Kikoo le people !!! Alors on a de la ramolotte ? J'ai pas trop été gâté pour le chapitre 4 que j'affectionne particulièrement pourtant ! lol .

Nah si vous avez la flemmite revieweuse ça vous regarde mais essayez de faire un petit effort juste pour moi !!

Mdr ! Toujours en est-il que j'ai eu un mal monstre pour ce chapitre malgré sa taille particulièrement courte. Mais je me réjouit d'avance : on vas enfin commencer les choses sérieuses !!! :D Réponses aux reviews ? Ouiii bien sûr mais ce soir j'ai envie de papoter !!!! Je voulais vous dire que je suis déterminée à finir cette fanfic !!! Et je vous dis qu'il en faut de la motivation !! Je tire ma révérence à ceux qui se démènent entre plusieurs fanfics !! Je fait un ch'ti clin d'oeil a Amiastine, draco-tu-es-a-moi ou Gaeriel par exemple...

J'ai quelques débuts de fanfic dans le disque dur de mon p'tit didi portable...

Manchita : Je suis super contente que ma fic te plaise !!!! :D Je commençais à me demander si elle était naze lol. Voici la suite et comme en ce moment je suis inspirée le 6 viendra vite ! :D

Toutouffman : No comment' mon gar ! Je suis super contente qu'elle te plaise !

Chapitre 5

Si lourds... Mes membres sont si lourds... Combien de temps ? ... Pourquoi ? ... Bal...Kate... Gremkins... Médéa... Phèdre... Salle commune... Marc... Marc !

« -M...Marc ?

-Non il n'est pas là jeune fille... »

Un visage sévère passa au travers des rideaux qui entouraient le lit. Mme Pomfresh portait un plateau chargé de divers flacons.

« -Ce garçon est vraiment gentil, il est resté à votre chevet deux jour durant... Le professeur Dumbledore a insisté pour qu'il puisse veiller sur vous, si cela ne tenait qu'à moi je... enfin bon... »

Azaélia essaya de se lever mais ses membres semblaient peser plusieurs tonnes. Elle réussit à peine à soulever son bras droit quand Pomfresh se rendis conte de son geste et posa sa main sur celui-ci.

« -Non, non, non mademoiselle. Vous êtes encore trop faible pour bouger... attendez... »

Elle leva sa baguette en marmonnant et le lit se leva lentement jusqu'à ce qu'Azaélia puisse se retrouver dans une position semis-assise puis elle entrepris de préparer les diverses potions.

Une pointe d'agacement mais une tendresse profonde... Aïe ma tête...

Azaélia grimaça... Ces sentiments la fatiguaient profondément, physiquement et mentalement.

Pomfresh entendis les faibles gémissements de la jeune fille... Ses yeux s'écarquillèrent de stupeur...

« -Oh ! Nom d'un sorcier ! J'avais oublié... »

Brusquement, elle s'éloigna de la jeune fille.

Azaélia respira profondément. Il lui semblait qu'on la soulageait d'un poids énorme.

Epuisée, elle laissa sa tête tomber sur l'oreiller moelleux et ferma ses yeux. Elle voulait seulement se reposer sans penser à rien. Marc.

Soudain, les détails de la soirée lui revinrent en tête. Marc. Ce nom raisonnait dans sa tête. Comme elle aurait aimé le voir. Sentir ses bras autour d'elle. Sa peau. Sa bouche....

Ce n'est qu'à cet instant qu'elle se rendis réellement conte de ce qui s'était passé. Une telle douceur, puis, tant de choses, de pensées, de sentiment, d'images. Une fatigue intense et... plus rien. Elle eut beau fouiller dans sa mémoire mais mis à part une fatigue supplémentaire, elle ne trouva rien qui puisse l'aider sauf cette idée qui l'obsédait : Empathie. Elle en avait la certitude maintenant.

La voix de l'infirmière la tira de ses pensées :

« -Voilà ! Donc avalez ceci le plus rapidement possible et essayez de dormir. -Mais...Mar... Mon amis... J'aimerais le remercier.

