La cape d'invisibilité
Allez Harry, prête-la-nous ! dirent Fred et George, les jumeaux Weasley.
Pourquoi je vous la prêterais d'abord, elle est le seul héritage de père et j'y tiens beaucoup.
On le sait et on va te la rendre, t'inquiète pas ! répondit Fred.
On veut juste te l'emprunter pour faire un tour aux filles de Gryffondor ! repris George.
Et quel genre de tour, la cape d'invisibilité n'est pas pour faire des plaisanteries, vous le savez ! répondit Harry, soupçonneux, il connaissait trop bien ce dont sont capables les jumeaux.
Hé bien ! ... George regarda son frère qui lui fit un signe de tête. On veut allez dans le dortoir des filles pour les voir se déshabiller et... laisser une bombabouse lorsqu'elles seront toutes nues !
Harry ouvrit de gros yeux et ouvris la bouche pour protester mais rien ne sortis. Il s'imaginait toutes ces jeunes filles courir en tout sens pour s'échapper. Il vit dans sa tête les seins, les hanches et le corps des filles rebondir sous la course qu'elles feraient pour fuir l'odeur...
D'accord mais à une condition ! Je veux allez avec vous !
Allez où ? Avec qui ? demanda Ron qui arrivait de sa retenue avec le professeur Rogue.
Harry est d'accord de nous prêter sa cape pour aller jeter notre bombabouse dans le dortoir des filles ! répondirent les jumeaux.
Super, je viens aussi !
Est-ce qu'il y aura assez de place pour quatre ? demanda Fred.
Si on se tasse bien, oui. répondit Harry.
Il alla chercher sa cape dans son coffre et la déplia. Les jumeaux prirent chaques extrémités et Harry et Ron se cachèrent dessous suivis par les jumeaux. Les quatre comparses avaient disparus mais ils devaient tout de même faire attention car même si on ne les voyait plus, on pouvait les entendre. Ils sortirent du dortoir des garçons, passèrent la salle commune des Gryffondors et se dirigèrent vers le dortoir féminin sans se faire remarquer.
Fred, le premier devant, ouvrit doucement la porte en espérant imiter un courant d'air. Une fille brune vis la porte s'ouvrir et se leva pour la refermer complètement. Les garçons se précipitaires à l'intérieur mais un pan de la cape se pris dans la porte, George la rouvrit et tira à toute vitesse avant que la fille de repousse sur la porte de toutes ses forces. Ils étaient à l'intérieur du dortoir des filles.
Harry se sentait mal d'y être mais excité aussi. Il sentait Ron trembler à l'arrière de lui, il était aussi nerveux que lui. Il porta son regard sur les filles qui l'entouraient. Quelques-unes discutaient de la dernière mode à Poudlard, d'autres s'amusaient à «coter » les garçons de 1 à 10, d'autres encore étudiaient (comme Hermione), etc. Aucune n'était en sous-vêtements. Les garçons se dirigèrent vers un coin pour attendre.
Après un quart d'heure, un groupe se leva et se dirigea vers leur lit et sortir leurs vêtements de nuits. Ce fût comme un signal car toues arrêtèrent se qu'elles faisaient et firent comme les autres y compris Hermione qui rangea tous ses livres. Les garçons se levèrent pour mieux voir, Fred avait la bombe dans sa main prête à la laisser... mais il figea.
Les filles n'enfilaient pas leur tenue de nuit, non, elles revenaient au centre de la pièce en riant, en sous-vêtements. Elles s'assirent les une collées aux autres. Soudain, une musique languissante se fit entendre. Le rire des jeunes filles diminua et quelques-unes commencèrent à s'embrasser, à se caresser doucement. Bientôt, elles étaient toutes langoureuses et s'embrasaient mutuellement. Un soutien-gorge vola par-dessus le groupe et Harry regarda en direction d'où il provenait. Il vit une jeune blonde se pencher sur un sein généreux d'Hermione qui ferma les yeux en caressant le dos de sa compagne. Harry avait les yeux ronds pour ne rien manquer de la scène et il sentit à nouveau frémir Ron.
J'aimerais être à la place de la blonde ! murmura Ron.
Un coup de coude avertit Ron de se taire. La fille blonde embrassait maintenant les deux seins d'Hermione qui jouissait. Sa compagne lui retira sa culotte et se mit à lui lécher les cuisses en s'approchant de plus en plus près du sexe. La préfet en chef se promenait entre les groupes pour distribuer les godmichets, vibrateurs, boules chinoises et autres jouets.
