Coucou!! Je sais que ce chapitre a mis long pour venir (moins que la dernière fois quand même) mais j'étais partie en vacance.. mais maintenant, ils vont venir beaucoup plus vite, je vous le promet

Réponse aux reviews:

loyalbus: oui, c'était enfin un nouveau chapitre (c'tait bien le moment!)

Phoebe Skywalker: moi aussi, j'espère qu'ils vont vraiment se réconcilier, mais seul Jk pourra nous le dire, ça...

yoann: contente que cela te plaise! J'espère que la suite te plaira tout autant

xaebhald: voilà la suite!!!

Chapitre 20

Les réunions de la « DA » se faisaient de plus en plus régulières, et en général, Sirius y assistait. Tous les élèves qui en faisaient partie avaient eu des explications sur ce qu'il était. Ils l'avaient plutôt bien pris, surtout qu'ils les aidaient réellement beaucoup.

Les cours d'occulmentie aussi devenaient de plus en plus rapproché, mais ce n'était plus vraiment des cours d'occulmentie, Harry la maîtrisant correctement maintenant. Mais aucun des deux n'avait été le dire au directeur et donc, les rencontres continuaient. Mais aujourd'hui, cela allait être très différent. L'attaque allait avoir lieu dans une semaine très exactement et le professeur Rogue avait quelque chose à demander à Harry.

Et justement, celui-ci arrivant à ce moment très précis. Il frappa puis entra, ne prenant même pas la peine d'attendre que son professeur lui demande de le faire. Il n'en avait plus besoin.

- Bonsoir Professeur ! Qu'est-ce qu'on fait aujourd'hui ?

- Bonsoir Harry…. Impatient de faire quelque chose ?

- Oh ! oui !

- Ça tombe bien, parce que j'aurais une requête à vous formuler, concernant la bataille qui va avoir lieu…

Harry regarda avec curiosité son professeur. Il se demandait ce qu'il voulait lui demander, surtout que cela paraissait important, vu son regard. Mais Harry se rappela qu'il était sensé se tenir du côté des mangemorts, puisqu'il devait jouer son rôle d'espion auprès de son ancien maître.

- Qu'est-ce que c'est ? demanda Harry.

- J'aurais besoin de votre aide… pour pouvoir changer de côté au début de la bataille. Je ne veux pas avoir à me battre contre des élèves mais je dois resté au côté du Seigneur des Ténèbres jusqu'à ce qu'il soit à l'intérieur de Poudlard, pour pouvoir dire exactement quand est-ce que cela va se produire.

- Comment est-ce que je peux faire ?

- Et bien, il faudrait préparer un plan mais, tout d'abord, il faudra que vous puissiez savoir où je suis…

- Les cagoules des mangemorts cachent les visages.

- Exactement, alors… voilà comment est-ce qu'on va faire…

Harry passa le reste de la soirée à mettre ce plan au point avec son professeur et il apparut qu'ils auraient besoin de Sirius. Ça allait pas être facile à le convaincre, et bien sûr c'était Harry qui devait le faire. Et c'est pour cela qu'il allait de ce pas en direction des appartements de son parrain, espérant qu'il allait en ressortir vivant. Parce que c'était vraiment pas la meilleure chose à faire que de demander à Sirius Black d'aider Sévérus Rogue.

Mais de toute façon, il fallait qu'il ait parler à Sirius à propos de la seconde partie de la prophétie, celle qui mentionnait qu'il devait aider quelqu'un à revenir du bon côté parce qu'il était retenu contre son gré. Alors, autant faire d'une pierre deux coups.

Il arriva enfin devant les appartements de son parrain et frappa à la porte, attendant que l'on vienne lui ouvrir. Cela ne prit pas très longtemps, heureusement. Sirius se tenait devant lui. Son visage s'éclaira quand il reconnut son filleul.

- Harry ! C'est bon de te voir ! Viens, entre !