-Vous aurez tout le temps quand vous serez remise sur pieds. »

Elle avala docilement sa potion, qui au passage avait un goût indestructiblement infect, pour que la sévère infirmière rassurée la laisse tranquille. Impossible de négocier avec elle. Azaélia espérait de tout son cœur que Marc viendrais la voir, pour le remercier certes, mais aussi pour qu'il puisse la rassurer. Elle se sentait si perdue dans ce monde qu'elle ne verrait jamais plus de la même façon, il pourrait être son écorce. Tout allait changer. Qu'est-ce qu'elle pouvait faire maintenant si il lui était impossible de contrôler ce pouvoir. Et si son ampleur augmentait ? Et si les épais murs du château ne suffisaient plus pour la protéger de toutes ces voix, ces sentiments mêlés ? Et si elle en devenait tout simplement folle ? Faire une overdose de sentiment ? C'est possible ?

Affolée, elle se roula en boule et commença à sangloter doucement. Elle se sentait désespérément faible. Sans rien pour la protéger...

Elle avait sombré dans un sommeil long... très long... Elle avait besoin de dormir, pour se ressourcer... Dans sa profonde léthargie elle sentait ses forces revenir... Elle n'avais plus conscience du temps ni de l'espace... Plus rien de contait... Seul un léger souffle qui s'échappait de sa cage thoracique contribuait au maintien de sa jeune vie...

« -Azaélia... Azaélia...

-Maman ?

-Oui ma fille...

-Maman... » Dit-elle en un sanglot.

« -Shh... Il est temps de se réveiller...

-Je ne veux pas Maman... Je veux rester avec toi... Il n'y a rien pour moi là- bas... » Elle tendis les bras devant elle... Elle voulait la toucher, rester avec elle pour toujours...

« -Non, ton heure n'est pas encore arrivée... Tu as un trésor en toi... Le plus beau, le plus grand...

-Mais qu'est-ce que c'est ? Dis-moi Maman ! Qu'est-ce qui peut être assez important pour m'empêcher de venir ?

-Tu sauras bien assez tôt...

-Je me fiche de ce trésors. A quoi sert de vivre sans vous ? Je suis si seule...

-Non... nous ne serions jamais partis si nous avions dû te laisser seule... pense à Marc... »

Sa vue se troublait...

« -Non Maman ! Ne me laisse pas seule !

-Pense à lui...

-Maman !

-Pense...à...lui...

-Maman ! » Pourquoi la laissait-elle seule toujours au mauvais moment... Au mauvais endroit...

«- Zélie ? » Cette voix...

« -Marc ! » Ses yeux s'ouvrirent d'un coup, encore embués de larmes, subissant ainsi l'éblouissement du soleil haut dans le ciel d'hiver. Elle dût se protéger de l'astre avec son bras, discernant difficilement son interlocuteur.

« -Oui ! » Dans un rire de soulagement il l'entoura de ses bras.

Maman avait raison, si elle devait le faire pour quelqu'un ce serait pour lui. Bonheur. Soulagement. Inquiétude. Peur.

« -Pourquoi je te fais peur Marc ? » Cette phrase lui fit l'effet d'un coup de poing.

« -Que ? Quoi ? Peur ? Pourquoi tu me ferais peur Zélie ?

-Je... non laisse tomber... C'est rien...

-Si j'ai peur, c'est de te perdre. Mais maintenant que tu es devant moi, bien vivante... »

Il ne pus finir sa phrase. Elle avait compris. Elle n'avait pas besoin de plus de détails. Ses sentiments suffisaient. Devait-elle lui dire ? Non... Pas encore...

Soudain, elle se souvint de la seule personne qui semblait connaître son secret et donc ce qui lui arrivait Cela n'était sûrement pas dû à une quelconque maladie magique ou moldue, ce genre de symptômes ne relevais pas de la médecine. Ce pouvoir était donc forcément lié à la mystérieuse forme sur sa nuque. Drago Malfoy.

