Disclamer: les persos du seigneurs des anneaux ne sont toujours pas à moi.

Gros merci à Aéléa pour avoir corrigé mes fauteuh d'ortografe... (lol)

merci aussi aux reviewers!!!

Yoyi: enfin un chapitre que tu n'a pas lut! lol! ça devrais t'amuser et te reppeler quelque chose. bon courage pour ta lecture! bisous!

Aéléa: encore merci d'avoir corrigé ce chapitre. c'est vrai que l'histoire des gouttes de sang sur la neige avec Legolas, c'est plus... attrayant (lol!) gros bisous et et encore merciii!
Le reflet d'un sanglot:

La communauté avait trouvé refuge dans le domaine de la dame de Lorien, farouchement gardé par ses fidèles archers. Ici, ils étaient en sécurité. Legolas se détendit donc et s'approcha du lac de cette douce forêt. Elle lui rappelait Mirkwood, sa terre natale, l'endroit où il voudrait être en ce moment, celui qu'il n'aurait jamais voulu quitter... Mais son destin en avait décidé autrement.

Pouvait t-il seulement espérer revoir ce doux royaume, escalader de nouveau les arbres de cette ravissante forêt, où s'allonger sur l'herbe fraîche d'un pré pour admirer une fois encore les enchantements de la forêt noire, bercé par le souffle du vent? Legolas soupira. La dernière fois qu'il avait fait cela, il ne savait pas ce que ça pouvait bien représenter, il avait tellement l'habitude de ces escapades dans cet endroit apaisant, qu'il ne pensait même pas à l'époque, qu'un jour, ils pourraient autant lui manquer, qu'un jour, ces moments de joie et d'insouciance pourraient disparaître. Ses pensées étaient assombries par la mort de Gandalf. Le jeune elfe ferma les yeux. Il n'avait rien pu faire. Il revoyait la chute du vieux magicien, dans le gouffre de la Moria, alors qu'il combattait vaillamment un balrog de Morgoth afin de permettre à la communauté de franchir le pont de Kazad-dûm. Mithrandir avait été un de ses amis de toujours, comme un second père pour lui. Il s'était pourtant senti incapable de pleurer. Elle lui avait enlevé même ce pouvoir, cette petite étoile redoutable. Aucune larme n'était assez douloureuse à présent pour traduire sa détresse. Il avait perdu tout espoir en même temps qu'il avait perdu la lumière de son étoile. Désormais, plus rien n'éclairait son cœur noirci par la peine, la peur, et l'ombre terrifiante de sa solitude.

Sans cesse, il voyait son visage, sentait sa présence. Mais elle n'était pas là. Quand il se retournait, il ne voyait rien derrière lui, à part le silence, le vide, le froid... Ces mêmes sentiments qui s'emparaient de son cœur, semblant l'étouffer, peu à peu. Mais c'était si lent, si douloureux... à qui pouvait il demander de l'aide à présent? Aux Valars, aux autres étoiles? Non. Depuis longtemps déjà, ses yeux s'étaient détournés de la splendide lumière blanche d'Elendil pour aller se perdre discrètement dans le sombre manteau du rôdeur, à la recherche de l'Evenstar, la seule chose capable de lui apporter encore un peu de réconfort, mais aussi de lui faire sentir son désespoir et sa solitude. Elle lui manquait. Comment pourrait-il vivre sans elle? Rien que cette pensée lui semblait intolérable. Elle le condamnait à de terribles souffrances. En plus de devoir admettre qu'il la perdait, il devait aussi assumer la lourde tâche de protéger celui qu'elle aimait, vraiment. Mille fois il avait tremblé pour cet homme, mille fois il aurait été prêt à se sacrifier pour lui, ou plutôt pour un sourire d'Arwen. S'il mourait en veillant sur Aragorn, dénierait t-elle verser seulement une larme pour lui, une larme d'amour, une véritable larme de tristesse, et non une de ces larmes de pitié auxquelles il était désormais habitué? Il n'en voulait pas plus, il ne voulait pas la savoir malheureuse. Tel était le dilemme qui se posait à lui. Vivre auprès d'une étoile fanée, voilée par le nuage du regret un soir d'été, ou se contenter de savoir que quelque part, cette même étoile pourra éclairer son chemin, de sa lumière plus éblouissante que jamais, dans la nuit noire d'un hiver glacial auquel elle le condamne, si loin de lui. Un hiver qui, sans elle, serait plus froid et plus sombre qu'aucun autre sur cette immense terre du milieu.

