Bonjour bonjour !

J'espère que la pause n'a pas été trop longue. Je suis désolé mais l'inspiration ca ne se commande pas.

Merci pour toutes les reviews ! S'il vous plait, n'hésitez pas à m'en laisser ! Ca fait vraiment moult plaisir !

Je me dépêche pour que vous ayez le + vite possible le chapitre !

MERCI !!!!! A TOUS !!!!

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Enjoy... and Review !!

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Un sourire mauvais s'esquissa sur son visage décharné. Il jeta un coup d'œil à Lucius : il semblait mal en point, il était visiblement inconscient et son arcade sourcilière saignait abondamment. Il reporta son attention sur le lit et vit que sa nouvelle recrue était elle aussi évanouie ou serait-il plus juste de dire qu'elle était inconsciente à cause des coups de Lucius ? Voldemort sourit à cette pensée et il regarda le nouvel arrivant secouer avec vigueur la fille. Il dit d'un ton cruel : « Et bien Potter. Je commençais à m'impatienter. »
Harry releva la tête fou de colère et s'écria : « Espèce de monstre ! Qu'est-ce que tu lui as fait ? »
« Moi ? Rien ! C'est elle qui est venu me voir. » dit Voldemort.
« Et je suppose que elle s'est fait toutes ses blessures accidentellement » déclara Harry en regardant avec inquiétude son amie.
« Peut-être. » siffla Voldemort.
« Tu vas regretter de l'avoir touchée, Tom ! » s'écria Harry en pointant sa baguette sur son ennemi.
« Voyons, Harry, tu tires des conclusions hâtives. » dit Voldemort en se rasseyant confortablement dans son fauteuil.
« Si tu veux sortir de ce château vivant, tu ferais mieux de m'écouter. Je te repose la question : veux-tu te joindre à mes rangs ? » ajouta-t-il.
« Tu es lent d'esprit ou bien ? » dit Harry ironiquement. « Je ne serai jamais un de tes mangemorts ! Ni moi, ni elle ! »
« Tu as tord, Potter. » déclara Voldemort avec un sourire dément « elle est déjà à moi. »
Il prit sa baguette et d'un geste de la main, il releva le bras de la fille et baissa la manche de son habit. Il fit signe à Harry de tourner la tête.
Lorsque celui-ci vit la marque, il s'approcha de son amie, incrédule. Comment avait-il osé ? Comment avait-il pu faire une chose pareille ? Il saisit avec douceur le bras de Liv et effleura la marque. Elle était vraie. Liv gémit et ouvrit les yeux difficilement. Son visage s'éclaira faiblement lorsqu'elle reconnut Harry. Elle murmura : « Hey, ça va ? J'ai eu peur pour toi à cause des mangemorts. Ne me fais plus jamais ça ! »
Harry sourit tristement et posa une main sur la joue de son amie en disant : « Excuse-moi, j'aurais du te protéger. Tout est de ma faute encore une fois. »
Liv se détendit lorsqu'elle sentit la douce main de son ami contre sa joue et elle dit : « C'est rien. Je n'ai presque pas mal. »
« Endoloris ! » s'exclama Voldemort.
Harry reçu le sort en plein dos sans qu'il ne puisse rien faire. Il s'écroula sous la douleur et après quelques instants se retourna vers Voldemort qui avait un rictus de plaisir.
« Je n'aime pas qu'on m'oublie. Potter, tu ferais mieux de ne pas me tourner le dos quand tu es dans MON château. » siffla Voldemort.
Harry se releva malgré la douleur et il pointa sa baguette sur son ennemi en articulant tant bien que mal : « Tu vas regretter d'avoir levé la main sur elle. »