Il suivit son parrain et vint s'asseoir sur le canapé, dans le salon. L'homme ne tarda pas à venir le rejoindre, lui proposant à boire, ce que Harry refusa poliment. Il sentit Sirius passer un bras autour de ses épaules et ne résista pas, s'appuyant confortablement sur le torse de son parrain.

- Alors, qu'est-ce qui t'amène chez moi, à cette heure-ci ?

- Je reviens des cachots et je me suis dit que je pourrais passer te voir.

- Dans les cachots ? T'étais avec Rogue ?

- Hum… oui, leçons d'occulmentie.

- Il ne t'embête pas trop ? Parce que, si c'est le cas, je peux…

- C'est bon Sirius ! le coupa son filleul. Il est gentil avec moi, maintenant.

- Ah bon ?

- Je sais, c'est difficile à croire. Mais bon, ce n'est pas pour ça que je suis venu. En fait, je voulais parler de deux choses avec toi.

- Je suis toute ouïe…

Harry se releva pour se mettre dans une position assise et pour pouvoir faire face à son parrain. Il décida de commencer par lui parler de la prophétie.

- Tu te rappelles de la prophétie ? est-ce que tu l'as déjà entendue en entier ?

- Jamais, non.

- Je ne me rappelle pas exactement de ce qu'elle dit mais je me rappelle qu'en parlant de toi, elle dit, à un moment, « Sa mission serait de libérer un innocent de l'emprise du mal, qui l'oblige à faire tout ce qu'il désire. » Est-ce que tu aurais une idée de qui peut être cet innocent ?

- Non, soupira Sirius. Pas la moindre. Mais je suppose que c'est l'un des mangemorts, logiquement.

- Logiquement mais lequel ?

- Je n'en sais rien. Je pense qu'il faudra que l'on voit cela quand on sera en plein combat.

- Sûrement…. En attendant, tu voulais me parler de deux choses. Alors qu'est-ce que c'est la deuxième ?

- Ah oui… la deuxième… euh… et bien…

- Harry ! Tu vas quand même pas me dire que je te fais peur !

- Non, non bien sûr que non !

Harry se décida finalement à faire part à son parrain du plan du Professeur Rogue et de la manière dont il fallait qu'il les aide. Il détailla bien tout ce qui était prévu dans les moindres détails. Il ne laissa pas le temps à Sirius de dire un seul mot avant qu'il ait fini et c'est seulement là que le jeune homme releva les yeux pour voir la réaction de son parrain.

Celui-ci soupira. Ce n'était pas que le plan de son filleul et de son ennemi de toujours paraissait impossible, ou qu'il refusait de les aider. Il trouvait même que c'était un très bon plan mais il était encore sonné par le flot de parole que venait de débiter Harry. Il aurait pu faire une ou deux pauses pendant qu'il parlait, pour qu'il ait le temps de reprendre ses esprits.

- Bon, et bien, je veux bien vous aider. Par contre, Harry, la prochaine fois que tu veux me demander quelque chose, évite de parler pendant dix minutes sans faire une seule pause.

- Désolé… mais je pensais que tu ne serais pas très content…

- Parce que tu veux aider Rogue ? Je trouve que c'est très bien que tu aies réussi à venir à bout de cette haine… je ne dis pas que c'est pour ça que je vais devenir ami avec lui mais je ne vais tout de même pas t'en vouloir pour ça !

Harry se sentit tout coup gêné d'avoir pu pensé cela de son parrain. Mais aussi soulagé que Sirius soit bien d'accord de les aider. Surtout qu'il était un des piliers principaux de cette bataille.

Ils discutèrent encore un moment, pendant qu'ils en avaient encore la possibilité, puisqu'il ne leur restait plus qu'un mois, même pas, avant que Sirius ne doive repartir. Ils le savaient tous les deux et cette pensée les pesait de plus en plus au fur et à mesure que les jours avançaient, mais ils n'en parlaient jamais.

