Chapitre III : Premiers souvenirs
Harry se tenait au dessus de la pensine. Il hésita un moment. Comment s'y prendre pour visualiser un souvenir particulier ? Il se souvenait de Dumbledore, remuant le contenu de la pensine avec sa baguette à la recherche d'un souvenir de Bertha Jorkins, lors de sa quatrième année à Poudlard. Harry saisit sa baguette et remua lentement le liquide. Il pensa à sa mère, Lily. Il essayait de se l'imaginer en tant que membre de l'Ordre du Phénix. Il pensa également à Rogue, en mangemort. Tout à coup, il aperçut une image dans la pensine. Il s'approcha pour mieux voir et en quelques instants il fut absorbé.
Il se trouvait dans le parc de Poudlard, non loin du Saule Cogneur. Il vit s'avancer Rogue, à demi courbé derrière les buissons. Il devait avoir à peine 17 ans. Harry se dit qu'il était remonté trop loin dans les souvenirs de Rogue. Mais il vit arriver deux silhouettes familières. Il s'approcha un peu d'elle et il sentit son cœur faire un bond : c'était Lily et James, se tenant la main. Ils s'assirent dans l'herbe en se parlant à l'oreille, mais Harry pu entendre ce qu'ils disaient. James parlait du Saule Cogneur à Lily et racontait l'une de ses nombreuses aventures avec les Maraudeurs. Soudain, il s'interrompit pour embrasser Lily. Harry ressentit un étrange sentiment en voyant cette scène. Pour la première fois, il voyait ses parents se comporter comme des adolescents amoureux. « Ce qu'ils sont ! », se dit-il, « Ou plutôt ce qu'ils étaient ». Harry avait pratiquement oublié Rogue derrière son buisson lorsque celui-ci émit un bruit bizarre, comme un grognement. Le couple ne l'avait pas entendu mais Harry se retourna vivement. Et ce qu'il vit le laissa sans voix : Rogue observait James et Lily avec un mélange de désarroi et de colère. Avant que Harry ait pu faire le moindre geste, tout devint flou et le souvenir changea.
Il se trouvait maintenant dans la Grande Salle de Poudlard. Elle était remplie d'élèves. Harry était assis à la table des Serpentards, à côté de Rogue. L'atmosphère était aux vacances. Les élèves étaient détendus, souriants. C'était vraisemblablement le repas de fin d'année. La salle était décorée aux couleurs de Gryffondor. Harry vit son père, sa mère, et aussi Sirius, Lupin et Pettigrow assis à la table voisine. Son cœur se serra en les reconnaissant mais il n'eut pas le temps de se faire une réflexion car l'attention de toute la salle fut attirée vers la table des professeurs. En effet, Dumbledore s'était levé et avait réclamé le silence. Il prit la parole :
« Mes chers élèves. Encore une année qui s'achève et voici les vacances qui arrivent. Cette année, la Coupe des Quatre Maisons a été attribuée à Gryffondor, les points de la victoire ayant été acquis lors d'une autre victoire : celle de la Coupe de Quidditch. »
Tous les élèves se levèrent et se tournèrent vers James, ceux de Gryffondor, Poufsouffle et Serdaigle l'acclamant, ceux de Serpentard le huant. Harry remarqua que Rogue était resté assis, mais il n'en regardait pas moins fixement James. Dumbledore reprit :
« Oui, félicitations Gryffondor. Maintenant, avant de vous laisser partir, j'aimerais aborder un sujet beaucoup moins plaisant »
La température parut soudain chuter d'une dizaine de degrés. Harry sentit son cœur battre plus vite dans sa poitrine. Il pressentait que la suite n'allait pas lui plaire non plus.
