Kikoo lecteurs de mon cœur !
Je suis désolée si mon chapitre 6 s'est fait un peut attendre mais de nombreuses péripéties on rythmées ma vie ces derniers temps ! :p
Tout d'abord, 3 concerts avec le club musique du lycée, 3 défilés, 8 représentations de théâtre dont 3 scolaires (et dieu sais combien c'est dur). Un passage de justesse grâce à un appel après décision de redoublement de mon conseil de classe, petit passage de déprime, accident de moto de mon père qui doit rester au total 6 semaines à l'hôpital plus 3 semaines de rééducation dans un centre de repos, Maman qui a fait une crise de stress et qui s'est retrouvée 4 jours à l'hopital pendant que la fille du meilleur amis de mon père était à la maison, donc nous avons dû nous débrouiller toutes les deux. Et deux déceptions sentimentales si ce n'est plus.
C'est après ce cours bilan (cette plaidoirie ouai !) que je renouvelle mes excuses pour ce retard. J'ai déjà entamé mon chapitre 7 et j'ai quelques idées pour la suite -) . J'ai eu un mal monstre à choisir le titre de ce chapitre, j'ai faillit le nommer « Aux grand mots les grand remèdes » (la faute est volontaire) ou bien « Il n'y a pas de problème, seulement des solutions », ou bien « Leçons et solutions ». Donnez-moi votre avis sur la question !
Je vous laisse, chers lecteurs, à la lecture de cet opus (héhé, vive le vocabulaire qui claque ! -) ). Mais avant je répond à vos reviews qui me font toujours extrêmement plaisir ! Je les attends à bras ouverts qu'elles soient positives ou négatives, elles m'aiderons à vous fournir un travail de meilleure qualité. Alors faîtes exploser le petit bouton GO en bas à gauche de votre écran quand vous aurez terminé votre lecture !
ET DONC VOICI LE CHAPITRE 6 POUR MON ANNIVERSAIRE AINSI QU'UNE NOUVELLE FIC ! :D
Et voilà vive le blabla !
Réponses aux reviews :
Manchita : Bah moi aussi je me demande Oo lol... Nah c'est parce que mon histoire n'est pas à l'origine avec des personnages de l'histoire, il faud juste lui faire un peut de pub ! -) J'espère que le prochain chapitre te plaira ! :D
Alpo : Voici la suite ! Je la poste pour mon anniv' ! :D C'est mon cadeau ! :D Merci beaucoup pour tes reviews.
Allia : Eh oui, notre regretté MMHP, mais bon... l'ambiance devenais franchement insupportable... Je suis ravie que cette histoire te plaise ! :D Voici la suite ! :D
Chapitre 6 : Découvertes nocturnes
« -Il est temps... »
Azaélia regardais successivement son professeur de soin aux créatures magiques et Dumbledore l'air hébété. Ce dernier semblais désespérément calme et serein alors que dans sa tête tout se bousculais. Il lui adressa un sourire, fit apparaître un fauteuil en face de la jeune fille, s'y assit et invita Hagrid à en faire de même. Prenant une longue inspiration, il s'adressa à elle.
« - J'ai remarqué que depuis ton passage à l'infirmerie, ton petit problème ne s'est pas atténué. Je me trompe ?
-N...Non professeur. C'est même pire de jours en jours, d'heure en heure. Je ne peux plus rester dans le château. Je vous en prie. C'est trop dur... »
Ses yeux s'embuèrent de larmes. Malgré ses efforts, elle ne pouvais s'empêcher de pleurer à la pensée de ce qu'elle ressentais dans ce lieu.
« -Je te comprend. Enfin, autant que faire ce peux mais je crois comprendre ta détresse. Nous allons essayer de remédier à ce problème. Mais nous ne pourrons le faire que provisoirement. »
Elle lui jeta un regard terrorisé.
« -Oui Azaélia, il adviendra un moment que tes pouvoirs arriverons à une puissance telle que l'isolement ne suffira pas à atténuer ta douleur. C'est pour cela qu'il ne faut pas fuir ce don... Mais l'accepter et le contrôler. Il deviendra ainsi une force inégalable. »
L'idée de contrôler ces voix paraissait être un effort sur-humain et impossible. Elle était ébranlé par le fait qu'un jour elle ne pourrais plus fuir ses démons. Mais il fallais être réaliste. Dumbledore avais raison, fuir ne servira à rien. Seul le combat pourra la mener à quelque chose.
« -Mais ce n'est pas la seule chose dont je voulais te parler. Il existe dans notre monde des familles de sorciers très puissants. L'une d'entre elle, la famille Leïteth, détiens à la fois le pouvoir des elfes d'Aglaïmeth et d'une très ancienne famille de sorciers dits « Sang-purs ».
