Prends ton en-vol

Bonjour à tous ^^ ! Me revoilà pour le chapitre 7 qui j'espère vous plaira. Pour ceux qui ont lus les chapitres précédents et qui n'auraient pas compris la fin, je signale donc que Harry a accepté de voler Gringotts... Catastrophe O_O''' ! Lol ^^. Au fait, je voulais signaler que le titre du chapitre 1, « Divine Excuse » est le titre d'une chanson du dernier album du groupe Pleymo... Une bien belle chanson d'ailleurs, si vous savez pas trop quoi acheter comme CD, achetez « Rock » (c'est le titre de l'album) de Pleymo ^^.... C'est un très bon CD, vraiment !!!

Après la pub... TT...

Je rappelle que cette fic reste un slash, (y'a rien d'autre à signaler) et que aucun des persos ne m'appartient : tout est à J. K. Rowling. Moi, j'ai juste écrit cette histoire, comme ça, pour voir...

Voici mes réponses aux reviews ^^ ! Il y en a eu moins... Mouais, je sais que le chapitre 6 n'était pas fameux TT'''... J'espère tout de même que le chapitre 7 sera mieux que le précédent !

Celine.s : T'es malade ???? J'espère que tu te rétablieras bientôt é_è ... Je suis contente que tu as aimé mon style d'écriture que j'ai (essayé) de bosser un peu plus dans le chapitre précédent... J'espère que pour ce chapitre aussi ce ne sera pas trop fouillis...

Blaise le poussin masqué : Kikou ! Je suis contente de te revoir ! ^_^ Voilà, c'était prévu dans le chapitre 5 d'être embrouillé, et c'était également prévu d'être moins embrouillé dans le chapitre 6... Et va savoir ce qui se passe dans ce chapitre-là, lol. Bon, voici la suite, qui j'espère te plaira.

EmmA : Coucou ^-^ ! Cha va ? Moi suis ravie de te revoir *_* ! Toi aussi t'aimes bien que tout tourne rond tout le temps ? Désolée, tu vas être déçue ! ^_^ ! (Bafffffffffffe) 'Fin bon ! Z'espère que tu vas aimer la suite ^^ !

Saaeliel : C'est vrai que c'est un drôle de moyen de soigner une migraine O_o''... Bon, je vois que tu as tout de même la force d'aller sur ff.net... Courage ! Rien de tel que quelques fics pour soigner une bonne grosse mi-mi ^^. De toute façon on est toutes folles ^^ ! Je te laisse lire la suite ^_^ ! Si t'es pas encore trop malade, bien sûr é_è ....

Clau1 : Salut ! En toute franchise, j'ai beaucoup de mal à comprendre ta review... Bon... J'suis désolllééééeeeeeeuuh ! Cependant, je te remercie tout de même d'avoir pris un peu de temps d'avoir poster un chtit mot ^_^ ! Merci ^^

Micloun : Koooooookiiiii ^____^ ! (Eh oui, le verlan de « kiiiiikooooooo » ça le fait pas vraiment lol) Bon... La réflexion de Harry... Moment incroyable ! Mais en même temps j'avais pas envie de faire un harry trop ravagé ^_^ ! Un peu, mais pas trop quand même, quoi... Il devine tout seul, comme un grand que j'ai décidé qu'il serait pas encore lol :P. Les questions de Harry sont les même que celles des lecteurs. Ce n'est pas très professionnel, mais c'est à peu près fait exprès TT... Pis tu vas me dire que c'est normal qu'il se pose quelques questions, le Ri-Ri ! Bon... Il n'est pas sûr d'accepter car après tout... Voler une banque en compagnie de Malefoy lol *__*....

Je suis ravie de constater que tu aimes mon style d'écriture car pour tout avouer... J'aime bien écrire mais j'aime pas trop mon style... Mais je pense que c'est en écrivant souvent et beaucoup que je vais m'améliorer ! ^^ Et en lisant, bien sûr ^^ !