« Cela s'adresse particulièrement aux élèves qui quittent Poudlard. Ici, vous avez bien entendu étudié la magie, mais vous avez appris également à vivre ensemble et à respecter les autres. J'espère que cela continuera une fois dehors. Nous allons traverser une sombre période, je le crains, et certains d'entre vous auront beaucoup de peine à résister à l'attrait du mal. Mais rappelez-vous : tant que vous vivrez, vous appartiendrez à la grande famille de Poudlard, où chacun a sa place. »
Harry déglutit péniblement. Celui lui rappelait la fin de sa quatrième année. Dumbledore essayait de prévenir ses élèves contre Voldemort Mais cela n'avait pas beaucoup d'impact sur les Serpentards. Harry aperçut Lucius Malefoy, quelques places plus loin. Il ressemblait énormément à Drago, ressemblance accentuée par le fait qu'il ricanait en compagnie de deux malabars (« Sûrement les pères de Crabbe et Goyle » pensa Harry).
Dumbledore conclut par : « Voilà, j'espère que vous méditerez cela et qu'au moment de faire un choix décisif, vous ferez le bons. » Il fit une pause, en sondant la salle du regard. « Je vous souhaite à tous de bonnes vacances. »
Tout le monde applaudit, mais pas très chaleureusement.
Harry vit son père et les Maraudeurs s'éclipser discrètement de la salle. Il aurait bien voulu les suivre mais Rogue restait obstinément assis. Il regardait toujours fixement la table des Gryffondors. Harry se rendit compte à ce moment-là que ce n'était pas James que Rogue avait fixé pendant tout le repas, c'était sa mère, Lily, qui était restée assise en compagnie d'amies. Soudain, Lucius Malefoy s'approcha de Rogue :
- « Discours émouvant, n'est-ce pas ? Si tu es toujours intéressé, Il veut bien te recevoir. » « Mais », ajouta-t-il, « Avec ton attitude, tu n'as aucune chance de lui plaire. »
Rogue ne répondit pas, mais il cessa de fixer Lily et sortit de la salle. Tout devint flou et Harry se sentit glisser dans un autre souvenir.
Il se trouvait maintenant devant le portrait de la Grosse Dame, à l'entrée du passage secret qui menait à la salle commune des Gryffondors. Il se demanda ce qu'il faisait là : Rogue n'appartenait pas à Gryffondor, il n'aurait pas dû savoir où se trouvait le passage secret des Gryffondors. Justement, Harry eut beau regarder partout, il ne vit pas Rogue. Soudain, le tableau tourna sur lui-même, laissant le passage à un étrange paquet noir qui avait été jeté par terre sans ménagement. Harry eut le temps d'entendre des éclats de rire avant que le passage secret ne se referme. Harry s'approcha du paquet et vit qu'il s'agissait en fait de Rogue, enroulé dans sa cape de sorcier.
Rogue émit un gémissement et commença à remuer pour se dépêtrer de sa cape. Harry ne doutait pas que les rires qu'il avait entendu devaient appartenir à son père et à ses amis. Il en déduisit que c'était la dernière nuit à Poudlard pour eux et que peu de temps devait s'être passé depuis le souvenir précédent. Les Maraudeurs avaient sûrement vu Rogue sortir de la Grande Salle et avaient voulu s'amuser une dernière fois. Harry eut presque pitié de lui – avant de se rappeler qu'il le détestait. Il entendit des pas dans le couloir. Rogue dû les entendre également car il essaya de fuir, mais ses jambes restèrent obstinément collées l'une l'autre : il avait subi le maléfice de Jambe-en-Coton. Harry vit arriver Lily. Elle revenait visiblement de la Grande Salle. Elle fronça les sourcils en apercevant Rogue.
- « Severus ? », dit-elle, « Que fais-tu ici ? »
Rogue marmonna quelque chose d'inintelligible, en essayant toujours de décoller ses jambes.
- « Attends », dit Lily. Elle sortit sa baguette, dans l'intention de lancer un contresort.
- « Non ! », cria Rogue, « C'est déjà assez humiliant de me faire tabasser par ton petit ami, Evans. Alors je ne veux pas qu'une Sang-de-Bourbe me vienne en aide. »
Lily accusa le coup.
