Chapitre Un: Case départ
Personne n'est enchaîné. Personne ne fait un geste.
Bien que je sois faible, j'aide Malfoy a se relever. Qui sait ce qu'il a subit avant de parvenir jusqu'ici...
Au début, quand ont m'a amener ici--ce qui semble des années a présent-- j'étais convaincu de pouvoir trouver une sortie, un plan. Mais personne ne parlais. Mon parrain était déjà la, mais on dirait qu'il ne me voyait pas. C'était comme si chacun était perdu dans ses pensés.
Je crois devenir comme eux désormais. Une seule journée de plus dans des cachots noir et froid et je deviens fou.
Comment je me suis fait capturé? Je ne m'en souviens plus trop. Je venais d'apprendre par Ron que Dumbledore était mort d'une crise cardiaque, puis j'ai entendu des cris plus bas. Les Dursley étaient morts.
Ensuite ont m'enferma ici et...
Et c'est tout. Je ne m'en souviens plus. Tout est si flou dans mon esprit. Je semble perdre la mémoire.
Je me demande pourquoi Voldemort nous as enfermés ici, au lieu de nous tués. Il pourrait en profité, non? Depuis des années qu'il me suis, qu'il me persécute, et maintenant il attend!
Je regarde autour de moi. Mes yeux sont habitués à la noirceur. Je sais à présent qui est placé ou, celui qui ronfle, celui qui murmure, celui qui cri. Seulement Rogue est silencieux.
Chaque jour je me demande ce qui se trame dans sa tête. Depuis qu'il s'est fait renvoyé par Voldemort de Poudlard, il n'est plus pareil. On dirait qu'il a perdu une partie de lui-même.
Je sens la tête de Draco contre mon épaule. On dirait bien que quelque chose l'a épuisé.
La porte s'ouvre à nouveau. Je ferme les yeux, haïssant cette lumière.
-Ron. Viens.
Je reconnais cette voix. Lucius Malfoy. Je serre les dents de rage. J'avais envie de dire a Ron de ne pas y aller, mais ma gorge refusait de répandre un seul son.
Draco soupira près de mon épaule.
-Père... murmura t'il.
Lucius ne le regarda même pas, empoignant un Ron a demi-conscient a l'extérieur.
La porte se referma.
J'entendit un soupir, comme un sanglot.
-Ron...
Hermione. Elle aussi savait. Elle l'avait vécu, Ron était le seul a ne pas savoir.
Mais il le saurait bien assez tôt.
Je vois la silhouette de Remus serrer Hermione contre elle, même si cela lui coûte un effort effroyable.
-Il va s'en sortir...
De l'autre coté de la pièce, quelqu'un soupire d'agacement. Mon parrain.
Le seul qui ne parait pas touché par la faiblesse. Il se transforme souvent en animagus, on dirait qu'il dépense moins de forces.
Automatiquement, je passe ma main dans les cheveux blonds de celui qui sèche ses larmes sur mon torse.
Je ne l'avais pas dit? Nous n'avons aucun vêtements.
Ne vous inquiétez pas, il n'y a rien de choquant, nous y sommes habitués. De toute façon, nous ne nous sommes jamais vus. Pour ne pas savoir l'emplacement, nous avons toujours les yeux bandés quand il faut aller d'une place a un autre.
Nous survivons, c'est cela l'important.
Nous sommes mieux traités que tout ceux a l'extérieur qui sont poursuivis jour et nuits par des mangemorts en furie qui s'amusent à arracher un membre a la fois.
Mes yeux se ferment, pourtant il y a la même noirceur qu'a l'extérieur, les mêmes visions.
Je pousse un grognement de fureur.
-Il faut faire quelque chose... murmurais-je.
-C'est toi qui le dit? Harry Potter le survivant? Le supposé sauveur du monde de la sorcellerie? Alors vas y, prouve nous ce dont tu es capable.
Rogue. Toujours aussi sarcastique. Il n'a rien perdu de son caractère.
-Je ne peux pas faire cela seul. J'ai besoin de vous.
-Comme c'est touchant! Le preux chevalier Gryffondor-
-La ferme Rogue! Grogna Sirius. Tu nous enlève de l'oxygène.
Pourtant c'est la première fois qu'il parle. Pensais-je. Mais je m'arrêta. Moi? Défendre Rogue? Jamais!