« -ZELIE ! » La voix de Kate raisonna dans l'infirmerie presque vide.

« -Kate ! » Azaélia n'eu pas le temps d'ajouter autre chose que déjà elle étouffait sous l'étreinte de son amie.

Bonheur.

« -Kate ! Assez tu m'étouffe ! » Des rires. C'était tellement bizarre de changer d'humeur aussi rapidement. Elle allait devoir s'y habituer pour vivre avec. Aussi bizarre que cela puisse paraître elle était déjà soulagée d'avoir pus mettre un nom sur ce qui lui arrivait. Elle avait seulement peur que cela ne soit que le début d'une longue liste de problème et elle avait la sensation que ce ne serait bientôt que le cadet de ses soucis.

« -Madame Pomfresh a empêché Dimitri, Marine et Médéa de rentrer sous prétexte que tu es en rétablissement et que tu as besoin de calme ! Mais nous on sait très bien que tu es une solide Serdaigle et que tu vas vite fait sortir de cette sordide infirmerie ! » Dis t-elle dans un sourire radieux en désignant la porte qui menait aux appartement et au bureau privée de Madame Pomfresh.

Mais Azaélia savais qu'elle était inquiète, très inquiète de ce qui pouvais lui arriver et qu'elle se posait de sérieuses questions. Elle aurait tant voulus lui expliquer le peut de ce qu'elle savait. Kate le méritait. Elle était si gentille, si attentive. Mais elle se promis de tout lui dire dès qu'elle connaîtrait exactement ce qui se préparais derrière son dos. Elle savais que quelque chose allais bientôt se produire. Mais aucun rapport avec ce qui lui arrivais. C'était son 6e sens qu'elle connaissait si bien qui lui criait gare.

«-Allez ma belle ! Je te laisse sinon Pomfresh vas m'étriper ! Et toi Marc tu as bien de la chance de pouvoir rester auprès de notre Zélie... » Dit-elle dans une moue enfantine sous les rires de Marc et de Azaélia.

Peut de temps après, ils se retrouvèrent de nouveau seuls. Un silence gêné s'installa entre les deux jeunes gens. Après de longues secondes Marc se décida à prendre la parole après maintes hésitation.

« -Je sais qu'il est peut être un peut tôt mais... Je ne comprend pas bien ce qui s'est passé il y a deux jours... Madame Pomfresh n'a pas voulus me dire... Enfin, si tu ne veux pas m'en parler pour l'instant je comprendrais...

-...

-Euuu... Ah oui... Dumbledore m'a dis qu'il passerais te voir, il doit te parler.

-Merci Marc. » Dit-elle dans un sourire timide mais sincère.

Il lui répondis en l'enlaçant tendrement... Cette étreinte la soulageait tellement... Elle aurait voulus qu'elle dure éternellement... Si bien...

Elle se sentait si bien, si protégée qu'elle s'endormis dans ses bras. Décidément, elle était vraiment fatiguée...

Elle se réveilla plusieurs heure plus tard bien au chaud sous ses couvertures. Elle se sentait mieux. Beaucoup mieux. Sûrement la potion de Pomfresh et... Marc se dit-elle en esquissant un sourire le nez enfoncé dans son oreiller. Elle se retourna avec difficulté et s'étira doucement. Elle était encore faible.

Elle entrouvris les paupières. Une longue forme se tenait debout devant son lit et lui tournais le dos. Dumbledore !

Elle essaya lentement de s'asseoir mais ses bras refusaient de la porter. Sans paraître le moins du monde surpris d'être ainsi tiré de ses pensées, son visiteur se retourna et lui adressa un sourire jovial.

« -Bonjour Azaélia.

-B... bonjour.

-Bien dormis ?

-Plutôt bien merci. » Répondit-elle avec un léger sourire.

« -Je pense que tu sais pourquoi je suis là. Enfin tu ne sais pas vraiment pourquoi, mais tu sais que c'est pour quelque chose qui s'est passé il y a de ça deux jours. Je me trompe ? » Dit-il avec un clin d'oeuil espiègle. Dumbledore était vraiment quelqu'un d'étonnant.