Je vais te raconter une histoire Azaélia. Dans les terres d'Aglaïmeth vivaient depuis des siècles et des siècles quatre communautés d'elfes. Mais avec l'évolution des moldus, les elfes furent contraints de disparaître. Pas comme nous sorciers qui vivons cachés des moldus mais les côtoyant sans cesse, mais en disparaissant, purement et simplement, de la mémoire des hommes. Les terres d'Aglaïmeth furent donc soumises à une sorte de sort de desillusion extrêmement puissant. Dès lors, leur existence fût lentement oubliée. Seuls quelques allusions demeurent d'eux dans des livres d'histoire ou même dans les contes des moldus. Ils devinrent légende, superstitions. Mais leur véritable histoire était entretenue dans les grandes familles de sorciers, de génération en génération.
Il advins un jours que l'on racontas dans l'une d'entre elles, cette histoire à un jeune homme. Issus d'une famille pratiquant la magie noire, l'histoire était entretenue non-pas pour transmettre le souvenir de ces êtres mais plutôt pour mettre en garde les jeunes génération de cette menace contre la magie noire qui était toujours présente.
Le jeune homme, était subjugué par ces êtres. Sa seule obsession était de les trouver, de les rencontrer. Quand il atteignis la majorité, il entama son voyage tant préparé. Non sans la plus grande réprobation des membres de sa famille, naturellement méprisants de la magie blanche.
Quand il atteignis les terres d'Ecosse, il commença ses recherches. Elles durèrent, des jours, des semaines, des mois... Mais ses recherches ne menaient à rien. La forêt était introuvable. Mais bientôt, il ressentis une forte puissance magique, ne voulant pas perdre sa piste, il continua de chercher des jours durant, la puissance augmentais, il cherchais le point culminant de la force.
Un soir, alors qu'il tombais de fatigue, il s'allongea contre un gros chêne et s'endormis aussitôt. A son réveil, il se trouvais dans une épaisse forêt, au bord d'une rivière étincelante. L'eau s'écoulait dans un ruissellement mélodieux qu'accompagnais une douce musique. Se levant doucement, il aperçus une jeune femme, si belle, qu'elle en était lumineuse. Elle jouais d'une sorte de Luth. Le jeune homme tomba instantanément amoureux d'elle, de son visage si doux et si beau, si pur... Soudain elle se retourna, et souris au jeune homme. Elle se leva, le pris par la main et l'emmena. Il arrivèrent bientôt dans une grande clairière, de grands édifices à l'architecture inconnue au jeune homme s'élevaient entre les branche, se mêlant harmonieusement au décors. Elle le fis s'asseoir et contre toute attente, elle s'adressa à lui en Anglais.
Elle lui raconta sa longue vie, chacun posant des milliers de question à l'autre, découvrant ou redécouvrant le monde dont il avais été coupé. Bientôt, le jeune homme fit connaissance avec toute la communauté Leïteth. Un amour pur et sincère naquit entre les deux jeunes gent. Il vécurent heureux dans la forêt enchantée d'Aglaïmeth, mais vint un jours où la famille du jeune homme lui manqua à un point tel qu'il voulus retourner dans sa ville natale. Le cœur déchiré, il ne voulais pas laisser son amour.
La jeune elfe, dont la tristesse meurtrissait le coeur, décida de faire le plus grand sacrifice qu'un elfe peut faire : abandonner son immortalité en sortant des terres d'Aglaïmeth. Le jeune homme ne voulais pas que son aimée fasse un tel sacrifice mais m'elfe avait fait son choix. Avec comme tout bagage un peut de nourriture et d'eau, les amoureux quittèrent les terres d'Ecosse ...
Après plusieurs jours de chevauchée, ils arrivèrent enfin à la demeure familiale. Bien sûr le jeune homme avait peur de la réaction de sa famille, mais persuadé de l'amour que lui portait sa mère, il pensais qu'elle accepterais son union et mettrais de coté sa rancoeur envers la magie blanche pour le bonheur de son fils. Il franchit le seuil de la porte... Fit quelques pas... et dans un bruit de vent et un éclair vert, il tomba à terre... Froid... Mort... Son propre frère l'avais tué... de sang froid...
L'elfes s'enfuit... Sa tristesse ne quitta jamais son coeur... Mais son amour lui avais laissé le plus beau des cadeaux... Un enfant... né de l'amour de deux êtres totalement différents... De Zelinia Leïteth et Orion Black naquit Phillidya Leïteh... »
Le professeur s'interrompis. Hagrid essuya une larme.
« Maman... » Dit Azaélia dans un souffle, comme pour elle-même... Elle essayait d'assimiler toutes ces informations...
