Bonjour bonjour !

JE vais vous scander mon introduction. Attention accrochez-vous à vos sièges et à vos souris...

Ainsi, j'ai l'honneur de vous présenter
Le chapitre 27 que j'ai longtemps préparé
Peut-être fut-il un peu court
Mais aux suivantes informations ne soyez pas sourds
Autrement ce chapitre je ne pouvais couper
Pour que la suite puisse bien s'y caler
Ne vous inquiétez point
Car d'écrire la suite je prends soin
Encore faut-il que je prévienne
Les amis de notre couple se retiennent
De m'envoyer une review enflammée
Pour me réprimander de la suite que j'ai préparé
A nos deux chers tourtereaux
Qui stagnent dans de bien mauvaises eaux
Me dire comment vous voulez les voir évoluer
Je me ferais un plaisir à vous écouter

En espérant que cela vous plaise...

Merci aux reviews !!

Réponses :

Philipe Gryffondor :

Ô reviewer de la poésie
De joie mon cœur s'emplie
Lorsque je lis un message de si grande beauté
Je ne peux que vous remercier

Lilou :

Merci ! C'est toi qui m'as donné l'idée pour ce chapitre !

Clem : je tenterai le coup pour les abdos de Potter mais je promets rien je vois pas trop comment réussir à le mettre subtilement à torse nu devant Voldemort...

Nikoute : whoa la chance ! TU habitais dans une ville de l'expo... alors là je t'envie :p ... le cirque qu'on en a fait pour rien du tout.
Je ne sais pas si je réussirai à intégrer ton idée parce que je prévois quelque chose d'autre que vous n'allez sûrement pas mais vraiment pas apprécié mais bon je trouve que c'est un bon challenge.

Tania Potter : Harry mangemort ? Bof... il y a déjà Liv mangemort alors...
Allez, bonne suite !

Lol : si tu veux qu'on en parle ... y'a pas de problème.
Allez bonne suite et merci pour la review !

Merci à tous les autre reviewers et n'hésitez pas à me laisser d'autres messages !!

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Enjoy and... review !!