« -Euh... Je crois oui. » Répondit-elle d'une voix a peine audible.

« -Je suppose que ce qui t'es arrivé le soir du bal n'est pas un simple malaise comme tu doit t'en douter. » Elle acquiesça silencieusement.

« -Je voudrait que tu me décrive précisément ce qui a directement précédé ton évanouissement. Rassure-toi, rien ne sortira de cette salle. »

Son ton était enjoué malgré le sérieux de cette conversation, il avait le don de la mettre en confiance bien qu'elle ne lui aie jamais vraiment parlé au paravent.

« Eh bien... Par quoi commencer... En fait depuis la rentrée environ. J'ai l'impression de ressentir les émotions des gens proche de moi. J'ai eu du mal à comprendre mais c'est le soir du bal que j'ai vraiment pensé que ce pouvait être ça. Donc, eum, vers la fin de la soirée. Je... Marc et moi sommes allés parler dans la salle commune pour être tranquilles. Nous avons discuté...

-Et ?

-Et... et.... Nous nous sommes embrassé. Et là j'ai ressentis un flot d'émotions me traverser... toutes différentes... Et même des images, des son, des films... J'ai ressentis tout ce qu'on pouvait ressentir en une vie... Ca pourrait paraître idiot mais en y réfléchissant bien je crois que j'ai revus tout le fil de ma vie et celle de Marc en l'espace de quelques secondes... C'était... Ahurissant... »

Azaélia resta plusieurs secondes à fixer sa couverture comme si la soirée se déroulait devant ses yeux. Jusqu'à ce que Dumbledore la sorte de sa rêverie.

« -C'est vrais que ce n'est pas un malaise très commun. Mais... explicable... »

La jeune sorcière le fixa d'un œil curieux, n'osant pas interrompre son illustre interlocuteur.

« -Eh bien Azaélia, je pense que nous sommes d'accord sur le point que tu semble développer des capacités d'empathie à mon grand étonnement d'ailleurs. Cette faculté est très rare, presque inexistante chez les sorciers. On peut peut-être après des années et des années d'entraînement arriver à deviner quelques bribes de pensées quand elles sont très fortes, mais qu'elle provoque chez une jeune fille comme toi de tels symptômes. C'est extraordinaire ! »

Les doutes d'Azaélia se dissipèrent. Si Dumbledore le disais c'est qu'il n'y avait plus de doutes possibles. Mais ces doutes laissèrent place de nouveau à une profonde angoisse. Elle aurait pu se sentir fière, heureuse qu'un tel don lui soit attribué, mais ses parents lui parlaient de cette marque avec tellement de peur, d'angoisse, qu'elle ne pouvait que ressentir de la répulsion face a ce don ou plutôt cette malédiction.

Le directeur se pencha vers elle.

« -Pour ta sécurité, il serais préférable que cette information ne quitte pas cette salle. Nous sommes d'accord ? »

Elle hocha de la tête. De toute façon cette information ne devais être divulgué à quiconque, elle avais déjà rompus sa promesse en causant le trouble dans l'esprit de ses amis, mais Dumbledore était peut-être la personne en qui on pouvait faire le plus confiance sur cette Terre. A cette pensée, elle se sentis un peut mieux, et puis, en cas de problème elle saurais à qui parler. Oui, c'était mieux comme ça.

Le lendemain, Azaélia fut enfin autorisée à sortir de l'infirmerie. Elle essaya de rassurer ses amis en affichant une mine réjouie. Mais elle savais bien qu'un sourire ne suffirait pas à les convaincre, ils la connaissaient plus que quiconque mais elle garderais le secret, le plus longtemps possible. Après les paroles de Dumbledore il semblait plus qu'évident que mêler ses amis à cette affaire les conduiraient tout droit vers de grands dangers. Pendant les derniers jours de vacance elle passais le plus de temps possible seule. Loin des autres.

