Disclaimer :

Désolé, mais je suis subitement atteinte de flemmingite aigu ! ! yerkyerkyerk Alors aller voir les autres chapitres si j'y suis (pas)...

Chapitres 25 :

Des Larmes Tel Une Rivière...

Quelques heures plus tard nous étions de retour dans notre arbre . Eric nous y avait conduit, sans dire le moindre mot bien sûr. Le Raptor ne donnait pas signe de vie et une large trace de patte était impliqué au sol, probablement celle d'un Spinosaurus...

J'étais assise, appuyée contre une branche à réfléchir lorsque Brad s'approcha de moi. Personne ne m'avait adressé la parole depuis ma petite crise contre Eric et je dois dire que je ne m'en sentais pas plus mal. J'avais besoin d'être tranquille pendant un moment...

Brad s'assit à mes côtés silencieusement.

- Pourquoi t'as fait ça ? demanda-t-il après quelques minutes.

- Fait quoi ? répondis-je de mauvaise humeur.

- Gueuler sur Eric comme ça... Il voulait seulement - 

- - encore m'écraser. Oui, oui, je sais.

- Ca n'est certainement pas le seul qui a écrasé quelqu'un. TU l'as écraser aussi

- Ca n'a aucune importance. A ce niveau là il a 999 points et je n'en ai qu'un ! claquais-je.

- Et qu'est-ce que c'est sensé vouloir dire ?

- Tu n'étais pas avec nous durant ce mois où nous étions seuls tout les deux. Tu ne sais pas la façon dont il a agit ni les choses qu'il a dîtes. 

- Ouai et bien je peux te dire que depuis le peu de temps que je suis avec vous tu ne t'es pas mieux conduite avec lui !

- MOI JE NE L'ACCUSE PAS DE LA MORT D'HANNAH ! ! !

- Bien sûr que tu ne le fais pas. D'ailleurs ça serait stupide : il n'était même pas l ! !

- COMMENT PEUT-ON ÊTRE MALADE AU POINT D'ACCUSER QUELQU'UN DE LA MORT DE SA MEILLEURE AMIE ? ! ? ! ? IL SAIT PARFAITEMENT QUE JE NE POUVAIS RIEN FAIRE ! ! 

Je vis Eric tourner la tête vers moi depuis le fond de la pièce. Un mélange de colère et de sympathie passa sur son visage. Sally aussi me regarda, elle avait l'air un peu contrarié...

Brad soupira. Il fut sur le point de dire quelque chose mais se ravisa, aussi continuais-je d'une voix plus tranquille.

- A côté de ça, Eric a juste... je... j'étais concernée ! Il a joué au preux chevalier dans la salle de bain... il... je lui en voulais un peu et j'avais peur. Je suis sortie de la pièce la première. Il n'avait plus aucune chance ! Je... je m'en voulais tellement ! C'est Han qui m'a incité à partir rapidement. Je n'avais plus les pensées claires et je n'ai rien pu faire ni pour elle, ni pour moi quand le Spinosaurus est arriv !

Brad était silencieux. Je n'avais jamais parlé de la façon dont Hannah était morte et lui ne savait rien de l'incident de la salle de bain...

- Comment Eric ose-t-il me blâmer pour ça ? ? ... Et puis je ne sais pas non plus si Tina est encore en vie. C'est la seule amie qu'il me reste et je l'ai perdue aussi... 

- Je comprend, mais tu ne devrais pas continuer à penser à -

- Tais toi ! Tu n'as pas le droit de dire ça ! Ta tête est tellement vide que tu ne peux pas voir les choses autrement que sous ton point de vue. C'est TON point de vue !

- Comme tu veux, mais Eric est vraiment am -

- Va te faire voir ! m'exclamais-je au comble de l'énervement.

Je sautais sur mes pieds et me dirigeais vers mon petit coin 'spécial-solitude' où j'avais dormi la nuit dernière.

Brad cria après moi :

- T'es vraiment nulle ma fille ! Et encore plus de m'envoyer sur les roses comme ça !