« Grand-Mère... C'est pour cela qu'elle allais tout le temps à Aglaïmeth, je croyait qu'elle appelais l'écosse comme çà... Mais elle allais réellement là- bas... Et Grand-Père... Grand-Père... »
Elle fixa les yeux de Dumbledore... Elle n'y croyait pas... Elle descendais d'un... Black ?
« -Eh oui Azaélia, ta grand-mère était une elfe de la communauté des Leïteh et ton grand-père un Black, comme tu dis...
-Elle ne nous as jamais dis... Elle disais toujours que c'était un homme merveilleux... Mais quelle horreur... Cette famille est horrible... Cet homme à tué son propre frère ! »
Des larmes perlèrent au coin des yeux d'Azaélia, pauvre grand-mère, elle avais dû tant souffrir... Soudain, la peur l'envahit.
« -Mais... Mais... Je suis apparentée à Sirius Black ?!?
-Oui... Mais tu es apparentée aux Black comme nombre de sorciers issus de familles dites de « sang-pur ». Tu sais, quand les mariages ne se font qu'entre famille de sorciers de « sang-pur », il n'y a pas beaucoup de choix. »
La jeune fille acquiesça silencieusement, elle ne réalisais pas ce qu'elle venais d'apprendre : elle était la descendante d'un Black et d'une elfe.
Maintenant on pourrais me dire qu'un détraqueurs est aussi doux et innocent qu'un agneau, cela ne me ferais ni chaud ni froid
Dumbledore repris la parole.
« -Ce que je voulais te dire par cette histoire c'est que tu détiens à la fois le pouvoir télépathique et empathique et elfes et à la fois la puissance magique qui coule dans les veines des Black. Et si tu n'arrive pas à maîtriser tes pouvoirs empathiques pour l'instant c'est que tu n'a qu'un quart de sang d'elfe, donc tu n'a pas les capacités physiques pour supporter ce don.
Je me suis penché longtemps sur la question, mais c'était si logique, je me demande comment j'ai fait pour passer à coté si longtemps. »
Une question se posa à Azaélia.
« -Mais... Ma mère n'avais pas ce genre de don... Enfin, pas à ma connaissance...
-Au fond d'elle si, mais ils ne se sont jamais révélés... D'ailleurs, je ne comprend toujours pas pourquoi... Peut-être qu'étant plus vigoureuse que toi par son demis-sang d'elfe, elle a pus ignorer ses pouvoirs et vivre comme une sorcière normale... Mais rien n'est moins sûr... »
Dumbledore soupira, se leva, entrouvris la porte et regarda le ciel. Il la referma, prononça quelques formules, sortis une plume de sa manche et écrivit sur un morceau de parchemin, qu'il sortis également de sa manche, avant de le brûler d'un coup de baguette.
Azélia qui n'avais rien manqué de ce que venais de faire son directeur ne compris pas grand chose mais resta silencieuse, se réchauffant du mieux quelle pouvais.
« -Et si vous nous serviez une autre tasse de thé en attendant nos invités Hagrid? »
Dis-t-il, un sourire espiègle accroché à la bouche.
Elle le regarda d'un air interrogateur.
« -Il semble qu'il te faut trouver un endroit où dormir si tu veux pouvoir essayer de suivre tes cours le plus normalement possible. En journée, tu sera autorisée à venir dans la maison de Hagrid quand tu le voudra, elle est assez éloignée du château et je l'ai soumise à un sort d'isolation mentale qui permettra d'atténuer ta douleur. »
Une question brûlais les lèvres d'Azaélia.
« - Mais, ou est-ce que je vais passer la nuit alors ?
-Tu le saura au moment opportun. »
Lui répondit-il, un petit sourire amusé accroché au visage. D'un mouvement de baguette magique, il fit apparaître une robe et une cape.
Azaélia s'en saisis et passa la robe sur sa chemise de nuit et se couvris de l'épaisse cape d'Hiver. Dumbledore, toujours un sourire aux lèvres se servis une nouvelle tasse de thé.
« -Encore un peu de thé Azaélia ? »
------------------------------------------------------------
Plusieurs longues minutes passèrent, longues. Azaélia, qui avais pourtant eu sa dose de théine pour la soirée, commençais à somnoler dans son fauteuil, la douce chaleur du feu avais réchauffé ses membres engourdis et son ronronnement la berçais. Ici, les voix se faisaient lointaines, presque inaudibles.
Mais bientôt, on frappa à la porte. Azaélia se réveilla en sursaut et Dumbledore se leva pour accueillir le nouveau venu. Dans l'entrebâillement de la porte apparus, un visage ridé, couvert de cicatrices dont un bon morceau de nez manquait. Le professeur Maugrey !
