Si différent
Disclaimer : Les personnages et les lieux ne m'appartiennent pas, tout revient à J.K.Rowling et je ne suis pas payée pour écrire cette fanfic.
Rating : PG
Partie 2
Ce fut James qui prit l'initiative de terminer l'histoire.
-Je ne sait pas exactement comment j'ai fait pour m'en sortire. Confessa-t- il. Mais je me souviens très bien d'avoir évité le sort que Lily m'avait lancé et d'être parvenu, par je ne sais quel moyen à sortir de la maison et transplaner près de Poudlard. Je sais que mes souvenirs ne sont pas très précis, mais j'étais un peu trop secouer pour bien me rendre compte de ce que je faisais. Termina mon père.
Je dois dire que cette histoire me laisse plutôt perplexe. Ça explique pourquoi ils m'ont menacé avec leur baguette et mon traité de monstre en me voyant débarquer en plein milieu du bureau de Dumbledore. Le plus étrange selon moi est la trahison de ma mère, elle qui m'a donner son amour comme protection en se sacrifiant pour moi , oui décidément c'était vraiment étrange, mais de toute manière est-ce que quelque chose dans ma vie a pu être normal jusqu'ici? Moi même en étant pas humain je ne peux pas me clarifier de normal, donc je crois que je n'ai pas vraiment le droit de juger.
Albus voyant dans mes yeux qu'ils y avaient encore un bon nombre de choses que nous devrions mettre au clair et voyant que le soleil ne tarderait pas à se lever, prouvant qu'aucun d'entre nous n'a encore dormit de la nuit, il demanda au maraudeurs de m'accompagner jusqu'à une chambre qui se trouve derrière le portrait d'une fée en nous disant que nous terminerions cette discussion plus tard après c'être un peu reposé et par la même occasion éclairci les idées.
Les maraudeurs acceptèrent de m'accompagner jusqu'au tableau. Ils marchent à une certaine distance devant moi et je les vois se chuchoter entre eux pour éviter de réveiller quelqu'un en faisant trop de bruit. En les voyant ainsi ça me rend nostalgique, comme j'aurait aimé que mon père soit encore en vie dans mon monde. La vie aurait tellement été plus joyeuse pour moi, mais il est vrai qu'ici le plus malheureux a sûrement été James, sauf que lui, il a ses amis sur qui compter alors que moi à leur mort j'avais personne. Je sortie de ma rêverie en voyant que les maraudeurs avaient cessé de marcher devant moi et semblait m'attendre. Je n'avais pas remarqué que je me laissais distancer. Je les rejoignis et je leur fis un petit sourire d'excuse et en retour ils me sourirent également. Ça me soulagea, car pour moi ça signifiait qu'il acceptait les explications que je leur avait donné et qu'ils m'acceptaient par la même occasion.
Aucun d'entre eux ne remarqua pendant le trajet que mes pieds ne soulevaient pas la moindre trace de poussière sur le sol et que les flammes des torches et les quelques rayons du soleil levant n'étaient pas les seul éclairage autour de nous, mais que moi-même je dégageais une légère lueur dorée.
Les maraudeurs me laissèrent à ma chambre et partirent eux même en quête d'un peu de sommeil et selon moi le fait que nous soyons un samedi matin jouait en notre faveur. Je donna le mot de passe au tableau et j'entra dans ma chambre. Elle était décoré au couleur des Griffondor, quoi de mieux pour son héritier? Albus a toujours eu un don pour connaître ce qui plait aux gens. Je sortis ma baguette de ma robe de sorcier et j'allumai le feu pour réchauffer un peu l'endroit. J'entrai dans la chambre et je me dévêtis pour entrer doucement dans le lit et m'endormir d'un sommeille bien mérité.
Je fus réveillé par un étrange chatouillis qui m'agaçait près du nez. En ouvrant les yeux, je vis Fumseck, le phénix de Dumbledore, me regarder en penchant le tête prêt de moi pour m'observer et par la même occasion m'envoyer quelque unes de ses plumes dans ma face. Je ris un peu devant le ridicule de la situation et puis je ne pouvais pas en vouloir à Fumseck, j'ai toujours eu un faible pour le phénix depuis qu'il est venu m'aider dans la chambre des secrets.
