Auteur : Nahamy
Base : Harry Potter
Couple : Fred et George
Disclamer : Les personnages ne sont pas à moi, cette fic parles de relation
amoureuse entre deux frère, si cela vous choque faite demi-tour.
Une âme errante.
Tu te demandes encore sûrement comment on en est arrivé là, et bien pour moi tout à commencer quand tu es venue vers moi avec cette lettre.
~FLASCH~
J'étais tranquillement dans notre chambre en train de travailler sur notre projet de boutique de farce et attrape quand tu es arrivé tenant une lettre dans ta main avec un grand sourire que je ne t'avais jamais vue.
- George tu ne devineras jamais ce qui m'arrive.
- Tu as gagné au loto Fred ?
- Mais non, c'est Alicia, elle m'envoie une déclaration, je suis fou de joie, depuis le temps que j'attend ça.
Je me revoie encore la voie légèrement tremblement demandé de quel déclaration il s'agissais.
- Une déclaration d'amour idiot, bon je te laisse je vais voir avec maman si elle pourrait passé quelque jour ici.
Tu es partie ravie par cette nouvelle, et c'est là que je réalisé que je te perdais. Depuis notre naissance nous avons toujours ressentie les mêmes émotions fortes, en même temps, et aujourd'hui pendant que ton c?ur explosait de joie le mien se brisait. Je me suis mit a haïr Alicia de toute mon âme car elle te voler à moi et que c'était elle qui avait fait naître ce formidable sourire et pas moi.
Maman a finalement accepté qu'elle vienne passer une semaine au Terrier, la pire semaine de ma vie, la voir te prendre dans ses bras, voir vos lèvres se touchaient, t'entendre lui murmurait des mots d'amour, alors que j'ai toujours espéré que se soit à moi que tu les dises. Car oui je t'aime Fred, pas comme un jumeau mais comme un amant, mais cet amour est interdit, et il me détruit peu à peu. Avant je pouvais le supporter mais depuis qu'elle est arrivé j'ai l'impression qu'on m'enfonce doucement un poignard dans le c?ur. J'ai passé des heures seul assis dans l'herbe sous le grand chêne a réfléchir à un moyen de ne pas te faire souffrir et la seule que j'ai trouvé est de m'éloigner de toi le plus possible, et c'est ce que je vais faire même si cela me tue.
Quelques jours plus tard au petit déjeuner les lettres de Poudlard sont arrivé, Alicia était partie la veille et tu étais encore sur ton nuage, mais cela t'as bien vite fait redescendre.
- Et regarder il y a un mot de McGonagall. Cher Mr Weasley en tant que membre de l'équipe de quidditch je vous informe que Mr Harry Potter a été choisie comme capitaine. L'équipe devra donc se trouvait un gardien, une poursuiveuse et un batteur suite à la démission de Mr George Weasley de l'équipe. Le silence tomba dans la cuisine je n'avais prévenue personne de ma décision, quand Fred me demanda pourquoi, je sortie la première excuse qui me tombait sous la main, je veux me consacrait à mes études. Notre mère fut ravie de ma décision, les autres me regardèrent septique. Que pourrais je le dire, non en fait c'est parce que je crève d'amour pour mon frère jumeau que je fait ça, ils m'enverraient immédiatement à St Mangouste.
Le jour de la rentré arriva trop vite à mon goût car il signifié notre séparation, je me l'étais juré, je devais m'éloigner de toi. Alicia vint à notre rencontre, et t'entraînât à sa suite dans son wagon, tu m'as fait signe de te suivre, j'ai fait comme si je ne l'avais pas vue et ai rejoint Ron et Harry. Lors du banquet le même scénario se reproduisit, ce soir là je n'ai presque pas mangé, refusant de croisé ton regard, ne pouvant supporté de la voir de prendre la main, t'embrasser. Finalement je suis monté me coucher directement, une heure après je t'ai entendue te coucher, je savais que tu voulais me parler, mais je ne pouvais pas, sinon toutes mes bonnes résolutions auraient prit fin en contemplant tes yeux remplis d'incompréhension. Le lendemain je me suis levé avant toi, et me suis rendue tout de suite dans la grande salle, sachant pertinemment que tu n'oserais pas me parler devant tout le monde. En cours je suis assis à coté de Lee laissant ainsi la place pour qu'Elle s'asseye à coté de toi, tu fut surpris je le vit à ton regard, mais cela me faisait encore plus mal qu'a toi.