« -Professeur !
-S'il vous plais Mc Tiennan, pas de cela ici, et puis je n'ai pas vraiment eu beaucoup le temps d'enseigner. »
Son oeil magique bleu électrique tournais dans tout les sens dans son orbite pendant que son autre oeil noir la fixais.
Dans son étonnement, Azaélia n'avais pas remarqué qu'un autre visiteur ou plutôt visiteuse suivait son ancien professeur de défense contre les forces du mal. Une jeune femme aux longs cheveux noirs bouclés, les yeux d'un bleu anormal avait fait son apparition.
« -Bonsoir Tonks, bonsoir Alastor... Azaélia, inutile de te présenter monsieur Alastor Maugrey, mais je pense que tu ne connais pas mademoiselle Nymphadora Tonks.
-Appelle-moi Tonks ! »
Lui dit-elle en lui faisant un clin d'oeuil complice.
« -Enchantée ! »
Répondit Azaélia, un sourire sincère accroché aux lèvres.
« -Si Tonks et Alastor sont là ce soir c'est pour t'emmener dans un endroit ou tu sera en sécurité. Tu aura plus de précision arrivé là-bas. Tu y passera le week-end, je pense que ce serais mieux pour toi. Tes professeurs et amis saurons que tu es malade et que tu a besoin de repos. »
Lui dit-il en lui lançant un regard entendus. Elle acquiesça silencieusement.
« -Tu utilisera le portoloin que voici. Bonne route ! »
Maugrey attrapa la chaussette que Dumbledore lui tendais, Tonks posa le doit dessus rapidement imitée par Azaélia.
Azaélia se sentir brusquement comme accrochée par un crochet au niveau du nombril. Quelques secondes plus tard, elle fût projetée contre le bitume recouvert d'une neige sale et à moitié fondue. Elle se releva avec difficulté aidée par Tonks. Ils se trouvaient sur une petite place, des petites maisons individuelles crasseuses les entouraient. Déjà, Maugrey éteignait les réverbères avec ce qui ressemblait à un briquet moldus. Tonks lui tendis un morceau de parchemin où était inscrit « Le quartier général de l'Ordre du Phoenix se trouve 12, square Grimmaud, Londres. ».
« -Lis-le et garde le bien en mémoire. »
Lui chuchota-t-elle à l'oreille.
Azaélia lit. Une porte noire à la poignée d'argent apparue entre le numéro 11 et 13, bientôt apparurent les fenêtres et les murs d'une vieille bâtisse. Maugrey lui pris le parchemin des mains et y mis feu du bout de sa baguette.
Il donna un petit coup de baguette sur la porte, un enchaînement de cliquetis se firent entendre, et entra en lui faisant signe de faire silence. Elle resta dans le hall dans le noir pendant que Maugrey libérais les lumières des lampadaires.
« BLANG ! »
Tonks venait de se prendre les pieds dans quelque chose et laissa échapper un juron. Mais ce n'était rien comparé à ce qui s'échappais du mur à la gauche de Azaélia. Un flot de hurlement plus stridents les uns que les autres ainsi que des injures qu'elle n'avais sûrement jamais entendus envahissaient le hall. Maugrey claqua la porte en jurant et on entendis des pats venant du bout du hall, ils passèrent devant Azaélia et le nouveau venu sembla tirer sur quelque chose qui ressemblais à un rideau.
Soudain, les lampes à gaz qui s'alignaient sur les murs s'allumèrent doucement et Azaélia reconnus avec stupeur le professeur Lupin qui tirais effectivement sur un long rideau rongé aux mites pour recouvrir le portrait d'une vielle femme hideuse qui hurlais à plein poumon des :
« ESPECE DE TRAITRES, HONTE A VOUS, BANDE DE SANG-DE-BOURBE, VOUS SOUYEZ MA MAISON AVEC VOTRE SANG IMPUR... »
Mais sa voix fût bientôt étouffée par le rideau que le professeur avait réussit à étaler sur le tableau. Se retournant, il poussa une mèche de cheveux derrière son oreille. Depuis qu'Azaélia avais eu le professeur Lupin en défense contre les forces du mal en 3e année, il n'avais pas vraiment changé, sauf peut-être une air encore plus maladif, une robe encore plus miteuse et rapiécée et des cheveux plus longs.
Avant même qu'elle n'aie eu le temps d'esquisser une phrase, Lupin lui fit signe de le suivre en silence. Ils contournèrent un énorme porte-parapluie en forme de pied de troll et entrèrent dans ce qui semblait être la cuisine. A peine eu-t-elle le temps de franchir le pallier de la porte qu'elle se figea de stupeur.