Fumseck remarquant que j'étais enfin réveillé me tandis une de ses pattes à laquelle était attacher une lettre de la part de Dumbledore . Je lui retira son fardeau et sur une joli note de trémolo il quitta ma chambre pour retourner auprès du directeur. Dumbledore souhaitait me revoir à son bureau après le dîner, pendant que les élèves auraient cours. Il ne semblait pas vouloir que tous sache immédiatement que je me trouvait dans l'école. C'est vrai que selon ce qu'ils m'ont raconté, ça créerait probablement une belle panique. Je ne pu pas m'empêcher de penser que ce serait tout de même amusant.
Je vis qu'au bout de mon lit on avait déposé ma robe de sorcier après que les elfes l'ai très probablement nettoyé. On y avait également déposer quelques autres vêtement en prévision du nombre de temps où de risquais de devoir rester parmi eux. Les robes étaient de bons goûts donc je n'avais pas raisons de me plaindre et puis je n'étais tout de même pas pour porter tous les jours la même chose.
Je pris le temps de prendre une bonne douche et de revêtir une magnifique robe bleu que l'on avait déposé sur mon lit et voyant qu'il était l'heure que j'aille rejoindre Albus, je me mis en route. C'est étrange de ne pas être en classe pendant que les autres le sont, après tout je n'ai pas encore terminé ma 6e année. Après la défaite de Voldemort, nous avons tous eu 3 semaines de congé et nous sommes revenu terminer l'année.
Je dois dire que j'avais été surpris hier soir lorsque McGonagall est venu à la salle commune des Griffondor pour m'apprendre que le directeur voulait me voir.
Au détour d'un couloir j'entendis deux personnes qui parlaient et semblaient venir dans ma direction. Je les maudis de ne pas être en classe en même temps que tous le monde en tentant d'oublier que je suis moi-même toujours ou pratiquement toujours en retard. Je me dissimulai rapidement derrière une armure et je regardai passai un jeune homme roux de mon age ainsi qu'une fille au cheveux ébouriffées elle aussi de mon age. C'était Ron et Hermione, et même ici ils semblaient être constamment en train de se chamailler.
-. Tu sais très bien que Malfoy est..
C'était Hermione qui semblait tenter de raisonner un Ron fou de rage. Décidément il y a des choses qui ne change jamais. Une fois que je fus assuré qu'ils étaient désormais suffisamment loin, je sortis de ma cachette et repris ma route vers le bureau d'Albus. Je ne rencontra pas d'autre problème en chemin ce qui me permis de ne pas arriver trop en retard au bureau du directeur. En arrivant je vis Sirius ouvrir le passage pour que je puisse entrer. Il semblerait que le directeur avait invité les maraudeurs également.
Je ne m'étais pas vraiment trompé, les maraudeurs étaient présent ainsi que la directrice adjointe Minerva Mcgonagall. Elle avait encore un visage des plus strict que Harry lui connaissait, mais elle ne semblait pas trop surprise de le voir arriver, donc Dumbledore devait l'avoir déjà mise au courant de sa présence. Sirius alla prendre place auprès de James et moi je m'assis dans la dernière chaise libre.
Dumbledore m'expliqua qu'il avait mis au courant tous les membres du personnel pendant la matinée, mais que personne ne savait encore quoi faire pour les élèves, ni qu'il ne savaient pas vraiment si Harry devrait continuer sa scolarité pendant le temps où ils se trouveraient parmi eux.
Malheureusement, mes arguments pour que je ne soit pas forcé de continuer l'année scolaire ne fonctionnèrent pas face à la directrice adjointe et il en fut convenu que je devrait passer la cérémonie de répartition au repas du soir après que le directeur ai expliqué au élèves l'étrange arrivé d'un deuxième Harry Potter dans leur monde. Ils firent en sorte également pour que cette événement attire bien l'attention de Voldemort et de son fils.