« Mais je n'ai rien fait. C'est elle qui l'a voulu. » dit Voldemort avec un sourire.
« Et tu penses que je vais te croire ? » murmura Harry.
Voldemort retira le doloris et dit : « C'est la vérité. Elle m'a même supplié de faire d'elle un mangemort. Elle riait quand je l'ai marqué. »
« Endoloris ! » rugit Harry. Voldemort ne put éviter le sort qui le frappa en pleine face. Et pour la première fois de sa vie, le seigneur des ténèbres fléchit. Il tomba à genoux.
Harry eut un rire cruel et il murmura : « Souviens-toi de cette douleur qui transperce tous tes os, Tom. Tant que je serai là, elle risque de t'accompagner. C'est vraiment différent de recevoir le sort que de le lancer, n'est-ce pas ? »
Harry intensifia encore son sort et s'agenouilla à côté de son ennemi paralysé par la douleur. Il lui murmura : « Je te fais la promesse Tom, de te souffrir la mort pour toutes les personnes que tu as tué. »
« Lâche ta baguette, Potter, ou elle meurt. » dit une voix glaciale.
Harry se retourna et vit avec horreur que Lucius s'était relevé et pointait sa baguette sur Liv. Il se redressa et fit face à Malfoy qui dit en caressant la nuque de la fille : « Fais ce que je te dis Potter sinon tu ne reverras plus son beau visage. »
Si la situation n'avait pas été aussi désespérée, Harry aurait sauté sur Malfoy pour lui arracher les yeux. Lentement, ses doigts se desserrèrent et sa baguette tomba à terre dans un bruit sourd. Malfoy eut un sourire satisfait et Voldemort se redressa en riant. Il épousseta sa robe et dit en souriant : « Et bien, Harry, tu m'aurais presque chatouillé. Mais je ne peux pas nier que tu es devenu fort. »
« Endoloris ! » s'écria-t-il. Harry fléchit les genoux mais n'arriva pas à contenir la douleur et se recroquevilla sur lui-même.
« Tu sais, Harry. Je sais que je me répète mais nous sommes pareils. Pourquoi ne veux-tu pas l'accepter ? »
Harry serra les dents et ne répondit rien.
« Tu m'agaces à ce petit jeu-là, Potter. » murmura Voldemort, il redoubla l'intensité de son sort et ajouta : « Lucius, fait ce qu'il te plaît de la fille. »
Les yeux de Harry s'agrandirent d'effroi mais aucun son ne parvint à s'échapper de sa bouche tellement la douleur était forte.
« Harry, pourquoi refuses-tu de voir la vérité en face ? Tu es fait pour la magie noire. Tu es l'héritier de Serpentard. Tu es comme mon frère. Pourquoi t'obstines-tu ? »
Harry émit un faible murmure et Voldemort tendit l'oreille ironiquement en disant : « Parle plus fort. Je ne comprends pas. Tu ne veux pas ? Peut-être que Lucius saura te convaincre. »
Il releva la tête du jeune homme d'un coup de baguette et l'obligea à regarder la scène qui se déroulait devant ses yeux. Des larmes montèrent aux yeux de Harry, il voyait son amie, en train de se faire frapper par un des hommes qu'il détestait le plus au monde et il ne pouvait rien faire.
« Alors tu apprécies ? » murmura Voldemort.
Soudain, Malfoy arracha d'un coup sec la jupe de Liv. Harry sentit la fureur l'envahir et d'une force et d'un pouvoir insoupçonnés il bondit et se précipita vers le mangemort prêt à l'égorger. Voldemort sourit et d'un coup vif de la baguette, il intensifia le sort de douleur. Harry s'écroula, sans pouvoir faire un mouvement de plus.
