Disclaimer :

Les personnages de Hikaru no Go ne m'appartiennent pas.

Raaah c'est déprimant à dire ça, je peux pas en avoir quelques uns ? Non ? Allez quoi ! ( grand sourire angélique et pas crédible du tout. )

… Non, vraiment pas ?

Tsss ! Bon je les pique pas longtemps et je les rend après, promis. ( Oublie "volontairement" de préciser dans quel état… ) )

Ah ! Par contre, Yumi, ses amies et sa famille sont rien qu'à moi, alors pas touche, svp !

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Epilogue : Irrécupérable, mais tellement craquant ! X3

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Enfin, la redoutée rentrée des classes.

Et Yumi traînait par la main un Kaga à moitié endormi, rageant sur le risque très probable d'arriver à la bourre.

- Je t'avais dis et répété de pas jouer au shôgi avec Jii-chan jusqu'à pas d'heure, hier soir ! Je le savais bien que tu serais pas foutu de te lever ce matin !

- Oui, mon ange, rigola le jeune homme.

- Pfff… T'es con, des fois, soupira Yumi, les joues anormalement roses.

Kaga la retint, passant un bras de propriétaire autour de sa taille.

- C'est pour ça que tu m'aimes, non ? la taquina t-il.

- Aucun commentaire, répondit-elle stoïquement.

Il l'embrassa en riant.

Lorsqu'ils arrivèrent enfin au lycée, la sonnerie avait retentie depuis dix bonnes minutes… au moins…

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- Mais non ! Elle va rien comprendre, si tu lui apprends comme ça, fit Kyô.

- Je sais ce que je fais, senpaï ! protesta un Tsutsui, écarlate… probablement pour la dixième fois. Ce n'est quand même pas ma première initiation !

Accoudée à la table, où Tsutsui essayait désespérément de faire une partie pédagogique avec Megumi, Yumi gloussa. Et le reste du club n'était pas en reste, profitant des chamailleries des deux garçons, tout en jouant leur parties.

Kyô semblait décider à faire enrager Tsutsui jusqu'au bout, et Megumi devait se retenir pour ne pas éclater de rire comme les autres. Surtout avec les petits commentaires idiots que Yumi lui soufflait régulièrement, histoire d'en remettre une couche.

- SENPAI ! s'écria Tsutsui, à bout de nerfs.

- Roh là là. Sois pas si chatouilleux, Tsutsui. Les filles préfèrent les mecs patients, en général, lui déclara très sérieusement Kyô.

Un son non identifié passa les lèvres du jeune homme cramoisi qui disparut à moitié sous la table.

Megumi gloussa.

- Alors ça, ça dépend des filles, ne Yumi-chan ?

- Vouiiiiiii, sourit celle-ci avec l'air idiot et béat qu'elle ne quittait plus depuis ce matin.

- Nani ? fit Kyô.

- J'aime les foutus caractères, répondit Yumi avec un graaaand sourire.

- Bon. J'ai des chances alors…

La porte de la salle coulissa violemment.

- Tu la touches, t'es mort, prévint une voix menaçante.

Mouvement de tête général vers le jeune homme aux cheveux rouges et en bataille, qui se tenait nonchalamment dans l'encadrement de la porte. Kaga toisa un à un les membres du club de go, d'un air dédaigneux.

- Bon, alors. C'est qui le plus fort ici ?

Tsutsui se tourna avec un sourire amusé, vers une Yumi qui déprimait profondément sur son coin de table.

Pas dit qu'elle arrive à le changer un jour…

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Owari ! ( A vaincu, lol. D )

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Luinil, toute fière : Ayééééé ! Suis enfin arrivée au bout ! J'aurais mis le temps, mdr !

Kaga, saute partout : Enfin liiiiibre !!!!!

Luinil, l'air de rien : Te réjouis pas trop vite, Kaga-chou. C'est que provisoire, à priori…

Kaga, blasé : Et ça veut dire quoi, ça ?

Luinil, pensive : Oh, rien, juste une idée que je garde sous le coude. Pour plus tard… ( trop de choses à faire avant… T.T )

Kaga, TRES méfiant : Quel genre d'idée ?

Luinil, grand sourire : Un UA. Je te verrais bien en samouraï. C'est classe, les samouraïs. Pis faut pas oublier que le go avait un but militaire à la base. Ça pourrait être marrant, non ?

Kaga, l'air contrarié : Le shôgi aussi ça avait un but militaire, je te rappelle ! Et puis, j'aime pas le go. Hors de question que tu me fasses faire un truc pareil !

Luinil, rictus sadique : T'auras pas le choix, je te signale. Et puis de toute façon, je connais pas les règles du shôgi, alors comme ça, c'est vite vu… Mais t'en fait pas, j'aurais largement le temps de te convaincre… Faut que je m'occupe du cas d'Isumi avant, niark niark niark ! ( Coup d'œil qui n'augure rien de bon, en direction d'Isumi, qui se contente d'échapper un long soupir résigné. )