N/a: Bon je vous laisse un petit mot très rapide parce que là il est 1h30 du matin et demain je dois me lever à 7h30 donc voil !!! ce chapitre est très long et j'espère qu'il vous plaira !!!
Je n'ai pas le temps de répondre aux reviewers ce soir donc je réécrirais ce chapitre d'ici un ou deux jours avec les réponses aux reviews sachez qu'elles m'ont fait très plaisirs !!
Voilà gros bisous
Rappel sur la fin du chapitre précédent :
nos baiser s'étaient fait plus brûlants et nous nous étions abandonnés l'un à l'autre, cela avait été notre nuit et personne ne pourrait jamais nous la prendre.
Notre première nuit avait été magique, un mélange d'amour, de tendresse et de confiance.
Chapitre 7 When the cat's away the mice will play :
Lorsque j'avais été réveillée le lendemain matin par les chauds rayons du soleil de fin mai, je m'étais sentie étrangement bien et quand le doux souffle de Dray m'avait chatouillé le cou, la soirée que nous avions passé ensemble m'était aussitôt revenue en mémoire. Tandis que je lâchais un soupir de bonheur Dray, qui s'était réveillé, s'était mis à me mordiller le lobe de l'oreille puis à me faire de doux et aériens baisers dans le cou.
- Alors bien dormi mon amour ? Demandais-je avant de l'embrasser doucement, personnellement j'ai dormi comme un béb !
- Est- ce qu'on t'as déjà dit que tu ressembles à un ange quand tu dors, surtout à l'aube, quand tes traits sont doux et réguliers, que tu as un léger sourire sur les lèvres et que tes cheveux sont étalés autour de ton visage, les particules de lumière du lever du soleil qui entre par la fenêtre font briller tes cheveux et donnent l'impression de se poser sur tes cils pour éclairer ton si beau visage, me murmura-t-il avec amour redessinant avec son doigt les contours de mon visage, tu es si belle mon ange.
Nos lèvres s'étaient à nouveau scellé, dans un élan d'amour et de désir, nos mains cherchant à redécouvrir le corps de l'autre, lorsqu'un bruit à la fenêtre nous avait coupé dans notre élan, s'était un majestueux hibou grand duc de l'école qui attendait patiemment que la fenêtre lui soit ouverte.
Je m'étais levée tirant avec moi le drap de soie pour l'enrouler autour de moi mais Dray prétextant un froid polaire dans la pièce s'était serré contre moi et avait enroulé le doux tissu autour de nous.
Une fois la lettre en notre possession, l'oiseau nous avait lancé un regard courroucé lorsque Dray avait commencé à me chatouiller me faisant glousser et m'empêchant de prendre la missive des pattes du hibou agacé.
Le parchemin était signé par Dumbledore, il était écrit :
« Miss Granger, Mr Malefoy,
Je tenais à vous préciser que M. Lucius Malefoy est sous la surveillance des aurors: Nymphadora Tonks, Kingsley Shacklebot et Alastor Maugrey.
Ce sont des aurors de confiance, à qui je confierais ma vie s'il le fallait. Ils veilleront donc parfaitement à ce que M. Malefoy ne puisse s'enfuir en attendant son procès.
Le ministre de la magie M. Cornelius Fudge doit ce matin même me rejoindre dans mon bureau à 8h30 précise pour pouvoir discuter de son jugement et de la date de celui-ci c'est donc pour cela que votre présence est chaudement recommandée. Soyez à l'heure.
Albus Dumbledore. »
- C'est dommage que l'on soit si pressé, j'avais un programme assez intéressant pour nous à la place, dit Dray un sourire coquin sur les lèvres, mais bon comme il est déjà 6h45 et que lorsque je prends une douche, je suis très mais alors très lent et bien il va falloir remettre ça à plus tard et je vais devoir aller prendre une douche tout seul comme un malheureux que je suis, c'est triste.
- Ne rigole pas avec ça, si on continue comme ça on va être en retard et si on l'est Fudge va être de mauvaise humeur, il ne va pas être en notre faveur, il va tout faire pour montrer que nous ne sommes que de stupides adolescents, dis-je stressée, et ….
- C'est bon ma puce, calme-toi, on sera à l'heure ne t'inquiètes pas comme ça, tu as largement le temps de prendre une douche avec moi pour te relaxer, puis de mettre ta plus belle robe, de te coiffer comme une princesse et de petit déjeuner, me fit-il remarquer en me prenant dans ses bras pour me détendre, ne stresse pas à cause de cette entrevue, tout va bien se passer, Fudge va être content que mon père ai été arrêté, il va nous féliciter ou quelque chose comme ça et on pourra passer un dimanche tranquille à flâner dans le parc ou à s'enfermer ici pour discuter, s'embrasser enfin profiter l'un de l'autre.