Je suis désolée si mon chapitre 6 s'est fait un peut attendre mais de nombreuses péripéties on rythmées ma vie ces derniers temps ! :p
Tout d'abord, 3 concerts avec le club musique du lycée, 3 défilés, 8 représentations de théâtre dont 3 scolaires (et dieu sais combien c'est dur). Un passage de justesse grâce à un appel après décision de redoublement de mon conseil de classe, petit passage de déprime, accident de moto de mon père qui doit rester au total 6 semaines à l'hôpital plus 3 semaines de rééducation dans un centre de repos, Maman qui a fait une crise de stress et qui s'est retrouvée 4 jours à l'hopital pendant que la fille du meilleur amis de mon père était à la maison, donc nous avons dû nous débrouiller toutes les deux. Et deux déceptions sentimentales si ce n'est plus.
C'est après ce cours bilan (cette plaidoirie ouai !) que je renouvelle mes excuses pour ce retard. J'ai déjà entamé mon chapitre 7 et j'ai quelques idées pour la suite -) . J'ai eu un mal monstre à choisir le titre de ce chapitre, j'ai faillit le nommer « Aux grand mots les grand remèdes » (la faute est volontaire) ou bien « Il n'y a pas de problème, seulement des solutions », ou bien « Leçons et solutions ». Donnez-moi votre avis sur la question !
Je vous laisse, chers lecteurs, à la lecture de cet opus (héhé, vive le vocabulaire qui claque ! -) ). Mais avant je répond à vos reviews qui me font toujours extrêmement plaisir ! Je les attends à bras ouverts qu'elles soient positives ou négatives, elles m'aiderons à vous fournir un travail de meilleure qualité. Alors faîtes exploser le petit bouton GO en bas à gauche de votre écran quand vous aurez terminé votre lecture !
ET DONC VOICI LE CHAPITRE 6 POUR MON ANNIVERSAIRE AINSI QU'UNE NOUVELLE FIC ! :D
Et voilà vive le blabla !
Réponses aux reviews :
Manchita : Bah moi aussi je me demande Oo lol... Nah c'est parce que mon histoire n'est pas à l'origine avec des personnages de l'histoire, il faud juste lui faire un peut de pub ! -) J'espère que le prochain chapitre te plaira ! :D
Alpo : Voici la suite ! Je la poste pour mon anniv' ! :D C'est mon cadeau ! :D Merci beaucoup pour tes reviews.
Allia : Eh oui, notre regretté MMHP, mais bon... l'ambiance devenais franchement insupportable... Je suis ravie que cette histoire te plaise ! :D Voici la suite ! :D
Chapitre 6 : Découvertes nocturnes
« -Il est temps... »
Azaélia regardais successivement son professeur de soin aux créatures magiques et Dumbledore l'air hébété. Ce dernier semblais désespérément calme et serein alors que dans sa tête tout se bousculais. Il lui adressa un sourire, fit apparaître un fauteuil en face de la jeune fille, s'y assit et invita Hagrid à en faire de même. Prenant une longue inspiration, il s'adressa à elle.
« - J'ai remarqué que depuis ton passage à l'infirmerie, ton petit problème ne s'est pas atténué. Je me trompe ?
-N...Non professeur. C'est même pire de jours en jours, d'heure en heure. Je ne peux plus rester dans le château. Je vous en prie. C'est trop dur... »
Ses yeux s'embuèrent de larmes. Malgré ses efforts, elle ne pouvais s'empêcher de pleurer à la pensée de ce qu'elle ressentais dans ce lieu.
« -Je te comprend. Enfin, autant que faire ce peux mais je crois comprendre ta détresse. Nous allons essayer de remédier à ce problème. Mais nous ne pourrons le faire que provisoirement. »
Elle lui jeta un regard terrorisé.
« -Oui Azaélia, il adviendra un moment que tes pouvoirs arriverons à une puissance telle que l'isolement ne suffira pas à atténuer ta douleur. C'est pour cela qu'il ne faut pas fuir ce don... Mais l'accepter et le contrôler. Il deviendra ainsi une force inégalable. »
L'idée de contrôler ces voix paraissait être un effort sur-humain et impossible. Elle était ébranlé par le fait qu'un jour elle ne pourrais plus fuir ses démons. Mais il fallais être réaliste. Dumbledore avais raison, fuir ne servira à rien. Seul le combat pourra la mener à quelque chose.
« -Mais ce n'est pas la seule chose dont je voulais te parler. Il existe dans notre monde des familles de sorciers très puissants. L'une d'entre elle, la famille Leïteth, détiens à la fois le pouvoir des elfes d'Aglaïmeth et d'une très ancienne famille de sorciers dits « Sang-purs ».