Eh oui *-*, ils tournent autour du pot ! Et pas qu'autour du pot TT. Mais après tout le courant ne doit pas tout de suite passer entre deux ennemis, ça serait exagéré *O* ... Non ? OK je me tais TT'''''''.... Et oui il dit son ptit secret Drago... C'est pas très professionnel (et oui j'aime bien ce mot) mais je me suis dit que sinon Harry n'aurait jamais pu accepter... ça serait débile... Il fallait vraiment un poids de plus sur la balance, quoi. Mais si ça peut te consoler, Drago n'a pas tout dit... Enfin tu verras bien par toi-même un de ces 4 !

Bon... Je suis vraiment heureuse de te voir à chaque chapitre ! Et toujours en faisant de bien grosse reviews bien grasses et dégoulinantes sur les bords (les bords du tableau des reviews je parle lol :P) .... Miam, ça donne faim ^^ ! A vrai dire j'étais un peu découragée et pis en lisant ta review je m'suis dit qu'il faut pô se laisser abattre è_é ! Voilà, voilà... J'espère que le chap. 7 te plaira toujours autant... ^^

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Chapitre 7 : Rendez-vous...

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  Mon dieu. C'était un rêve. Un stupide rêve. Un cauchemar particulièrement irréalisable. J'allais bientôt me réveiller, Ron allait se moquer de moi, je serais vexé, et cinq minutes plus tard, je rirais avec lui. Oui, c'est ça.

  Mais dans ce cas-là, pourquoi j'étais dans ma chambre d'hôtel, couché sur mon lit, regardant anxieusement le plafond ? Non... J'aurais bien aimé, pourtant ce n'est pas un rêve, ni un cauchemar. C'est la réalité.

   J'allais voler une banque avec mon pire ennemi, ennemi depuis sept ans parce qu'il s'appelle Drago Malefoy et moi Harry Potter. C'était bien la réalité... Bientôt, je recevrais une lettre de lui, fixant un rendez-vous pour mettre à exécution un plan absurde. Un plan pour voler un milliard de gallions pour libérer son père d'une sentence méritée. Mais pourquoi diable avais-je accepté ?

    Je devenais fou... Cela faisait longtemps que je m'en étais rendu compte, il est vrai. Tout ça à cause de Malefoy... Mais, pourtant, je le comprenais. J'aurais tout fait pour que mes parents soient encore vivants, même si pour cela je devais faire une énorme bêtise. Malheureusement, pour moi, il était trop tard. Je ne pouvais rien faire, et ce, depuis mes un an. J'acceptais mon destin. Ainsi, même si le père de Malefoy est un salopard, cela restait son père. Je comprenais parfaitement son désir de le savoir vivant, auprès de lui. C'était son géniteur, celui sans qui jamais il ne serait là. Il ne pouvait rien y faire. Il y a bien un moldu qui dit « On ne choisit pas ses parents », n'est-ce pas ? Et ce moldu a parfaitement raison. Quel que soit nos parents, on ne peut s'empêcher d'éprouver de l'affection pour eux, il ne peut pas en être autrement. Et si, pour quelles que soit la raison, on les déteste, au plus profond de soi-même, on sait bien qu'on les aime.

  C'est comme ça.

 Et... C'est ainsi que je me retrouve embarqué dans cette histoire de folie. Pendant un instant... je me suis demandé si je n'allais pas refuser. Après tout, il s'agissait de mon pire ennemi. Je n'ai pas à aider mon ennemi. Mais étions-nous vraiment ennemis à présent ? Je savais que désormais, quelque chose avait changé, pratiquement rien, mais c'était quelque chose quand même. Quelque chose qui nous permettrait de ne pas nous entretuer. Quoi ? Je ne saurais le dire précisément. C'est juste un ressentiment indéfini. Nous allions cambrioler Gringotts, ensemble. Lui et moi. Malefoy et Potter. Pour le meilleur ou pour le pire. Surtout pour le pire, vu ce qu'on projetait de faire.

    Je savais que je ne regretterais pas. J'avais vu, pendant un instant, une lueur de fragilité dans ses yeux, derrière cette barrière de froideur qui portait comme nom « Malefoy ». Cette fragilité m'intriguait. Peut-être est-ce qu'il n'était pas vraiment celui qu'il voulait bien montrer ?