- Moui, tu as raison, dis-je d'une toute petite voix de souris, mais et si ….
- Non pas de si aujourd'hui, me coupa-t-il fermement mais gentiment, avec des si on pourrait refaire le monde, donc ça ne sert à rien de dire si. Ok ?
- Ok, murmurais-je.
- J'ai mal entendu, tu as dit quoi ? Me demanda-t-il en souriant.
- OK ! Hurlais-je essayant de contrôler le début de fou rire que je sentais naître, d'accord, alors on va la prendre cette douche ou tu comptes rester là à discuter ?
- Evidemment que je veux la prendre cette douche, s'exclama-t-il, allez hop on y va !
Il m'avait alors porté jusqu'à la magnifique salle de bain des préfets, qu'il avait verrouillé derrière nous, nous assurant ainsi une parfaite tranquillité.
Pendant qu'il faisait couler notre bain, après avoir changer d'avis sur la douche, je m'étais assise sur une pile de moelleuses serviettes blanches et je m'étais perdue dans des pensées très peu optimistes, je pensais à comment pourrais se dérouler le procès de son père, parce qu'il y avait trop de sorciers et sorcières du ministère qui croyaient encore en son innocence et c'était ce qui me faisait peur, ce qui rendrait ce procès long et incertain de la décision qui devra être prise à la fin. S'il ne le condamnait pas à la prison à vie et au retirement de ses pouvoirs magiques, c'était une potion qui avait été découverte en début de notre sixième année qui permettait de retirer ses pouvoirs à un sorcier condamné à la prison à vie ou aux bannissements du monde magiques, alors je ne savais pas ce qu'on deviendrait car j'étais incapable de m'imaginer vivre dans un monde où Lucius Malefoy serait un homme libre.- Hey ! Ma puce qu'est-ce qui se passe ? Me demanda soudainement Draco en s'approchant de moi.
- Rien je me disais que si ton père n'est pas condamné alors qu'est-ce qu'on fera ? Lui demandais-je essayant de retenir un sanglot de rage et de peur.
- Je ne sais pas mais il sera condamner, ne t'inquiètes pas Dumbledore nous l'a promis, tu te souviens ? me dit-il tout en me berçant pour calmer mes sanglots
- Oui je sais, il faut que j'arrête d'y penser et nous verrons bien le moment venu, dis-je calmée, il faut profiter du moment présent.
- Oui, et justement notre bain est prêt, fit-il remarquer en souriant, alors allons en profiter.
Nous avions alors passé presque une heure à nager tellement le bain était grand et profond, à se laver avec tous les savons parfumés que nous avions trouvés, à s'embrasser et à parler de tout et de rien, de notre avenir, de notre passé, de ce que nous aurions aimé faire dans les jours qui suivaient . Puis nous avions essayé de nous mettre d'accord sur le fait de montrer à toute l'école que nous sortions ensemble, et il avait fini par l'emporter, m'avait pris par la taille et nous étions entrés dans la salle qui était presque vide étant donné que nous étions un dimanche matin à 8h00, les trois quarts des élèves de l'école devaient encore être en train de dormir. Mais notre entrée avait quand même été très remarqué puisque lorsque les portes s'étaient ouvertes pour nous laisser entrer un silence surpris puis un bourdonnement s'était fait entendre dans la salle, les quelques élèves présents dont des serpentards et des gryffondors nous montraient du doigt tout en chuchotant très peu discrètement avec leur voisin.
L'ambiance assez pesante avait disparu grâce à l'arrivée de Dumbledore accompagné de M. Fudge, qui étaient venu prendre leur petit déjeuner ensemble avant leur entretien.
Dray et moi nous nous étions tous les deux assis à la table des gryffondors jusqu'à ce que Harry se soit avancé calmement vers nous et nous avait dis qu'il ne fallait pas abuser non plus que même dans les autres maisons lorsque deux personnes sortaient ensemble ils s'asseyaient que très rarement à la même table, et donc si nous voulions le faire, il vaudrait mieux attendre que nos condisciples se soient habitués à notre couple. J'avais donc pris mon petit déjeuner avec Harry, je lui avais raconté notre soirée enfin le début puis, je lui avais confié à quel point j'étais nerveuse d'aller parler de Lucius Malefoy devant le ministre de la magie qui ne m'aimait pas beaucoup vu les regards qu'il m'avait lancés en entrant dans la grande salle.