« Oh Gandalf! Profond et le gouffre dans lequel vous êtes tombé, mais plus noir et plus vertigineux encore est le précipice de mon âme, où je tombe doucement, sans jamais pouvoir arrêter ma chute. Une chute éternelle, si lente, si longue... Que la lumière de votre sagesse me manque dans ces instants où j'aurais tellement besoin d'elle! Que la pâle lueur de votre bâton serait la bienvenue pour me guider une nouvelle fois, non pas dans les ténèbres de la Moria, mais dans ceux de mon esprit enflammé d'un sombre feu qui m'était encore étranger: la haine. Si vous saviez comme parfois j'ai envie de le tuer, lui que je dois protéger, lui qui est non seulement mon compagnon d'arme, mais aussi mon ami.... »

Legolas soupira alors, et s'adossa à un arbre, sentant la fatigue s'emparer peu à peu de son frêle corps. Il ferma les yeux et s'égara dans le dédale de ses pensées si confuses et si douloureuses.

Il ne sentit même pas la présence d'une femme se rapprochant discrètement de lui. Ses pas glissaient sans bruit sur l'herbe fraîche de la Lothlorien. Elle se déplaçait silencieusement, telle une ombre furtive. Quand elle fut près du jeune elfe, elle posa une main de porcelaine sur son visage et lui releva doucement la tête, ce qui le fit sursauter:

« Legolas, venez », lui dit-elle en souriant.

Le jeune elfe lui rendit timidement son sourire et s'inclina devant la dame de Lorien. Il se releva précipitamment, honteux d'avoir été ainsi surpris. Galadriel le fixait de ses yeux bleus, un air bienveillant planant sur son visage. Elle posa une main sur l'épaule du prince pour l'encourager à le suivre. Elle paraissait soucieuse, et Legolas se doutait qu'il était la raison de tous ses tourments. Lorsqu'ils étaient arrivés dans son domaine, la Dame Blanche avait essayait de lire dans leurs esprits, mais elle s'était heurtée à une barrière infranchissable quand elle avait tenté d'en apprendre plus sur sa relation avec Arwen. Il s'était battit un mur si insurmontable qu'il faisait de l'ombre à toutes ses autres pensées. Bientôt, les deux elfes atteignirent une clairière. Au centre de celle-ci se dressait un petit pilier sur lequel était posé une étrange coupelle d'où sortait un léger nuage de vapeur d'eau. Le miroir de Galadriel. Berceau de toutes les espérances, et de toutes les peurs. Il s'arrêta. La fumait montrait qu'il avait dû servir peu de temps auparavant. Frodon. Elle avait dut le convoquer et lui faire mirer le terrible avenir qu'il lui était destiné. Il aurait sûrement besoin de réconfort. La voix gentiment autoritaire de la Dame rappela l'archer à l'ordre.

« Legolas, c'est de vous, dont j'aimerais que nous parlions ».

Son ton était remplit d'affection. Elle regardait le prince de Mirkwood, tandis qu'elle remplissait sa cruche de l'eau claire et limpide de la fontaine. Le jeune elfe semblait intimidé, mais il ne put s'empêcher de penser à Arwen. La pureté et la limpidité de cette eau lui rappelait son doux regard. Il se remémora un vieux proverbe elfique qu'il avait appris étant jeune:

« Le regard est le reflet de l'âme ».

« Comme la vôtre doit être pure et belle, dame d'Imladris! »
Pensa t-il alors.