Soir salle commune
Pour la première fois de ma vie, je n'étais pas avec Fred, j'aidais Ron et Harry a faire leur devoir, Hermione les avait gentiment envoyé promenait, je m'étais sacrifier, et la conversation arriva mais se fut avec Ron que je l'eut.
- George pourquoi tu ne traîne plus avec Fred ? Vous vous êtes fâchés ?
- Non je veux juste lui laisser un peu d'intimité avec sa petite amie.
J'avais répondue assez fort, pour être sur que toute la salle commune m'entende, cette réponse m'avait laissé un sursis.
Les jours se succédèrent pour laisser place aux semaines, je n'avais toujours pas adressé la parole à Fred à part pour des banalités. Pour que personne ne soupçonne mon état je due totalement changer de look j'avais perdue prés de 15 kilos, moi qui n'étais déjà pas gros, je ressemblait à présent à un fils de fer, mais je n'y pouvait rien, toute nourriture me répugner, alors je le cacher sous des vêtements trop large. J'ai dut aussi me tondre les cheveux ne laissant qu'un centimètre, à chaque coup de brosse mes mèches foutaient le camps je n'avais pas le choix. Pour la seule chose que je ne pouvais faire c'étais pour mes yeux, ils s'étaient étend et je savais que rien ne pourrait les rallumer, j'avais tout simplement perdue la joie de vivre. Je l'ai perdue le jour ou j'ai dut mettre fin à mon souhait le plus cher.
Flash - écoute Fred, j'ai longtemps hésité mais voilà je ne veux plus ouvrir une boutique avec toi, je veux devenir auror.
Je l'ai vue essayer de contenir sa colère, deux mois que je ne lui parlait plus et quand je lui parlait à nouveau s'étais pour lui dire que je brisé notre rêve. Il a lâché un très bien et est partie.
Fin flash
Maintenant nous somme dans le train nous ramenant à la maison pour les vacances de noël, d'habitude maman nous laisse le choix de pouvoir resté à poudlard, mais pas cette fois, je soupçonne Ron de s'être aperçut de quelque chose et d'en avoir parler à maman. J'ai dut mettre plusieurs pulls pour cacher ma maigreur qui n'aurait pas échappé à ma mère. Elle est là sur le quai un grand sourire aux lèvres, je voie clairement qu'elle me regarde sous toutes les coutures cherchant si autre chose à changer à part mes cheveux et ma tenue vestimentaire, elle me serre dans ses bras et ne dit rien. Nous somme arrivé à la maison, je sens qu'il va se passer quelque chose, je l'ai vue se retenir durant tout le voyage.
- George tu veux bien enlevé ton pull j'aimerai vérifier quelque chose. Voilà c'est tombé.
- Quoi ?
- Ne soit pas agressif voyons, enlève ton pull c'est tout ce que je te demande.
- Non j'ai froid. Les autres nous regarde, ils n'ont pas pour habitude de me voir désobéir ainsi à maman.
- George je t'ordonne t'enlevé se pull !
- HORS DE QUESTION
Je la vie avec horreur levé sa baguette et murmurait un sort, la seconde suivante j'étais debout dans la cuisine avec pour tout vêtement un caleçon. Ma peau vacillant entre un blanc laiteux et un jaune maladif, mes os se voyant par transparence avec la lumière, un squelette ambulant. Je la vie mettre sa main devant sa bouche et entendit les cris de surprise des autres. Sans leur laisser le temps de réagir je grimpa quatre à quatre l'escalier et m'enferma dans ma chambre. Voilà tout se brise, tous ses mois passaient à essayer de cacher mon état, tout cela s'était envolé en quelques secondes, j'entend des pas dans l'escalier et ma mère qui frappe à la porte et tente de l'ouvrir, mais elle n'y arrivera pas j'ai mit un sortilège sur la serrure.
