N/a : Bon je sais je suis très très très en retard pour ce chapitre mais bon j'ai deux excuses valables donc personne n'a le droit de me taper !! En fait j'ai eu un virus la semaine dernière donc c'est pas très pratique pour aller sur l'ordi et après y a ma meilleure amie qui est venue chez moi et donc là bah j'ai eu autre chose à faire que de taper ce chapitre désolé yy !!! Mais bon le voilà j'espère qu'il vous plaira à mon avis oui ............. ! Il ne reste plus que deux chapitres le prochain vous l'aurez d'ici une semaine et demi à peu près. Sinon merci aux reviewers pour vos encouragements ! J'espère que l'attente de ce chapitre aura valu quelque chose et que vous le trouverez très bien !!
Merci beaucoup à Vengeresse(t'inquiètes pas il va payer), monistar et sara lya (c'est très très gentil !! ), Tak'( c'est vrai j'me suis trompée dans les couleurs !!), Kero Vs Sac d'OS( contente pour toi que tu sois plus punie sinon c'est la galère !! moi aussi jsuis en vacance et bien contente de l'être d'ailleurs !! bisous), shetane(mentieva j'y avais même pa pensé que ça ressemblait au nom de la joueuse !! Quand au baiser ba oui ils sont chou !! très chou et .......), Sigridia(Modeste moi ?? peut-être mais bon je vais pas non plus hurler sur tout les toits wesh j'adore le chapitre que je viens d'écrire il est digne de J K R !! lol ! voilà jviens de lire ta new fic et ..... de toute manière jtai laissée une review !!! ), Agua(Espèce de petite ventarde va !! nan la zic de freaky Friday est génial c'est normal que tu l'aimes même si t'as pas vu le film qui sort le 26 juillet en dvd d'ailleurs ou le 27 je sais plus enfin bref une date dans ce goût là quoi !!), m4r13( oui je suis tout à fait d'accord avec toi on aimerait tous parler une dernière fois avec les gens qu'on aimaient qui nous ont quitté ........ ça y est j'ai envie de pleurer !!!), Lunattica( merci pour tes encouragements désolé encore pour le retard). Enormes bisous à tous ! u
Rappel sur la fin du chapitre 5:
Kiana avait pris ma main dans la sienne puis celle de draco, de façon à ce que nos deux mains se touche et, les avaient serrées entre ses doigts. Puis elle nous avait dit que notre amour était un don du ciel, qu'il fallait qu'on en profite et qu'on soit heureux ensemble.
Soudainement, elle avait disparu, sans bruit calmement, nous laissant profiter de ce moment de complicité entre nous.
Chapitre 6 for you and for me
Draco m'avait attiré contre lui et serré contre sa poitrine, j'avais respiré avec délectation sa douce odeur chaude et sucrée, il sentait un mélange de vanille, de noix de coco et de fleurs des îles. Son parfum m'avait enivré, je n'avais eu qu'une envie c'était de rester là toute ma vie et d'oublier le monde extérieur si dur et barbare, je n'avais pas envie d'affronter à nouveau la réalité, j'avais envie dans la douceur et la chaleur de ses bras accueillants.
Mais, malheureusement comme tout les bons moments ont une fin, celui-ci n'échappa pas à la règle et nous avions entendu le professeur Dumbledore toussoter discrètement pour nous faire redescendre sur terre.
- Je suis obligé d'interrompre vos retrouvailles mais je pense que nous devrions tous réfléchir au problème Lucius Malefoy, car il représente bel et bien un problème, nous fit remarquer le directeur, je pense qu'il apprendra assez rapidement votre réconciliation et cela m'étonnerait beaucoup qu'il apprécie, et il y a donc de grandes chances pour qu'il vienne ici pour essayer de se venger, je ne crains pas pour votre sécurité mais pour la sienne....
- Pardon comment ça vous craignez pour sa sécurité on s'en contrefiche de sa sécurité à celui-là, de quel coté êtes-vous du sien où du notre, demandais- je brutalement.
- Du votre bien entendu Miss Granger calmez-vous voyons, je ne veux pas que vous agissiez contre lui sans réfléchir voilà tout, personne ne mérite de mourir tant que son heure n'est pas venu, répondit Dumbledore pour tenter de me calmer, et je ne pense pas que la sienne soit venue.
- Je vous trouve bien impoli miss Granger si ça ne tenait qu'à moi cela ferait longtemps que vous seriez collée pour une semaine au moins pour manque de respect à un professeur, dit le professeur Rogue d'une voix doucereuse, ce n'est pas parce que vous avez une histoire de cœur un tant sois peu importante et qui méritait vaguement qu'on s'y intéresse, que vous devez vous croire tout permis et nous parler comme vous le voulez.