Legolas réfléchit un instant. Si ce proverbe était vrai, il comprenait ce qui voilait les yeux de Galadriel: le sien ne devait être plus que le reflet d'un sanglot, de la larme inconsolable qu'il était devenu par elle, pour elle... Mais perspicace était la Dame de la Lorien. Elle perçut les tristes pensées de Legolas. Elle se rapprocha de la coupelle où elle versa l'eau. Le chant mélodieux de celle-ci sortit Legolas de sa rêverie. Galadriel se retira légèrement, et abaissant ses yeux vers la surface plane de son « miroir », elle encouragea le jeune elfe à s'avancer et à regarder le reflet de l'eau. Legolas appréhendait ce terrible moment. Il jeta un regard craintif à la Dame de Lorien, puis se pencha sur la coupelle. Bientôt, son pâle reflet laissa place à une étrange vision. Il entendait un cri, semblable à une plainte. Un grand oiseau blanc aux yeux de saphirs s'envolait au loin. Puis le miroir fut remplit de milliers de plumes, qui peu à peu se coloraient de la couleur vermeille du sang. Le vent semblait les emporter, et lorsqu'elles furent toutes dispersées, une églantine apparut devant lui, et se fana devant ses yeux emplis de peur, et d'étonnement. La surface de l'eau redevint enfin calme, et Legolas releva son doux visage.

« Je ne comprends pas, murmura t-il, l'oiseau, les plumes, cette églantine qui se fane... le sang... je ne comprends pas... qu'est-ce que ?... »

L'elfe s'interrompit. Ses paroles semblaient avoir blessé la Dame de Lotlhorien qui ne retenait plus ses larmes. Elle posa son triste regard sur le jeune prince et lui répondit:

« Moi non plus, je ne sais pas. Tout ce que je comprends, c'est qu'il s'agit là de votre propre mort. Legolas Greenleaf, tôt ou tard, il vous faudra faire un choix, et puissiez-vous faire le bon, afin de vous éviter un destin si tragique. »

Legolas ne répondit pas. Il fixait de ses yeux bleus le ciel étoilé au-dessus de lui, et soupira. Il souffrait. Ainsi donc, tel était son destin. Il était arrivé à la croisé des chemins. Il lui fallait maintenant retrouver son étoile pour qu'elle puisse le guider. D'une voix calme et posée, témoin d'une grande sagesse, il se contenta de chuchoter:

« Voyez-vous, Dame blanche, comme les étoiles sont belles et resplendissantes, lorsqu'on les regarde? Mais si on cherche à les atteindre, si on essaie de les cueillir, elles nous brûlent. Nos yeux ne peuvent en effet supporter la clarté de leur lueur si pure, et sont anéantis. Notre cœur se consume devant elles. Et si on tente donc de s'approcher trop près de l'une d'entre elles, elle nous condamne à ne jamais plus les contempler. »

Il se retourna vers son hôte et continua d'une voix emplit de désespoir et de lassitude:

« Mon destin à moi est dans les mains d'une de ces cruelles étoiles, à mes yeux celle qui resplendit le plus. C'est elle qui guidera mon chemin, éternellement. Mais je pense l'avoir trop longtemps admirée, et il me semble aujourd'hui qu'elle veuille se venger, en me brûlant les ailes qu'elle m'avait elle même donné. Qu'importe, c'est mon étoile et je l'aime, et je ne cesserai jamais de l'aimer. Je ne voudrais surtout pas la voir s'éteindre.

Les étoiles sont comme ça, elles ne laissent s'approcher impunément d'elles que celui qui sait les séduire. Et capturer le cœur d'une étoile n'ait pas chose aisée. On croit l'avoir, le posséder puis, elle s'envole loin de vous à jamais. Mais elle ne s'enfuit pas s'en s'être auparavant assurer de vous avoir enchaîné à l'aide d'un minuscule fil d'or, que vous pensez ne pas pouvoir détruire. Mais très vite, vous vous rendez compte que vous pourriez le briser d'un geste, et que si vous ne le faites pas, c'est uniquement parce que vous ne voulez pas le faire! Vous n'avez plus de volonté, et vous devenez votre propre bourreau. Et quelque part dans le ciel, votre petite étoile se rit du mauvais tour qu'elle vous à joué. Mais quand vous la sentez triste, seule, désespérée, vous ne pouvez pas vous empêcher de faire tout ce qui est en votre pouvoir pour la rassurer. Vous êtes son esclave, mais vous êtes heureux de l'être, si elle vous laisse la contempler ne serait-ce qu'un instant. Pour elle, vous feriez tout.