Après tout ils fallaient bien les attirer ici pour que je puisse les tuer et ensuite renter chez moi. Certes j'avais un peu envie de rester ici, pour pouvoir parler un peu à mon père et apprendre à le connaître, mais j'ai fait mon deuil de la mort de mes parents depuis longtemps et je crois que je me ferais plus de mal si je restais trop longtemps. Ils ont eu leur vengeance lorsque j'ai détruis Voldemort, ça ne sert à rien de réouvrir ces plaies.
Dumbledore envoya un article à la Gazette du sorcier pour éviter que toutes sortes de rumeur ne sorte demain après de tous les élèves de l'école ai envoyé une lettre à leur parents criant haut et fort que le directeur et le personnel de Poudlard laissait le fils de Voldemort se balader dans l'école, car bien entendu ce ne serait pas tous les élèves qui les croiraient. De plus ça faisait partie de leur plan pour attirer la famille Jedusor. Plus il y aurait de publicités mieux ce serait!
Il fut convenu que Harry se ferait prêter ses manuels scolaires ainsi que ses robes d'écoles et qu'il serait traité au même titre que n'importe quel élève. Dumbledore envoya également une lettre au ministère dans laquelle il leur résuma à nouveau la situation et il leur demanda de leur envoyer un plus grand nombre d'aurore dans les jours à venir en prévision de la visite qu'ils prévoyaient, parce que pour l'instant il n'y avait que les maraudeurs en tant qu'aurore dans l'école et bien entendu quatre personne n'était pas suffisant. Ce qu'ils ignore c'est que à moi seul, je vaux à moi seul une armée d'aurore.
Ensuite le directeur me fit revenir à ma chambre tout en évitant soigneusement de ne rencontrer aucun élève. Je dus passer le reste de la journée dans cette chambre ne pouvant toujours pas prendre le risque d'être vu. Le soleil commençait à se coucher et bientôt les autres élèves seraient tous dans la grande salle pour le repas du soir, sans savoir pourquoi j'étais tout de même nerveux. Pas nerveux à cause de la répartition, je sais déjà que je vais aller à Griffondor, non je suis nerveux pour la réaction des élèves.
Interrompant mes pensées, j'entendis quelqu'un cogner à ma porte ou à mon portrait si vous préférez et entrer. C'était James, il venait me chercher pour que nous nous rendions au festin dans la grande salle où j'allais bientôt être répartis. Il me conduisit rapidement jusque dans la petite chambre adjacente à la table des professeurs. C'était la même pièce où lors de ma 4e année on nous avait fait entrer en tant que champions. James me fis comprendre d'attendre que le directeur m'invite à entrer et il alla prendre sa place à la table des professeurs.
J'entendis plus ou moins bien les explications qu'Albus donnait aux élèves, mais j'entendais parfois sa voix être coupée par des exclamations provenant des élèves, surprise, horreur enfin pas grand chose pour m'encourager. Après un certain moment, je l'entendit m'appeler. J'ajusta ma cravate et d'un pas élégant j'entrai dans la grande salle. D'accord comment essayer de rester calme lorsque la moitié des élèves vous regarde avec dégoût et haine et qu'une autre partie vous regarde avec horreur et que les Serpentard semble te prendre pour leur idole et qu'il se retienne pour ne pas venir se prosterner à tes pieds? Bien sincèrement je préfère que vous ne répondiez pas.
McGonagall m'attendais avec le choixpeau sur l'estrade et elle se permit un petit sourire d'encouragement envers moi. J'ai toujours apprécié ma directrice de maison, elle sait comment encourager les gens, donc avec mon nouvel excès de courage je m'assis sur le tabouret et la directrice des Griffondor déposa le choixpeau sur ma tête.
«Voyons ce que nous avons la, ah monsieur Potter je désespérait de vous voir un jour. Alors voyons ou vais-je te mettre, tu es loyal comme un Poufsouffle, mais tu n'y a pas ta place. Tu as l'intelligence d'un Serdaigle, mais tu n'as pas le goût du travail. Tu as l'ambition du Serpentard et ah! Que vois-je on parle fourchelangue, c'est très intéressant. Oh! Mais calme toi mon garçon je sais que tu n'y as pas ta place, je sent le sang de Griffondor en toi donc je ne voix qu'une solution.»
