Voici ma nouvelle fic et oui cette fois c'est un POV (point of view) de Vincent. Cette histoire se déroule lorsque Vincent est enfermé dans son cercueil dans le manoir de Sephiroth. Corriger par Emilie.

Prisonnier de moi-même

Dans la noirceur du cercueil que j'habite depuis bien trop longtemps, je suis tenu dans cet univers. Un cauchemar interminable. Je ne sais même plus depuis quand je suis enfermer ici.

Des secondes, des minutes, des heures ou même bien des années, je n'en sais rien. Ça fais si longtemps qu'on me garde prisonnier de moi-même que j'ai peur d'avoir oublier qui je suis.

Est-ce que le fais d'être rester enfermer ici trop longtemps m'a mené à la démence ? J'entends une voix lointaine réveillée dans le plus profond de ma chair. Elle m'appelle, elle me hante.

V'a ton me délivrer de la douleur qui me hante depuis trop longtemps ou vais-je rester ici, à pourrir dans ce pathétique cercueil pour l'éternité.

La douce lumière du jour caressant mon visage, elle me manque tellement. Ma lumière, ma douce Lucrecia. Je t'ai longtemps aimé, et je t'aime encore.

Mais pourquoi es-tu parti si soudainement ? Me laissant seul dans la noirceur de mon esprit perdu. Je ne respire plus, je ne vis même plus sans toi. Mon cœur a arrêté de battre, il y a déjà longtemps.

Alors qu'elle est la quête de mon existence, si ce n'est pas de t'aimer et de te protéger à jamais ?

Pourquoi m'a-t-on abandonné, pourquoi ne m'a-t-on pas tué à la place de cette torture qui me ronge juste qu'à la chair. La mort aurait été bien moins douloureuse, comparée à la douleur qui m'entoure jusqu'à m'étouffer.

Que ferais-je pour revoir qu'une seule fois le ciel paisiblement étoilé ! Mais je ne peux même plus bouger, tenu par la force de ce cauchemar qui me hante. Alors mon existence tel qu'un feu sous la pluie ruisselante, je m'éteins pour toujours.

L'espoir !

C'est un mot que j'ai arrêté de croire il y a bien longtemps.

L'espoir.

Est un mot qui ne fait que faire croire ! Telle qu'une illusion.

Mon existence continue en même temps que la noirceur m'engouffre plus profondément.