- George ouvre moi s'il te plait il faut qu'on parle.
Aucune réponse je ne veux pas répondre à leurs questions, et surtout je ne veux pas le voir, je sais que je vais craquer sinon, je me dirige vers mon armoire en sort un pull et vieux pantalon de jogging et je m'endors. C'est une douce sensation qui me réveille lentement, je n'ouvre pas les yeux, voulant gardé cette douceur encore quelque temps. Après quelque minute je me rends compte que c'est une main douce et aimante qui passe et repasse dans mes cheveux courts, de faible sanglot ainsi que des paroles étouffait par les pleures, et cette voix est celle de Fred. Je me redresse en sursaut dans mon lit, cherchant comment tu es entré quand mon regard se pose sur la fenêtre ouverte. Je m'éloigne le plus loin de toi possible, et toi tu me regarde le visage remplit de larmes cherchant à comprendre se qui avait bien put se passer. Tu ne me demande qu'une chose une seule et unique chose.
- Expliques moi.
Deux mots qui pourtant me torture, mais je ne peux plus fuir je n'en ai plus la force alors je te raconte tout, cette jalousie envers Alicia et surtout cet amour pour toi qui me détruit peu à peu et cette tentation de te protéger de moi.
Et maintenant nous sommes là dans cette chambre que nous avons partagée depuis notre enfance, un poids énorme me rends la respiration difficile, j'attends ton verdict, vas-tu me prendre dans tes bars et me dire que mon amour est partagé ou vas-tu me regardait avec dégoût comme si j'était un monstre ? Tu relèves la tête et je peux voir clairement que tu as choisis la deuxième solution, tu t'éloignes de moi comme si je te faisais horreur et sort de la pièce qui fut autrefois notre chambre. Sans réfléchir je prend un sac, fourrant à l'intérieur des vêtement, ma baguette magique et prends deux photos, l'une de la famille au grand complet et une autre où ne nous sommes que tout les deux. Une fois cela fait je saute par la fenêtre et me met à courir, au loin j'entends ma mère m'appeler. Mais c'est trop tard George Weasley est mort il ne reste plus qu'une âmes brisé par un amour impossible, une âme errante.
OWARI (peut-être une suite si y a des demandeurs)
Une âme errante.
Tu te demandes encore sûrement comment on en est arrivé là, et bien pour moi tout à commencer quand tu es venue vers moi avec cette lettre.
~FLASCH~
J'étais tranquillement dans notre chambre en train de travailler sur notre projet de boutique de farce et attrape quand tu es arrivé tenant une lettre dans ta main avec un grand sourire que je ne t'avais jamais vue.
- George tu ne devineras jamais ce qui m'arrive.
- Tu as gagné au loto Fred ?
- Mais non, c'est Alicia, elle m'envoie une déclaration, je suis fou de joie, depuis le temps que j'attend ça.
Je me revoie encore la voie légèrement tremblement demandé de quel déclaration il s'agissais.
- Une déclaration d'amour idiot, bon je te laisse je vais voir avec maman si elle pourrait passé quelque jour ici.
Tu es partie ravie par cette nouvelle, et c'est là que je réalisé que je te perdais. Depuis notre naissance nous avons toujours ressentie les mêmes émotions fortes, en même temps, et aujourd'hui pendant que ton c?ur explosait de joie le mien se brisait. Je me suis mit a haïr Alicia de toute mon âme car elle te voler à moi et que c'était elle qui avait fait naître ce formidable sourire et pas moi.
Maman a finalement accepté qu'elle vienne passer une semaine au Terrier, la pire semaine de ma vie, la voir te prendre dans ses bras, voir vos lèvres se touchaient, t'entendre lui murmurait des mots d'amour, alors que j'ai toujours espéré que se soit à moi que tu les dises. Car oui je t'aime Fred, pas comme un jumeau mais comme un amant, mais cet amour est interdit, et il me détruit peu à peu. Avant je pouvais le supporter mais depuis qu'elle est arrivé j'ai l'impression qu'on m'enfonce doucement un poignard dans le c?ur. J'ai passé des heures seul assis dans l'herbe sous le grand chêne a réfléchir à un moyen de ne pas te faire souffrir et la seule que j'ai trouvé est de m'éloigner de toi le plus possible, et c'est ce que je vais faire même si cela me tue.