- Mais cela ne tient pas qu'à vous donc cela ne sert à rien de me menacer alors que vous n'avez pas le droit de nous punir, répliquais-je énervée, et si notre histoire ne vous intéresse pas vous n'avez qu'à partir au lieu de rester là et de m'invectiver.
- Parlez moi correctement ou sinon vous le regretterez, me menaça à nouveau le maître des potions en me lançant un regard assassin, vous n'êtes qu'une élève je vous rappelle et donc vous nous devez obéissance et respect et pas seulement lorsque vous êtes en cours en train de faire votre miss je-sais- tout....
- Severus cela suffit, coupa sèchement le professeur McGonagall agacée, arrêtez donc de menacer Miss Granger elle a assez subi d'émotions fortes pour ce soir, ne chercher pas en plus à la faire sortir de ses gonds juste pour pouvoir lui donner une punition sous prétexte qu'elle appartient à la maison des Gryffondors.
- Promettez-moi s'il vous plaît que vous n'agirez pas selon votre cœur et vos émotions lorsque votre chemin vous fera croiser celui de Mr Malefoy senior, repris le vieux sorcier d'un ton pressant, je ne voudrais que vous ayez à le regretter et que votre conscience soit trop lourde à supporter.
Nous n'avions pas pris la peine de répondre, ne voulant pas lui mentir et nous nous étions donc dirigés d'un même pas vers la porte, lorsque celle-ci avait été éjectée et avait atterrie au milieu de la pièce, nous évitant de justesse, laissant un épais nuage de poussière et de gravas derrière elle. Au bout de quelque seconde la poussière s'était dissipée et avait laissé place à la silhouette élancée de Lucius Malefoy, dans l'encadrement de la porte, plus furieux que jamais il nous toisait de son regard froid, calculateur et menaçant, il avait soudainement fait un bond en avant tout en me lançant un doloris sans que personne puisse l'en empêcher et que je n'avais pas pu éviter à cause de l'effet de surprise.
J'avais alors eu l'impression que des lames chauffées à blanc transperçaient chaque centimètre de mon corps, que mes os étaient en train de se consumer et que ma tête allait explosé tellement je souffrais.
Puis tout s'était arrêté, cela n'avait du durer que quelques secondes mais celle-ci m'avait paru durer une éternité, je n'avais pas eu le courage d'essayer de me relever pour faire face à la situation, je me trouvais lâche mais je souffrais trop pour que cette idée de lâcheté me révulse et m'oblige à me relever et à me battre contre celui qui avait hanté mes nuits et mes jours depuis six ans, contre celui qui avait gâché mon adolescence et l'avait transformé en cauchemar.
Mais j'avais senti deux bras protecteurs m'entourer, et Dray m'avait murmuré des paroles apaisantes. Je l'avais senti me soulever et me reposer sur mes jambes qui étaient prises de tremblements incontrôlables, j'avais l'impression qu'elle étaient faites de coton et que s'il me lâchait je tomberait aussitôt.
Lorsque j'avais enfin réussi à retrouver le contrôle de mon corps, j'avais relevé la tête pour observer la scène qui se déroulait à côté de nous, j'avais vu les professeurs Rogue et McGonagall leurs regards étincelants de haine et de mépris étaient posé sur le corps de Lucius plaqué contre le mur, ses cheveux d'habitude si lisse et bien coiffé était emmêlé, partant en tout sens et sa robe de sorcier si impeccable en arrivant dans la pièce était déchiré à plusieurs endroits et salie, devant lui se tenait Dumbledore sa baguette magique pointée sur la poitrine du mangemort, une étrange et impressionnante aura de puissance indéfinissable émanait de lui.
Dray s'était alors jeté sur son père, ayant la ferme intention de le réduire en bouillie, à main nue s'il le fallait. Je m'étais donc jetée sur son père à sa suite, donnant à mon ennemi un coup de pied mal placé qui l'avait fait se raidir sous la douleur, tandis que nous le frappions dans l'idée de lui rendre toute la souffrance que nous avions ressentie, le professeur Dumbledore nous avait fait lévité et déposé au centre de la pièce de façon à ce qu'il soit entre notre ennemi et nous.
D'un même mouvement nous avions alors sorti nos baguettes magiques et au moment où nous nous étions apprêtés à lui lancer un sortilège mortel, nos trois professeurs nous les avaient enlevées et le professeur Dumbledore avait tenté de nous calmer en nous expliquant le pourquoi de leurs gestes.