- C'est de ma faute, pardonne-moi Mione, dit Harry d'une voix rempli d'amertume, c'est à cause de moi car Fudge me déteste et comme tu es ma meilleure amie et qu'il le sait, et bien il ne t'aime pas.
- Ne dis pas de bêtises Harry, je t'ai défendu devant lui et il n'a pas aimé que j'appuie tes dires en 4ième année par exemple lorsqu'on disait que voldemort était de retour et qu'il ne nous croyait pas c'est à partir de ce moment qu'il nous a détesté, dis-je fermement.
- Il est 8h20, tu devrais aller chercher Malef… pardon Draco pour rejoindre Dumbledore et Fudge car ils viennent de quitter la grande salle, me fit gentiment remarquer mon ami.
- Oui j'y vais mais d'abord je voulais te dire que Ron et toi ne devez surtout pas vous sentir obligés d'appeler Draco par son prénom, dis-je, ce n'est pas parce qu'on sort ensemble que vous devez devenir son ami si vous ne le voulez pas, il faudrait juste que vous ne l'insultiez pas et ça suffira.
- Vas-y et moi ça ne me dérange pas de l'appeler par son prénom, je convaincrais Ron dans faire autant, m'affirma-t-il sur de lui, allez vous aller être en retard.
Je m'étais précipitamment levée et avais couru tout en trébuchant vers la table des serpentards où j'avais été accueillie par une flopée de regards assassins, pour eux c'était comme si je leur avais volé leur prince car Dray était presque considéré comme le roi chez la maison aux serpents et surtout grâce à l'influence, néfaste pour lui, de son père mais aussi parce qu'il était le chouchou de Rogue le professeur le plus froid et distant de Poudlard.
Il m'avait tranquillement attrapé la main et nous avions parcouru les couloirs du château jusqu'au bureau de Dumbledore, mais une fois arrivée là-bas notre problème fut le mot de passe car nous ne le connaissions pas mais Rogue en était sorti à ce moment là, l'air mi-furieux mi-heureux mélange assez difficile d'émotions il faut bien l'avouer, nous disant sèchement que le mot de passe était bulles baveuses et que nous étions déjà en retard car nous aurions du arriver avant le professeur Dumbledore et M. le ministre cela lui aurait donné meilleure impression. Puis il était parti dans un tourbillonnement de ses longues capes noires, nous laissant devant la statue, assez inquiets sur la tournure que prendrait les évènements.
- Bon on devrait peut-être y aller parce que là on va vraiment être en retard, dit Draco, mais ne fais quand même pas attention à ce qu'à dit Rogue ce mec là ne sera jamais capable d'être gentil et encourageant sauf avec moi à une certaine époque mais à mon avis plus maintenant !
- Ok, bulles baveuses, récitais-je en essayant de contrôler le tremblement dans ma voix.
Nous étions donc entrés dans le majestueux bureau ou nous avions été salués très chaleureusement par notre directeur mais par-contre le ministre nous avait à peine adressée un signe de tête tout en disant d'une voix glaciale que nous aurions du arriver à l'heure.
- Mais nous sommes à l'heure puisqu'il est 8h28 et que nous devions être ici à 8h30, dit Draco brusquement, alors vous êtes priés de ne pas passe votre mauvaise humeur sur nous .
- Jeune homme je vous prierais de me parler sur un autre ton, averti Fudge, ou sinon ….
- Oui ou sinon quoi ? Demanda sèchement le jeune serpentard, vous nous menacer ou je rêve ?
- Je suis un adulte, qui plus est, je suis le ministre de la magie vous me devez donc un certain respect, répliqua le ministre agacé, asseyez-vous maintenant.
- Et parce que vous être ministre je vous dois plus de respect à vous qu'à un autre ? Demanda Dray sur la défensive, je ne crois pas vous voyez, vous ne méritez pas que je vous respecte plus que n'importe quelle personne que je croiserais. !
Eh bien oui vous me devez …….- Cela suffit maintenant M. Malefoy calmez-vous, je vous prie, les coupa le professeur Dumbledore tout en lançant un regard sévère à Draco, et vous M. le ministre je ne pense pas que vous soyez venu pour vous disputer avec mes élèves, donc parlons plutôt de l'affaire qui vous amène ici.
- Oui, vous avez en effet raison, discutons plutôt du père de ce jeune homme et de son futur jugement ainsi que celui de M. Draco Malefoy ici présent, dit M. Fudge fier de lui.