   Je me fais des idées. Ce n'est pas possible. C'était stupide, je le savais, mais, j'avais envie de savoir si je m'étais trompé ou si j'avais vu juste.

  J'ai honte de me l'avouer, mais... Je ne pouvais refuser.

Une semaine passa. Aucune nouvelle, ni de Malefoy ni de Poudlard. J'étais un peu déçu, quand, le midi du huitième jour arriva. Avec l'arrivée d'un hibou grand-duc. Je savais parfaitement ce que ça signifiait.

  J'étais en train de manger quand l'oiseau arriva, déposant une lettre près de mon assiette. Je murmurais un vague « merci » et l'oiseau se retira, s'envolant par la même fenêtre que celle par laquelle il était entré. Je finis mon repas en silence, puis, je pris la lettre et monta dans ma chambre d'hôtel. Je fermais doucement la porte derrière moi, et ouvris l'enveloppe. Malefoy.

  « Je serais bref. Le parc de Greenwood, aujourd'hui à minuit. Je sais que tu sauras trouver cet endroit.

D.M. »

  Pour être bref, il était bref... Je fis disparaître la lettre d'un coup de baguette magique. Simple mesure de sécurité.

   Je savais parfaitement où se trouvait le parc de Greenwood. C'était un jardin miteux et délabré, connu des sorciers qui se gardaient bien de se promener dans un endroit aussi lugubre. Les rumeurs invraisemblables allaient de bon train, rumeurs que les langues trop pendues se plaisaient à raconter. De « Si tu y vas à minuit, tu seras transformé en loup-garou » à « c'est un lieu maudit par le spectre de la Mort ». Mais la plus connue, c'était bien sûr le « C'est le repaire de Sirius Black »... Qu'est-ce que les gens pouvaient raconter, comme idioties pour faire peur aux petits enfants ! S'il savaient que Sirius était mort depuis trois ans déjà... Je sentis mon cœur se serrer. Il me manquait. J'avais vraiment perdu tous les êtres qui faisaient partie de ma famille... Sirius n'avait pas de lien du sang avec moi, mais c'était tout de même mon parrain... Je secouais la tête. Ne pensons plus à un souvenir douloureux...

 Plus que neuf heures...

   Bien sûr, la journée se passa le plus lentement possible. C'est toujours lorsque l'on attend quelque chose avec impatience qu'elles mettent le plus de temps à se produire.

Dix-neuf heures. J'allais dîner. Je remontais bien vite dans ma chambre. Je n'avais pas faim.

A vingt-et-une heures, je me préparais mentalement. Le parc de Greenwood se trouvait à une ou deux heures du Chemin de Traverse.

Vingt-deux heures. Allons-y. Je prends ma cape d'invisibilité, ne préférant rien justifier de ma présence dans des rues vides à dix heures du soir. Je passais machinalement la main dans mes cheveux, dans le vague espoir de les coiffer. Je laisse tomber un centième de secondes plus tard. Il est temps d'y aller...

Le chemin est plus ou moins long. Comme je le prévoyais, j'arrivais deux heures plus tard. Chose étrange, j'étais le premier. Je le vis arriver une dizaine de minutes plus tard. Bien sûr, il ne pouvait me voir, étant donné que je portais encore ma cape. Je souriais. Sourire que personne ne pouvait apercevoir, tant par la noirceur de la nuit que par mon invisibilité.

- Tu es en retard, dis-je.

Surpris, Malefoy regarda autour de lui, une pointe d'inquiétude dans son regard toujours aussi froid... Je retirais ma cape, sous le regard ébahi du Serpentard, qui me vit enfin. Quand il vit le tissu argenté, il compris.

- Tu as une cape d'invisibilité ! ...

- Et oui... acquiesçais-je d'un signe de tête.

Il me dévisagea, furieux.

- Je n'y crois pas ! C'est comme ça que je t'ai vu à Pré-au-Lard, lors de notre troisième année ! Je savais bien que je n'étais pas devenu fou... Salaud ! Cracha-t-il.

J'éclatais de rire.

- Allons, Malefoy... J'avais treize ans à l'époque... Et avoue tout de même que tu l'avais mérité ! Dis-je, pris entre deux fous rires.