Harry était allongé sur son lit, Ginny à moitié couchée sur lui. Ils restaient souvent dans cette position, quand ils étaient tous les deux. Ils aimaient beaucoup sentir leur corps en contact, dans des touchers innocents. C'est pour cela qu'ils profitaient de leur moment d'intimité, le plus qu'il leur était possible, car quand Ron se trouvait dans les parages, ils devaient faire attention à ne pas aller trop loin, sinon ils étaient bon pour qu'il leur fasse la tête pendant des heures.

Harry jouait distraitement avec les mèches de cheveux de sa petite amie. Aucun mot n'était échangé entre eux deux. Tout était calme et c'est pourquoi ils sursautèrent lorsque la porte s'ouvrit violemment.

Les deux adolescents furent debout en moins de deux secondes, se demandant qui c'était, mais ils soupirèrent de soulagement en voyant Tonks.

- Tu nous as fait une de ses peurs, soupira Ginny. Qu'est-ce qu'il se passe ? ajouta-t-elle en voyant son visage.

- Est-ce que je pourrais parler à Harry, seule à seul.

- Euh… oui, bien sûr. Je vais vous laisser…

La jeune fille sortit en fronçant les sourcils, se demandant ce qu'il se passait. Harry aussi, était étonné. Pourquoi est-ce que Tonks ne voulait pas lui parler devant Ginny.

- Qu'est-ce qu'il y a Tonks ? Pourquoi est-ce que tu as fait sortir Gin' ?

- Parce que je ne sais pas si elle est au courant pour la prophétie sur toi et Voldemort !

- Ben, oui, comme tous les membres de la DA. S'ils devaient se battre contre Voldie, je crois qu'ils étaient en droit de le savoir.

Apparemment, ce n'était pas vraiment ce qu'elle avait envie d'entendre, puisqu'elle sembla en colère tout à coup, et Harry se mordit la lèvre, comprenant de moins en moins.

- Ah ! D'accord ! Alors, Monsieur Potter révèle cette prophétie à une bonne trentaine d'élèves, dont certains ne sont presque rien pour lui, et Rémus et moi, on doit attendre que Dumbledore se décide à en parler aux membres de l'Ordre pour savoir la vérit !

Harry ouvrit de grands yeux. Ce n'était pas vraiment l'éclat de voix de Tonks qui avait provoqué cette réaction en lui, mais plutôt ce qu'elle avait dit. Il avait pensé qu'ils étaient tous au courant de cette prophétie depuis longtemps ! Sinon il la leur aurait dit !

- Vous… vous n'étiez pas au courant ? balbutia-t-il.

- Non ! cria-t-elle.

- Je pensais que Dumbledore vous l'avait dite il y a longtemps, avant de me la dire à moi.

- Et bien, non. Il vient de nous la révéler, en même temps qu'aux autres membres de l'Ordre. Mais est-ce que tu te rends compte du choc que cela nous a fait, Harry ? Tu… tu dois te battre seul contre lui.. on ne pourra rien faire pour t'aider.

Au fur et à mesure qu'elle parlait, sa voix avait diminué d'intensité, jusqu'à devenir un murmure. Elle était au bord des larmes et Harry n'aimait pas la voir comme cela, alors il s'approcha d'elle et la prit dans ses bras.

- Je m'en sortirai Tonks, ne te fais pas de souci. J'ai trop de choses qui me retiennent ici pour mourir, trop de personne que je ne veux pas quitter. Et je peux te dire que tu en fais partie…. Je me battrai pour toutes ses personnes Tonks, je me battrai pour toi.

Tonks se contenta de hocher la tête, toujours dans les bras de Harry. Elle était un peu rassurée, et elle savait que Harry était fort. De plus, Dumbledore ne pensait pas que c'était cette bataille que racontait la prophétie.