- QUOI ??????? Comment ça mon jugement c'est une blague bien sur, s'exclama Draco qui commençait sérieusement à s'énerver, pourquoi est-ce que je devrais être jug ? Quel crime ai-je commis ?
- Vous avez protégé votre père lorsqu'il a commis ses crimes en ne lé dénonçant pas aux aurors, dit Fudge d'une voix cassante, vous devez donc être jugé et puni pour cela.
- Enfin monsieur le ministre ça n'était qu'un enfant, il ne pouvait rien faire contre son père, il était sous son influence, de toute manière il est mineur il n'a donc pas à aller devant la justice pour payer les crimes de son père mais pour témoigner contre lui, répliqua calmement Dumbledore, il n'est pas coupable d'avoir cacher des meurtres puisque son père le menaçait et mettait ses menaces à exécution lorsqu'il ne lui obéissait pas, il ne pouvait donc rien dire.
- Je pense quand même que ce jeune homme est coupable de …….
- Il n'est pas coupable je m'en porterais garant devant la cour s'il le faut, le coupa fermement le vieux sorcier, passons donc au cas de son père et décidons d'une date de jugement qui permettrait à mes deux élèves de témoigner contre lui.
- Très bien passons au cas de M. Malefoy père, alors nous sommes le 24 mai, le jugement ne peut avoir lieu avant la fin de leur année scolaire puisque ……..
- Si cela serait mieux pour eux s'il était jugé avant leurs examens ils pourront ainsi les passer dans un meilleur état d 'esprit que s'ils se demandent comment va finir toute cette histoire et je tiens à ce que leurs examens soit très réussi puisque c'est une partie de leur avenir qui est en jeux, dit Dumbledore.
- Oui c'est comme vous voulez, je m'occuperais donc de ce procès des que je serais de retour au ministère et je me débrouillerais pour qu'il est lieu cette semaine où en début de semaine prochaine, dit Fudge tout en grimaçant légèrement montrant qu'il n'aimait pas du tout faire plaisir à Dumbledore.
- Très bien, je pense que nous pouvons libérer mes deux jeunes élèves pour qu'ils puissent profiter de ce magnifique dimanche après-midi, s'exclama gaiement le directeur.
Oui et bien moi je vous laisse dès maintenant beaucoup de lettres m'attendent au ministère pour que cette affaire soit réglée au plus vite, répliqua sèchement le ministre,- et puis je vais devoir accepter l'interview de la gazette du sorcier et…. Enfin bref j'ai beaucoup de travail. Dumbledore, jeune gens, à bientôt.
- En effet à très bientôt j'espère M. Fudge, dit tranquillement Dumbledore.
- Au revoir M. le ministre, avons-nous dit à l'unisson d'une voix monocorde.
- Je n'ai qu'un seul conseil à vous donner pour le procès, nous dit le professeur Dumbledore, c'est de dire la vérité quoi qu'il arrive et puis surtout de ne pas trop vous en faire car cela se passera très bien. Profitez de votre journée maintenant.
Nous étions sortis tout les deux plongés dans nos pensées, je sentais que Dray était encore furieux à cause du comportement de Fudge et moi j'avais essayé de reléguer très loin au fond de moi le sentiment de peur qui commençait à pointer le bout de son nez et qui ne présageait rien de bon pour mon état mental d'ici le procès.
La journée et la semaine qu avait suivi avait été très calme en comparaison à notre soirée de la veille, seul les disputes entre gryffondors et serpentards avaient mis une ambiance encore plus pesante sur les deux maisons.
Nous avions été prévenus de la date du procès une journée avant, il devait avoir lieu le vendredi 29 mai à 9h00 précise comme nous l'indiqua gentiment Dumbledore. Nous devions y aller par la poudre de cheminée en passant par le bureau de notre directeur, qui nous accompagnerait ainsi que les professeurs Rogue et McGonaggall puisqu'ils avaient assisté à toute la scène qui avait eu lieu à Poudlard.
Le matin du jugement mon ventre était noué, j'avais à peine réussi à dire bonjour à Dray et aux professeurs tellement j'étais nerveuse, et les paroles de mon petit ami n'avaient eu cette fois aucun effet sur mon stress, je ne pourrais me calmer qu'une fois sortie de la salle du jugement et à condition bien sur que le verdict nous soit favorable.
Une fois arrivée là-bas nous avions été installés sur les bancs au coté des mages et sorcières qui devaient présider et faisaient partis de l'assemblée. L'entrée de Lucius Malefoy, encadré pas les trois aurors en qui j'avais confiance, marqua le début du procès où il fut cité une longue liste de crimes commis par l'accusé puis un nombre élevé de témoins appuyèrent les faits, et lorsque les juges avaient du voter à main levée pour son enfermement à la prison d'Azkaban ainsi que le retirement de ses pouvoirs magiques à vie avaient été voté à l'unanimité.
