limite les échanges. La preuve irréfutable est que l'on a très vite remplacé le troc par quelque chose qui permet de mesurer toute chose : la monnaie. Ron et sa famille sont à peu près les seuls à en parler de manière récurrente, les Malefoy ne le font que pour le fun... A part cela, dans le monde de JK Rowling, on ne peut pas dire que les questions d'argent ont une place prépondérante. On peut tout de même en parler. Dans le monde de la magie tout comme dans le nôtre, la monnaie apparaît comme un intermédiaire dans l'échange. Il se produit ainsi un phénomène que l'on rencontre fort couramment : le fétichisme de l'argent, c'est à dire que toute personne estime un objet non plus par sa valeur, mais plutôt par son coût. Et ainsi, on aboutit au phénomène suivant : c'est que toute personne travaille par rapport à ce que cela lui rapporte, que par rapport à l'évolution de sa mentalité, par exemple, qui découle du travail qu'il aura fait. L'argent prend ainsi la place du travail dans la question de la valeur.
Tous les phénomènes que nous observons dans ce domaine précis dans le monde de la magie, nous les retrouvons dans notre monde. On ne peut donc pas critiquer le monde de JK Rowling à partir de ce concept là. Il faut s'intéresser plus particulièrement à un phénomène de mode ses temps-ci et qui est pourtant au cœur de tous les échanges économiques de nos jours : la consommation.
Nous verrons dans le prochain chapitre dédié aux problèmes de la consommation et les transports, bref de quoi encore cassé du sucre sur le dos du monde qu'a imaginé JK Rowling.
Note de l'auteur :
Puifff ! J'y suis arrivé et encore, j'ai coupé tout ce que j'ai écrit en deux chapitres, parce que vous auriez craqué sinon… Allez bientôt la suite. J'ai été très embêté par la seconde partie, même moi, je m'y perds… Allez, critiquez autant que vous pouvez, donner votre avis, dites des idées auquel je n'aurais pas pensé. Je réponds à toute review et j'adore ça : regardez un peu ce que j'ai fait ci-dessous !
Réponse aux reviews :
Alicia D :
Bon, je commence par toi, parce que c'est la review qui m'a fait le plus plaisir! Tout d'abord, le fait que l'on me critique ne me dérange absolument pas, je ne suis absolument pas susceptible, donc vous pouvez y aller. Surtout que là, j'ai une critique bien structurée, bien argumentée, donc je suis aux anges !
Concernant le traumatisme d'enfance, je ne peux le nier, cela est sans doute la source de la future folie de Voldemort… Les prochains livres pourront sans doute développer cette théorie. Mais, bon je vais être franc, je ne m'intéresse pas à comment Voldemort en a pu en arriver là, je m'intéresse plus concrètement à savoir si le monde dans lequel Voldemort était maître (au moment où les parents d'Harry vivaient) peut-il concrètement exister. Cela n'a aucun lien avec ce dont tu me parles, à savoir la montée du pouvoir de Voldemort… Ne le prend pas mal, si je casse un peu ton argumentation. Je prends le temps de tout expliquer calmement et de toute façon si tu ne me comprends pas ou si tu n'es pas encore convaincu, n'hésite pas à m'envoyer une réponse !
Tiens, en parlant d'Hitler, tu me fais penser à autre chose que je pourrais rajouter dans mon chapitre. On peut faire encore un drôle de parallèle entre Hitler et Voldemort… Sais-tu comment Hitler en est arrivé l ? Bon, je le dis, au cas où tu ne le saurais pas (Ne le prends mal ! Je ne te considère absolument pas comme une inculte ou tout autre insulte désobligeante !!). Hitler a participé à la guerre de 14-18 et après l'Armistice, il a été tellement déçu que son pays soit dans le camp des perdants. Et c'est donc pour l'honneur de son pays, qu'il a décidé de faire la revanche. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle il a eu le soutien de la majorit de la population. Voldemort, au contraire, c'est pour une raison plutôt personnelle qu'il a décidé de prendre le pouvoir… Donc, le soutien de la population… Il ne l'a sans doute pas acquis en expliquant ses traumatismes de l'enfance…
Je m'y attendais à cette critique l ! « L'existence ou la non-existence du monde de la magie » As-tu lu mon introduction ? Je n'ai peut-être pas été assez clair… Il est pourtant peut-être suggéré dès les premières lignes, que je ne remets pas en question ce fondement… Je vais tout de suite modifier cette introduction pour la rendre plus claire. Je cherche, à partir de cette supposition (le monde de la magie existe), ce qui fait que cette société ne peut matériellement pas exister d'une manière perpétuelle. J'espère que tu comprendras ? Et là, je suis complètement en désaccord avec toi et je vais le marquer en gras et en lettres capitales pour que d'autres le remarquent : Non ! FAN D'HARRY POTTER! JE NE SUIS PAS LA POUR VOUS CONSIDERER COMME DE GROS COUILLONS !!! Tout comme vous, j'ai été pris dans ce que j'appelle le complexe HP, tout comme vous j'ai connu ce grand bonheur… J'ai d'ailleurs écrit (et pas terminé) une fiction qui reprend les fondements du monde de la magie selon JK Rowling. Je vais d'ailleurs, sans doute prochainement, écrire tout un chapitre sur ce monde dans lequel on plonge, lorsqu'on lit HP.