Quelques jours plus tard au petit déjeuner les lettres de Poudlard sont arrivé, Alicia était partie la veille et tu étais encore sur ton nuage, mais cela t'as bien vite fait redescendre.
- Et regarder il y a un mot de McGonagall. Cher Mr Weasley en tant que membre de l'équipe de quidditch je vous informe que Mr Harry Potter a été choisie comme capitaine. L'équipe devra donc se trouvait un gardien, une poursuiveuse et un batteur suite à la démission de Mr George Weasley de l'équipe. Le silence tomba dans la cuisine je n'avais prévenue personne de ma décision, quand Fred me demanda pourquoi, je sortie la première excuse qui me tombait sous la main, je veux me consacrait à mes études. Notre mère fut ravie de ma décision, les autres me regardèrent septique. Que pourrais je le dire, non en fait c'est parce que je crève d'amour pour mon frère jumeau que je fait ça, ils m'enverraient immédiatement à St Mangouste.
Le jour de la rentré arriva trop vite à mon goût car il signifié notre séparation, je me l'étais juré, je devais m'éloigner de toi. Alicia vint à notre rencontre, et t'entraînât à sa suite dans son wagon, tu m'as fait signe de te suivre, j'ai fait comme si je ne l'avais pas vue et ai rejoint Ron et Harry. Lors du banquet le même scénario se reproduisit, ce soir là je n'ai presque pas mangé, refusant de croisé ton regard, ne pouvant supporté de la voir de prendre la main, t'embrasser. Finalement je suis monté me coucher directement, une heure après je t'ai entendue te coucher, je savais que tu voulais me parler, mais je ne pouvais pas, sinon toutes mes bonnes résolutions auraient prit fin en contemplant tes yeux remplis d'incompréhension. Le lendemain je me suis levé avant toi, et me suis rendue tout de suite dans la grande salle, sachant pertinemment que tu n'oserais pas me parler devant tout le monde. En cours je suis assis à coté de Lee laissant ainsi la place pour qu'Elle s'asseye à coté de toi, tu fut surpris je le vit à ton regard, mais cela me faisait encore plus mal qu'a toi.
Soir salle commune
Pour la première fois de ma vie, je n'étais pas avec Fred, j'aidais Ron et Harry a faire leur devoir, Hermione les avait gentiment envoyé promenait, je m'étais sacrifier, et la conversation arriva mais se fut avec Ron que je l'eut.
- George pourquoi tu ne traîne plus avec Fred ? Vous vous êtes fâchés ?
- Non je veux juste lui laisser un peu d'intimité avec sa petite amie.
J'avais répondue assez fort, pour être sur que toute la salle commune m'entende, cette réponse m'avait laissé un sursis.
Les jours se succédèrent pour laisser place aux semaines, je n'avais toujours pas adressé la parole à Fred à part pour des banalités. Pour que personne ne soupçonne mon état je due totalement changer de look j'avais perdue prés de 15 kilos, moi qui n'étais déjà pas gros, je ressemblait à présent à un fils de fer, mais je n'y pouvait rien, toute nourriture me répugner, alors je le cacher sous des vêtements trop large. J'ai dut aussi me tondre les cheveux ne laissant qu'un centimètre, à chaque coup de brosse mes mèches foutaient le camps je n'avais pas le choix. Pour la seule chose que je ne pouvais faire c'étais pour mes yeux, ils s'étaient étend et je savais que rien ne pourrait les rallumer, j'avais tout simplement perdue la joie de vivre. Je l'ai perdue le jour ou j'ai dut mettre fin à mon souhait le plus cher.
Flash - écoute Fred, j'ai longtemps hésité mais voilà je ne veux plus ouvrir une boutique avec toi, je veux devenir auror.
Je l'ai vue essayer de contenir sa colère, deux mois que je ne lui parlait plus et quand je lui parlait à nouveau s'étais pour lui dire que je brisé notre rêve. Il a lâché un très bien et est partie.