Mais elle avait été tellement choquée, quand elle avait entendu la prophétie. Elle ne savait toujours pas comment elle avait fait pour ne pas sortir directement du bureau, et rester maîtresse d'elle-même le temps que la réunion se finisse.

Finalement, reprenant ses esprits, elle se détacha de Harry et le regarda, les yeux encore humide.

- Je suis désolée, mais tu ne peux pas savoir à quel point j'ai peur de te perdre.

- Je sais Tonks, je sais. Mais tu ne me perdras pas, je te le promets. Ça va mieux, maintenant ? finit-il par lui demander, en lui relevant le menton, faisant une moue adorable.

Elle hocha la tête, paraissant réellement mieux qu'avant, même si elle n'était pas tout à fait bien.

- Par contre, je te conseille d'aller parler à Rémus. Il a réellement peur, tu sais.

Harry hocha la tête. Tonks avait raison, il devait parler au loup-garou. Et tout de suite. Il fallait qu'il le rassure. Il savait qu'il avait réellement peur de le perdre, il en avait eu la preuve plusieurs fois.

- Tu sais où il est ?

- Aucune idée. Il est partit dès que Dumbledore a marqué la fin de la réunion, je n'ai pas été assez rapide pour le suivre.

Réfléchissant rapidement, Harry appela la carte des Maraudeurs. Cela faisait longtemps qu'il ne l'avait pas utilisée, il n'en avait pas vraiment eu beaucoup besoin. Mais cette fois-ci, il ne voyait pas d'autre moyen.

Il découvrit la carte et chercha rapidement l'étiquette contenant le nom de Rémus. Il ne mit pas longtemps à le découvrir mais fut surpris – et c'était un véritable euphémisme – de voir qu'il se trouvait dans les cachots. Qu'est-ce qu'il était allé faire là-bas ?

Harry soupira, et après avoir dit au revoir à Tonks, il se hâta de faire son chemin en direction des cachots. Heureusement que ses relations avec le Professeur Rogue n'étaient plus les mêmes qu'en début d'année !

Il parvint finalement à la porte de la salle de classe du Professeur Rogue et il frappa. L'homme ne mit pas longtemps à venir lui ouvrir et il ne semblait pas surpris de le voir là.

- Est-ce que Rémus serait l ? demanda Harry, tout en sachant la réponse.

- Effectivement. Allez savoir pourquoi… ronchonna Rogue, même s'il n'avait pas l'air si ennuyé qu'il l'aurait été quelques mois plus tôt. Entrez, et allez lui parler !

Rogue lui indiqua la pièce dans laquelle se trouvait son ami et Harry entra doucement, se demandant dans quel état était Rémus. Ce n'était pas brillant.

Il était assis sur le canapé, le dos tourné, et il se tenait la tête entre les mains. Harry avala péniblement et s'avança, priant de tout son cœur pour que son ami ne soit pas entrain de pleurer.

Quand il arriva devant lui, Harry s'agenouilla et enleva gentiment ses mains du visage de Rémus. Il constata avec soulagement que ses prières avaient été entendu, les yeux du loup-garou étaient sec. Peut-être pas pour très longtemps, mais pour l'instant, en tout cas.

L'homme dirigea son regard sur Harry qui, ne lâchant pas ses mains, se releva, l'obligeant à se mettre en position assise normale, et l'adolescent prit place, à son plus grand étonnement, sur ses genoux.

Harry lâcha les mains de l'homme et entoura d'un bras son cou. Rémus ne tarda pas à passer ses bras autour de la taille de Harry, pour enfouir sa tête dans son torse, fermant les yeux.

D'une main distraite, Harry se mit à caresser machinalement la chevelure cendrée de son ami, tout en commençant à parler.

- Je suis désolé que tu l'aies appris de cette manière, Moony, je pensais que les membres de l'Ordre étaient au courant, c'est pour ça que je ne vous ai rien dit à toi et à Tonks, expliqua-t-il avant que Rémus n'ait pu dire quoi que ce soit.

