Bonjour à tous ! me revoilà avec un nouveau chapitre qui j'espère vous
plaira ! j'ai eu beaucoup de plaisir à décrire la robe de Ginny je dois
l'avouer !
Chapitre 6
Les deux adolescents discutèrent pendant une bonne partie de l'après midi, jusqu'à ce qu'arrive Ron.
- Ginny ! On t'a cherchée partout ! Qu'est ce que tu fais là ?
- On parlait...
- Tu rentre avec moi ? J'ai un truc à te montrer !
- Quoi ?
- Aha ! Pose pas de question ! C'est une surprise qu'on t'a faite, avec Jessica et Harry !
Au nom du survivant, Draco fit une moue méprisante que Ron ignora volontairement.
- Alors, tu viens ?
- J'arrive.
La jeune fille se leva, fit un sourire au serpentard et suivit son frère. Sur le chemin du retour :
- Ginny, pourquoi tu traînes avec lui ?
- Il est beaucoup plus gentil que tu le crois. Et puis il m'a aidée, tu te rappelles ?
- C'est un serpentard, et un Malfoy pour couronner le tout ! Ce type est un futur mangemort !
- C'est pas la peine de parler de ça, Ron. Alors, qu'est ce que c'est, cette surprise ?
- Ne sois pas si curieuse ! Allez, on est presque arrivé !
Quand il entrèrent dans la salle commune des gryffondors, Ginny vit tout de suite qu'il régnait une grande agitation.
- Ginny ! s'écria Jessica en la voyant. Devine quoi ? On nous a fait passer un mot ! Dans un mois, pour noël, Dumbledore organise un bal ! C'est génial !
- Ah bon ?
- Oui ! Mais ça, ce n'est qu'une partie de la surprise ! dit Harry en arrivant derrière Jessica. Viens voir, Ginny !
Là-dessus il attrapa la jeune fille par la main et l'entraîna vers les fauteuils. Il prit un grand sac rouge vif et en sortit un paquet emballé qu'il tendit à Ginny. Elle rougit un peu en demandant :
- Mais qu'est ce que c'est ?
- Ben, un cadeau ! s'esclaffa Jessica. Allez, ouvre-le ! On voulait te faire plaisir !
Ginny s'assit dans un fauteuil et déchira le papier cadeau pourpre. Quand elle vit une boite en carton dorée sur laquelle s'étalait la marque de Darmini, elle laissa échapper « oh mon Dieu ! » avant de s'empresser d'ouvrir la boite. Dedans, elle trouva une robe absolument magnifique. Elle était argentée, mais quand la jeune fille la sortit, elle changea de couleur.
- Vous... C'est...
- Elle est belle, hein ? s'écria Jessica. Modèle unique en son genre !
- Mais... Elle a dû coûter une fortune ! Comment avez-vous fait ?!
Harry lui expliqua en souriant :
- En fait, on s'est tous cotisé. Tous les Gryffondors, et une bonne partie des Poufsouffles et Serdaigles, et même les professeurs ! C'est une robe un peu spéciale, elle est enchantée de façon à s'adapter parfaitement à celle qui la porte ! Elle peut même changer de longueur, de forme, mais tu verras toi-même en l'essayant !
Ginny était émue aux larmes. Elle se confondit en remerciements, mais ne sauta au cou de personne. Elle avait encore du mal à toucher les autres, surtout quand c'étaient des garçons. Malgré tout, elle fit de grands sourires à tout le monde, et déclara qu'elle ne l'essaierait que le soir du bal.
............................................................
Pour les vacances, presque tout le monde resta à Poudlard. Le bal devait avoir lieu précisément la veille du jour de noël. Ginny avait déjà décliné plusieurs invitations. Après ce qui lui était arrivé, elle ne se sentait pas très bien à l'idée de danser entre les bras d'un garçon.
Hermione était toujours plongée dans son travail, mais restait attentive à l'attitude de la sœur de Ron, et s'était vite aperçu que la jeune fille évitait le plus possible les contacts physiques. Elle en parla un peu à Ron, et ils décidèrent qu'il irait avec sa sœur au bal. Elle serait certainement plus rassurée si elle y allait avec quelqu'un de sa famille.
Effectivement, Ginny fut très soulagée de savoir qu'elle resterait avec son frère. Elle avoua aussi avoir pensé y aller toute seule, ce qui scandalisa ses amies.
Le 24 décembre au soir, l'effervescence qui régnait dans le dortoir des filles était assez impressionnante. La totalité des trousse de toilettes avait été sortie, et le maquillage circulait librement.
Lorsque Ginny sortit la fameuse robe, elle la trouva encore plus belle que la dernière fois. Ses amies l'avaient déjà maquillée et coiffée, et Amanda lui avait prêté une paire de chaussures noires à talon. Il ne manquait plus que la robe.