-GRIFFONDOR
Je lâchai un soupire de joie ce qui fis partir la tension qui s'étais accumulé en moi à l'idée que le choixpeau aurait pu me mettre à Serpentard. Comme si de rien nMétait et sous les regard incrédule des élèves, je pris place à la table des lions avec un sourire niait sur le visage. Personne n'osa me parler de tout le repas et je dois dire que même si je m'y attendais, ça me faisait tout de même un petit pincement au c?ur de voir «mes» camarades de classe comme Ron et Hermione me regarder d'un ?il méfiant.
À la fin du repas, je les suivis jusqu'à la tour des Griffondor en prenant soin de bien mémoriser le mot de passe et je montai directement à mon dortoir ou je me couchai immédiatement dans mon lit sur lequel on y avait déposer mes maigres effets personnel et je m'endormi ne me préoccupant point des murmures des autres qui avaient peur que je es tue dans leur sommeil ou toute sorte d'idiotie en tout genre.
Pendant la nuit, la gazette du sorcier recevait le message de Dumbledore et s'empressait de changer immédiatement la première page du journal, et en même temps un bon nombre de hiboux partirent de Poudlard. Des élèves inquiets écrivait à leur parents que Harry Potter «Jedusor»se trouvait dans l'école. Plusieurs ne croyaient pas encore Dumbledore à propos du fait que ce Harry n'était pas le fils de Jedusor. Le ministère pour leur part prévoyait déjà envoyer une dizaine d'aurores de plus à Poudlard craignant plus le jeune homme qu'une attaque imminente de la part de Voldemort.
Donc les nouvelles voyagent rapidement dans le monde de la sorcellerie, demain tous serait au courant de la nouvelle. La journée suivante prévoyait se montrer bien éprouvante.
* * *
Review svp!
Disclaimer : Les personnages et les lieux ne m'appartiennent pas, tout revient à J.K.Rowling et je ne suis pas payée pour écrire cette fanfic.
Rating : PG
Partie 2
Ce fut James qui prit l'initiative de terminer l'histoire.
-Je ne sait pas exactement comment j'ai fait pour m'en sortire. Confessa-t- il. Mais je me souviens très bien d'avoir évité le sort que Lily m'avait lancé et d'être parvenu, par je ne sais quel moyen à sortir de la maison et transplaner près de Poudlard. Je sais que mes souvenirs ne sont pas très précis, mais j'étais un peu trop secouer pour bien me rendre compte de ce que je faisais. Termina mon père.
Je dois dire que cette histoire me laisse plutôt perplexe. Ça explique pourquoi ils m'ont menacé avec leur baguette et mon traité de monstre en me voyant débarquer en plein milieu du bureau de Dumbledore. Le plus étrange selon moi est la trahison de ma mère, elle qui m'a donner son amour comme protection en se sacrifiant pour moi , oui décidément c'était vraiment étrange, mais de toute manière est-ce que quelque chose dans ma vie a pu être normal jusqu'ici? Moi même en étant pas humain je ne peux pas me clarifier de normal, donc je crois que je n'ai pas vraiment le droit de juger.
Albus voyant dans mes yeux qu'ils y avaient encore un bon nombre de choses que nous devrions mettre au clair et voyant que le soleil ne tarderait pas à se lever, prouvant qu'aucun d'entre nous n'a encore dormit de la nuit, il demanda au maraudeurs de m'accompagner jusqu'à une chambre qui se trouve derrière le portrait d'une fée en nous disant que nous terminerions cette discussion plus tard après c'être un peu reposé et par la même occasion éclairci les idées.