Voldemort fit un signe à Malfoy pour lui dire de continuer, celui-ci obéit immédiatement et commença à défaire le corset de Liv malgré les cris de protestations de la fille. Harry sentait la rage bouillir au fond de lui, cette fureur qui lui apportait tant de pouvoir, il se releva lentement et tendit une main vers Lucius et murmura un sort d'une voix presque inaudible. Malfoy porta ses mains à sa gorge, il ne pouvait plus respirer comme si on l'étranglait. Soudain, Harry prononça une autre incantation et Lucius vola à l'autre bout de la pièce pour se fracasser contre le mur dans d'horribles craquements.
Harry tourna la tête doucement vers Voldemort et murmura : « Tu es allé trop loin Tom. »
Il leva la main vers son ennemi et dit un sort de repoussement. Le mage noir se trouver lui aussi projeter contre un mur. Voldemort ne se releva pas et Harry sourit en disant : « Tu oublies toujours quelque chose. Je suis l'héritier de Gryffondor. Et si je suis aussi celui de Serpentard, c'est entièrement ta faute. »
« Qu'est-ce que tu racontes Potter ? » siffla Voldemort en se relevant.
« C'est simple, si tu dois haïr quelqu'un, c'est toi Tom. Si tu n'avais pas tué ma mère, je serais mort. Si tu n'avais pas tué mes parents, je ne serais jamais devenu l'héritier de Serpentard. Tu te souviens sûrement de la petite figure innocente que tu apprêtais à tuer en lançant le sortilège mortel, dire que si tu n'avais pas dit ces deux mots. Tu ne m'aurais jamais légué ton héritage et je ne serais pas là en train de te tenir tête. » déclara Harry d'un ton calme tout en jubilant en voyant la face de son ennemi se décomposer.
« Et le pire, ajouta le jeune homme, c'est que c'est à cause de toi que je réussirai à ta vaincre. »
Un rire suraigu s'éleva et Voldemort s'écria : « Tu as tord Potter ! Je suis immortel. »
« Endoloris ! » rugit le mage noire.
Harry s'apprêta à contrer mais il ne comprit que trop tard que le sort ne lui était pas destiné. Un hurlement déchira la salle, l'inquiétude remplaça en une seconde la rage dans l'esprit de Harry. Il se précipita vers son amie secouée par les convulsions de douleur.
« Lord Voldemort est immortel ! » hurla le mage noir d'un rire dément.
Harry se jeta sur sa baguette et grâce à un sortilège d'attraction, il attrapa la baguette de Liv tandis que Voldemort intensifiait le doloris de Liv. Harry sentit son cœur se briser quand les cris de son amie redoublèrent.
« Avada Kedavra ! » hurla Voldemort. Harry réussit de justesse à éviter le sort et il pointa sa baguette sur son ennemi en hurlant : « De Scientae Somno ! »
Le sourire de Voldemort se figea et il baissa sa baguette les yeux perdus dans le vide. Harry tomba à genoux en haletant. Il aurait voulu se reposer quelques instants après avoir lancer un sort aussi puissant mais déjà il entendit des pas précipités s'approcher. Il maugréa et se releva difficilement. Il tituba vers le lit où Liv était étendue inconsciente, il attrapa une de ses mains glacées et murmura un sort en direction de l'oreiller. La porte derrière lui s'ouvrit brusquement et Harry entendit les nouveaux arrivants crier un sort d'une seule voix. A nouveau, une douleur fulgurante lui traversa l'échine mais dans un dernier effort, il tendit une main vers l'oreiller et le saisit.
Il ferma les yeux et sentit avec soulagement le pincement au nombril signe que le portoloin avait fonctionné.