A la sortie de la salle beaucoup de sorciers et sorcières étaient venus nous saluer et nous féliciter d'avoir contribuer à son arrestation. Mais je me sentais mal à l'aise d'être saluée et presque applaudie alors que d'avoir du entendre la liste des crimes de Lucius Malefoy avait été une souffrance pour moi puisque dedans il y avait l'assassinat de Kiana.
Sentant mon malaise Draco m'avait tiré à l'écart, prise dans ses bras et murmur :
- Je crois que tu as passé assez de temps à regretter le passé et à pleurer Kiana, souviens-toi de ce qu'elle nous a dit, il faut qu'on vive notre vie maintenant. Tu dois faire ton deuil.
- Je sais mais c'est si dur certains jours de se dire qu'il faut avancer et ne pas regarder en arrière, murmurais-je les larmes aux yeux, j'ai l'impression de couler et qu'il n'y a personne pour m'en empêcher.
- Moi je suis là et c'est tout ce qui compte, tu n'es pas toute seule et ne le seras jamais, je te le promets, me dit-il en se penchant vers moi pour m'embrasser.
Puis la fin de l'année avec nos examens étaient arrivés plus vite que nous ne l'avions prévu, avaient suivies les vacances d'été avec nos rendez-vous quotidien dans notre repère secret, nos ballades dans la propriété de Draco et la rencontre entre mes parents et lui. Ils se connaissaient déjà mais le souvenir que mes parents avaient gardé de la famille Malefoy était plus que mauvais et la rencontre avait été plutôt tendu.
Puis était arrivée la rentrée et un longue année pleine de disputes, de rendez-vous, de nouvelles amitiés, de stress pour notre avenir qui se profilaient à l'horizon et pour les examens de fin d'année, du bonheur pendant l'organisation du bal de fin d'année et de la remise de nos diplômes si durement acquis.
Il était 19h00, nous étions début juillet et la remise des diplômes venait de commencer avec le discours de Dumbledore, les élèves de septièmes années étaient regroupés sur quatre rangées chacune représentant une des maisons de Poudlard, tandis que les parents étaient regroupés derrière leurs enfants sans distinction d'aucunes sortes. Les diplômes étaient remis par ordre alphabétique, plus les g se rapprochaient et lus je regardais Dray avec insistance, puis il avait enfin daigné me regardé, m'avait souri et avait dit silencieusement : « tout va bien se passer ». Et en effet tout s'était très bien déroulé, une fois la cérémonie finie, la grande salle avait été vidé de toutes ses chaises pour laisser place à des buffets disposés aux quatre coins de la salle ainsi qu'à une petite estrade où le groupe était venu s'installé. Le parc de Poudlard avait été décoré et l'on pouvait voir des grottes scintillantes ainsi que des fontaines dorées ou encore des centaines de fées scintillantes chantant de douces chansons mais surtout des gondoles avaient été installées sur le lac et un labyrinthe s'était formé sur sa surface, permettant ainsi de se promener sur l'eau tout en étant tranquille.
Après avoir dansé un peu Draco m'avait emmené sur une gondole, où nous avions discuté de notre avenir ensemble, lorsque soudain il m'avait demandé tout en s'agenouillant à mes pieds :
- Hermione, est-ce que tu veux bien être ma femme ? Je sais que nous sommes encore jeunes mais cette vie je veux la passer à tes cotés, je veux fonder une famille avec toi et peut-importe notre âge, peut-importe ce qui arrivera dans nos vies, je t'aimerais toujours. Ma demande n'est pas très original mais elle est sincère.
Tandis qu'une bouffée de bonheur m'avait envahi je m'étais jetée dans ses bras faisant tangué dangereusement la gondole tout en lui disant un oui plein de joie et en l'embrassant jusqu'à ce que nous le manque d'air nous oblige à nous séparer.
- C'est vrai tu veux bien être ma femme ? Me redemanda-t-il fou de joie.
- Evidemment, m'exclamais-je sur mon petit nuage de bonheur.
Voilà ce chapitre est fini !!! et il n'en reste plus qu'un !!!! qui est en quelque sorte un épilogue vous l'aurez je ne sais pas quand !!! au maximum avant le 10 juillet puisque c'est là que je pars et que je veux l'avoir fini avant !!
Voilà bisous à tous !!!