- Je… je ne veux pas que tu le combattes. C'est pas juste… tu ne devrais pas avoir à te soucier de Voldemort, à ton âge, tu devrais avoir peur pour tes exams, et de savoir ce que tu peux offrir à ta petite amie pour son anniversaire, mais pas de lui…

Rémus n'avait pas relevé la tête en disant cela, et Harry ne pouvait voir ses émotions, mais elles étaient tellement perçantes dans sa voix qu'il n'en avait pas besoin. Il avait peur. Ou, plutôt, il était terrifié, tout comme Tonks.

Une flamme s'alluma dans son cœur, au vue de tout le soucis que se faisaient ses deux amis pour lui. Ils lui donnaient tellement d'amour, qu'il lui semblait avoir enfin trouvé sa famille. Et cela lui faisait vraiment du bien.

Harry finit par se détacher de son ami, et s'assit à côté de lui, au lieu de sur lui. Celui-ci le regarda, semblant lui demander pourquoi est-ce qu'il se retirait, mais Harry ne fit que sourire en se calant contre le dossier du canapé. Il tendit ses bras, faisant signe à Rémus de venir vers lui.

Il ne se le fit pas dire deux fois et vint se blottir contre Harry qui l'entoura de ses bras. Le jeune homme commença alors à lui parler tout bas.

- Comme je l'ai dit à Tonks, Rémus, il ne battra pas, parce que, contrairement à lui, j'ai beaucoup de choses qui me retiennent ici, et pour gagner, il faut toujours avoir une raison de se battre. Moi, je me bas pour mes amis, ma famille, pour toi, et Tonks, pour les Weasley, pour le Professeur Rogue, pour tous les membres de l'Ordre, et pour toutes les personnes qui seraient en danger s'il gagnait. Mais lui, est-ce que tu peux me dire pourquoi est-ce qu'il se bat ? Pour se venger de son père qui les a abandonné lui, et sa mère. Une vengeance comme celle-ci ne fait pas le poids…. Crois-moi, Rémus, je ne mourrais pas, trop de choses me rattachent ici…

Rémus releva la tête, et Harry put voir ses yeux ambré briller s'émotion. Il lui sourit gentiment et, de la manière dont un adulte le ferait normalement à un enfant, le jeune homme ébouriffa les cheveux de son ami, puis lui donna un baiser sur le front.

- Je gagnerais, petit ange.

Ce dont Harry ne se doutait pas, c'était que quelqu'un, de l'autre côté de la porte, avait assister à une bonne partie de la scène.

En effet, quelques minutes après son neveu, la tante Pétunia avait fait irruption, elle-aussi, devant la porte des cachots, cherchant le jeune homme. Sévérus l'avait faite entrer, et lui avait dit où il était, lui précisant pourquoi est-ce qu'il était là. Alors, elle s'était approchée et avait entendu ce que disait Harry.

Elle avait été surprise, au fond d'elle-même, par la maturité dont il faisait preuve. Car cela semblait moins les paroles d'un garçon de seize ans, que celle d'un homme de cinquante. Mais son neveu était passé par beaucoup de chose, et elle avait contribué en grande partie à ses malheurs, alors il était normal qu'il paraisse plus mûr.

Une fois la longue tirade de son neveu terminée, Pétunia s'était éloignée, ne se sentant pas très glorieuse d'avoir écouté une conversation personnelle, et était retourné vers Rogue.

Celui-ci dut remarquer qu'elle avait un air bizarre car il lui demanda si quelque chose n'allait pas.

- Non, non, tout va bien. Mais je crois qu'il vaut mieux ne pas les déranger pour l'instant.

Sévérus se contenta de sourire puis lui demanda si elle ne voulait pas aller faire un tour dans le château.

- Avec grand plaisir, Sévérus.

- Alors, venez…

Sévérus se leva et offrit son bras à la tante d'Harry, l'entraînant hors des cachots pour une petite ballade.