Fin flash
Maintenant nous somme dans le train nous ramenant à la maison pour les vacances de noël, d'habitude maman nous laisse le choix de pouvoir resté à poudlard, mais pas cette fois, je soupçonne Ron de s'être aperçut de quelque chose et d'en avoir parler à maman. J'ai dut mettre plusieurs pulls pour cacher ma maigreur qui n'aurait pas échappé à ma mère. Elle est là sur le quai un grand sourire aux lèvres, je voie clairement qu'elle me regarde sous toutes les coutures cherchant si autre chose à changer à part mes cheveux et ma tenue vestimentaire, elle me serre dans ses bras et ne dit rien. Nous somme arrivé à la maison, je sens qu'il va se passer quelque chose, je l'ai vue se retenir durant tout le voyage.
- George tu veux bien enlevé ton pull j'aimerai vérifier quelque chose. Voilà c'est tombé.
- Quoi ?
- Ne soit pas agressif voyons, enlève ton pull c'est tout ce que je te demande.
- Non j'ai froid. Les autres nous regarde, ils n'ont pas pour habitude de me voir désobéir ainsi à maman.
- George je t'ordonne t'enlevé se pull !
- HORS DE QUESTION
Je la vie avec horreur levé sa baguette et murmurait un sort, la seconde suivante j'étais debout dans la cuisine avec pour tout vêtement un caleçon. Ma peau vacillant entre un blanc laiteux et un jaune maladif, mes os se voyant par transparence avec la lumière, un squelette ambulant. Je la vie mettre sa main devant sa bouche et entendit les cris de surprise des autres. Sans leur laisser le temps de réagir je grimpa quatre à quatre l'escalier et m'enferma dans ma chambre. Voilà tout se brise, tous ses mois passaient à essayer de cacher mon état, tout cela s'était envolé en quelques secondes, j'entend des pas dans l'escalier et ma mère qui frappe à la porte et tente de l'ouvrir, mais elle n'y arrivera pas j'ai mit un sortilège sur la serrure.
- George ouvre moi s'il te plait il faut qu'on parle.
Aucune réponse je ne veux pas répondre à leurs questions, et surtout je ne veux pas le voir, je sais que je vais craquer sinon, je me dirige vers mon armoire en sort un pull et vieux pantalon de jogging et je m'endors. C'est une douce sensation qui me réveille lentement, je n'ouvre pas les yeux, voulant gardé cette douceur encore quelque temps. Après quelque minute je me rends compte que c'est une main douce et aimante qui passe et repasse dans mes cheveux courts, de faible sanglot ainsi que des paroles étouffait par les pleures, et cette voix est celle de Fred. Je me redresse en sursaut dans mon lit, cherchant comment tu es entré quand mon regard se pose sur la fenêtre ouverte. Je m'éloigne le plus loin de toi possible, et toi tu me regarde le visage remplit de larmes cherchant à comprendre se qui avait bien put se passer. Tu ne me demande qu'une chose une seule et unique chose.
- Expliques moi.
Deux mots qui pourtant me torture, mais je ne peux plus fuir je n'en ai plus la force alors je te raconte tout, cette jalousie envers Alicia et surtout cet amour pour toi qui me détruit peu à peu et cette tentation de te protéger de moi.
Et maintenant nous sommes là dans cette chambre que nous avons partagée depuis notre enfance, un poids énorme me rends la respiration difficile, j'attends ton verdict, vas-tu me prendre dans tes bars et me dire que mon amour est partagé ou vas-tu me regardait avec dégoût comme si j'était un monstre ? Tu relèves la tête et je peux voir clairement que tu as choisis la deuxième solution, tu t'éloignes de moi comme si je te faisais horreur et sort de la pièce qui fut autrefois notre chambre. Sans réfléchir je prend un sac, fourrant à l'intérieur des vêtement, ma baguette magique et prends deux photos, l'une de la famille au grand complet et une autre où ne nous sommes que tout les deux. Une fois cela fait je saute par la fenêtre et me met à courir, au loin j'entends ma mère m'appeler. Mais c'est trop tard George Weasley est mort il ne reste plus qu'une âmes brisé par un amour impossible, une âme errante.
OWARI (peut-être une suite si y a des demandeurs)