- Bien sûr, bien sûr Bradley. Mais cela est mon point de vue et... je dis ce que je veux... répondis-je tranquillement depuis mon antre.

Candy Saunters fit irruption dans le bureau et claqua violemment la porte derrière elle.

« Mr. Hammond ! » cria-t-elle. 

La chaise située derrière le bureau tourna lentement, faisant apparaître un vieil homme aux cheveux blancs et aux grosses lunettes rondes qui lui donnaient l'air un peu fou. Il souri gentiment.

- Oui Miss. Saunters ?

John Hammond se leva doucement sans sembler se soucier le moins du monde du ton menaçant de son interlocutrice.

- Puis-je savoir exactement ce que vous avez fait durant ce mois et demi ? ! ? Les enfants sont toujours sur l'île ! Nous ne savons même pas s'ils sont encore en vie ! ! 

- Ah, oui... Je me disais bien que c'était pour cela que vous veniez... 

- Et encore ? Pourquoi donc suis-je ici ? Pour avoir une gentille petite discussion et une tasse de thé pendant que ces gosses se font bouffer ? ! ? ! ? ! ?

- Non bien sûr, je suppose que non... - il souri. Th ?

- Quoi ? !

- Voulez-vous un peu de th ? demanda-t-il gentiment.

- Non je ne veux pas de th ! ! hurla Candy. Je veux des réponses ! Et je les veux MAINTENANT !

- Allons Miss Saunters, calmez-vous. Tenez, prenez un siège.

Candy soupira, furieuse et alla s'asseoir de l'autre côté du bureau.

- Bon, je vais vous donner quelques explications...  

- Vous avez intérêt, murmura la jeune femme.

Hammond l'ignora.

- Voilà, dit-il. Je ne suis plus aussi proche du gouvernement que je l'ai été... ou du moins, ce sont eux qui se sont éloignés de moi... Principalement le gouvernement costaricain mais, fort heureusement, le gouvernement américain l'est encore un peu. En fait, tout ce gentil monde semble s'être tourné contre moi... Je suis un vieil homme ma chère, et je ne peux plus me déplacer aussi facilement qu'autrefois. Et n'oublions pas qu'avec tout ce qui s'est produit sur ces îles, tout ces problèmes m'ont coûtés beaucoup d'argent ! Je travaille aussi dur que je le peu afin que nous puissions descendre jusqu'au Costa Rica et trouver un hélicoptère pour aller jusqu'à Isla Sorna mais cela prend du temps et nécessite beaucoup de négociations ! J'y suis presque parvenu aussi si vous vouliez bien encore attendre une semaine ou deux, peut-être que -

- Une semaine ? UNE SEMAINE ? Candy se dressa sur sa chaise. Mais ces enfants sont sur l'île depuis déjà - 

- Ma chère Miss Saunters, je sais. Et je fais tout ce qui est en mon pouvoir pour tenter de les ramener. Mais cela demande du temps comme je viens de vous le dire... nous ne pouvons qu'être patient... répondit le vieil homme calmement.

De nouveau, Candy soupira. Elle croisa les bras et regarda par la fenêtre d'un œil lointain.

« Un th ? » 

...

Le matin suivant, sans dire un mot à personne, je sortis avec mon arc et mes flèches et grimpais à l'extérieur de l'arbre, plus haut dans les branches.

Il s'était passé pas mal de temps déjà mais je repensais de plus en plus souvent à la mort d'Hannah, surtout depuis ce 'rêve' étrange que j'avais eu l'autre jour. Maintenant que je ne pouvais plus l'aider, je ne faisais qu'y penser. Penser à elle... ça m'obsédait... Peut-être que Brad avait raison...

J'étais tellement perdue dans mes pensées que je ne remarquais pas que quelqu'un grimpait à ma suite dans l'arbre. Je le réalisais seulement lorsqu'il s'assit près de moi et tournais la tête vers lui. C'était Eric.

Il regardait d'un air vague le feuillage qui nous entourait. Je détournais furieusement la tête et étais sur le point de me lever lorsqu'il posa une main sur mon épaule.

« Je suis désoler » murmura-t-il.