Les maraudeurs acceptèrent de m'accompagner jusqu'au tableau. Ils marchent à une certaine distance devant moi et je les vois se chuchoter entre eux pour éviter de réveiller quelqu'un en faisant trop de bruit. En les voyant ainsi ça me rend nostalgique, comme j'aurait aimé que mon père soit encore en vie dans mon monde. La vie aurait tellement été plus joyeuse pour moi, mais il est vrai qu'ici le plus malheureux a sûrement été James, sauf que lui, il a ses amis sur qui compter alors que moi à leur mort j'avais personne. Je sortie de ma rêverie en voyant que les maraudeurs avaient cessé de marcher devant moi et semblait m'attendre. Je n'avais pas remarqué que je me laissais distancer. Je les rejoignis et je leur fis un petit sourire d'excuse et en retour ils me sourirent également. Ça me soulagea, car pour moi ça signifiait qu'il acceptait les explications que je leur avait donné et qu'ils m'acceptaient par la même occasion.
Aucun d'entre eux ne remarqua pendant le trajet que mes pieds ne soulevaient pas la moindre trace de poussière sur le sol et que les flammes des torches et les quelques rayons du soleil levant n'étaient pas les seul éclairage autour de nous, mais que moi-même je dégageais une légère lueur dorée.
Les maraudeurs me laissèrent à ma chambre et partirent eux même en quête d'un peu de sommeil et selon moi le fait que nous soyons un samedi matin jouait en notre faveur. Je donna le mot de passe au tableau et j'entra dans ma chambre. Elle était décoré au couleur des Griffondor, quoi de mieux pour son héritier? Albus a toujours eu un don pour connaître ce qui plait aux gens. Je sortis ma baguette de ma robe de sorcier et j'allumai le feu pour réchauffer un peu l'endroit. J'entrai dans la chambre et je me dévêtis pour entrer doucement dans le lit et m'endormir d'un sommeille bien mérité.
Je fus réveillé par un étrange chatouillis qui m'agaçait près du nez. En ouvrant les yeux, je vis Fumseck, le phénix de Dumbledore, me regarder en penchant le tête prêt de moi pour m'observer et par la même occasion m'envoyer quelque unes de ses plumes dans ma face. Je ris un peu devant le ridicule de la situation et puis je ne pouvais pas en vouloir à Fumseck, j'ai toujours eu un faible pour le phénix depuis qu'il est venu m'aider dans la chambre des secrets.
Fumseck remarquant que j'étais enfin réveillé me tandis une de ses pattes à laquelle était attacher une lettre de la part de Dumbledore . Je lui retira son fardeau et sur une joli note de trémolo il quitta ma chambre pour retourner auprès du directeur. Dumbledore souhaitait me revoir à son bureau après le dîner, pendant que les élèves auraient cours. Il ne semblait pas vouloir que tous sache immédiatement que je me trouvait dans l'école. C'est vrai que selon ce qu'ils m'ont raconté, ça créerait probablement une belle panique. Je ne pu pas m'empêcher de penser que ce serait tout de même amusant.
Je vis qu'au bout de mon lit on avait déposé ma robe de sorcier après que les elfes l'ai très probablement nettoyé. On y avait également déposer quelques autres vêtement en prévision du nombre de temps où de risquais de devoir rester parmi eux. Les robes étaient de bons goûts donc je n'avais pas raisons de me plaindre et puis je n'étais tout de même pas pour porter tous les jours la même chose.
Je pris le temps de prendre une bonne douche et de revêtir une magnifique robe bleu que l'on avait déposé sur mon lit et voyant qu'il était l'heure que j'aille rejoindre Albus, je me mis en route. C'est étrange de ne pas être en classe pendant que les autres le sont, après tout je n'ai pas encore terminé ma 6e année. Après la défaite de Voldemort, nous avons tous eu 3 semaines de congé et nous sommes revenu terminer l'année.
Je dois dire que j'avais été surpris hier soir lorsque McGonagall est venu à la salle commune des Griffondor pour m'apprendre que le directeur voulait me voir.