Albus Dumbledore fixait avec intérêt son assiette à peine entamée. Toutes ses pensées étaient tournées vers ses deux élèves les plus problématiques, Liv Thompson et Harry Potter maintenant disparus depuis quelques heures. Il jeta un coup d'œil à la salle, tous les élèves discutaient gaiement des vacances qui s'offraient à eux. Il s'attarda à la table des gryffondors, Hermione Granger et Ron Weasley avaient l'air très même trop préoccupés. Auraient-ils *enfin* découvert le secret de Harry ? Un jappement attira son attention. Remus avait traîné de force Sirius dans la grande salle mais ce dernier ne semblait pas pouvoir rester en place. C'était compréhensible après tout. Remus fixait quant à lui son assiette d'un air absent.
Soudain, un hurlement déchira la grande salle. Toutes les discussions stoppèrent d'un coup et tous relevèrent la tête vers le directeur qui semblait plus pâle qu'un linge. Albus tourna la tête vers Remus qui était dans le même état que lui. D'un coup, tous deux se levèrent et Remus se précipita vers les portes de la grande salle, suivant de près un gros chien noir. Dumbledore donna quelques consignes à sa directrice adjointe et sortit en trombe de la salle, sous les yeux terrifiés de quelques élèves.

Les pas d'Albus Dumbledore raisonnaient dans les couloirs. Les élèves allaient partir d'une minute à l'autre pour rejoindre le Poudlard Express mais ce fait était bien le cadet de ses soucis. Il se dirigeait vers l'infirmerie, Harry et Liv étaient réapparus deux heures auparavant mais ils étaient revenus vraiment mal en point. Soudain, des pas précipités attirèrent son attention. Il se retourna et vit deux élèves de Gryffondor courir vers lui.
« Professeur Dumbledore » haleta Hermione Granger « nous devons absolument vous parler. »
« Désolé, Miss Granger. Le temps me manque. » déclara le vieil homme.
« Savez-vous où se trouve Harry ? Nous devons lui parler avant de partir. Je vous en prie. » s'écria Ron Weasley.
« Ecoutez, vos calèches partent dans quelques minutes et Harry n'est pas en état de vous parler. Je suis désolé de vous dire que vous avez eu plus d'un mois pour tout découvrir et que pour l'instant il est trop tard. Vous attendrez la rentrée. » déclara calmement Dumbledore.
« Je vous en prie Professeur. Laissez nous au moins restez là pendant les vacances. » s'exclama la préfète.
« Vos parents attendent votre retour. C'est impossible. Veuillez aller prendre vos calèches, si vous voulez garder les points de Gryffondor intacts. » rétorqua sévèrement le directeur.
« Mais !... » s'exclama Weasley.
« Joyeux Noël à tous les deux. » conclut le directeur en tournant le dos pour repartir en direction de l'infirmerie.
« Voilà... nous devons attendre deux semaines avant de reparler à notre meilleur ami. » murmura Hermione.
« Tu crois qu'il voudra toujours être notre ami ? » demanda avec espoir Ron.