Mourir n'est que l'une des nombreuses épreuves qu'elle peut vous imposer. Mais mourir pour un de ses sourires, ce n'est pas mourir, c'est accomplir le but de sa vie.

Mais qu'importe tout cela, moi, à mon étoile, je lui ai fait une promesse, et je la respecterais, quelque en soit le prix. »


Ainsi parla Legolas, fils de Thranduil.

La Dame blanche ferma les yeux. Il ne servirait à rien d'essayer de convaincre le jeune prince. Malgré son jeune âge pour un elfe, une grande sagesse brillait dans ses yeux. Elle aurait tellement voulut qu'il renonce, mais elle comprit que jamais, il n'abandonnerait. La seule chose qu'elle fut capable de faire face à cet elfe si sage et si déraisonné fut de murmurer:

« Ainsi, vous avez déjà fait votre choix »

Legolas s'inclina profondément devant son aînée, et se retira. Lorsqu'il eut disparut de sa vue, Galadriel laissa librement ses larmes rouler sur ses joues. Sa douleur pour le jeune prince était telle qu'elle laissa la cruche d'eau tombée à ses pieds. Elle se brisa et laissa l'eau se répandre sur le tapis vert de la Lorien, et la Dame s'écroula, pleurant sur les souffrances de Legolas, ses larmes se mêlant à l'eau pure de la fontaine.

Le lendemain la communauté se prépara au départ. Galadriel offrit à chacun d'eux un présent. Elle donna à Legolas un arc et s'amusa un instant à le voir tendre sa nouvelle arme avec le visage d'un enfant qui découvre son premier jouet. Il semblait si jeune, si insouciant, si plein de vie... Il était loin de l'elfe grave et triste à qui elle avait annoncé sa mort quelques heures plus tôt. Legolas perçut le regard attristé de la Dame de Lorien et lui sourit. Ainsi donc, c'était comme cela, qu'il réussissait à continuer à se battre... Au fond de son cœur, Galadriel espérait qu'il reviendrait sur sa décision. Elle s'approcha ensuite d'Aragorn et lui rappela son amour pour Arwen. Il ne savait probablement pas ce que cela signifiait, et ce qu'il lui en coûterait... Legolas ne lui en parlerait pas. Il était beaucoup trop fier. Elle sentit cependant la force de l'amour qu'éprouvait le rôdeur pour sa petite fille. Il désirait la voir partir vers les terres immortelles, au côté de son peuple, ce qu'elle ne ferait probablement pas.

« Ce choix lui appartient » répondit la dame d'une voix mystérieuse.

Elle offrit à Frodon le cadeau qu'elle avait à l'origine destiné à Legolas, mais qui maintenant lui serait inutile. Elle lui donna la lumière d'Eärendil.

« Puisse cette lumière vous éclairer dans les endroits sombres où toutes les autres seront éteintes... »

Elle le savait désormais, Eärendil ne pourrait jamais plus éclairer la route du jeune elfe, car à présent seule une petite étoile guidait ses pas. Et paradoxalement, plus il s'en approchait, plus sa lueur semblait diminuer. Tout comme son espoir de le revoir en vie à la fin de cette quête. Inexorablement, elle le conduisait vers un gouffre noir, insondable, le menant par des chemins périlleux ou chacun de ces pas pourrait être le dernier, pour finalement le mener à quoi, si ce n'est à une mort plus atroce encore que celle qui pourrait l'attendre derrière chaque virage de sa route.