- Vous devez bien comprendre qu'il ne mérite pas que vous le tuiez, il ne vaut pas que vous deveniez des assassins, vous ne devez pas vous rabaisser à son niveau en le tuant malgré tout ce qu'il a pu faire comme mal, vous n'avez pas à décider de qui mériterait la mort et de qui mériterait la mort. Ni vous, ni moi, ni personne d'autre. Il doit être arrêté et jugé pour ses crimes, il faut que tout les sorciers et sorcières qui le considéraient comme quelqu'un de bien le voie tel qu'il est c'est à dire un meurtrier. Ne vous salissez pas les mains à cause de la haine que vous éprouvez.- Vous ne comprenez pas à quel point il nous a fait souffrir et combien ce qu'il a fait est horrible, m'écrirais-je hors de moi, ma vie a été un enfer ces six dernières année à cause de cet homme ...
- Et la mienne aussi, enfant, j'avais peur de me retrouver seul avec lui car je craignais qu'il ne me frappe avec sa canne ou un fouet ou encore ne me lance des sorts de magie noir, cria Draco ses yeux gris lançant des éclairs haineux, j'étais obligé de me cacher dans les placards ou sous mon lit pour lui échapper, parfois il m'enfermait plusieurs jours à la cave en ne me nourrissant presque pas jusqu'à ce que ma mère réussisse à le convaincre de me faire sortir !
- Et vous croyez donc qu'à cause de cela il mérite de mourir ?, nous demanda le professeur Dumbledore en nous lançant un regard perçant par dessus ses lunettes en demi-lune.
- Et bien oui, tout à fait, il ne mérite pas mieux, il n'a pas sa place sur terre, dis-je en relevant le menton dans une attitude de défi.
- Moi je ne sais pas vraiment, mais bon, s'il va en prison et qu'il arrive à s'échapper ? Je préfère le savoir mort et pouvoir vivre tranquillement que de me demander s'il ne va pas à tout moment s'évader et venir nous tuer, fit remarquer Dray une lueur d'inquiétude passant dans ses prunelles.
- Miss Granger croyez-vous vraiment qu'il n'y a rien de pire que la mort ? Et bien si vous pensez que non je peux, moi, vous assurez que si, une vie passée derrière les barreaux d'une prison n'est pas une vie, surtout si cette prison se trouve être celle d'Azkaban, affirma le vieux sorciers, je peux néanmoins vous faire la promesse qu'il ne s'échappera pas, j'y veillerai.
J'étais assez sceptique de la véridicité de ses paroles, comment et pourquoi le plus grand sorcier veillerait à ce qu'un prisonnier d'Azkaban ne s'échappe pas, mais d'un autre coté j'avais confiance en lui, en son pouvoir et en sa générosité. J'avais donc abaissé ma baguette, tout en fusillant du regard le mangemort et en lui lançant une insulte bien sentie. Le directeur avait alors pointé sa propre baguette sur Lucius Malefoy en récitant une formule qui avait fait apparaître de solides cordes argentées qui s'étaient enroulées autour de lui en le maintenant fermement contre le mur. Puis les trois professeurs sortirent de la pièce, Rogue en tête faisant léviter leur prisonnier. Dumbledore s'était retourné et nous avait dit :
- Vous avez subi un grand choc ce soir, vous devriez rester ici pour en discuter et vous reposer, cela vous permettra d'assimiler et d'accepter plus facilement les évènements de ce soir.
- Merci de nous permettre de rester ici cette nuit, répondis-je reconnaissante.
- Je vous préviendrais dans les jours qu'y vienne de la date du procès de Lucius Malefoy, je pense qu'il faudra que vous veniez témoigner, expliqua calmement notre directeur.
- Très bien, merci pour tout ce que vous avez fait pour nous aujourd'hui, dit Draco les yeux étincelants de soulagement.
- De rien, c'est normal voyons, allez passer une bonne nuit, dit Dumbledore en souriant.
Il était sorti de la pièce et avait fermé à clé la porte derrière lui. Draco s'était avancé vers moi, avait glissé ses mains autour de ma taille et s'était penché pour m'embrasser. J'avais eu l'impression que mon cœur allait exploser tellement il battait vite, mes mains s'étaient naturellement glissée sur sa nuque comme pour l'empêcher d'interrompre notre baiser. Alors que nos lèvres s'étaient détachées, il m'avait murmuré un « je t'aime » rempli de tendresse et d'amour, j'avais alors senti un frisson remonté le long de mon échine, mon cœur battait la chamade et ma respiration s'était accélérée sous le coup de l'émotion.