Je vais te raconter une histoire Azaélia. Dans les terres d'Aglaïmeth vivaient depuis des siècles et des siècles quatre communautés d'elfes. Mais avec l'évolution des moldus, les elfes furent contraints de disparaître. Pas comme nous sorciers qui vivons cachés des moldus mais les côtoyant sans cesse, mais en disparaissant, purement et simplement, de la mémoire des hommes. Les terres d'Aglaïmeth furent donc soumises à une sorte de sort de desillusion extrêmement puissant. Dès lors, leur existence fût lentement oubliée. Seuls quelques allusions demeurent d'eux dans des livres d'histoire ou même dans les contes des moldus. Ils devinrent légende, superstitions. Mais leur véritable histoire était entretenue dans les grandes familles de sorciers, de génération en génération.
Il advins un jours que l'on racontas dans l'une d'entre elles, cette histoire à un jeune homme. Issus d'une famille pratiquant la magie noire, l'histoire était entretenue non-pas pour transmettre le souvenir de ces êtres mais plutôt pour mettre en garde les jeunes génération de cette menace contre la magie noire qui était toujours présente.
Le jeune homme, était subjugué par ces êtres. Sa seule obsession était de les trouver, de les rencontrer. Quand il atteignis la majorité, il entama son voyage tant préparé. Non sans la plus grande réprobation des membres de sa famille, naturellement méprisants de la magie blanche.
Quand il atteignis les terres d'Ecosse, il commença ses recherches. Elles durèrent, des jours, des semaines, des mois... Mais ses recherches ne menaient à rien. La forêt était introuvable. Mais bientôt, il ressentis une forte puissance magique, ne voulant pas perdre sa piste, il continua de chercher des jours durant, la puissance augmentais, il cherchais le point culminant de la force.
Un soir, alors qu'il tombais de fatigue, il s'allongea contre un gros chêne et s'endormis aussitôt. A son réveil, il se trouvais dans une épaisse forêt, au bord d'une rivière étincelante. L'eau s'écoulait dans un ruissellement mélodieux qu'accompagnais une douce musique. Se levant doucement, il aperçus une jeune femme, si belle, qu'elle en était lumineuse. Elle jouais d'une sorte de Luth. Le jeune homme tomba instantanément amoureux d'elle, de son visage si doux et si beau, si pur... Soudain elle se retourna, et souris au jeune homme. Elle se leva, le pris par la main et l'emmena. Il arrivèrent bientôt dans une grande clairière, de grands édifices à l'architecture inconnue au jeune homme s'élevaient entre les branche, se mêlant harmonieusement au décors. Elle le fis s'asseoir et contre toute attente, elle s'adressa à lui en Anglais.
Elle lui raconta sa longue vie, chacun posant des milliers de question à l'autre, découvrant ou redécouvrant le monde dont il avais été coupé. Bientôt, le jeune homme fit connaissance avec toute la communauté Leïteth. Un amour pur et sincère naquit entre les deux jeunes gent. Il vécurent heureux dans la forêt enchantée d'Aglaïmeth, mais vint un jours où la famille du jeune homme lui manqua à un point tel qu'il voulus retourner dans sa ville natale. Le cœur déchiré, il ne voulais pas laisser son amour.
La jeune elfe, dont la tristesse meurtrissait le coeur, décida de faire le plus grand sacrifice qu'un elfe peut faire : abandonner son immortalité en sortant des terres d'Aglaïmeth. Le jeune homme ne voulais pas que son aimée fasse un tel sacrifice mais m'elfe avait fait son choix. Avec comme tout bagage un peut de nourriture et d'eau, les amoureux quittèrent les terres d'Ecosse ...
Après plusieurs jours de chevauchée, ils arrivèrent enfin à la demeure familiale. Bien sûr le jeune homme avait peur de la réaction de sa famille, mais persuadé de l'amour que lui portait sa mère, il pensais qu'elle accepterais son union et mettrais de coté sa rancoeur envers la magie blanche pour le bonheur de son fils. Il franchit le seuil de la porte... Fit quelques pas... et dans un bruit de vent et un éclair vert, il tomba à terre... Froid... Mort... Son propre frère l'avais tué... de sang froid...
L'elfes s'enfuit... Sa tristesse ne quitta jamais son coeur... Mais son amour lui avais laissé le plus beau des cadeaux... Un enfant... né de l'amour de deux êtres totalement différents... De Zelinia Leïteth et Orion Black naquit Phillidya Leïteh... »
Le professeur s'interrompis. Hagrid essuya une larme.
« Maman... » Dit Azaélia dans un souffle, comme pour elle-même... Elle essayait d'assimiler toutes ces informations...