- Je ne vois pas pourquoi je méritais un lancer de boue en plein visage, dit-il, avec une grimace de dégoût au souvenir particulièrement ragoûtant.

- Vraiment ? Toutes ses années à se moquer de moi, Ron et Hermione ! Tes « Sang-de-Bourbe » et tes allusions douteuses à propos de Ron... Tes coups bas et tes remarques pleines « de bon sens » ! Si tu pouvais nous planter un couteau dans le dos, tu le ferais !

- Et toi de même, Potter... Je te signale que toi aussi tu sembles bien t'amuser à te foutre de moi...

- Tu ne me laissais pas le choix !

- Bien sûr, tout est de ma faute... Je me rappelle pourtant que c'est moi qui t'aie tendu la main, en première année... Main que tu as refusée.

- Main que je refuserais encore maintenant! Tu avais insulté Ron, qui m'avait l'air beaucoup plus sympathique que toi... Il ne se comportait comme un affreux gamin pourri-gâté, ne parlait jamais avec mépris ou avec ton masque de froideur habituel, comme si rien ne pouvait t'atteindre...  Me défendais-je, mon sourire ayant disparu.

- Mais oui, de toute façon, Le survivant et ses formidables amis sont parfaits... Ils sont courageux, intelligents, vaillants... Malefoy n'est qu'un horrible gamin prétentieux, méchant et fourbe...

- Tu ne peux pas nier que c'est ce que tu as toujours montré.

- Laisse tomber, Potter...

 Je n'étais pas vraiment en colère, juste très surpris par les paroles de Malefoy. Ne venait-il de sous-entendre qu'il voulait peut-être... Enfin, c'est ridicule, je le se sais bien mais... Il veut que je devienne son .... Son ami ?! Oublions tout de suite cette drôle d'idée ! Idée tellement ridicule ! Et impossible... Je ne sais même pas ce qui m'est venu de penser quelque chose de pareil. 

Je suis complètement perdu... Je lève la tête.

Lui aussi ? Impossible de deviner. Son masque est accroché fermement à sa tête.  Bien... Calme.... Ne nous énervons pas. Cela ne serait sûrement pas favorable pour la suite.

 - OK, laissons tomber... Dis-je en soupirant.

 - Bon... Je suppose que tu sais pourquoi sommes-nous là... Commence-t-il.

- Attends, laisse-moi deviner... Pour boire du thé ? Ou pour faire de la balançoire ? (Je montrais le parc à jeux complètement détruit)

- Très drôle, Potter... Ton sens de l'humour singulièrement développé nous aidera beaucoup lors de situations difficiles...

Je jugeais utile de me taire, préférant ne pas remuer le couteau dans la plaie.

*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*

 Je commençais à lui expliquer mon plan. Il m'écouta sans rien dire.

- Nous allons entrer dans la banque par l'entrée principale, c'est-à-dire comme des sorciers normaux. Je vais demander que l'on me conduise à mon coffre personnel. Toi, tu seras sous ta cape. Une fois arrivé, tu t'arrangeras pour assommer le Gobelin. Cela ne sert à rien de cambrioler mon coffre, donc nous continuerons notre chemin, et au passage nous volerons chaque coffre. L'argent récolté sera mis dans un sac, à l'aide d'un reducio.

- OK, Malefoy... Mais comment compte-tu ouvrir les coffres ? Il n'y a que les gobelins qui peuvent le faire.

- Ça me regarde, dis-je simplement.

Je n'allais pas lui avouer que je savais utiliser de la Magie Noire... « Enseignement » de mon père, bien évidemment.

 Silence ensuite. Il n'y avait plus rien à dire.

- Bon... Après-demain à huit heures. Parce qu'il y aura moins de monde, donc moins de risques. Devant Gringotts. Viens directement avec ta cape. Et surtout sois-en avance, cela ferait bizarre que je doive attendre aux yeux des passants qui ne te verront pas... Tape discrètement dans mon dos que j'arrive, je saurais que tu seras là.

- OK.

Je ne savais pas vraiment si c'était un plan élaboré. Je ne savais pas vraiment si ça allait marcher...