-Mais Harry. Murmura Neville, a coté de moi. Est-ce que tu nous as vu? Nous sommes affamés, seul, nus, sans famille, sans idées ou nous sommes.
-Non, mais...
-Au manoir Malfoy. Dit une voix rugueuse.
Draco s'était enlevé de mon épaule, de la détermination dans la voix.
-Nous sommes dans le domaine de mon père.
-Il... il ta enfermé ici? Demandais-je. Mais... son propre fils? Pourquoi?
Je pouvais sentir le sourire crispé dans sa voix.
-Je n'ai pas voulu devenir mangemorts. Je n'ai pas envie de devenir l'esclave sexuel d'un fantôme a tête de serpent.
J'aurais pu jurer que la plupart le regardaient avec de grands yeux. Pourtant c'était simple, je savais ce qu'il voulait.
-Je veux le pouvoir. Je ne sert personne.
Voila, en plein ce que je croyais.
Sirius poussa une exclamation indignée.
-Tu règnera le jour ou tu nous fera sortir d'ici, Malfoy. Ce qui veut dire, jamais.
C'était Hermione. Malgré sa faiblesse, elle continuait à répliquer. Quel caractère elle a. Je l'adore !
Malfoy ne parla pas.
Le silence. Il est rendu fréquent depuis bien des jours, ou des semaines. Je ne sais plus.
Je prit ma tête entre mes mains, me laissant glisser contre le mur de pierre avec force, m'arrachant quelque parcelle de peau. Ca ne fait rien, je suis habitué à la douleur.
Je haie Voldemort. Je le tuerai de mes mains, je le jure.
La porte s'ouvre, je ne le remarque même pas. Des pensés sombres et noires emplissent mon esprit.
Pourtant, c'est Ron qui entre.
Il ne parle pas.
Comme nous au début.
Mais il s'y habituera. Il-s'y-habituera.
Hermione le prend dans ses bras. Il éclate en sanglot.
Personne ne vient le consoler. Ce n'est pas la première fois qu'un tel évènement arrive. Chaque fois, c'est une nouvelle victime.
Je pousse un long gémissement plaintif.
Mais je ne veux plus que ça m'arrive...
Personne n'est enchaîné. Personne ne fait un geste.
Bien que je sois faible, j'aide Malfoy a se relever. Qui sait ce qu'il a subit avant de parvenir jusqu'ici...
Au début, quand ont m'a amener ici--ce qui semble des années a présent-- j'étais convaincu de pouvoir trouver une sortie, un plan. Mais personne ne parlais. Mon parrain était déjà la, mais on dirait qu'il ne me voyait pas. C'était comme si chacun était perdu dans ses pensés.
Je crois devenir comme eux désormais. Une seule journée de plus dans des cachots noir et froid et je deviens fou.
Comment je me suis fait capturé? Je ne m'en souviens plus trop. Je venais d'apprendre par Ron que Dumbledore était mort d'une crise cardiaque, puis j'ai entendu des cris plus bas. Les Dursley étaient morts.
Ensuite ont m'enferma ici et...
Et c'est tout. Je ne m'en souviens plus. Tout est si flou dans mon esprit. Je semble perdre la mémoire.
Je me demande pourquoi Voldemort nous as enfermés ici, au lieu de nous tués. Il pourrait en profité, non? Depuis des années qu'il me suis, qu'il me persécute, et maintenant il attend!
Je regarde autour de moi. Mes yeux sont habitués à la noirceur. Je sais à présent qui est placé ou, celui qui ronfle, celui qui murmure, celui qui cri. Seulement Rogue est silencieux.
Chaque jour je me demande ce qui se trame dans sa tête. Depuis qu'il s'est fait renvoyé par Voldemort de Poudlard, il n'est plus pareil. On dirait qu'il a perdu une partie de lui-même.
Je sens la tête de Draco contre mon épaule. On dirait bien que quelque chose l'a épuisé.
La porte s'ouvre à nouveau. Je ferme les yeux, haïssant cette lumière.
-Ron. Viens.
Je reconnais cette voix. Lucius Malfoy. Je serre les dents de rage. J'avais envie de dire a Ron de ne pas y aller, mais ma gorge refusait de répandre un seul son.
Draco soupira près de mon épaule.
-Père... murmura t'il.