- Moi aussi je t'aime depuis toujours malgré nos disputes et notre haine apparente je t'aimais et je t'aimerais toujours n'en doute jamais, lui avais-je susurré.
Il m'avait alors à nouveau embrasser, au fur et à mesure le baiser se fit plus pressant, puis Dray avait commencé à me déposer de léger baiser le long de mon cou, tandis que des soupirs de plaisirs s'échappaient de ma bouche ses baiser étaient devenus plus insistants laissant une légère trace humide sur son passage, il avait glissé ses mains dans mes cheveux enlevant les quelques attaches qui maintenait ma coiffure en place puis ses mains avaient glissé sous mon débardeur et avaient caressé mon dos me faisant tressaillire au moindre mouvement de ses mains sur ma peau nue.
Dray s'était reculé vers le lit et nous nous étions allongé dessus tandis que ses caresses se faisaient plus insistante. Mais sans prévenir, je m'étais relevée et m'était appuyée contre le bord de la cheminée de l'autre coté de la pièce.
Draco s'était relevé et approché de moi, se tenant à une certaine distance puis m'avais chuchot :
- Mione tu sais que je ne ferais rien que tu ne veuilles pas, on est pas presser on est plus à quelques semaines ou mois près maintenant. J'attendrais le temps qu'il faudra, tu me crois n'est-ce pas ?- Oui, bien sur que je te crois j'ai confiance en toi, avais-je dit pensive, mais je ne sais pas je pense beaucoup à ce qui s'est passé ce soir et ....
- C'est normal ne t'inquiètes pas, nous allons gentiment passer la soirée à discuter puis nous dormirons, dit-il en me prenant dans ses bras.
Nous avions alors passé plusieurs heures à discuter des évènements de ce soir mais aussi de ce qui avait fait nos vies ces six dernières années.
Il était environ minuit lorsque j'avais eu une irrésistible envie de danser un slow avec lui avec ou sans musique ça m'était égal mais il fallait que je danse serrée contre son torse à l'abri de ses bras. Je l'avais alors entraîné au milieu de la pièce là où elle est là plus large et nous nous étions mit à danser un doux slow, il me fredonnait une douce chanson à l'oreille qui m'avait envoûté, puis j'avais commencé à bouger lascivement contre lui laissant mes mains découvrirent la douce peau de son dos, il s'était penché vers moi et m'avait suçoté l'oreille, puis m'avait doucement embrassé, mes gestes s'étaient faits plus insistant lorsqu'il m'avait attrapé les poignets en me disant :
- Si tu veux que je puisses un minimum me contrôler il vaudrait mieux que tu évites de faire ça.- Peut-être que j'ai changé d'avis, car la seule chose qui me retenait, s'était que j'avais besoin de parler mais maintenant que nous avons discuté .... ,dis-je tout en me frottant contre lui.
- Tu es sur de toi, m'avais-t-il demandé doucement, je ne voudrais pas que tu le regrettes après ça serait dommage.
Pour toute réponse je m'étais mise à déboutonner sa chemise tout en embrassant les parcelles de peau que je découvrais, il avait une peau douce, laiteuse et sucrée, tandis que mes lèvres parcouraient sa poitrine il avait détaché la jupe que je portais, celle-ci avait glissé à terre bientôt suivie par sa chemise, que j'avais finie de détacher, par mon petit débardeur rose, puis par son jean qui rejoignit vite fait les autres habits sur le sol dès que j'avais fini de me battre contre ses boutons. Il m'avait alors pris dans ses bras et m'avait déposé sur les draps en soie verte.
Mes mains parcoururent son torse minutieusement tandis que Dray déposait de légers baisers sur tout les carré de peau à sa portée laissant une légère traînée humide sur ma peau.
Puis nos lèvres s'unirent à nouveau montrant tout notre amour et l'espoir que nous avions d'avoir un meilleure avenir ensemble que les vies que nous avions vécus séparément ces dernières années. Puis nos caresses avaient repris tout doucement, pleines de tendresses, nos respirations s'étaient accélérées, les derniers vêtements qui nous recouvraient avaient été jeté au milieu de la pièce nos baiser s'étaient fait plus brûlants et nous nous étions abandonnés l'un à l'autre, cela avait été notre nuit et personne ne pourrait jamais nous la prendre.
Notre première nuit avait été magique, un mélange d'amour, de tendresse et de confiance.
J'ai eu du mal à l'écrire mais je suis contente de ma fin c'est déja un bon point !! J'espère qu'il vous aura plu !
Bisous