Au détour d'un couloir j'entendis deux personnes qui parlaient et semblaient venir dans ma direction. Je les maudis de ne pas être en classe en même temps que tous le monde en tentant d'oublier que je suis moi-même toujours ou pratiquement toujours en retard. Je me dissimulai rapidement derrière une armure et je regardai passai un jeune homme roux de mon age ainsi qu'une fille au cheveux ébouriffées elle aussi de mon age. C'était Ron et Hermione, et même ici ils semblaient être constamment en train de se chamailler.
-. Tu sais très bien que Malfoy est..
C'était Hermione qui semblait tenter de raisonner un Ron fou de rage. Décidément il y a des choses qui ne change jamais. Une fois que je fus assuré qu'ils étaient désormais suffisamment loin, je sortis de ma cachette et repris ma route vers le bureau d'Albus. Je ne rencontra pas d'autre problème en chemin ce qui me permis de ne pas arriver trop en retard au bureau du directeur. En arrivant je vis Sirius ouvrir le passage pour que je puisse entrer. Il semblerait que le directeur avait invité les maraudeurs également.
Je ne m'étais pas vraiment trompé, les maraudeurs étaient présent ainsi que la directrice adjointe Minerva Mcgonagall. Elle avait encore un visage des plus strict que Harry lui connaissait, mais elle ne semblait pas trop surprise de le voir arriver, donc Dumbledore devait l'avoir déjà mise au courant de sa présence. Sirius alla prendre place auprès de James et moi je m'assis dans la dernière chaise libre.
Dumbledore m'expliqua qu'il avait mis au courant tous les membres du personnel pendant la matinée, mais que personne ne savait encore quoi faire pour les élèves, ni qu'il ne savaient pas vraiment si Harry devrait continuer sa scolarité pendant le temps où ils se trouveraient parmi eux.
Malheureusement, mes arguments pour que je ne soit pas forcé de continuer l'année scolaire ne fonctionnèrent pas face à la directrice adjointe et il en fut convenu que je devrait passer la cérémonie de répartition au repas du soir après que le directeur ai expliqué au élèves l'étrange arrivé d'un deuxième Harry Potter dans leur monde. Ils firent en sorte également pour que cette événement attire bien l'attention de Voldemort et de son fils.
Après tout ils fallaient bien les attirer ici pour que je puisse les tuer et ensuite renter chez moi. Certes j'avais un peu envie de rester ici, pour pouvoir parler un peu à mon père et apprendre à le connaître, mais j'ai fait mon deuil de la mort de mes parents depuis longtemps et je crois que je me ferais plus de mal si je restais trop longtemps. Ils ont eu leur vengeance lorsque j'ai détruis Voldemort, ça ne sert à rien de réouvrir ces plaies.
Dumbledore envoya un article à la Gazette du sorcier pour éviter que toutes sortes de rumeur ne sorte demain après de tous les élèves de l'école ai envoyé une lettre à leur parents criant haut et fort que le directeur et le personnel de Poudlard laissait le fils de Voldemort se balader dans l'école, car bien entendu ce ne serait pas tous les élèves qui les croiraient. De plus ça faisait partie de leur plan pour attirer la famille Jedusor. Plus il y aurait de publicités mieux ce serait!
Il fut convenu que Harry se ferait prêter ses manuels scolaires ainsi que ses robes d'écoles et qu'il serait traité au même titre que n'importe quel élève. Dumbledore envoya également une lettre au ministère dans laquelle il leur résuma à nouveau la situation et il leur demanda de leur envoyer un plus grand nombre d'aurore dans les jours à venir en prévision de la visite qu'ils prévoyaient, parce que pour l'instant il n'y avait que les maraudeurs en tant qu'aurore dans l'école et bien entendu quatre personne n'était pas suffisant. Ce qu'ils ignore c'est que à moi seul, je vaux à moi seul une armée d'aurore.
Ensuite le directeur me fit revenir à ma chambre tout en évitant soigneusement de ne rencontrer aucun élève. Je dus passer le reste de la journée dans cette chambre ne pouvant toujours pas prendre le risque d'être vu. Le soleil commençait à se coucher et bientôt les autres élèves seraient tous dans la grande salle pour le repas du soir, sans savoir pourquoi j'étais tout de même nerveux. Pas nerveux à cause de la répartition, je sais déjà que je vais aller à Griffondor, non je suis nerveux pour la réaction des élèves.