Dumbledore déboula dans l'infirmerie. Madame Pomfresh venait de terminer un bandage quand elle se tourna vers son directeur.
« Comment vont-ils ? » s'enquit Albus.
« Je souhaiterais dire « bien » mais c'est impossible. Je n'ose pas imaginer le nombre de doloris qu'on leur a fait subir. Thompson est beaucoup plus amochée que Potter mais il semble avoir vidé toutes ses réserves. Je ne sais pas comment l'expliquer. » déclara d'un ton las l'infirmière.
« Des doloris ? Seulement ? » demanda Dumbledore mi effrayé mi soulagé.
« Non, bien sûr que non. » murmura Pomfresh en s'approchant du lit où dormait Liv. L'infirmière pointa quelques endroits sur le corps de la fille et dit : « Ils ont dû la frapper, énormément. Et comme je l'ai trouvé, ils n'ont pas du être loin de la violer. » ajouta dans un souffle Pomfresh. Le directeur fit un pas en arrière horrifié et un gros chien émit un faible gémissement.
« Mais, il y a pire... » dit l'infirmière d'une voix tremblante.
Lentement, elle souleva le drap qui recouvrait le bras de Liv et dévoila la marque des ténèbres. Les yeux du directeur s'agrandirent de surprise et d'effroi tandis que Sirius grogna de surprise.
« Oh mon dieu... comment ont-ils pu ? » murmura Dumbledore en recouvrant le bras de son élève. L'infirmière secoua la tête en signe de désolation et Patmol posa sa tête sur le bord du lit de Liv avec des yeux remplis de tristesse.
« Albus ? Au fait, pouvez-vous me dire à qui est ce chien ? » demanda Madame Pomfresh, « j'ai tout essayé pour le faire sortir mais il refuse catégoriquement de partir. »
Albus lança un regard interrogateur au chien qui fit un mouvement qui aurait pu être interprété comme un haussement d'épaules et alla se poster au côté de Harry qui dormait lui aussi dans le lit voisin de celui de Liv.
« Pompom, je ne sais pas si c'est une bonne chose de vous dire à qui est ce chien. » dit calmement Dumbledore.
« Ecoutez Albus, je viens de voir une fille de quinze ans revenir à moitié morte, marquée par Vous-savez-qui et un garçon qui a probablement été la sauver revenir exténué au point de ne presque plus avoir la force de respirer, qui plus est ce garçon est le Survivant. Je crois que je pourrais avaler n'importe quoi. » répliqua l'infirmière.
Dumbledore sourit et fit un signe au chien. Celui-ci sauta de la chaise où il était installé. Madame Pomfresh regardait la bête sceptiquement. Soudain, ses yeux s'agrandirent et elle lâcha le plateau qu'elle tenait dans ses mains.
« Sirius Black... » fut les seuls mots qu'elle parvint à articuler.
« Moi aussi je suis heureux de vous revoir Madame. » dit Sirius naturellement avant de se rasseoir au côté de son filleul et de prendre sa main, inquiet comme l'aurait été James.
L'infirmière se retourna vers son directeur et dit : « En effet, j'aurais préféré ne pas le savoir. »
Et sans un mot de plus, elle commença à ramasser le plateau qu'elle avait laissé tomber.

Ainsi passèrent plusieurs jours, Liv et Harry se réveillaient quelques fois mais ce n'était que de courtes réapparitions. Sirius et Remus étaient quasiment tout le temps à leurs côtés, trop inquiets pour faire quelque chose d'autre.
Jusqu'au 25 décembre, aucun des deux ne donnèrent signe de vie.

Harry se réveilla, il essaya d'ouvrir les yeux mais ils refusaient de suivre le mouvement. Il semblait à Harry qu'il venait de dormir pendant des mois. Ses membres demeuraient comme incrustés dans son lit. Il parvint finalement à ouvrir les yeux. C'était la nuit et il neigeait. Le jeune homme n'avait strictement aucune idée de la date. Il remua quelque peu ses muscles et s'aperçut que quelqu'un lui tenait la main ; il reconnut son parrain qui dormait dans un fauteuil près de lui. Avoir son parrain près de lui, réchauffa quelque peu son esprit mais un bruit étouffé attira son attention. Il tourna la tête à droite et vit une boule de couvertures agitées par de légers soubresauts. Harry comprit tout de suite et prit son courage à deux mains : il réussit à extirper sa main de la poigne de son parrain et tenta de se lever. Il lui fallut deux essais pour pouvoir tenir debout et il tituba lentement jusqu'au lit voisin. Les couvertures arrêtèrent soudain de bouger lorsqu'il fut prêt et Harry sans dire un mot se glissa lentement au côté de Liv. Il plongea sous les draps et se retrouva face à face avec son amie. Ses yeux étaient rouges et enflés par les pleurs. Sans hésiter, la jeune fille se jeta dans les bras de Harry et s'y cala confortablement avant de recommencer à sangloter de plus belle. Sans mot dire, le jeune homme commença à bercer son amie en murmurant de douces paroles.
Entre deux plaintes, Harry entendit Liv murmurer : « J'ai eu tellement peur, Harry, tellement peur de ne plus jamais te voir, tellement peur que tu ne viennes pas. »
Harry resserra son étreinte et murmura : « Il ne fallait pas, je serai toujours là. Toujours. »

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Ca me donne presque envie de pleurer surtout que j'écoute la musique pire triste.
Alala...

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Merci !