Lorsqu'elle la mit, Ginny sentit un délicieux frisson la parcourir au contact du tissu, léger et fluide comme de l'eau. Elle sentit la robe se tendre, se détendre, s'adapter à ses formes, changer de couleur.
Les autres filles s'étaient arrêtées de parler pour regarder. Elles étaient toutes fascinées par la robe enchantée. C'était un spectacle absolument magnifique.
La robe ne s'arrêta plus de changer à tout instant, principalement au niveau des coloris. Dès que Ginny bougeait, les couleurs changeaient légèrement pour s'adapter à la lumière, ou alors elle se raccourcissait un peu, s'ajustant en permanence aux mouvements de la jeune fille. Mais elle avait quand même pris une forme spécifique.
Ginny portait à présent une longue robe qui lui descendait jusqu'aux chevilles. Dans les tons rouge et or, elle ne comportait ni manches ni bretelles, tenant au niveau de la poitrine. De longs gants de soirée, de la même couleur que la robe, s'étaient formés autours de ses mains et étaient reliés au « corps » de la robe par deux fils d'or.
Le tissu était cintré autours de la taille mais lâche et léger en-dessous, et dès que Ginny faisait un geste, la robe volait autours de ses jambes. Même sans la robe, Ginny était très belle, de visage comme physiquement. Avec la robe, elle était divine. On aurait dit une jeune déesse entourée de flammes.
Quand son frère vint la chercher, il en resta bouche bée. Lorsqu'elle descendit les marches de la grande salle, tous les regards se fixèrent sur elle. Elle se sentit rougir. La robe prit aussitôt une teinte plus foncée. Tout le monde était en admiration devant elle. Après un temps de silence, les discussions reprirent de plus belle.
Du côté des serpentards, Antony Hopkins donna un coup de coude à Draco Malfoy, au bras duquel était pendue une jolie fille blonde du nom de Carole.
- La p'tite Weasley a l'air de s'être bien remise de ses émotions, dis-donc ! J'avais pas remarqué qu'elle était aussi belle !
- Mmh... répondit Draco, qui regardait Ginny, impressionné.
Mais il dû rapidement abandonner sa contemplation. Dumbledore s'était levé et cria : « Que la fête commence ! » en claquant des doigts.
Aussitôt, l'éclairage actuel s'éteignit et des lumières d'ambiance discothèques moldues s'allumèrent. Un groupe sorcier très connu, les Mélancholia, montèrent sur une estrade prévue à cet effet et commencèrent à jouer. Tout le monde s'engagea sur la piste de danse.
Fin du 6ème chapitre
Chapitre 6
Les deux adolescents discutèrent pendant une bonne partie de l'après midi, jusqu'à ce qu'arrive Ron.
- Ginny ! On t'a cherchée partout ! Qu'est ce que tu fais là ?
- On parlait...
- Tu rentre avec moi ? J'ai un truc à te montrer !
- Quoi ?
- Aha ! Pose pas de question ! C'est une surprise qu'on t'a faite, avec Jessica et Harry !
Au nom du survivant, Draco fit une moue méprisante que Ron ignora volontairement.
- Alors, tu viens ?
- J'arrive.
La jeune fille se leva, fit un sourire au serpentard et suivit son frère. Sur le chemin du retour :
- Ginny, pourquoi tu traînes avec lui ?
- Il est beaucoup plus gentil que tu le crois. Et puis il m'a aidée, tu te rappelles ?
- C'est un serpentard, et un Malfoy pour couronner le tout ! Ce type est un futur mangemort !
- C'est pas la peine de parler de ça, Ron. Alors, qu'est ce que c'est, cette surprise ?
- Ne sois pas si curieuse ! Allez, on est presque arrivé !
Quand il entrèrent dans la salle commune des gryffondors, Ginny vit tout de suite qu'il régnait une grande agitation.
- Ginny ! s'écria Jessica en la voyant. Devine quoi ? On nous a fait passer un mot ! Dans un mois, pour noël, Dumbledore organise un bal ! C'est génial !
- Ah bon ?
- Oui ! Mais ça, ce n'est qu'une partie de la surprise ! dit Harry en arrivant derrière Jessica. Viens voir, Ginny !
Là-dessus il attrapa la jeune fille par la main et l'entraîna vers les fauteuils. Il prit un grand sac rouge vif et en sortit un paquet emballé qu'il tendit à Ginny. Elle rougit un peu en demandant :
- Mais qu'est ce que c'est ?
- Ben, un cadeau ! s'esclaffa Jessica. Allez, ouvre-le ! On voulait te faire plaisir !
Ginny s'assit dans un fauteuil et déchira le papier cadeau pourpre. Quand elle vit une boite en carton dorée sur laquelle s'étalait la marque de Darmini, elle laissa échapper « oh mon Dieu ! » avant de s'empresser d'ouvrir la boite. Dedans, elle trouva une robe absolument magnifique. Elle était argentée, mais quand la jeune fille la sortit, elle changea de couleur.