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Harry mit quelques secondes pour réaliser qu'il se trouvait bel et bien devant Voldemort. Il essaya de se lever ou de jeter un sort, enfin de faire quelque chose mais rien. Il se sentait vide. Il ne comprenait pas pourquoi il n'avait pas réussit à transplaner lorsque les mangemorts le tenaient et pourquoi les sorts de désarmement qu'il avait lancé étaient restés totalement inutiles.
Il remit ses idées au clair et dit :
« C'est gentil de m'avoir invité, Tom. Je t'en suis reconnaissant. »
« Tout le plaisir est pour moi, Harry. Tu prendras bien un peu de cognac ? » demanda Voldemort d'une voix qui sonnait mal.
« A quoi tu joues Jedusor ? » demanda sèchement Harry.
« Voyons Harry, j'essaie simplement d'être aimable. Tu es mon invité après tout. » assura le mage noir.
Harry éclata de rire, mais ses éclats étaient froids, ironiques.
« Qu'est-ce que tu m'as fait Tom ? » demanda Harry d'une voix glacée. « Pourquoi est-ce que je n'ai pas pu transplaner ? Pourquoi mes sorts n'ont eut aucun effet sur tes mangemorts ? »
« Harry, tu es bien naïf. L'amour te rend aveugle. Tu n'as pas pu transplaner simplement parce que tu en étais incapable, tout comme pour les autres sorts. »
« Tu racontes n'importe quoi ! » s'emporta Harry.
« En es-tu sûr ? Tu sais, j'ai de très bons alliés à tes côtés qui m'informent du moindre de tes mouvements. Tu étais tellement absorbé par ma chère Liv que tu n'as rien remarqué. » dit Voldemort en savourant ses paroles.
« Liv n'est pas un mangemort ! » s'écria Harry avant d'ajouter, « et remarquer quoi ? »
Jedusor éclata de rire et dit : « Tu te trompes encore. Liv est mon plus fidèle mangemort. Cela a été tellement facile de te berner. Tu n'as même pas remarqué que ton pouvoir baissait chaque matin, qu'un de mes fidèles suivants te faisait ingurgiter une potion chaque nuit à ton insu. J'ai envie de pleurer tellement cela a été ludique. »
« C'est impossible ! Une telle potion n'existe pas ! C'est impossible d'enlever les pouvoirs de quelqu'un. » dit fermement Harry qui essayait de cacher le trouble qui l'habitait.
« Tu as encore tord. Tu oublies que moi aussi je suis un maître des potions. J'avoue que je suis vraiment très fier de cette préparation. Et si tu ne me croies pas, essaie. » assura-t-il en lui tendant une baguette.
Harry la prit avec précaution et murmura un sort d'attraction. Rien ne se produisit. Un profond malaise s'installa dans l'estomac du jeune homme alors qu'il essayait vainement un sort de lévitation. Il comprenait maintenant pourquoi il se sentait vide. Il était à présent un simple moldu sans aucun pouvoir magique.
De l'autre côté, Voldemort savourait sa victoire en voyant son pire ennemi paniquer. Sa potion était un véritable chef-d'œuvre. Certes, il lui avait fallu plus de quatre mois pour la préparer, sans compter le temps où Potter l'avait mis hors circuit grâce à son stupide sort d'euphorie. Malheureusement, la potion n'était pas définitive. Dans une semaine ou deux, Potter reprendrait tous ces pouvoirs.
« Mais puisque ce détail lui est inconnu, j'ai amplement le temps de le faire changer d'idées... » pensa Voldemort avec un rictus de plaisir.
« Alors quel effet cela fait d'être un moldu ? Sans pouvoir, inoffensif. » demanda Jedusor.
Harry regardait ses mains en total incrédulité. Il releva la tête quand il entendit Voldemort parler. Il sentait la colère bouillir en lui mais avec un calme impressionnant, il dit simplement :
« Comment ? »
Voldemort leva un sourcil et dit : « Tu n'as pas répondu à ma question. »
« Toi non plus. » rétorqua Harry.
« Endoloris ! » rugit Voldemort. « Ne joue pas au plus malin avec moi, Potter. »
Harry se recroquevilla sur son fauteuil, il n'avait plus aucune défense. Le doloris agissait pleinement sur son organisme. La douleur était insupportable.
« Où va la jeunesse ? Ils n'ont plus aucun respect pour leurs aînés. » murmura Jedusor sur un ton amusé.
Il enleva son sort et dit : « Je vais répondre à ta question puisque je connais encore les bonnes manières. »
Harry reprit difficilement sa respiration et maudit Voldemort pour le plaisir qu'il prenait.
« C'est simple » commença Voldemort. « Comme tu le sais déjà, deux de mes précieux alliés sont infiltrés à Poudlard. Ma précieuse Liv, si dévouée, qui t'a séduit en l'espace de quelques jours, abaissant toutes tes défenses et un autre, beaucoup plus discret qui te suit partout, que tu ne soupçonnerais jamais. Donc mon petit serviteur te faisait ingurgiter la potion à faibles doses chaque soir depuis trois jours avec l'aide de Liv, tu n'as rien remarqué. Et aujourd'hui, lorsque Liv t'a emmené loin de la place centrale de Pré-au-lard, nous avons attaqué. Tu as totalement mordu à l'hameçon. »
Harry fixait le vide, un flot de doutes affluait vers son esprit.
« Non, Liv n'est pas un mangemort. Il ment. C'est faux. Ce n'est pas possible. Pourquoi voudrait-elle se faire enlever la marque si elle était réellement un mangemort ? »
« Qui est le deuxième allié ? » demanda sèchement Harry.
« Tu n'as toujours pas compris. Tu n'es pas vraiment vif d'esprit. Réfléchis donc. Qui est auprès de toi tout le temps, sans que tu ne remarques sa présence. »

« Sirius... non c'est impossible... » pensa Harry.