 Le surlendemain, je me levais vers cinq heures. Pour moins de trajet, je m'étais pris une chambre d'hôtel. J'avais un curieux creux au niveau de l'estomac. Je n'étais pas vraiment sûr de moi... J'avais des sentiments contradictoires. Je n'étais plus vraiment sûr de vouloir faire cela...

  Surtout que....

Mais je n'avais pas à culpabiliser. Il s'agissait de Potter.

 Je n'avais pas faim.

Je me préparais...

Il fallait que je sorte de l'hôtel vers huit heures dix. J'espérais que Potter ne serait pas en retard....

Je sortais.  Huit heures huit.

Je vérifiais que j'avais bien la clef de mon coffre. Elle était là, dans ma poche.

Je me dirigeais à pas lents vers la banque. Le creux de mon estomac ne voulait pas s'arrêter. J'essayais de ne pas y faire attention, mais c'était difficile.

J'étais à quelques mètres devant la banque. Je me rapprochais mollement. Etait-il là ? ...

Heureusement, oui. Je sentis une légère pression contre mon dos. Bien.

 J'entrais, laissant la porte ouverte deux secondes le temps que Potter entre lui aussi. Je me dirigeais vers le comptoir, où un Gobelin m'adressa la parole. Je lui glissais la clef en murmurant un vague « coffre 48 ». Un autre gobelin arriva, m'accompagna jusqu'à une porte. Il semblait me fixer. Mais je compris bien vite qu'il fixait un point au dessus de mon épaule. Les Gobelins avaient-ils la faculté de voir à travers les capes d'invisibilité ? J'entrais par la porte que le Gobelin m'indiquait. Pourvu que Potter était près de moi... La porte retomba lourdement. Le Gobelin me suivait de près. Il me désigna un petit wagon. J'hésitais. J'y montais, prenant le plus de temps possible pour m'y installer, espérant qu'ainsi Potter aurait le temps d'y monter. Le Gobelin monta également. Je sentis que Potter se collait contre la paroi du wagon, et par l'occasion contre moi. Il essayait d'éviter le contact du Gobelin ?... .... Etait-il obligé de se coller contre moi ? J'étais stupide. Bien sûr qu'il était obligé. Je restais impassible alors que le wagon commençait son chemin.

 Le trajet dura une dizaine de minutes. Par moment, lors de virages trop serrés, Potter pour éviter le Gobelin, se serrait un peu plus.

  Enfin ça s'arrêta.

Nous sortons du wagonnet. Le Gobelin s'apprêtait à ouvrir le coffre, quand j'entendis un « Stupéfix » ! Aussitôt, le gobelin s'écroula par terre.

Je vis Potter enlever sa cape.

- Bien joué, dis-je.

Je n'avais pas vraiment envie de le féliciter, mais c'était la moindre des choses. Je n'essayais cependant pas de montrer mon embarras. Et d'ailleurs, je n'avais aucune raison d'être embarrassé. Peut-être était-ce parce que je n'avais pas l'habitude de féliciter les gens. A moins que ce soit pour autre chose... Je ne voulais pas y penser...

- Il n'a rien remarqué, fit Potter. A un instant, j'ai cru qu'il m'avait repéré.

- Moi aussi, avouais-je.

Je me penchais vers le corps inerte du Gobelin et reprit ma clef.

- Bon... Et ben allons-y, dis-je.

A suivre...

Et c'est terminé... ^_^ ! J'aime bien ce chapitre, même si je ne sais pas si il va vous plaire ! Bon... Dans le prochain chapitre, le « commençage de volage de coffre » va débuter ^___^ ! Normalement, toute la partie où Drago entre à Gringotts etc. devait se dérouler au chapitre 8... Et pis je l'ai mis dans le chapitre 7 lol O_o ! Je suis contente car le texte fait une page de plus que d'habitude (sans compter mes réponses aux reviews et mes ptits mots...)

Bon :P.

Je vous laisse ! ^^ ! J'essayerais de vous livrer le prochain chapitre la semaine prochaine ! Je dis bien essayer lol. N'hésitez pas à m'envoyer une review, cela m'encouragera :D ! (je suis du genre paresseuse lol).

Nyonoshii.