- Vous... C'est...
- Elle est belle, hein ? s'écria Jessica. Modèle unique en son genre !
- Mais... Elle a dû coûter une fortune ! Comment avez-vous fait ?!
Harry lui expliqua en souriant :
- En fait, on s'est tous cotisé. Tous les Gryffondors, et une bonne partie des Poufsouffles et Serdaigles, et même les professeurs ! C'est une robe un peu spéciale, elle est enchantée de façon à s'adapter parfaitement à celle qui la porte ! Elle peut même changer de longueur, de forme, mais tu verras toi-même en l'essayant !
Ginny était émue aux larmes. Elle se confondit en remerciements, mais ne sauta au cou de personne. Elle avait encore du mal à toucher les autres, surtout quand c'étaient des garçons. Malgré tout, elle fit de grands sourires à tout le monde, et déclara qu'elle ne l'essaierait que le soir du bal.
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Pour les vacances, presque tout le monde resta à Poudlard. Le bal devait avoir lieu précisément la veille du jour de noël. Ginny avait déjà décliné plusieurs invitations. Après ce qui lui était arrivé, elle ne se sentait pas très bien à l'idée de danser entre les bras d'un garçon.
Hermione était toujours plongée dans son travail, mais restait attentive à l'attitude de la sœur de Ron, et s'était vite aperçu que la jeune fille évitait le plus possible les contacts physiques. Elle en parla un peu à Ron, et ils décidèrent qu'il irait avec sa sœur au bal. Elle serait certainement plus rassurée si elle y allait avec quelqu'un de sa famille.
Effectivement, Ginny fut très soulagée de savoir qu'elle resterait avec son frère. Elle avoua aussi avoir pensé y aller toute seule, ce qui scandalisa ses amies.
Le 24 décembre au soir, l'effervescence qui régnait dans le dortoir des filles était assez impressionnante. La totalité des trousse de toilettes avait été sortie, et le maquillage circulait librement.
Lorsque Ginny sortit la fameuse robe, elle la trouva encore plus belle que la dernière fois. Ses amies l'avaient déjà maquillée et coiffée, et Amanda lui avait prêté une paire de chaussures noires à talon. Il ne manquait plus que la robe.
Lorsqu'elle la mit, Ginny sentit un délicieux frisson la parcourir au contact du tissu, léger et fluide comme de l'eau. Elle sentit la robe se tendre, se détendre, s'adapter à ses formes, changer de couleur.
Les autres filles s'étaient arrêtées de parler pour regarder. Elles étaient toutes fascinées par la robe enchantée. C'était un spectacle absolument magnifique.
La robe ne s'arrêta plus de changer à tout instant, principalement au niveau des coloris. Dès que Ginny bougeait, les couleurs changeaient légèrement pour s'adapter à la lumière, ou alors elle se raccourcissait un peu, s'ajustant en permanence aux mouvements de la jeune fille. Mais elle avait quand même pris une forme spécifique.
Ginny portait à présent une longue robe qui lui descendait jusqu'aux chevilles. Dans les tons rouge et or, elle ne comportait ni manches ni bretelles, tenant au niveau de la poitrine. De longs gants de soirée, de la même couleur que la robe, s'étaient formés autours de ses mains et étaient reliés au « corps » de la robe par deux fils d'or.
Le tissu était cintré autours de la taille mais lâche et léger en-dessous, et dès que Ginny faisait un geste, la robe volait autours de ses jambes. Même sans la robe, Ginny était très belle, de visage comme physiquement. Avec la robe, elle était divine. On aurait dit une jeune déesse entourée de flammes.
Quand son frère vint la chercher, il en resta bouche bée. Lorsqu'elle descendit les marches de la grande salle, tous les regards se fixèrent sur elle. Elle se sentit rougir. La robe prit aussitôt une teinte plus foncée. Tout le monde était en admiration devant elle. Après un temps de silence, les discussions reprirent de plus belle.
Du côté des serpentards, Antony Hopkins donna un coup de coude à Draco Malfoy, au bras duquel était pendue une jolie fille blonde du nom de Carole.
- La p'tite Weasley a l'air de s'être bien remise de ses émotions, dis-donc ! J'avais pas remarqué qu'elle était aussi belle !
- Mmh... répondit Draco, qui regardait Ginny, impressionné.
Mais il dû rapidement abandonner sa contemplation. Dumbledore s'était levé et cria : « Que la fête commence ! » en claquant des doigts.
Aussitôt, l'éclairage actuel s'éteignit et des lumières d'ambiance discothèques moldues s'allumèrent. Un groupe sorcier très connu, les Mélancholia, montèrent sur une estrade prévue à cet effet et commencèrent à jouer. Tout le monde s'engagea sur la piste de danse.
Fin du 6ème chapitre