Je serrais les dents et ne dis rien. Comment pouvait-il penser que j'accepterais aussi facilement ses excuses après tout ce qu'il avait fait ?

- Ecoute Lane, je sais que j'ai été infernal avec toi - j'étouffais un sarcasme. Je n'ai aucune excuse pour t'avoir accusé de la mort d'Hannah mais je -

- Bien sûr que tu n'en as pas, dis-je furieuse toujours sans desserrer les dents. Tu ne m'as jamais demandé ce qui s'était passé. Je n'en ai pas parlé sur le moment mais j'en ai eu besoin après et toi... au lieu de me réconforter tu as fais l'inverse et tu m'as évit !  

- Lane je suis vraiment désolé mais j'avais une -

- Non ! Ne te justifies pas. Pas maintenant ! hurlais-je.

Ma voix se répercuta en écho à travers les arbres puis tout redevint silencieux. 

- Tu... tu veux m'en parler ? chuchota Eric après un moment.

Je soupirais et baissais la tête en regardant mes pieds. Mes yeux commençaient à me piquer.

- Désoler, dit-il rapidement. Tu n'es pas obligé si tu - 

- Comment t'es sortis de la salle de bain ?

...

- Je... J'ai blessé le premier Raptor avec mon couteau de poche. Juste un peu, mais les autres se sont jetés sur lui... Ca m'a donné le temps de m'appuyer contre le mur et d'escalader jusqu'au trou par où vous êtes parties...

- Oh…

Le silence revint de nouveau et quelques larmes coulèrent doucement sur mon visage.

- J'ai eus tellement peur Eric ! J'étais terrifié à l'idée qu'ils t'aient eu ! Je ne voulais pas qu'on te laisse mais tu n'étais plus là... - je reniflais. Hannah m'a tiré hors du bâtiment, c'est grâce à elle que je m'en suis sortie...   

Je reniflais encore et me rendis compte que je tremblais.

- On a grimpé dans un arbre pour être sûres d'être à l'abri du danger... Et puis le Spinosaurus est arrivé. On était plus hautes que lui mais il a commencé à cogner contre le tronc avec sa tête. Je suis tombé à terre. J'ai entendu les cris d'Hannah, elle essayait de monter plus haut et le dinosaure frappait toujours... Je l'entendais...  je... elle appelait à l'aide... elle m'appelait pour que je vienne l'aider... Mais je n'ai rein pu faire. J'étais impuissante Eric ! 

Je continuais à parler et Eric continuais de m'écouter. A chaque minute ma gorge se serrait de plus en plus et je luttais pour ne pas éclater en sanglots.

- ... Je n'ai pas regardé. Je ne voulais la regarder. Je l'ai vu plonger sur elle et j'ai tourné la tête... il y a eu un gros craquement et... je restais sans bouger... je ne pouvais plus rien faire... C'est seulement après... après... longtemps... je...  retour - je hoquetais. ... Je me suis retournée vers l'endroit où Han était quelque instant avant. Il n'y avait rien... que du sang.... C'était oh... Eric... Han était morte. Je ne savais plus quoi faire... j'avais tellement mal... J'aurais voulu mourir...

Maintenant je pleurais sans retenue et j'avais l'impression que je ne pourrais plus m'arrêter. Je n'avais pas remarqué que pendant que je parlais, Eric m'avait enlacé. Il me berça doucement et je posais ma tête contre son épaule, mes larmes ruisselaient sur sa chemise.

Quelques instant passèrent et je finis par m'écarter doucement. Je reniflais encore un peu puis soupirais, regardant à travers les arbres.   

« On f'rait mieux de rentrer » dit-il finalement. 

...

Le reste de la journée se passa un peu bizarrement. Eric ne me criait pas dessus mais il n'était pas gentil non plus... Il ne parla pas de ce qui s'était passé entre nous précédemment. En fait, il ne parla presque pas... ni à moi... ni aux autres...

Tout cela rendit donc cet après-midi assez ennuyeux - si, bien sûr, nous pouvons qualifié un jour sur Isla Sorna « d'ennuyeux ». Mais il faut dire qu'après l'attaque du Raptor et ma crise d'hystérie tout semblait soudain très calme...

