Miriel : Ahaah, il y AVAIT des orques. Sauron n'a-t-il pas été détruit par
la célèbre communauté ? (smile). Ici, l'ennemi est tout autre.
Eryna Khan : Pour le roi du Gondor : Hourra !!!
Eleclya111 : voici la suite.
***
La forêt
Le soleil dardait déjà ses doux rayons sur la prairie et la forêt quand Alain s'éveilla. Il crut un moment qu'il rêvait car il ne se souvenait plus où il était. Puis, tout lui revint. Le bateau, sa rencontre avec Delphine, la tempête, la plage, la prairie et la forêt. Il regarda son amie qui s'était également réveillée et qui semblait se poser les mêmes questions que lui.
« Bonjour Delphine ! Bien dormi ?
-Oui, enfin je crois, répondit-elle en souriant. Je suis sûre que je suis couverte de bleus.
-Tu n'as pas l'habitude de dormir par terre, c'est normal. Où vas-tu ? »
Elle venait de se lever et se dirigea vers la forêt.
« Dans un endroit réserver aux filles !! »
Le jeune homme soupira, il aurait du y penser. IL jeta un coup d'?il vers la forêt. Celle-ci n'avait pas l'air de présenter le moindre danger. Les rayons du soleil passaient facilement dans les branches des arbres aux feuilles d'un vert brillant, éclairant pleinement les fougères encore pleine de rosée. Pour confirmer ses pensées sur son impression, il vit une biche, au loin, sortir des bois avec son faon, mais repartir immédiatement en apercevant l'homme. Quelques oiseaux aux couleurs lumineuses et voyantes prirent leurs envols en chantant gaiement au soleil. Oui, cette forêt était vraiment accueillante. Tout à sa réflexion, il n'entendit pas Delphine revenir.
« Dis donc ! s'exclama-t-elle. »
Alain sursauta et se retourna vers son amie.
« Quoi ?
-J'espère qu'on ne va tomber sur une troupe d'indigène !
-Pardon ?
-J'ai dit que j'espérais qu'on ne tomberait pas sur une troupe d'indigène !
-Je t'avais très bien compris. Mais pourquoi une troupe d'indigène ?
-Parce qu'ils ont perdu ceci. »
Delphine lui montra alors ce qu'elle avait caché dans son dos. Il s'agissait d'une flèche peinte en brun, avec des plumes bleues au bout. Quoique rudimentaire, cette flèche était belle, elle était même captivante, tant par la qualité du bois et des plumes qu'à la couleur de celles-ci.
« Je ne crois pas qu'elle appartienne à une troupe d'indigène, murmura-t-il en continuant à fixer l'objet.
-Pourquoi ? Seuls les indigènes utilisent des flèches. Ah non, je sais. C'est sûrement un club de tir à l'arc qui est passé dans le coin et ils ont perdu une flèche.
-Non, elle est trop bien travaillée. Et un club de tir à m'arc ne prendrait sûrement pas la peine de perdre une flèche pareille. Quand au indigènes, alors ils sont sûrement très évolués pour fabriqué ce genre d'objet.
-Mais alors, à qui appartient-elle ? demanda Delphine qui était de plus en plus intriguée.
-Je n'en sais absolument rien, répondit Alain en souriant. »
Delphine soupira et lui repris la flèche qu'elle commença à caresser.
« En tout cas, je garde cette flèche, elle est magnifique.
-Fais comme tu veux. »
Après un moment, comme Delphine était toujours en train d'admirer sa trouvaille, il décida de casser l'ambiance.
« Delphine ?
-Oui, répondit celle-ci.
-Qu'est-ce que tu préfères, entrer dans la forêt où la longer ?
-Je te fais confiance pour ça. Mais je dois avouer que la forêt est très attirante.