« Il se fait tout petit, tu n'y penses même plus. » indiqua Voldemort.

Soudain, Harry réalisa : « Thryn... »
« Et oui ! » s'écria Tom. « Ton cher petit serpent. Que pouvais-je rêver de mieux comme espion. Il m'a tout relaté depuis son arrivé chez toi. A nouveau, il a été très facile de manipuler ta sang-de-bourbe d'amie pour qu'elle l'achète et te l'offre. Tout est vraiment trop facile. »
Harry regardait Voldemort sans y croire, tout cela ressemblait à un mauvais rêve et il espérait bientôt se réveiller.
« Le pire » dit Voldemort en riant sèchement « c'est que tu n'as absolument rien suspecté. Mon cher petit serpent s'absentait à tout bout de champs et tu n'as rien soupçonné. Mon entreprise était parfaite, avec Liv à mes côtés rien ne pouvait m'arrêter.»
Harry tentait vainement de repousser la vague de doute qu'il l'assaillait. Il murmura pour lui-même : « Ce n'est pas possible, non. Liv n'est pas un mangemort. »
« Liv n'est pas un mangemort ? » s'exclama Voldemort « nous ne devons pas parler de la même personne alors. Cette fille est mon plus fidèle mangemort. Je dois avouer qu'elle joue très bien la comédie pour te faire gober cette histoire d'enlèvement et de torture. Je ne pourrais rêver mieux comme bras droit. »
Harry fixait ses mains crispées sur sa robe. Son esprit était saturé.
« Tu sais Harry, » commença Voldemort « je commence à me répéter mais si tu rejoignais mes rangs... »
« Jamais ! » coupa Harry.
« Très bien, Endoloris. » murmura Jedusor.
Sans enlever le doloris, le mage noir amena un Harry titubant jusqu'à une chambre annexe. Il le fit entrer de force et retira son sort.
Harry haleta quelques instants et remarqua qu'il se trouvait dans une chambre normale.
« Bien. Tu resteras là jusqu'à ce que tu changes d'avis, Potter. Au fait, tu auras trois petits compagnons pour que tu ne te sentes pas trop seul. Amuse-toi bien. » déclara Voldemort avant de claquer la porte de façon théâtrale.
Harry ne bougea pas, que voulait-il dire pas trois compagnons ?
Comme pour répondre à ses pensées, une porte annexe s'ouvrit. Harry sentit ses entrailles se geler, la panique l'envahir. Il fit un pas en arrière lorsqu'il vit trois détraqueurs entrer dans la pièce.
« Spero Patronum ! » hurla-t-il inutilement car la panique n'avait pas pu empêcher le réflexe.
Les trois gardiens d'Azkaban continuèrent d'avancer lentement et Harry complètement désespéré d'entendre à nouveau les plaintes de sa mère et la mort de Cédric, commença à tambouriner contre la porte comme un dément.
Puis, il sentit des mains le tirer en arrière. Toutes ses forces le quittèrent lorsqu'un des détraqueurs le jeta contre un mur. Harry ne put que se recroqueviller sur lui comme un enfant terrifié.

°°°°°°°°°

- Tue l'autre
- Avada Kedavra !
Une lumière verte… un bruit sourd… Cédric les bras en croix… Mort

Je l'ai tué, tout est de ma faute, encore et toujours de ma faute...

Non... je ne suis pas coupable, tout le monde le dit...

Non, tu sais très bien que tu es un meurtrier, Ron et Hermione l'ont compris eux...
°°°°°°°°°

- Lily ! Prends Harry et va-t'en ! C'est lui ! Va-t'en ! Cours ! Je vais le retenir…
Quelqu'un qui trébuchait… Une porte qui s'ouvrait à la volée… Le gloussement d'un rire suraigu…
- Non, pas Harry ! Je vous en supplie… Je ferai ce que vous voudrez…
- Pousse-toi, idiote, allez, pousse-toi !
- Non, pas Harry, je vous en supplie, tuez-moi si vous voulez, tuez-moi à sa place… Ayez pitié… Ayez pitié…
Le rire suraigu retentit à nouveau… Lily hurla

