Le crépuscule d'une ombre

Bêtisier N°3

 Voilà donc le dernier volet de cette trilogie de conneries de nos cher personnages et du personnel de réalisation.

A vos Marque…

Prêt…

Lisez!

Chapitre 6 :

*   « Dit moi que c'est pas vrai ! Dit moi que c'est toi pas qui a fait ça… DIT LE MOI ! »

La voix de Laïla résonna dans le silence, l'écho de ses mots se répercutèrent le long de la voûte, le long des murs, volant au-dessus des têtes de la foule assemblée dans l'atrium.

« Comment chose pareil as-tu pu faire à elle? Que le mâle  N'y en toi. a-t-il COMMENT TU AS ÇA PU LUI FAIRE ? »

- Heu… Laïla, tu raconte n'importe quoi là. Tu mélange les mots. fit remarquer L'auteur en retenant son rire.

* L'homme  plutôt grand se détacha du  groupe et s'approcha du jeune homme, de son fils. L'expression de fureur qu'affichait son visage n'annonçait rien de bon. Les professeurs préférèrent s'écarter de la scène.

Le coup claqua comme la foudre.  Alex eut tout juste le temps de se redresser qu'un deuxième choc le fit vacillé.  Alex, bien décidé  à ne pas se laisser faire, contre-attaqua. Bastien fut plier en deux par un coup dans l'estomac. Alex lui piqua sa baguette magique. Le jeune homme invoqua alors toute les puissances infernales et lança le sort d'Attila. Les éclaires détruisirent la moitié de l'école. Bilan : 23 morts, 58 blessés (dont 13 très graves) et toute une génération de sorcier traumatisée.

* Le jeune homme resta enfermer là-dedans pendant toute la journée sans que personne ne le dérange. Au soir, son repas apparut sur la table grâce à la magie de elfes. Quand les elfes récupérèrent le plateau il découvrirent que le prisonnier n'y avait pas toucher. Par contre il y avait déposé un message : « Serait-il possible d'avoir quelque chose de comestible car là c'est vraiment pas bon votre truc ! » Les elfes se vexèrent et se mirent en grève.

* Son entrée dans l'immense et célèbre bibliothèque de Beauxbâtons ne passa pas inaperçu, une chape de silence hostile s'abattit sur les élèves qui travaillait là, certains prirent leurs affaires et sortirent, d'autres tentèrent de replonger dans leurs livres comme s'il s'agissait œillères.

Alex  d'un pas décidé, remonta l'allée central, tourna dans les allée F, se faufila entre plusieurs rayonnage et se fit sauvagement attaquer par une horde de livres en furies qui attendait embusquer derrière une étagère.

Chapitre 7 :

* La grande bibliothèque de Beauxbâtons offrait la nuit un spectacle fascinant et terrifiant à la fois, de partout s'élevait l'étrange lueur de la magie accumulée dans les livres, une phosphorescence au reflet d'arc-en-ciel et d'octarine, une lumière dont la densité ne lui permettait pas de s'élever dans les airs et d'atteindre les voûtes… Un brouillard lumineux… Une lumière morte qui n'éclairait pas.

Derrière l'auteur une petite voix typique des techniciens en train de faire un coup en douce murmura : « All ? Les urgences psychiatriques ? Oui c'est pour un cas grave… elle raconte n'importe quoi… de la lumière morte qui n'éclairait pas… vous arrivez dans cinq minutes… OK ! On la retient jusque l »

* Un bruissement de papier… la couverture d'un livre qui claque … quelque chose qui tombe sur le sol dans un bruit mate… une bruit sec d'un objet dur qui tape sur du bois. Des bruits de lutte… un cri perçant

« Argh !!!!!! A l'aide !!!!!!! les livres Attaques !!!! »

Il fallut une grande quantité d'anesthésiant pour livre pour parvenir à sortir Alex de là. Il garde encore des cicatrices de cette douloureuse expérience.

* Un bruissement de papier… la couverture d'un livre qui claque … quelque chose qui tombe sur le sol dans un bruit mate… une bruit sec d'un objet dur qui tape sur du bois.