Lucius ne le regarda même pas, empoignant un Ron a demi-conscient a l'extérieur.
La porte se referma.
J'entendit un soupir, comme un sanglot.
-Ron...
Hermione. Elle aussi savait. Elle l'avait vécu, Ron était le seul a ne pas savoir.
Mais il le saurait bien assez tôt.
Je vois la silhouette de Remus serrer Hermione contre elle, même si cela lui coûte un effort effroyable.
-Il va s'en sortir...
De l'autre coté de la pièce, quelqu'un soupire d'agacement. Mon parrain.
Le seul qui ne parait pas touché par la faiblesse. Il se transforme souvent en animagus, on dirait qu'il dépense moins de forces.
Automatiquement, je passe ma main dans les cheveux blonds de celui qui sèche ses larmes sur mon torse.
Je ne l'avais pas dit? Nous n'avons aucun vêtements.
Ne vous inquiétez pas, il n'y a rien de choquant, nous y sommes habitués. De toute façon, nous ne nous sommes jamais vus. Pour ne pas savoir l'emplacement, nous avons toujours les yeux bandés quand il faut aller d'une place a un autre.
Nous survivons, c'est cela l'important.
Nous sommes mieux traités que tout ceux a l'extérieur qui sont poursuivis jour et nuits par des mangemorts en furie qui s'amusent à arracher un membre a la fois.
Mes yeux se ferment, pourtant il y a la même noirceur qu'a l'extérieur, les mêmes visions.
Je pousse un grognement de fureur.
-Il faut faire quelque chose... murmurais-je.
-C'est toi qui le dit? Harry Potter le survivant? Le supposé sauveur du monde de la sorcellerie? Alors vas y, prouve nous ce dont tu es capable.
Rogue. Toujours aussi sarcastique. Il n'a rien perdu de son caractère.
-Je ne peux pas faire cela seul. J'ai besoin de vous.
-Comme c'est touchant! Le preux chevalier Gryffondor-
-La ferme Rogue! Grogna Sirius. Tu nous enlève de l'oxygène.
Pourtant c'est la première fois qu'il parle. Pensais-je. Mais je m'arrêta. Moi? Défendre Rogue? Jamais!
-Mais Harry. Murmura Neville, a coté de moi. Est-ce que tu nous as vu? Nous sommes affamés, seul, nus, sans famille, sans idées ou nous sommes.
-Non, mais...
-Au manoir Malfoy. Dit une voix rugueuse.
Draco s'était enlevé de mon épaule, de la détermination dans la voix.
-Nous sommes dans le domaine de mon père.
-Il... il ta enfermé ici? Demandais-je. Mais... son propre fils? Pourquoi?
Je pouvais sentir le sourire crispé dans sa voix.
-Je n'ai pas voulu devenir mangemorts. Je n'ai pas envie de devenir l'esclave sexuel d'un fantôme a tête de serpent.
J'aurais pu jurer que la plupart le regardaient avec de grands yeux. Pourtant c'était simple, je savais ce qu'il voulait.
-Je veux le pouvoir. Je ne sert personne.
Voila, en plein ce que je croyais.
Sirius poussa une exclamation indignée.
-Tu règnera le jour ou tu nous fera sortir d'ici, Malfoy. Ce qui veut dire, jamais.
C'était Hermione. Malgré sa faiblesse, elle continuait à répliquer. Quel caractère elle a. Je l'adore !
Malfoy ne parla pas.
Le silence. Il est rendu fréquent depuis bien des jours, ou des semaines. Je ne sais plus.
Je prit ma tête entre mes mains, me laissant glisser contre le mur de pierre avec force, m'arrachant quelque parcelle de peau. Ca ne fait rien, je suis habitué à la douleur.
Je haie Voldemort. Je le tuerai de mes mains, je le jure.
La porte s'ouvre, je ne le remarque même pas. Des pensés sombres et noires emplissent mon esprit.
Pourtant, c'est Ron qui entre.
Il ne parle pas.
Comme nous au début.
Mais il s'y habituera. Il-s'y-habituera.
Hermione le prend dans ses bras. Il éclate en sanglot.
Personne ne vient le consoler. Ce n'est pas la première fois qu'un tel évènement arrive. Chaque fois, c'est une nouvelle victime.
Je pousse un long gémissement plaintif.
Mais je ne veux plus que ça m'arrive...