°°°°°°°°°

Alors c'était toi, cela a toujours été toi ! En première année, quand nous cherchions la pierre philosophale. Toi, tu ne la cherchais pas pour protéger Poudlard mais pour faire revivre Tu-sais-qui, ton ... maître ? Etais-tu déjà sous ses ordres à cette époque ? On y croyait vraiment, tu étais vraiment un très bon acteur. Lorsque nous sommes descendus, tu as réussi à te débarrasser de nous mais tu as échoué et tu as inventé une histoire pour paraître innocent. C'était ça, n'est-ce pas ? Et tu as réussi à te faire passer pour un héros.
Et en deuxième année, ah ! Tu devais être heureux ! Durant toute cette année, nous t'avons aidé à retrouver ta chambre des secrets ! Mais en fait, tu savais depuis le début où elle se trouvait, tu commandais déjà le basilic, tu avais déjà le pouvoir de te débarrasser des élèves gênants : Colin, Justin et même ta meilleure amie Hermione, le pouvoir de continuer l'œuvre de ton maître. Tu t'es bien joué de nous cette année-là ! Tu as ... utilisé ! Oui tu as utilisé ma sœur, ton amie, tu voulais la tuer pour faire revivre ton maître ! Mais à nouveau, nous étions là à travers ton chemin. Quel chance que cet imbécile de Lockhart était là pour m'empêcher de passer ! Dommage, tu as encore échoué ce soir-là, tu ne pouvais pas tuer ma sœur. Il y aurait eu trop de soupçon alors tu as réussi à sortir de là en héros. Tout le monde admirait encore le grand Harry Potter !
Et en troisième année, cette fois peut-être en avais-tu assez des échecs alors tu as renoncé mais qui voilà : Sirius Black ! Le bras droit présumé de Tu-sais-qui. Tu t'es sûrement à nouveau bien joué de nous, peut-être qu'en fait, Black que nous avons sauvé, était vraiment du côté de Tu-sais-qui ! Quelle chance pour toi de pouvoir t'allier avec lui ! Il ne te suffisait plus que de trouver une histoire pour nous berner ! Et encore tu as réussi et tu passes pour un héros ! Tu pouvais à présent recommencer à faire un plan pour sauver ton maître et bien sûr nous, nous te croyions ! Nous te plaignons de vivre autant de monstruosités ! Mais en fait, il n'en était rien ! Tu t'es allié avec le seigneur des ténèbres, le meurtrier de tes propres parents ! Comment as-tu pu ?

Ils ont raison...
J'ai tué Cédric... je ne suis qu'un monstre...

°°°°°°°

Il plongea sous les draps et se retrouva face à face avec son amie. Ses yeux étaient rouges et enflés par les pleurs. Sans hésiter, la jeune fille se jeta dans les bras de Harry et s'y cala confortablement avant de recommencer à sangloter de plus belle. Sans mot dire, le jeune homme commença à bercer son amie en murmurant de douces paroles.
Entre deux plaintes, Harry entendit Liv murmurer : « J'ai eu tellement peur, Harry, tellement peur de ne plus jamais te voir, tellement peur que tu ne viennes pas. »
Harry resserra son étreinte et murmura : « Il ne fallait pas, je serai toujours là. Toujours. »

Elle s'est bien jouée de moi la garce... J'y ai vraiment cru...
Alors qu'en fait, elle a toujours été de mèche avec Voldemort...

Non, c'est faux...

Je me suis fait avoir comme un crétin...

°°°°°°°

Harry sembla se réveiller d'un rêve, cela faisait bien longtemps qu'il avait perdu la notion du temps. La seule chose qu'il parvenait à sentir était le froid, le froid qui entourait chacun de ses membres, qui pénétrait chacune des parcelles de sa peau.
Il n'était plus conscient des coups, des sorts qu'on lui jetait. Il n'y avait plus que le froid.