« Grand-Mère... C'est pour cela qu'elle allais tout le temps à Aglaïmeth, je croyait qu'elle appelais l'écosse comme çà... Mais elle allais réellement là- bas... Et Grand-Père... Grand-Père... »
Elle fixa les yeux de Dumbledore... Elle n'y croyait pas... Elle descendais d'un... Black ?
« -Eh oui Azaélia, ta grand-mère était une elfe de la communauté des Leïteh et ton grand-père un Black, comme tu dis...
-Elle ne nous as jamais dis... Elle disais toujours que c'était un homme merveilleux... Mais quelle horreur... Cette famille est horrible... Cet homme à tué son propre frère ! »
Des larmes perlèrent au coin des yeux d'Azaélia, pauvre grand-mère, elle avais dû tant souffrir... Soudain, la peur l'envahit.
« -Mais... Mais... Je suis apparentée à Sirius Black ?!?
-Oui... Mais tu es apparentée aux Black comme nombre de sorciers issus de familles dites de « sang-pur ». Tu sais, quand les mariages ne se font qu'entre famille de sorciers de « sang-pur », il n'y a pas beaucoup de choix. »
La jeune fille acquiesça silencieusement, elle ne réalisais pas ce qu'elle venais d'apprendre : elle était la descendante d'un Black et d'une elfe.
Maintenant on pourrais me dire qu'un détraqueurs est aussi doux et innocent qu'un agneau, cela ne me ferais ni chaud ni froid
Dumbledore repris la parole.
« -Ce que je voulais te dire par cette histoire c'est que tu détiens à la fois le pouvoir télépathique et empathique et elfes et à la fois la puissance magique qui coule dans les veines des Black. Et si tu n'arrive pas à maîtriser tes pouvoirs empathiques pour l'instant c'est que tu n'a qu'un quart de sang d'elfe, donc tu n'a pas les capacités physiques pour supporter ce don.
Je me suis penché longtemps sur la question, mais c'était si logique, je me demande comment j'ai fait pour passer à coté si longtemps. »
Une question se posa à Azaélia.
« -Mais... Ma mère n'avais pas ce genre de don... Enfin, pas à ma connaissance...
-Au fond d'elle si, mais ils ne se sont jamais révélés... D'ailleurs, je ne comprend toujours pas pourquoi... Peut-être qu'étant plus vigoureuse que toi par son demis-sang d'elfe, elle a pus ignorer ses pouvoirs et vivre comme une sorcière normale... Mais rien n'est moins sûr... »
Dumbledore soupira, se leva, entrouvris la porte et regarda le ciel. Il la referma, prononça quelques formules, sortis une plume de sa manche et écrivit sur un morceau de parchemin, qu'il sortis également de sa manche, avant de le brûler d'un coup de baguette.
Azélia qui n'avais rien manqué de ce que venais de faire son directeur ne compris pas grand chose mais resta silencieuse, se réchauffant du mieux quelle pouvais.
« -Et si vous nous serviez une autre tasse de thé en attendant nos invités Hagrid? »
Dis-t-il, un sourire espiègle accroché à la bouche.
Elle le regarda d'un air interrogateur.
« -Il semble qu'il te faut trouver un endroit où dormir si tu veux pouvoir essayer de suivre tes cours le plus normalement possible. En journée, tu sera autorisée à venir dans la maison de Hagrid quand tu le voudra, elle est assez éloignée du château et je l'ai soumise à un sort d'isolation mentale qui permettra d'atténuer ta douleur. »
Une question brûlais les lèvres d'Azaélia.
« - Mais, ou est-ce que je vais passer la nuit alors ?
-Tu le saura au moment opportun. »
Lui répondit-il, un petit sourire amusé accroché au visage. D'un mouvement de baguette magique, il fit apparaître une robe et une cape.
Azaélia s'en saisis et passa la robe sur sa chemise de nuit et se couvris de l'épaisse cape d'Hiver. Dumbledore, toujours un sourire aux lèvres se servis une nouvelle tasse de thé.
« -Encore un peu de thé Azaélia ? »
------------------------------------------------------------
Plusieurs longues minutes passèrent, longues. Azaélia, qui avais pourtant eu sa dose de théine pour la soirée, commençais à somnoler dans son fauteuil, la douce chaleur du feu avais réchauffé ses membres engourdis et son ronronnement la berçais. Ici, les voix se faisaient lointaines, presque inaudibles.
Mais bientôt, on frappa à la porte. Azaélia se réveilla en sursaut et Dumbledore se leva pour accueillir le nouveau venu. Dans l'entrebâillement de la porte apparus, un visage ridé, couvert de cicatrices dont un bon morceau de nez manquait. Le professeur Maugrey !