Elle finit ensuite par s'adresser au nain. Legolas avait tendance à s'acharner sur lui depuis qu'il se connaissait. Toutes ses peines, toutes ses rancœurs il les passait sur lui afin de protéger le rôdeur de ses colères. Elle ne savait pas ce qu'elle pourrait lui offrir pour le remercier de sa présence au côté de Legolas. Depuis le début, le nain, quoique bougon et quelque peu rustre s'était aperçu de la peine de l'elfe. Et bien qu'il ne lui déplaisait pas de remettre quelque fois Legolas à sa place, il supportait en général assez bien ses sarcasmes, comprenant l'agressivité du jeune elfe. Au fur et à mesure que le temps passait, le nain se prenait de plus en plus d'affection pour ce petit être frêle et malheureux qui s'acharnait sur lui, car il était la seule personne sur qui il puisse librement passer son courroux, puisque depuis toujours, les nains et les elfes n'entretenaient pas des rapports très... amicaux. Elle admirait le nain pour son endurance à la frustration de Legolas. Et elle savait que le plus grand cadeau que Legolas pourrait lui faire, c'était de lui donner son amitié. Et c'était sans doute le seul présent que le nain accepterait de sa part. Mais elle voulait faire un geste envers cet être disgracieux et râleur, mais si noble et attentionné. Elle lui demanda ce qu'elle pourrait bien lui donner, et la réponse de Gimli la surpris grandement. Il lui demanda en effet un cheveu de sa belle chevelure dorée, et en riant, elle lui en offrit trois...

Les barques quittèrent les rivages de la Lorien et suivirent le cours du fleuve. Legolas fixait d'un œil distrait les proues des petites embarcations, en forme de cygnes. Et malgré leur adversité, le nain ne put s'empêcher de raconter à cet « idiot d'elfe » ce que Galadriel lui avait offert. Alors le jeune prince comprit qu'il était temps de cesser de s'enrager continuellement sur ce pauvre nain poète au cœur aussi brisé que le sien à présent. Il posa une main tremblante sur l'épaule vigoureuse de son ami et lui chuchota doucement, un sourire triste aux lèvres:

« Alors, vous aussi vous partagez ma peine, mon ami... »

Gimli sourit, enfin le jeune elfe lui offrait son amitié. Et pour la première fois, le nain et l'elfe rirent ensemble, ce qui surpris toute la communauté qui se retourna vivement, se demandant qu'elle était la cause de cette hilarité. Aragorn lança un regard interrogateur à Legolas qui lui répondit par un sourire complice. Puis, il prit un air taquin que le rôdeur ne lui connaissait pas et d'un mouvement vif... fit basculer le nain par dessus bord! Gimli ne put plus se retenir et insulta l'elfe de tous les jurons qu'il connaissait, n'oubliant surtout pas de les ponctuer régulièrement « D'idiot d'elfe ». Lorsque le nain se fut un peu calmer, Legolas retourna le chercher et lui tendit la main pour l'aider à remonter. Le nain lui répondit alors avec un sourire malicieux:

«Ne jamais cracher sur une main ouverte qui vous ait tendu, mon ami!»

L'elfe hissa difficilement le nain à bord qui ne manqua pas de l'éclabousser au passage. Lorsqu'il fut dans la barque, il éternua bruyamment. L'elfe gloussa discrètement dans son dos. Mais le nain l'entendit et hurla de sa voix sonore:

« Idiot d'elfe ! »

Et toute la communauté éclata de rire. Sur le bord du fleuve, seul Frodon aperçut la silhouette encapuchonnée de Galadriel leur adressant un dernier adieu. Elle rit du jeu qui naissait entre Legolas et Gimli. Qui sait, peut-être que le nain réussirait à sauver le jeune elfe des bras de Mandos... Un nouvel espoir renaissait, dans cette quête désespérée. Et ainsi, de deux grands malheurs naquît un profonde et puissante amitié, qui semblait être comme lueur d'espoir, une autre étoile qui pourrait guider le jeune elfe et lui permettre de survivre à sa plus grande ennemie...
fin du chapitre 4! laissez moi une review svp!!!!!