- « Dans ce cas débrouille-toi... et vas te faire pendre ailleurs ! »
Elle fit mine de s'avancer vers le portrait.
- « Non ! », dit Rogue, « Attends, je ne voulais pas dire ça. Je suis énervé, c'est tout. Tu peux comprendre ça quand même ? »
- « Je comprends surtout que tu rejettes tout le monde, amis ou ennemis, même ceux qui veulent t'aider. »
- « Mes amis ? Tu parles de cet abruti de James ? Belle amitié, n'est-ce pas ! »
- « Ne prends pas tes grands airs avec moi, Severus. Ca ne marche pas ! »
- « Avoue que tu es contente lorsqu'il s'en prend à quelqu'un ! », s'emporta Rogue, « Avoue que tu l'aimes parce qu'il est le plus fort ! Avoue-le Evans ! »
Lily répondit vertement :
- « Je ne savais pas qu'il continuait à te maltraiter ! Tu es vraiment stupide si tu penses ça ! Et mon nom est Lily ! »
Rogue ne répondit pas.
Lily se détourna et se tint devant le portrait.
- « Je croyais que les Serpentards n'étaient pas tous mauvais, mais apparemment je me trompais. Adieu Severus, et vas au diable ! »
« Vacances », ajouta-t-elle à l'intention de la Grosse Dame. Le passage s'ouvrit. Comme Harry n'entendait plus aucun bruit venant de la salle commune, il supposa que James et les autres étaient allés se coucher.
- « Lily », dit Rogue.
Celle-ci se retourna.
- « Nous ne sommes pas tous mauvais », dit-il, « Seulement différents. »
- « Tout comme les Sangs-de-Bourbe », répondit-elle.
Elle lança un contresort sur Rogue, qui retrouva enfin l'usage de ses jambes. Puis elle entra dans la salle commune et le passage se referma. Rogue resta un long moment à regarder le portrait avant de s'en aller.
Harry décida de sortir de la pensine pour réfléchir. Il repensa au bureau de Rogue et quelques instants plus tard se retrouva dans celui-ci
Harry se tenait au dessus de la pensine. Il hésita un moment. Comment s'y prendre pour visualiser un souvenir particulier ? Il se souvenait de Dumbledore, remuant le contenu de la pensine avec sa baguette à la recherche d'un souvenir de Bertha Jorkins, lors de sa quatrième année à Poudlard. Harry saisit sa baguette et remua lentement le liquide. Il pensa à sa mère, Lily. Il essayait de se l'imaginer en tant que membre de l'Ordre du Phénix. Il pensa également à Rogue, en mangemort. Tout à coup, il aperçut une image dans la pensine. Il s'approcha pour mieux voir et en quelques instants il fut absorbé.
Il se trouvait dans le parc de Poudlard, non loin du Saule Cogneur. Il vit s'avancer Rogue, à demi courbé derrière les buissons. Il devait avoir à peine 17 ans. Harry se dit qu'il était remonté trop loin dans les souvenirs de Rogue. Mais il vit arriver deux silhouettes familières. Il s'approcha un peu d'elle et il sentit son cœur faire un bond : c'était Lily et James, se tenant la main. Ils s'assirent dans l'herbe en se parlant à l'oreille, mais Harry pu entendre ce qu'ils disaient. James parlait du Saule Cogneur à Lily et racontait l'une de ses nombreuses aventures avec les Maraudeurs. Soudain, il s'interrompit pour embrasser Lily. Harry ressentit un étrange sentiment en voyant cette scène. Pour la première fois, il voyait ses parents se comporter comme des adolescents amoureux. « Ce qu'ils sont ! », se dit-il, « Ou plutôt ce qu'ils étaient ». Harry avait pratiquement oublié Rogue derrière son buisson lorsque celui-ci émit un bruit bizarre, comme un grognement. Le couple ne l'avait pas entendu mais Harry se retourna vivement. Et ce qu'il vit le laissa sans voix : Rogue observait James et Lily avec un mélange de désarroi et de colère. Avant que Harry ait pu faire le moindre geste, tout devint flou et le souvenir changea.