D'un autre côté en réfléchissant bien il était peut-être préférable de s'ennuyer que d'être plongé dans l'aventure. Surtout que cette aventure n'était pas des plus agréable !

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Je courais à travers la forêt, un épais brouillard planait autour de moi. Les feuillages denses se resserraient et j'avais du mal à me frayer un passage à travers eux.

Je n'étais pas sûre de ce pourquoi je courais mais je savais que je ne devais pas m'arrêter, qu'il ne le fallait surtout pas.

Le brouillard s'intensifiait de plus en plus et je ne voyais plus où je me dirigeais. Mes mains elles même semblaient avoir disparues...

La panique me prit de court et je stoppais subitement.

« Au secours ! ! A l'aide ! Quelqu'un, je vous en pris ! ! » hurlais-je à travers le vide qui m'entourais.

...

Mais un grondement sourd étouffa mon cri et quelque chose se dessina à travers la brume. Quelque chose de gros, une énorme forme noire, qui marchait lentement dans ma direction...

Je restais coulée au sol, les yeux écarquillés.

La chose s'arrêta, releva la tête, et laissa échapper un long rugissement.

C'était un Tyrannosaure.

Je poussais un gémissement et me remis à courir. Je ne voyais de nouveau plus rien entre le brouillard et mes pleurs, une terreur immense s'était installée en moi.

Derrière, les pas de la bête me suivaient toujours... 

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Je forçais mes yeux à s'ouvrir. Ma respiration était entrecoupée de hoquets et mes vêtements collaient à mon corps.

J'avais encore dormi dans ma petite « pièce » personnelle, je m'asseyais en m'appuyant contre les branches. 

Pourquoi continuais-je d'avoir ce rêve ? Il n'était jamais plus long mais se répétait encore, encore et encore... Ca me rappelait le rêve qu'avait Scarlette O'Hara . Elle courait à travers le brouillard mais ne trouvait rien et ne savait plus où elle allait. Elle voulait juste en sortir... Et puis à la fin du livre, elle se retrouve coincé dans le brouillard comme lors de son rêve. 

Je frissonnais en espérant qu'il ne serrait pas de même pour le mien..

Afin de me dégourdir les jambes, je décidais de bouger de ma « chambre » et grimpais jusqu'au milieu de l'arbre.

Je fus surprise de voir qu'Eric ne dormait pas, la pièce était plongé dans l'obscurité mais je le vis lever les yeux lorsque j'apparut.

- Qu'est-ce que tu fais debout ? demanda-t-il.

- Je vais cueillir des pâquerettes, une envie soudaine... répondis-je en plaisantant.  

Eric laissa échapper un bref rire qu'il étouffa sous sa couverture. Je soupirais et m'asseyais sur le sol, repliant mes jambes contre ma poitrine.

Le silence plana pendant quelques minutes puis Eric dit :

- Tu as encore eu ce cauchemar ? 

J'acquiesçais. Eric se leva et alla s'asseoir à mes côtés.

- De quoi s'agit-il ?

                                                  Flashback

Je me réveillais en sursaut.

Encore ce rêve... plus long cette fois. Toujours ce même passage qui revenait quasiment chaque nuit et me faisait trembler jusqu'à mon réveil mais jusqu'à présent, je m'étais toujours arrêté au moment où j'appelais à l'aide...

Pourquoi ce rêve me hantait-il de cette manière ?  

Je regardais autour de moi et vis qu'il faisait grand jour. L'écoutille était ouverte et le soleil éclairait l'intérieur  de rayons éblouissants.

Ni Eric, ni Brad ne se trouvaient à l'intérieur...

Il ne pouvaient pas m'avoir laissé seule ! J'aurais pus être attaquée alors que je dormais !

Les enfoirés ! pensais-je intérieurement. Comment peuvent-ils être aussi dégueulasse ? !

Je sautais sur mes jambes et escaladais la banquette jusqu'à l'écoutille, furibonde. Passant la tête prudemment à travers je poussais un cri de stupeur en voyant les deux garçons assis sur le toit du camion à regarder les arbres silencieusement.