Si Percy savait que sa copine distribue de tels objets, il en deviendrait dingue ! dit Fred.
Chuuuuuut ! firent les trois autres.
Harry se demande sous quel sens prendre le mot dingue et il repris son observation. La blonde avait maintenant pris la position du 69 et faisait aller et venir un vibrateur dans la vulve d'Hermione qui pénétrait des boules chinoises dans l'anus de sa compagne. Les lamentations devenaient de plus en forts et Ron se trémoussait de plus en plus au côté d'Harry, il sentit une bosse dure se frotter sur sa hanche et...
Hey, décolle un peu ! dit-il à George.
Excuse-moi !
CHUUUUUUUUT !
Mais les filles étaient trop concentrées pour entendre quoi que se soit. La préfet leva sa baguette magique, dit une formule et tout le bruit produit par les filles s'évanouit, on voyait leur bouche s'ouvrir mais aucun son ne passait leurs lèvres. Au bout de quelques minutes, plusieurs bouches s'ouvrir en même temps et ils comprirent qu'elles atteignaient l'orgasme. Elles restaient étendues quelques minutes puis elles mirent leurs vêtements de nuit.
Harry poussa Ron qui poussa George vers la porte. Harry tira Fred par le bras de toutes ses forces car il était resté sur place, comme hypnotisé. George cognat à la porte ce qui provoquât quelques cris. La préfet en chef se dirigea rapidement à la porte et l'ouvrit pour voir qui frappait mais elle ne vit personne.
Pourquoi as-tu frappé ? demanda-t-elle à un jeune de première assis près de la porte.
Je n'ai pas frappé, c'est vous qui l'avez fait.
La préfet referma la porte d'un air exaspéré. Dans ce cour laps de temps, les garçons avaient réussit à passer, ils rentrèrent dans le dortoir masculin en sueur. Harry jeta la cape dans son coffre et se retourna vers ses compagnons qui arboraient, tout comme lui, une bosse sous leur robe de sorcier. Fred et George partir vers leur lit sans dire un mot mais Fred se retourna et lança quelque chose à Ron. La bombabouse atterrit dans ses mains, il regarda Harry avec un sourire et la cacha dans sa poche. Harry et lui se quittèrent en pensant à ce qu'ils avaient vu...
Lalouve
Allez Harry, prête-la-nous ! dirent Fred et George, les jumeaux Weasley.
Pourquoi je vous la prêterais d'abord, elle est le seul héritage de père et j'y tiens beaucoup.
On le sait et on va te la rendre, t'inquiète pas ! répondit Fred.
On veut juste te l'emprunter pour faire un tour aux filles de Gryffondor ! repris George.
Et quel genre de tour, la cape d'invisibilité n'est pas pour faire des plaisanteries, vous le savez ! répondit Harry, soupçonneux, il connaissait trop bien ce dont sont capables les jumeaux.
Hé bien ! ... George regarda son frère qui lui fit un signe de tête. On veut allez dans le dortoir des filles pour les voir se déshabiller et... laisser une bombabouse lorsqu'elles seront toutes nues !
Harry ouvrit de gros yeux et ouvris la bouche pour protester mais rien ne sortis. Il s'imaginait toutes ces jeunes filles courir en tout sens pour s'échapper. Il vit dans sa tête les seins, les hanches et le corps des filles rebondir sous la course qu'elles feraient pour fuir l'odeur...
D'accord mais à une condition ! Je veux allez avec vous !
Allez où ? Avec qui ? demanda Ron qui arrivait de sa retenue avec le professeur Rogue.
Harry est d'accord de nous prêter sa cape pour aller jeter notre bombabouse dans le dortoir des filles ! répondirent les jumeaux.
Super, je viens aussi !
Est-ce qu'il y aura assez de place pour quatre ? demanda Fred.
Si on se tasse bien, oui. répondit Harry.
Il alla chercher sa cape dans son coffre et la déplia. Les jumeaux prirent chaques extrémités et Harry et Ron se cachèrent dessous suivis par les jumeaux. Les quatre comparses avaient disparus mais ils devaient tout de même faire attention car même si on ne les voyait plus, on pouvait les entendre. Ils sortirent du dortoir des garçons, passèrent la salle commune des Gryffondors et se dirigèrent vers le dortoir féminin sans se faire remarquer.