-Bon d'accord, c'est décidé. On y va ? »
Delphine leva les yeux et sourie. Elle aurait bien aimé avoir un appareil photo pour immortaliser ce moment. Ce gars était braiment trop craquant. Dire qu'elle l'avait prit pour Aragorn quand elle s'était réveillée sur la plage. Non, pas Aragorn, mais plutôt Viggo Mortensen. Elle se souvenait d'une photo qu'elle avait vu dans un magazine, Alain lui ressemblait beaucoup. Mais qu'est-ce qu'elle racontait ? Elle débloquait complètement. Ce n'était pas parce que Viggo était son acteur préféré qu'elle devait le voir partout, et surtout avec Alain, qui était vraiment trop sympa. Il la prendrait pour une folle et cela, elle ne le voulait pas. Delphine se leva précipitamment.
« On ferait mieux d'y aller tout de suite, dit-elle en rougissant.
-Je n'attendais que ton accord. »
Alain la regarda pour vérifier qu'elle allait bien. Son attitude était assez étrange. Il haussa les épaules et se dirigea vers la forêt, Delphine derrière lui.
***
Cela faisait maintenant une heure qu'ils marchaient dans la forêt. Ils avaient rencontré en cour de route toute sorte d'animaux et cela avait fait remonter leur moral d'une flèche. De temps en temps, les deux amis chantaient et ils avaient vraiment l'impression que les oiseaux les accompagnaient en sifflotant. Delphine était aux anges. Elle adorait entendre les oiseaux et ceux-là avaient un chant magnifique. Alain s'en fichait un peu, ce qui l'emportait, c'était de marcher en ligne droite. Soudain il éclata de rire car une image venait de s'imposer dans son esprit. Delphine s'arrêta.
« Qu'est-ce que tu as ? demanda-t-elle en souriant.
-Non rien. Je viens de penser à un truc.
-Allé, dit le moi, insista-t-elle.
-Tu vas me prendre pour un gamin.
-Non, promis juré.
-Bon d'accord. Je me suis vu habillé en rôdeur et toi en elfe.
-C'est vrai ? C'est drôle, parce que moi aussi. »
Les deux amis repartirent alors dans un grand éclat de rire, qui résonna dans toute la forêt, sans ce douter une minute qu'il avait été entendu par une troupe. Drôle de troupe en vérité, ce qui était sûr, c'est que ce n'était pas des indigènes !! Le chef dit quelques mots et la troupe se dirigea vers la source de ce rire joyeux.
***
« Eh, regarde ! intervint Delphine après qu'ils aient repris leur marche. »
Alain suivit son regard et ouvrit grand les yeux, qu'est-ce que c'était que ça ? Un peu plus loin, il y avait deux arbres, qui semblaient faire une entrée dans une espèce de cercle fermé par des buissons. Au milieu de ces arbres pendaient des lianes fleuries, aux couleurs blanches et roses. Il n'avait jamais vu ça. Il se demanda si c'était la nature ou bien l'homme qui avait façonné ce paysage. Delphine sortit de sa quasi torpeur et balbutia une phrase.
« Tu. . . tu crois que ce sont . . . les indigènes ? »
Non, pensa Alain, impossible, il ne croyait plus en cette théorie pourtant valable. Qui as bien pu créer cet endroit si naturel ? Il s'avança, souleva le rideau de fleur et entra dans le 'cercle'. Delphine avait un peu peur de suivre son ami, mais ne le voyant pas revenir, elle s'effraya et se décida à le rejoindre.
La première chose qu'elle vit fut Alain, immobile. Il semblait pétrifié.
« Alain ? demanda-t-elle inquiète. »
Elle regarda alors autour d'elle et poussa un petit cri en sursautant. C'était simplement inimaginable, ahurissant, et pour tout dire. . . fantastique !! Au bout d'un moment, elle arriva à murmurer deux mots.