Il se trouvait maintenant dans la Grande Salle de Poudlard. Elle était remplie d'élèves. Harry était assis à la table des Serpentards, à côté de Rogue. L'atmosphère était aux vacances. Les élèves étaient détendus, souriants. C'était vraisemblablement le repas de fin d'année. La salle était décorée aux couleurs de Gryffondor. Harry vit son père, sa mère, et aussi Sirius, Lupin et Pettigrow assis à la table voisine. Son cœur se serra en les reconnaissant mais il n'eut pas le temps de se faire une réflexion car l'attention de toute la salle fut attirée vers la table des professeurs. En effet, Dumbledore s'était levé et avait réclamé le silence. Il prit la parole :
« Mes chers élèves. Encore une année qui s'achève et voici les vacances qui arrivent. Cette année, la Coupe des Quatre Maisons a été attribuée à Gryffondor, les points de la victoire ayant été acquis lors d'une autre victoire : celle de la Coupe de Quidditch. »
Tous les élèves se levèrent et se tournèrent vers James, ceux de Gryffondor, Poufsouffle et Serdaigle l'acclamant, ceux de Serpentard le huant. Harry remarqua que Rogue était resté assis, mais il n'en regardait pas moins fixement James. Dumbledore reprit :
« Oui, félicitations Gryffondor. Maintenant, avant de vous laisser partir, j'aimerais aborder un sujet beaucoup moins plaisant »
La température parut soudain chuter d'une dizaine de degrés. Harry sentit son cœur battre plus vite dans sa poitrine. Il pressentait que la suite n'allait pas lui plaire non plus.
« Cela s'adresse particulièrement aux élèves qui quittent Poudlard. Ici, vous avez bien entendu étudié la magie, mais vous avez appris également à vivre ensemble et à respecter les autres. J'espère que cela continuera une fois dehors. Nous allons traverser une sombre période, je le crains, et certains d'entre vous auront beaucoup de peine à résister à l'attrait du mal. Mais rappelez-vous : tant que vous vivrez, vous appartiendrez à la grande famille de Poudlard, où chacun a sa place. »
Harry déglutit péniblement. Celui lui rappelait la fin de sa quatrième année. Dumbledore essayait de prévenir ses élèves contre Voldemort Mais cela n'avait pas beaucoup d'impact sur les Serpentards. Harry aperçut Lucius Malefoy, quelques places plus loin. Il ressemblait énormément à Drago, ressemblance accentuée par le fait qu'il ricanait en compagnie de deux malabars (« Sûrement les pères de Crabbe et Goyle » pensa Harry).
Dumbledore conclut par : « Voilà, j'espère que vous méditerez cela et qu'au moment de faire un choix décisif, vous ferez le bons. » Il fit une pause, en sondant la salle du regard. « Je vous souhaite à tous de bonnes vacances. »
Tout le monde applaudit, mais pas très chaleureusement.
Harry vit son père et les Maraudeurs s'éclipser discrètement de la salle. Il aurait bien voulu les suivre mais Rogue restait obstinément assis. Il regardait toujours fixement la table des Gryffondors. Harry se rendit compte à ce moment-là que ce n'était pas James que Rogue avait fixé pendant tout le repas, c'était sa mère, Lily, qui était restée assise en compagnie d'amies. Soudain, Lucius Malefoy s'approcha de Rogue :
- « Discours émouvant, n'est-ce pas ? Si tu es toujours intéressé, Il veut bien te recevoir. » « Mais », ajouta-t-il, « Avec ton attitude, tu n'as aucune chance de lui plaire. »
Rogue ne répondit pas, mais il cessa de fixer Lily et sortit de la salle. Tout devint flou et Harry se sentit glisser dans un autre souvenir.