Fred, le premier devant, ouvrit doucement la porte en espérant imiter un courant d'air. Une fille brune vis la porte s'ouvrir et se leva pour la refermer complètement. Les garçons se précipitaires à l'intérieur mais un pan de la cape se pris dans la porte, George la rouvrit et tira à toute vitesse avant que la fille de repousse sur la porte de toutes ses forces. Ils étaient à l'intérieur du dortoir des filles.
Harry se sentait mal d'y être mais excité aussi. Il sentait Ron trembler à l'arrière de lui, il était aussi nerveux que lui. Il porta son regard sur les filles qui l'entouraient. Quelques-unes discutaient de la dernière mode à Poudlard, d'autres s'amusaient à «coter » les garçons de 1 à 10, d'autres encore étudiaient (comme Hermione), etc. Aucune n'était en sous-vêtements. Les garçons se dirigèrent vers un coin pour attendre.
Après un quart d'heure, un groupe se leva et se dirigea vers leur lit et sortir leurs vêtements de nuits. Ce fût comme un signal car toues arrêtèrent se qu'elles faisaient et firent comme les autres y compris Hermione qui rangea tous ses livres. Les garçons se levèrent pour mieux voir, Fred avait la bombe dans sa main prête à la laisser... mais il figea.
Les filles n'enfilaient pas leur tenue de nuit, non, elles revenaient au centre de la pièce en riant, en sous-vêtements. Elles s'assirent les une collées aux autres. Soudain, une musique languissante se fit entendre. Le rire des jeunes filles diminua et quelques-unes commencèrent à s'embrasser, à se caresser doucement. Bientôt, elles étaient toutes langoureuses et s'embrasaient mutuellement. Un soutien-gorge vola par-dessus le groupe et Harry regarda en direction d'où il provenait. Il vit une jeune blonde se pencher sur un sein généreux d'Hermione qui ferma les yeux en caressant le dos de sa compagne. Harry avait les yeux ronds pour ne rien manquer de la scène et il sentit à nouveau frémir Ron.
J'aimerais être à la place de la blonde ! murmura Ron.
Un coup de coude avertit Ron de se taire. La fille blonde embrassait maintenant les deux seins d'Hermione qui jouissait. Sa compagne lui retira sa culotte et se mit à lui lécher les cuisses en s'approchant de plus en plus près du sexe. La préfet en chef se promenait entre les groupes pour distribuer les godmichets, vibrateurs, boules chinoises et autres jouets.
Si Percy savait que sa copine distribue de tels objets, il en deviendrait dingue ! dit Fred.
Chuuuuuut ! firent les trois autres.
Harry se demande sous quel sens prendre le mot dingue et il repris son observation. La blonde avait maintenant pris la position du 69 et faisait aller et venir un vibrateur dans la vulve d'Hermione qui pénétrait des boules chinoises dans l'anus de sa compagne. Les lamentations devenaient de plus en forts et Ron se trémoussait de plus en plus au côté d'Harry, il sentit une bosse dure se frotter sur sa hanche et...
Hey, décolle un peu ! dit-il à George.
Excuse-moi !
CHUUUUUUUUT !
Mais les filles étaient trop concentrées pour entendre quoi que se soit. La préfet leva sa baguette magique, dit une formule et tout le bruit produit par les filles s'évanouit, on voyait leur bouche s'ouvrir mais aucun son ne passait leurs lèvres. Au bout de quelques minutes, plusieurs bouches s'ouvrir en même temps et ils comprirent qu'elles atteignaient l'orgasme. Elles restaient étendues quelques minutes puis elles mirent leurs vêtements de nuit.
Harry poussa Ron qui poussa George vers la porte. Harry tira Fred par le bras de toutes ses forces car il était resté sur place, comme hypnotisé. George cognat à la porte ce qui provoquât quelques cris. La préfet en chef se dirigea rapidement à la porte et l'ouvrit pour voir qui frappait mais elle ne vit personne.
Pourquoi as-tu frappé ? demanda-t-elle à un jeune de première assis près de la porte.
Je n'ai pas frappé, c'est vous qui l'avez fait.
La préfet referma la porte d'un air exaspéré. Dans ce cour laps de temps, les garçons avaient réussit à passer, ils rentrèrent dans le dortoir masculin en sueur. Harry jeta la cape dans son coffre et se retourna vers ses compagnons qui arboraient, tout comme lui, une bosse sous leur robe de sorcier. Fred et George partir vers leur lit sans dire un mot mais Fred se retourna et lança quelque chose à Ron. La bombabouse atterrit dans ses mains, il regarda Harry avec un sourire et la cacha dans sa poche. Harry et lui se quittèrent en pensant à ce qu'ils avaient vu...
Lalouve