J'avais peut-être penser trop vite...     

« Mais qu'est-ce que vous foutez ? ! ? » demandais-je rudement. 

« Tiens, voilà le loir ! dit Brad en me souriant largement. Bien dormi ? Bien rêver ? »

Je leur jetais un regard furieux et retournais dans le camion sans ajouter le moindre mot.

Mais qu'est-ce qui leur prenait de s'exposer ainsi ? ! N'importe quel dinosaure pouvait arrivé et les bouffer sur place !

...

Remarque ça n'aurait peut-être pas été plus mal... A cet instant j'aurais voulu ne plus les voir du tout ! Ils m'exaspéraient au plus haut point.

Soudain j'entendis des voix à l'extérieur, Eric était en train de parler. J'arrêtais de penser et me mis à écouter discrètement...

- ... elle avait déjà eut des rêves de ce genre avant... expliquait-il à Brad. C'est pour ça que je la laisse dormir plus tard quand elle y arrive...  

- Des rêves sur quoi ?

- J'sais pas...

- Pourquoi pas ? demanda Brad. 

- Qu'est-ce que tu veux dire ?

- Ben pourquoi tu ne lui demande pas ? Pour l'aider... Tu l'aimes bien, non ?

Wow, c'était plutôt inattendu ! Je fronçais les sourcils...

Il y eut une longue pause puis Eric dit d'une voix monocorde :

« Je crois que je vais aller remplir notre stock de nourriture... On va en avoir besoin maintenant que t'es là... »

                                                 Fin du FlashBarck

J'étais surprise de cette question.

Qu'est-ce qu'Eric pouvait avoir à faire de mes rêves ?

Néanmoins je lui racontais tout et finis même par lui confier que cela me faisait penser au rêve de Scarlette. Je n'attendais certes pas des réponses de sa part, mais cela me faisait du bien d'en parler.

- Alors a ton avis, comm -

« CHUUUUT ! ! ! »

Je levais la tête et vis Sally, dressée sur son séant, qui nous fixait d'un regard furibond.

« Y'en a qu'essayent de dormir ici ! » 

Nous échangeâmes un regard puis Eric se leva rapidement et rejoignit sa couchette. A mon tour, je m'appuyais contre le mur et posais les tête sur mes genoux...

Une minute plus tard, j'étais endormie.

                   FiN du Chapitre

Vous savez, le gros. Celui qui faisait à moitié « maison » ! !

Ben dit donc, y'a pas moyen d'être tranquille cinq minute ! ! MdR Pauvre Lane, quand lui foutra-t-on la paix ? ! ?

pour ceux qui ne connaissent pas c'est l'héroïne du livre « Autant en Emporte le Vent ». D'ailleurs c'est un bouquin remarquable que je conseille à tout l'monde !

(là l'auteur s'excuse du nombre de flashbacks, elle dit que c'est « pour aider » )

Pititeu-Notes :

Alors qu'en pensez-vous ? Personnellement je trouve ce chapitre un peu 'noyé' dans l'eau de rose... pfff  Vous savez ça fait un peu comme dans tout les films Hollywoodiens où tout le monde verse sa petite larme de bonheur à la fin ! lol Moi ça me fait un peu pitié...

Fouifoui, c'est créééé mignon (en Eric et Lane se sont réconciliés ##) mais nan pêche... Y'a qu'à voir le titre remarque : « Des Larmes Comme une Rivière » c'est assez évocateur ! ! (ça me fait penser aux titres des romans de Shiguré tiens ! ! warfwarfwarf)

Enfin, ça s'trouve c'est moi qui ai mal traduis... Je ne suis pas du tout contente de mon travail sur ce chapitre ! ! Peut-être parce que je l'ai fait un peu vite... chais pas... c'est bizarre...

La fin se rapproche dangereusement (et c'est (à mon avis) de plus en plus cul-cul la praline êe) ! ! ! tadaaaa

          pluch' dans l'bus !

                                   ¤ S!OBaNg  ¤