Ils Ont Gagné'Etats-Unis de Prise de t

Le refus : Tout appartient au J.K.

George Weasley est tombé dans un fauteuil devant le feu de grésillement épais dans le Gryffondor la Pièce Commune. C'était la Veille de Noël et il et Libéré avait décidé de rester à Poudlard avec Ron et à Harry. Il pensait de Libéré et comment il avait't obtenu lui un cadeau. Il y avait rien il ne pourrait le donner que serait assez bon, rien ne pourrait exprimer ses vraies sensations. Il était malade de cacher son amour pour lui de la famille, donc quels deux frères étaient-ils dans l'amour, que'le s la grande affaire ? "La grande affaire est que aren de frères't a supposé pour se baiser," une voix douce semblée dans son oreille. "A libéré ! Comment'd vous…" "je toujours peux dire ce que vous're pensant," il a chuchoté, ses lèvres broutant George'le s face douce. "Je veux vous donner votre maintenant." de cadeau "Mais Libéré, Noël est demain," George s'est disputé. "La vis date ! S'allume, vous'll comme l'il."

George a marché avec son homologue jusqu'à leur résidence. C'était vide, tous les autres allé pour les vacances. "Non plus agissant furtivement environ," A Libéré a dit d'une voix rauque. Il a commencé à déboutonner sa chemise, une petite bande de démonstration de peau pâle. "Me laisser," George a dit, ses yeux pleins de convoitise. Il a défait doucement les boutons et a laissé la chute de chemise au sol silencieusement. Libéré tiré de George'les robes de s à peu près et a commencé à traiter sa chemise. Leurs mouvements ont grandi plus rugueux plus bruyant, ne s'étant pas obligé à inquiéter plus de réveiller leurs amis. Dans quelques-uns minutes courtes Libérées avait George sur le lit, soupirant avec l'extase. Il a embrassé sa poitrine, murmurant doucement des mots doux dans sa chair. Alors ses lèvres ont traîné en bas à ses os iliaques, traînant.

            "Plus loin," George a mendié, se tortillant contre les oreillers. Libéré l'a taquiné, léchant le bord de son estomac et ses cuisses. Ses lèvres sont tombées à cet endroit interdit et il a donné dans à son frère. Quand il a senti le filet doux de jus dans sa bouche il a su qu'il avait réussi. La respiration dure, George pose contre son frère'la poitrine de s, voulant encore plus. "Mon virage," il a dit, s'asseyant en haut. "Pas encore, je'm pas Essayer de fait." de se contrôler, Libéré glissé dans George, sentant que son point culminant est venu par. George a laissé hors un petit jappement qui A Libéré étouffé en embrassant lui. Leurs bouches chaudes ont entré en collision dur, disant des secrets d'inconnu. "Quel l'enfer ?" une voix étonnée a-t-il crié. C'était Ron. "Ron !" George a hurlé, poussant Libéré de. Il s'est assis en haut, essayant de penser d'une excuse. "Vous- vous- le vous-" "Oui Ron je'm craintif il'le s vrai," A Libéré a dit menaçamment. "Nous're dans l'amour. Je'm désolé mais il'le s vrai. La facture et Charlie se sentent pareils. Je ferais't est étonné si notre famille entière était comme Ron de ce." a dévisagé simplement, secouant sa tête. "Je peux't croit ceci, je

peux'la poignée de t il !" il a gémi, recule. "Juste quel dans l'enfer que faisiez-vous dans ici de toute façon ?" George a demandé, glissant sur le sien halète. "J'ai voulu voir juste si vous les gars ont voulu jouer exploser le claquement ! Mais je'll va juste….."

"La prochaine fois vous cogner le grand imbécile !" A Libéré a hurlé après lui. "Le gosse fou, mettre't sait ce qu'il le pensé." "Il'll est beau je've vu la façon il regarde le Ginny." qu'Ils ont caqueté avec

la joie identique. "Le c'le talaing, laisser'le s va la découverte un endroit." plus privé "Libéré ?" George a dit. "Ouais ?" "ce que si Ron dit la Maman et le Papa ?" "Il le won't." "vous Etes sûr ?"

"Met'l'inquiétude de t. Ils ont gagné'la prise de t nous," A Libéré a répondu, embrassant George.

Plus venir, une autre paire incestueuse en route !