°°°°°°°

« Je vais le chercher ! » s'écria Liv.
« Non tu n'y vas pas. » répliqua sur le même ton Sirius en attrapant le poignet de la jeune fille.
« Tu n'es donc pas inquiet pour Harry, Black ? Cela fait bientôt trois jours qu'ils l'ont attrapé ! Il est sûrement déjà mort. Et s'il ne l'est pas, nous devons aller l'aider ! C'est ton filleul après tout ! » s'emporta Liv.
« Je sais très bien qui je suis mais je sais aussi que Harry est un grand garçon et que si on allait se faire tuer pour lui, il ne se le pardonnerait jamais. Alors tu vas rester bien gentiment ici, les aurors du ministère sont déjà sur le pied de guerre. » la rassura Sirius.
« Et pourquoi tu n'es pas avec eux en train de chercher ? » s'exclama la fille sous le coup de la colère.
« Aurais-tu oublié que je suis censé être un dangereux criminel échappé d'Azkaban qui en veut à la vie de Harry Potter ? » demanda ironiquement Sirius.
« Excuses-moi. Je deviens stupide à force de tourner en rond. » murmura Liv.
« Moi aussi... moi aussi. » avoua Sirius dans un souffle.

°°°°°°°

Harry ne se souvenait plus vraiment s'il venait de se réveiller ou s'il était même endormi. Il essaya de se relever, sans grand succès la première fois, ni la deuxième, au troisième essai il réussit et tituba jusqu'au lit sous l'œil vigilant des détraqueurs. Il s'effondra contre le matelas et poussa un long soupir.
Non, il n'allait pas se laisser faire par trois détraqueurs. Après tout, Sirius a tenu une dizaine d'années alors ce n'est pas quelques petits jours qui allaient le démolir, lui héritier de Gryffondor et Serpentard.
Il tenta de remettre de l'ordre dans ses idées mais la tâche n'était pas aisée. Les échos des voix de ses parents, de Ron et des autres passaient en boucle dans sa tête. Il n'y arrivait pas à s'y habituer. C'était pire que tout.
Soudain il entendit la porte grincer. Il tourna la tête et essaya de prendre un air détaché en voyant entrer deux têtes blondes.
« Tiens, Malfoy père et fils. Que me vaut cet honneur ? » demanda Harry d'une voix éraillée.
Draco, qui semblait plus pâle qu'un linge, se plaça derrière son père et le plus loin possible des détraqueurs. Si chaque sentiment heureux n'était pas immédiatement absorbé par ces créatures, Harry aurait sûrement éclaté de rire devant l'attitude de jeune Malfoy. Il ressemblait à une blanche brebis égarée dans un monde barbare.
Harry ne sut jamais où il trouva la force de faire de l'ironie mais il lança :
« Alors, Joli Dragon, tu sembles bien pâle. Aurais-tu vu ton grand méchant maître ou se sont les terribles détraqueurs qui te font cet effet ? »
Le regard de Draco se chargea de haine et Harry entendit vaguement Lucius prononcé le sort du Doloris. Aussitôt, il sentit la sensation désormais familière de souffrance qui transperçait chacun de ses muscles.
« Tu ne devrais pas te croire aussi supérieur, Potter. Après tout, tu n'as plus aucun pouvoir alors c'est toi qui es sans défense. » murmura Lucius qui s'était approché avant de se relever et dire à l'intention de Draco.
« Maintenant, apprends Fils. Dans quelques années, ce sera toi qui seras à ma place. »
Lucius s'amusa ensuite à torturer Harry. Tout y passait, doloris, coups.
Harry ne fut pas conscient de combien de temps cela dura, il se souvint juste avant de s'évanouir d'avoir vu Draco serrer les points de rage.
Reste à savoir de rage contre qui ?

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Voila, ce chapitre cesse ici
J'espère que cela vous a plu
Me laisser une review serait poli
Car je ne puis lire dans vos esprits tordus ?

Hèhè... trouver une rime en u...

Allez, dites moi ce que vous en avez pensé !

Et à votre avis, Liv : Mangemort oui ou non ??