« La communauté ! »
En effet, Delphine et Alain avaient devant eux neuf statues, faite dans du marbre le plus blanc qu'ils n'avaient jamais vus. Ils devinèrent qui étaient le magicien, l'elfe, les deux hommes, le nain et les quatre hobbits. Mais ce qui les stupéfia, c'était la beauté des traits des personnages. On ne pouvait les comparer avec les acteurs de la trilogie. Leurs traits étaient certes différents mais ils arrivaient quand même à dire qui étaient Aragorn et Boromir, grâce à leurs attributs, de même pour les hobbits.
Delphine s'approcha de la statue se trouvant au milieu de l'arc de cercle de cercle formé par les autres et, comme une automate, avança sa main et caressa la joue froide de l'homme qui la regardait tristement, malgré ses yeux vident, et qui lui souriait.
« Aragorn ! murmura-t-elle, laissant coulant une larme d'émotion, pensant qu'elle rêvait. »
Elle n'avait jamais vu un homme aussi beau (enfin, une statue aussi belle). Elle regarda alors la statue de l'elfe et se dit qu'Orlando Bloom n'arrivait pas à la cheville du véritable Legolas*. Car elle se mit à croire furieusement que la communauté avait réellement existé et que ces statues les représentaient à 100%.
Alain avait suivi son amie des yeux. Lorsqu'elle avait dit tout haut ce qu'il pensait tout bas, il avait retenu son souffle. Comment était-ce possible ? Cette découverte allait déclenchée une vive polémique, parmi les fans de Tolkien tout autant que le reste du monde.
***
La troupe était arrivée devant leur lieu sacré. Le chef se dirigea vers le rideau de fleur et entra. Il sentit son sang se glacer, tout comme le reste des guerriers. Comment osaient-ils, ces étrangers, entrer sans être accompagnés par l'un d'eux dans ce lieu ? Comment osait-elle, cette jeune femme, poser sa main sur le visage d'Elessar ? Cependant, il fallait agir avec tact, ne pas ce laisser à la colère. Ces étrangers ne connaissaient peut-être pas la règle. Il éleva la voix.
« Qui êtes-vous et que faites vous dans le Thamascalen ? »
***
*Pardon Orlando !! ^_^
Eryna Khan : Pour le roi du Gondor : Hourra !!!
Eleclya111 : voici la suite.
***
La forêt
Le soleil dardait déjà ses doux rayons sur la prairie et la forêt quand Alain s'éveilla. Il crut un moment qu'il rêvait car il ne se souvenait plus où il était. Puis, tout lui revint. Le bateau, sa rencontre avec Delphine, la tempête, la plage, la prairie et la forêt. Il regarda son amie qui s'était également réveillée et qui semblait se poser les mêmes questions que lui.
« Bonjour Delphine ! Bien dormi ?
-Oui, enfin je crois, répondit-elle en souriant. Je suis sûre que je suis couverte de bleus.
-Tu n'as pas l'habitude de dormir par terre, c'est normal. Où vas-tu ? »
Elle venait de se lever et se dirigea vers la forêt.
« Dans un endroit réserver aux filles !! »
Le jeune homme soupira, il aurait du y penser. IL jeta un coup d'?il vers la forêt. Celle-ci n'avait pas l'air de présenter le moindre danger. Les rayons du soleil passaient facilement dans les branches des arbres aux feuilles d'un vert brillant, éclairant pleinement les fougères encore pleine de rosée. Pour confirmer ses pensées sur son impression, il vit une biche, au loin, sortir des bois avec son faon, mais repartir immédiatement en apercevant l'homme. Quelques oiseaux aux couleurs lumineuses et voyantes prirent leurs envols en chantant gaiement au soleil. Oui, cette forêt était vraiment accueillante. Tout à sa réflexion, il n'entendit pas Delphine revenir.
« Dis donc ! s'exclama-t-elle. »
Alain sursauta et se retourna vers son amie.
« Quoi ?
-J'espère qu'on ne va tomber sur une troupe d'indigène !
-Pardon ?
-J'ai dit que j'espérais qu'on ne tomberait pas sur une troupe d'indigène !