« -Professeur !
-S'il vous plais Mc Tiennan, pas de cela ici, et puis je n'ai pas vraiment eu beaucoup le temps d'enseigner. »
Son oeil magique bleu électrique tournais dans tout les sens dans son orbite pendant que son autre oeil noir la fixais.
Dans son étonnement, Azaélia n'avais pas remarqué qu'un autre visiteur ou plutôt visiteuse suivait son ancien professeur de défense contre les forces du mal. Une jeune femme aux longs cheveux noirs bouclés, les yeux d'un bleu anormal avait fait son apparition.
« -Bonsoir Tonks, bonsoir Alastor... Azaélia, inutile de te présenter monsieur Alastor Maugrey, mais je pense que tu ne connais pas mademoiselle Nymphadora Tonks.
-Appelle-moi Tonks ! »
Lui dit-elle en lui faisant un clin d'oeuil complice.
« -Enchantée ! »
Répondit Azaélia, un sourire sincère accroché aux lèvres.
« -Si Tonks et Alastor sont là ce soir c'est pour t'emmener dans un endroit ou tu sera en sécurité. Tu aura plus de précision arrivé là-bas. Tu y passera le week-end, je pense que ce serais mieux pour toi. Tes professeurs et amis saurons que tu es malade et que tu a besoin de repos. »
Lui dit-il en lui lançant un regard entendus. Elle acquiesça silencieusement.
« -Tu utilisera le portoloin que voici. Bonne route ! »
Maugrey attrapa la chaussette que Dumbledore lui tendais, Tonks posa le doit dessus rapidement imitée par Azaélia.
Azaélia se sentir brusquement comme accrochée par un crochet au niveau du nombril. Quelques secondes plus tard, elle fût projetée contre le bitume recouvert d'une neige sale et à moitié fondue. Elle se releva avec difficulté aidée par Tonks. Ils se trouvaient sur une petite place, des petites maisons individuelles crasseuses les entouraient. Déjà, Maugrey éteignait les réverbères avec ce qui ressemblait à un briquet moldus. Tonks lui tendis un morceau de parchemin où était inscrit « Le quartier général de l'Ordre du Phoenix se trouve 12, square Grimmaud, Londres. ».
« -Lis-le et garde le bien en mémoire. »
Lui chuchota-t-elle à l'oreille.
Azaélia lit. Une porte noire à la poignée d'argent apparue entre le numéro 11 et 13, bientôt apparurent les fenêtres et les murs d'une vieille bâtisse. Maugrey lui pris le parchemin des mains et y mis feu du bout de sa baguette.
Il donna un petit coup de baguette sur la porte, un enchaînement de cliquetis se firent entendre, et entra en lui faisant signe de faire silence. Elle resta dans le hall dans le noir pendant que Maugrey libérais les lumières des lampadaires.
« BLANG ! »
Tonks venait de se prendre les pieds dans quelque chose et laissa échapper un juron. Mais ce n'était rien comparé à ce qui s'échappais du mur à la gauche de Azaélia. Un flot de hurlement plus stridents les uns que les autres ainsi que des injures qu'elle n'avais sûrement jamais entendus envahissaient le hall. Maugrey claqua la porte en jurant et on entendis des pats venant du bout du hall, ils passèrent devant Azaélia et le nouveau venu sembla tirer sur quelque chose qui ressemblais à un rideau.
Soudain, les lampes à gaz qui s'alignaient sur les murs s'allumèrent doucement et Azaélia reconnus avec stupeur le professeur Lupin qui tirais effectivement sur un long rideau rongé aux mites pour recouvrir le portrait d'une vielle femme hideuse qui hurlais à plein poumon des :
« ESPECE DE TRAITRES, HONTE A VOUS, BANDE DE SANG-DE-BOURBE, VOUS SOUYEZ MA MAISON AVEC VOTRE SANG IMPUR... »
Mais sa voix fût bientôt étouffée par le rideau que le professeur avait réussit à étaler sur le tableau. Se retournant, il poussa une mèche de cheveux derrière son oreille. Depuis qu'Azaélia avais eu le professeur Lupin en défense contre les forces du mal en 3e année, il n'avais pas vraiment changé, sauf peut-être une air encore plus maladif, une robe encore plus miteuse et rapiécée et des cheveux plus longs.
Avant même qu'elle n'aie eu le temps d'esquisser une phrase, Lupin lui fit signe de le suivre en silence. Ils contournèrent un énorme porte-parapluie en forme de pied de troll et entrèrent dans ce qui semblait être la cuisine. A peine eu-t-elle le temps de franchir le pallier de la porte qu'elle se figea de stupeur.