Les autres. Elles étaient toujours là. Même la nuit. L'empêchant de dormir.

La nuit c'était le pire. Elles venaient toutes, dénuées de sens mais elles étaient là. Elles entraient, sortaient. Elle n'en pouvais plus d'elles. Elle passais ses nuits à pleurer. Les implorant de sortir de sa tête.

Les voix.

Les voix qui lui emplissait la tête. Penser lui était devenu impossible dans l'enceinte du château. Dans le dortoir surtout. Elle ne pouvais plus dormir. Une nuit la douleur se fût telle qu'elle sortis de la salle commune pour s'éloigner d'elles. Elle courus dans les couloirs jusque dehors. L'air glacé lui lavais la tête. Le froid paralysais ses pensées. Elle courrais dans la neige jusqu'à perdre haleine. Et quand la fatigue la précipita dans l'étendue blanche, elle aperçu pour la première fois les lumières qui s'échappaient des petites fenêtres de la cabane de Hagrid.

Transie de froid, elle se dirigea alors vers l'habitation en grelottant. Arrivée devant l'immense porte en boit, sans se poser de question, elle frappa. C'est le bruit qui la réveilla de cet état de demis-sommeil. Affolée, elle se rendis conte des conséquences qu'une balade nocturne pouvais engendrer et qu'elle venais de frapper a la porte d'un professeur.

Mais avant qu'elle n'aie pus esquisser un geste, un filet de lumière grandissant éblouit les yeux de la jeune fille, habitués à la noirceur de la nue. Et un grognement se fit entendre ainsi que plusieurs aboiements.

« -Brrrm... Que voulez-vous ?

-... » Azaélia était trop effarée pour oser émettre un son.

A ce moment, le demis-géant baissa ses grands yeux cachés par ses sourcils épais et aperçue la jeune fille dont le teint se rapprochais dangereusement du violet.

« -Mademoiselle McTiennan ! » Son visage pris curieusement un air plus apeuré que furieux. Il passa rapidement sa grande main derrière le dos d'Azaélia pour la faire rentrer en jetant des regards inquiets dans la nuit noire.

« -Mais que faites vous en dehors de votre dortoir a cette heure ci ? Dans cette tenue ? Et si le professeur Dumbledore l'apprenais ! Ohlala... Ohlala... »

Pendant qu'il ruminais ses sombres pensées, il s'occupait à réchauffer la jeune fille dans une immense serviette rappeuse. Ebahie par une telle réaction, Azaélia se laissait faire, paralysée par le froid qui l'envahissait, brusquement mordant et cruel alors qu'il avais été si doux et agréable.

Crocqdur bondissait joyeusement autours d'eux, mais quand ses yeux humides croisèrent ceux de la jeune fille, le chien se coucha et resta à observer silencieusement la scène.

Enfin au bout de quelques minutes, Hagrid libéra Azaélia et alla lui faire chauffer un thé. Elle s'enfonça donc dans un énorme fauteuil de cuir usé au coin de feu. Ses dents s'entrechoquaient bruyamment, Crocqdur vins s'étendre aux pieds de la jeune fille afin de réchauffer ses pieds gelés.

Mais soudain, on frappa à la porte. Hagrid s'en fût ouvrir d'un pas rapide comme s'il savais déjà qui venais lui rendre visite a une heure si tardive.

« -Professeur ! Je...

-Oui oui Hagrid, je sais... » Dis Dumbledore en entrant calmement, l'air serein, un léger sourire aux lèvres en jetant un regard à son élève.

« -Il est temps qu'elle sache...

-Mais... Professeur !

-Chaque jours qui passe, l'ennemis grandis... Nous n'avons plus de temps à perdre... Il est temps... »

Okok... la fin le fait très cliché mais j'aime bien :D !!!

Je met un peut de suspence !

On vas enfin passer aux choses sérieuses ! :D

Euhm... vous savez en bas de votre écran à gauche il y a un pitit bouton GO, il serais très gentil de kliker dessus !

CML