-Je t'avais très bien compris. Mais pourquoi une troupe d'indigène ?
-Parce qu'ils ont perdu ceci. »
Delphine lui montra alors ce qu'elle avait caché dans son dos. Il s'agissait d'une flèche peinte en brun, avec des plumes bleues au bout. Quoique rudimentaire, cette flèche était belle, elle était même captivante, tant par la qualité du bois et des plumes qu'à la couleur de celles-ci.
« Je ne crois pas qu'elle appartienne à une troupe d'indigène, murmura-t-il en continuant à fixer l'objet.
-Pourquoi ? Seuls les indigènes utilisent des flèches. Ah non, je sais. C'est sûrement un club de tir à l'arc qui est passé dans le coin et ils ont perdu une flèche.
-Non, elle est trop bien travaillée. Et un club de tir à m'arc ne prendrait sûrement pas la peine de perdre une flèche pareille. Quand au indigènes, alors ils sont sûrement très évolués pour fabriqué ce genre d'objet.
-Mais alors, à qui appartient-elle ? demanda Delphine qui était de plus en plus intriguée.
-Je n'en sais absolument rien, répondit Alain en souriant. »
Delphine soupira et lui repris la flèche qu'elle commença à caresser.
« En tout cas, je garde cette flèche, elle est magnifique.
-Fais comme tu veux. »
Après un moment, comme Delphine était toujours en train d'admirer sa trouvaille, il décida de casser l'ambiance.
« Delphine ?
-Oui, répondit celle-ci.
-Qu'est-ce que tu préfères, entrer dans la forêt où la longer ?
-Je te fais confiance pour ça. Mais je dois avouer que la forêt est très attirante.
-Bon d'accord, c'est décidé. On y va ? »
Delphine leva les yeux et sourie. Elle aurait bien aimé avoir un appareil photo pour immortaliser ce moment. Ce gars était braiment trop craquant. Dire qu'elle l'avait prit pour Aragorn quand elle s'était réveillée sur la plage. Non, pas Aragorn, mais plutôt Viggo Mortensen. Elle se souvenait d'une photo qu'elle avait vu dans un magazine, Alain lui ressemblait beaucoup. Mais qu'est-ce qu'elle racontait ? Elle débloquait complètement. Ce n'était pas parce que Viggo était son acteur préféré qu'elle devait le voir partout, et surtout avec Alain, qui était vraiment trop sympa. Il la prendrait pour une folle et cela, elle ne le voulait pas. Delphine se leva précipitamment.
« On ferait mieux d'y aller tout de suite, dit-elle en rougissant.
-Je n'attendais que ton accord. »
Alain la regarda pour vérifier qu'elle allait bien. Son attitude était assez étrange. Il haussa les épaules et se dirigea vers la forêt, Delphine derrière lui.
***
Cela faisait maintenant une heure qu'ils marchaient dans la forêt. Ils avaient rencontré en cour de route toute sorte d'animaux et cela avait fait remonter leur moral d'une flèche. De temps en temps, les deux amis chantaient et ils avaient vraiment l'impression que les oiseaux les accompagnaient en sifflotant. Delphine était aux anges. Elle adorait entendre les oiseaux et ceux-là avaient un chant magnifique. Alain s'en fichait un peu, ce qui l'emportait, c'était de marcher en ligne droite. Soudain il éclata de rire car une image venait de s'imposer dans son esprit. Delphine s'arrêta.
« Qu'est-ce que tu as ? demanda-t-elle en souriant.
-Non rien. Je viens de penser à un truc.
-Allé, dit le moi, insista-t-elle.
-Tu vas me prendre pour un gamin.
-Non, promis juré.
-Bon d'accord. Je me suis vu habillé en rôdeur et toi en elfe.
