Chapitre2: nuit de noces
Après, je ne sais plus très bien. Il y a eut un repas, une fête. Puis Neji m'a conduit dans un appartement de l'aile Sud. Je voit que mes affaires y sont installée, ainsi que d'autres meubles et cartons...sans doute ceux de Neji. Je ne comprends plus.
Debout immobile au milieu de la pièce, je ne veux pas comprendre.
Une main qui saisi la fermeture éclair de mon manteau et la dé
zippe me ramène à la réalité. Je reprends un
peu mes sens et je parvient à demander: "Ne-Neji-Niisan, q-qu'est
ce que...tu fais?"
Il me regarde avec son petit sourire méprisant, comme si c'était
évident, en me retirant mon manteau. Puis il défait les fermetures
de ma cote de maille. Je réalise soudain... il veut me...non
Hinata: "NON!"
Je recule et je pousse Neji. Il n'est guère déstabilisé
et il me regarde toujours d'un air moqueur.
Neji: "c'est trop tard pour dire non. Nous sommes marié. Et
ce soir tu sera mienne."
Il tend encore la main vers moi, je recule mais mon dos heurte le mur.
et Neji arrache mon soutien-gorge, qui tombe à terre.
Hinata: "S'il te plait, ne fais pas ça..."
Neji: "Tu es ma femme, Hinata."
Ses mains emprisonnent mes poignets et les plaquent contre le mur pendant
qu'il se rapprochent de moi. Je sens son souffle sur mon visage, sa poitrine
et ses cuisses venant au contact des miennes.
Hinata: "Je t'en prie...tu n'es pas obligé de..."
Neji: "Je le veux. Je veux que tu m'appartiennes."
pourquoi...pourquoi...je lis sur son visage la même rage noire
qu à l'ordinaire. Il me hait encore. Il me détestes toujours.
c'est pour ça..c'est pour ça qu'il veut...
Neji: "Et tu devrais être flattée que je t'accordes cette
qualité: tu es très désirable. Tu as grandi de manière
très féminine, et tu es la fille la plus attirante de Konoha
sans aucun doute."
Je reste sans voix. Ca pourrait être un compliment, des mots
doux et gentils, mais l'amertume du ton rends ces paroles insultantes.
Profitant de ma surprise, il colle ses lèvres contre les miennes.
J'essaye de me dégager, mais il tient d'une poigne de fer, et bientôt
impuissante, je dois laisser sa langue envahir ma bouche. Il sépare
nos lèvre avec un sourire de triomphe. Puis il maintient mes poignets
d'une main au-dessus de ma tête et avec l'autre main entreprend de
caresser mes seins. De nouveau il m'embrasse encore, mais ma fierté
reprends des forces et j'essaye de lui mordre de la langue. Il l'évite
et sa main sur ma poitrine se lève pour me frapper au visage.
Neji: "Hinata, si tu veux que ça soit violent, alors je serai
violent .."
Hinata: "Non! lâche moi, Neji!!"
Neji: "Tss, ce n'est plus à toi de donner des ordres, Hinata-chérie.
C'est moi l'héritier maintenant."
Les larmes me montent au yeux et je commence à atteindre le désespoir.
que faire? que faire? Il sourit d'un air moqueur et lèche les larmes
qui me coulent sur les joues avant de m'embrasser de nouveau avidement.
Maintenant ses deux mains caressent, pressent et frictionnent ma poitrine,
mon dos et mes bras. Puis la langue de Neji abandonne ma bouche pour descendre
sur mon cou, qu'il mordille doucement.
Non non, je me couvre mon visage avec mes mains; Lui, il embrasse mon
cou, mes épaules, puis il descends vers mes seins et commence à
jouer avec mes tétons avidement.
Je pleure de plus en plus fort, incapable du moindre geste, paralysée
par le dégoût et la peur. je sens mon pantalon tomber à
terre et ma culotte glisser le long de mes jambes. Je ne veux pas voir,
ne me regarde pas, non. Je suis nue devant lui, il me regarde, je le sens,
il regarde mon corps. Je me sens mal, je ne veux pas voir.
Il me pousse et me fait m'allonger sur le dos. Je dois être sur
le lit. Je n'oses pas ouvrir les yeux, je n'oses pas bouger...j'ai si peur...si
peur.
Un bruit de vêtement, puis le lit craque et le matelas s'enfonce
davantage, tandis qu'une masse chaude vient s'allonger à coté
de moi.
Des mains chaudes commencent à explorer ma peau, rejointe par
des lèvres humides. Je frissonne et je sers les dents.
Une main plus insistante ouvre mes cuisses grande, révélant
à Neji tout ce que j'ai de plus intime. Un sursaut de terreur me
parcourt et je me cambre brutalement, essayant désespérément
de fuir l'homme devant moi. Mais il me rattrapes et me cloues contre le
matelas, je me débats mais il me tient fermement et AAAAAAAAAAAAAAAAAAAH.
Le cri m'a échappé lorsque la douleur a transpercé
mon ventre, comme une brûlure intense. Il pèse sur moi de
tout son poids et de toute sa force et je hurle de plus belle a chaque
va-et-vient de Neji en moi. Par pitié que ça s'arrêtes!
je n'en peux plus! arrête! arrête!
Après une éternité de tortures, il finit par se
retirer après un grognement sourd et il s'affale sur le lit à
coté de moi. Je reste là, immobile, jusqu'à ce que
le sommeil m'envahisse et m'emporte loin ...loin de Neji.