Il se trouvait maintenant devant le portrait de la Grosse Dame, à l'entrée du passage secret qui menait à la salle commune des Gryffondors. Il se demanda ce qu'il faisait là : Rogue n'appartenait pas à Gryffondor, il n'aurait pas dû savoir où se trouvait le passage secret des Gryffondors. Justement, Harry eut beau regarder partout, il ne vit pas Rogue. Soudain, le tableau tourna sur lui-même, laissant le passage à un étrange paquet noir qui avait été jeté par terre sans ménagement. Harry eut le temps d'entendre des éclats de rire avant que le passage secret ne se referme. Harry s'approcha du paquet et vit qu'il s'agissait en fait de Rogue, enroulé dans sa cape de sorcier.
Rogue émit un gémissement et commença à remuer pour se dépêtrer de sa cape. Harry ne doutait pas que les rires qu'il avait entendu devaient appartenir à son père et à ses amis. Il en déduisit que c'était la dernière nuit à Poudlard pour eux et que peu de temps devait s'être passé depuis le souvenir précédent. Les Maraudeurs avaient sûrement vu Rogue sortir de la Grande Salle et avaient voulu s'amuser une dernière fois. Harry eut presque pitié de lui – avant de se rappeler qu'il le détestait. Il entendit des pas dans le couloir. Rogue dû les entendre également car il essaya de fuir, mais ses jambes restèrent obstinément collées l'une l'autre : il avait subi le maléfice de Jambe-en-Coton. Harry vit arriver Lily. Elle revenait visiblement de la Grande Salle. Elle fronça les sourcils en apercevant Rogue.
- « Severus ? », dit-elle, « Que fais-tu ici ? »
Rogue marmonna quelque chose d'inintelligible, en essayant toujours de décoller ses jambes.
- « Attends », dit Lily. Elle sortit sa baguette, dans l'intention de lancer un contresort.
- « Non ! », cria Rogue, « C'est déjà assez humiliant de me faire tabasser par ton petit ami, Evans. Alors je ne veux pas qu'une Sang-de-Bourbe me vienne en aide. »
Lily accusa le coup.
- « Dans ce cas débrouille-toi... et vas te faire pendre ailleurs ! »
Elle fit mine de s'avancer vers le portrait.
- « Non ! », dit Rogue, « Attends, je ne voulais pas dire ça. Je suis énervé, c'est tout. Tu peux comprendre ça quand même ? »
- « Je comprends surtout que tu rejettes tout le monde, amis ou ennemis, même ceux qui veulent t'aider. »
- « Mes amis ? Tu parles de cet abruti de James ? Belle amitié, n'est-ce pas ! »
- « Ne prends pas tes grands airs avec moi, Severus. Ca ne marche pas ! »
- « Avoue que tu es contente lorsqu'il s'en prend à quelqu'un ! », s'emporta Rogue, « Avoue que tu l'aimes parce qu'il est le plus fort ! Avoue-le Evans ! »
Lily répondit vertement :
- « Je ne savais pas qu'il continuait à te maltraiter ! Tu es vraiment stupide si tu penses ça ! Et mon nom est Lily ! »
Rogue ne répondit pas.
Lily se détourna et se tint devant le portrait.
- « Je croyais que les Serpentards n'étaient pas tous mauvais, mais apparemment je me trompais. Adieu Severus, et vas au diable ! »
« Vacances », ajouta-t-elle à l'intention de la Grosse Dame. Le passage s'ouvrit. Comme Harry n'entendait plus aucun bruit venant de la salle commune, il supposa que James et les autres étaient allés se coucher.
- « Lily », dit Rogue.
Celle-ci se retourna.
- « Nous ne sommes pas tous mauvais », dit-il, « Seulement différents. »
- « Tout comme les Sangs-de-Bourbe », répondit-elle.
Elle lança un contresort sur Rogue, qui retrouva enfin l'usage de ses jambes. Puis elle entra dans la salle commune et le passage se referma. Rogue resta un long moment à regarder le portrait avant de s'en aller.
Harry décida de sortir de la pensine pour réfléchir. Il repensa au bureau de Rogue et quelques instants plus tard se retrouva dans celui-ci