-C'est vrai ? C'est drôle, parce que moi aussi. »
Les deux amis repartirent alors dans un grand éclat de rire, qui résonna dans toute la forêt, sans ce douter une minute qu'il avait été entendu par une troupe. Drôle de troupe en vérité, ce qui était sûr, c'est que ce n'était pas des indigènes !! Le chef dit quelques mots et la troupe se dirigea vers la source de ce rire joyeux.
***
« Eh, regarde ! intervint Delphine après qu'ils aient repris leur marche. »
Alain suivit son regard et ouvrit grand les yeux, qu'est-ce que c'était que ça ? Un peu plus loin, il y avait deux arbres, qui semblaient faire une entrée dans une espèce de cercle fermé par des buissons. Au milieu de ces arbres pendaient des lianes fleuries, aux couleurs blanches et roses. Il n'avait jamais vu ça. Il se demanda si c'était la nature ou bien l'homme qui avait façonné ce paysage. Delphine sortit de sa quasi torpeur et balbutia une phrase.
« Tu. . . tu crois que ce sont . . . les indigènes ? »
Non, pensa Alain, impossible, il ne croyait plus en cette théorie pourtant valable. Qui as bien pu créer cet endroit si naturel ? Il s'avança, souleva le rideau de fleur et entra dans le 'cercle'. Delphine avait un peu peur de suivre son ami, mais ne le voyant pas revenir, elle s'effraya et se décida à le rejoindre.
La première chose qu'elle vit fut Alain, immobile. Il semblait pétrifié.
« Alain ? demanda-t-elle inquiète. »
Elle regarda alors autour d'elle et poussa un petit cri en sursautant. C'était simplement inimaginable, ahurissant, et pour tout dire. . . fantastique !! Au bout d'un moment, elle arriva à murmurer deux mots.
« La communauté ! »
En effet, Delphine et Alain avaient devant eux neuf statues, faite dans du marbre le plus blanc qu'ils n'avaient jamais vus. Ils devinèrent qui étaient le magicien, l'elfe, les deux hommes, le nain et les quatre hobbits. Mais ce qui les stupéfia, c'était la beauté des traits des personnages. On ne pouvait les comparer avec les acteurs de la trilogie. Leurs traits étaient certes différents mais ils arrivaient quand même à dire qui étaient Aragorn et Boromir, grâce à leurs attributs, de même pour les hobbits.
Delphine s'approcha de la statue se trouvant au milieu de l'arc de cercle de cercle formé par les autres et, comme une automate, avança sa main et caressa la joue froide de l'homme qui la regardait tristement, malgré ses yeux vident, et qui lui souriait.
« Aragorn ! murmura-t-elle, laissant coulant une larme d'émotion, pensant qu'elle rêvait. »
Elle n'avait jamais vu un homme aussi beau (enfin, une statue aussi belle). Elle regarda alors la statue de l'elfe et se dit qu'Orlando Bloom n'arrivait pas à la cheville du véritable Legolas*. Car elle se mit à croire furieusement que la communauté avait réellement existé et que ces statues les représentaient à 100%.
Alain avait suivi son amie des yeux. Lorsqu'elle avait dit tout haut ce qu'il pensait tout bas, il avait retenu son souffle. Comment était-ce possible ? Cette découverte allait déclenchée une vive polémique, parmi les fans de Tolkien tout autant que le reste du monde.
***
La troupe était arrivée devant leur lieu sacré. Le chef se dirigea vers le rideau de fleur et entra. Il sentit son sang se glacer, tout comme le reste des guerriers. Comment osaient-ils, ces étrangers, entrer sans être accompagnés par l'un d'eux dans ce lieu ? Comment osait-elle, cette jeune femme, poser sa main sur le visage d'Elessar ? Cependant, il fallait agir avec tact, ne pas ce laisser à la colère. Ces étrangers ne connaissaient peut-être pas la règle. Il éleva la voix.
« Qui êtes-vous et que faites vous dans le Thamascalen ? »
***
*Pardon Orlando !! ^_^