Interrompant mes pensées, j'entendis quelqu'un cogner à ma porte ou à mon portrait si vous préférez et entrer. C'était James, il venait me chercher pour que nous nous rendions au festin dans la grande salle où j'allais bientôt être répartis. Il me conduisit rapidement jusque dans la petite chambre adjacente à la table des professeurs. C'était la même pièce où lors de ma 4e année on nous avait fait entrer en tant que champions. James me fis comprendre d'attendre que le directeur m'invite à entrer et il alla prendre sa place à la table des professeurs.
J'entendis plus ou moins bien les explications qu'Albus donnait aux élèves, mais j'entendais parfois sa voix être coupée par des exclamations provenant des élèves, surprise, horreur enfin pas grand chose pour m'encourager. Après un certain moment, je l'entendit m'appeler. J'ajusta ma cravate et d'un pas élégant j'entrai dans la grande salle. D'accord comment essayer de rester calme lorsque la moitié des élèves vous regarde avec dégoût et haine et qu'une autre partie vous regarde avec horreur et que les Serpentard semble te prendre pour leur idole et qu'il se retienne pour ne pas venir se prosterner à tes pieds? Bien sincèrement je préfère que vous ne répondiez pas.
McGonagall m'attendais avec le choixpeau sur l'estrade et elle se permit un petit sourire d'encouragement envers moi. J'ai toujours apprécié ma directrice de maison, elle sait comment encourager les gens, donc avec mon nouvel excès de courage je m'assis sur le tabouret et la directrice des Griffondor déposa le choixpeau sur ma tête.
«Voyons ce que nous avons la, ah monsieur Potter je désespérait de vous voir un jour. Alors voyons ou vais-je te mettre, tu es loyal comme un Poufsouffle, mais tu n'y a pas ta place. Tu as l'intelligence d'un Serdaigle, mais tu n'as pas le goût du travail. Tu as l'ambition du Serpentard et ah! Que vois-je on parle fourchelangue, c'est très intéressant. Oh! Mais calme toi mon garçon je sais que tu n'y as pas ta place, je sent le sang de Griffondor en toi donc je ne voix qu'une solution.»
-GRIFFONDOR
Je lâchai un soupire de joie ce qui fis partir la tension qui s'étais accumulé en moi à l'idée que le choixpeau aurait pu me mettre à Serpentard. Comme si de rien nMétait et sous les regard incrédule des élèves, je pris place à la table des lions avec un sourire niait sur le visage. Personne n'osa me parler de tout le repas et je dois dire que même si je m'y attendais, ça me faisait tout de même un petit pincement au c?ur de voir «mes» camarades de classe comme Ron et Hermione me regarder d'un ?il méfiant.
À la fin du repas, je les suivis jusqu'à la tour des Griffondor en prenant soin de bien mémoriser le mot de passe et je montai directement à mon dortoir ou je me couchai immédiatement dans mon lit sur lequel on y avait déposer mes maigres effets personnel et je m'endormi ne me préoccupant point des murmures des autres qui avaient peur que je es tue dans leur sommeil ou toute sorte d'idiotie en tout genre.
Pendant la nuit, la gazette du sorcier recevait le message de Dumbledore et s'empressait de changer immédiatement la première page du journal, et en même temps un bon nombre de hiboux partirent de Poudlard. Des élèves inquiets écrivait à leur parents que Harry Potter «Jedusor»se trouvait dans l'école. Plusieurs ne croyaient pas encore Dumbledore à propos du fait que ce Harry n'était pas le fils de Jedusor. Le ministère pour leur part prévoyait déjà envoyer une dizaine d'aurores de plus à Poudlard craignant plus le jeune homme qu'une attaque imminente de la part de Voldemort.
Donc les nouvelles voyagent rapidement dans le monde de la sorcellerie, demain tous serait au courant de la nouvelle. La journée suivante prévoyait se montrer bien éprouvante.
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Review svp!