Dernier point. Il est vrai que j'affirme que le règne du plus fort ne peut pas exister. Je l'affirme, mais aussi, je le justifie sans doute pas assez clairement, je vais donc reprendre cette partie... « L'histoire mondiale n'est qu'une suite de conflit dans lequel le plus fort impose ses conditions au plus faible » Je suis absolument d'accord. Mais est-ce que les plus forts sont-ils toujours les mêmes ? Tu ne peux pas me dire qu'une seule personne (à par Dieu, s'il existe…) règne éternellement sur le monde. Ok, le fort impose son pouvoir au faible, mais les forts se passent le relais, ils alternent, ils se bouffent entre eux de manière à ce qu'à la fin, on se rend compte que les mondes monarchique ou anarchique ne peuvent exister éternellement… Le « moins pire des états » est ainsi la République : le peuple (qui peut toujours être manipulé, j'en conviens) a le pouvoir.
Bon, voilà, les principales réponses que je donne à tes critiques. Je te remercie, vraiment car tu es la seule, pour le moment (c'est à dire le 30 juin, 14h) à m'avoir permis d'approfondir mon étude. Il faut ainsi que je reprenne plusieurs points principaux : L'introduction, la question de la peur et surtout l'utilisation de la terreur qu'il me semble avoir été assez survolée et, enfin, développer un peu plus la question du plus fort. En fait, je vais répéter ce que je viens de te dire. J'espère que cela ne te dérange pas ? Je fais cela pour éviter de recevoir des reviews me disant exactement les choses que tu m'as dites et comme ça, cette étude tiendra compte d'un avis plus général. Je marquerais ton nom en remerciement personnel…
Longue réponse, j'en conviens, mais j'adore ça ! Allez, n'hésite pas à me répondre et ne me croit absolument prétentieux, constamment satisfait de mon travail et au-dessus des autres ! Je suis un humain et doit malheureusement admettre que je ne suis que ça ! Aller, à très bientôt.
Ronaway.
Lord Ramses Overdak :
Voilà un nom qui a de quoi faire frémir. Je suis vraiment d'accord avec toi, Voldemort n'est pas la chose la plus urgente à critiquer. Pour t'expliquer un peu pourquoi j'ai choisi ça, je vais tout te raconter… Ce matin, à la première heure, (0 :01 précisément), j'étais en train de lire une fiction un peu longuette, et puis, je ne sais pas, j'ai eu cette idée : Critiquer concrètement le monde de la magie. J'ai en fait commencé par ce chapitre (traitant de l'économie). Et puis, au bout d'une demi-heure, j'ai dit : « Non, ils ne vont pas suivre, c'est trop compliqué pour un début, alors, j'ai changé de feuille et j'ai commencé à parler de Voldemort… Il me semble avoir d'ailleurs marqué que je trouvais ce chapitre trop simplet… Je dois aussi reconnaître que si l'on ne regarde que l'histoire, on en a que foutre de tout ce que je dis ! Mais bon, si JK Rowling veut créer un autre monde, autant qu'il tienne debout !! En fait, il tient debout, mais seulement en apparence, c'est ça que je trouve le plus drôle ! Tu trouves ça tordues ? Mais attends, qu'est-ce que cela va être quand je vais parler de la médecine, de l'éducation ! Rien que d'y penser j'en rigole ! Allez, j'espère que tu apprécieras un peu plus ce chapitre ! A très bientôt.
Ronaway.
Sam Elbereth :
Tu as absolument raison… Le fait que Hitler ne soit pas un « aryen » tout comme Voldemort, je n'y avais pas pensé. Je vais donc m'empresser de le rajouter. Cependant, je ne suis pas d'accord avec sur le point suivant. Il n'y a qu'une quinzaine de mangemorts qui sont, on est bien d'accord, les proches de Voldemort… Ce que je critique, ce n'est pas le nombre. C'est la tendance qu'à JK Rowling à ne citer toujours que les mêmes personnes. Les ennemis sont toujours les mêmes : Malefoy, Macner… A toutes les actions que l'on voit, on ne voit que ce que l'on connaît, c'est à dire un nombre relativement réduit. Il est vrai que je n'ai employé à aucun moment le terme de terrorisme, je vais donc m'empresser de corriger cela.
Encore un truc sur lequel je ne suis pas d'accord… Ok, au début, Hitler avait l'appui d'un groupe de SS (dont il a d'ailleurs très vite supprimé les grands chefs, lors de la nuit des grands couteaux), mais il n'a pu avoir accès au pouvoir qu'avec le soutien du peuple. Lorsque son parti a gagné les élections législatives en janvier 1933, Hitler a pu avoir accès au pouvoir en tant que chancelier, nommé par le bon vieux maréchal Paul von Hindenburg.… Voldemort est encore loin d'avoir le soutien d'une quelconque majorité de la population, peut-être de Fudge, dans les livres suivant ? Qui sait ?. Le problème du fonctionnement de la sécurité civile, j'avais prévu d'en parler dans un autre chapitre… Mais bon, cela a forcément un lien.
Merci beaucoup de m'avoir éclairé sur ces points, je vais tout de suite arranger mon chapitre. J'espère que cela ne te dérange pas. Je fais cela pour éviter de recevoir des reviews me disant exactement les choses que tu m'as dites et comme ça, cette étude tiendra compte d'un avis plus général. A très bientôt.
Ronaway.
Chessandmat :
Merci pour ta review… Mais bon, le problème c'est que je ne sais pas quoi dire d'autre !o! Allez à bientôt !