Lentement une ombre émergea de l'océan phosphorescent par-dessus les rayonnages. Elle s'agita et se déplia. Elle perdit l'équilibre et alla se fracasser la tête sur le sol, plus de deux mètres en contre-bas

* Passant de rayonnage en rayonnage d'une manière parfois très téméraire et hasardeuse, ils se dirigèrent droit vers le centre de la zone à l'extrême sud de la bibliothèque. Ce fut un miracle si Alexandre ne tomba pas en chemin. Les étagères n'étaient pas toutes très stables et parfois très éloigner les une de autres. Le chat, lui, léger comme une plume, bondissait de l'une à l'autre avec une agilité toute féline. Par contre les étagères n'étaient pas conçu pour une tel utilisation. L'une d'elle se déstabilisa et s'effondra. Selon la loi des dominos elle emporta ses voisines dans sa chute.

Ca a été un sacré bazar à ranger !

Chapitre 8 :

* C'est l'agent de terrain qui remarqua la plante un peu passer fleur posée sur le rebord de la fenêtre à côté du lit de la victime, elle  ne connaissait pas ce genre de fleur bleu et or. Elle s'en approcha pour en sentir le parfum. La fleur, elle, n'avait pas envie de se laisser sentir de la sorte par une moldue et se défendit. La femme porte encore les traces de morsures et de griffures que lui à fait cette plante qui s'est révélé être bien pourvu en arme de self-défense.

* Dans un coin le maître de loge cherchait plusieurs élèves que personne ne semblait avoir vu. Il était blême. Cinq élèves étaient introuvables… cinq élèves que personne n'avait prévenu… cinq victimes potentiels. Et bien tant pis pour eux , ils  n'avaient qu'a respecter le couvre-feu. Mais quelle idée de se balader dans les couloirs en pleine nuit. On n'esit pas à Hogwarts ici !

* Laïla se réfugia au fond de la salle, loin de l'entrée. D'où elle était, elle pouvait voir tous le monde.

Le spectacle de cette foule qui menaçait de sombrer dans la folie meurtrière à tous moment lui faisait froide dans le dos

Quelque chose… ou plutôt quelqu'un attira son regard. Un fauteuil vide attendait sagement contre le mur, vide de l'occupant qui était sensé s'y trouver. Alexandre cloué au lit par la grippe n'avait pas pu venir.

* Halléndra se détendit et tourna son  visage à l'expression encore un peu endormi vers sa mère.

- Maman… murmura-t-elle.

- Oui je suis là, répondit Esmé d'une voix douce.

- Maman

- Oui ma chérie, … tu as fait un rêve… il y avait un jardin avec des fleurs, il faisait beau…dit Esmé qui n'avait pas envie de contrarier sa fille

- Maman… c'était ma réplique l

- Pardon ma chérie,  comment te sens-tu ?

* Laïla et Cloé se tassèrent dans un coin, elles avaient peur de ce qui allait se passer maintenant.

Elles virent le garçon qui était assis dans le fauteuil se lever doucement, personne d'autre le remarqua.

Bien droit devant son siège, il prit  une inspiration.

« Où Sont les Toilettes ? »

* Laïla et Cloé se tassèrent dans un coin, elles avaient peur de ce qui allait se passer maintenant.

Elles virent le garçon qui était assis dans le fauteuil se lever doucement, personne d'autre le remarqua.

Bien droit devant son siège, il prit  une inspiration.

« Et maintenant c'est l'heure du quadrille. Chacun prend une cavalière, bien en rond, deux par deux… comme à la parade. Deux pas en avant… Deux pas en arrière… et maintenant  la promenade… »

* D'un geste de la main, Alex leur fit dégager le passage en leur faisant faire un jolie vole planer. Cette action finit de jeter un froid sur la foule. Comment avait-il fait ça ? On s'écarta la plus possible du jeune homme de peur de subir le même sort.

La porte de la salle vola en éclat sans que nul ne la touche. De nombreux débris retombèrent sur le sol en faisant voler de la poussière. Quatre élèves furent grièvement blesser , une douzaine faillirent rester sourd… Le responsable des effets spéciaux avait mal calculé la puissance de l'explosion.

*D'un geste de la main, Alex leur fit dégager le passage en leur faisant faire un jolie vole planer. Cette action finit de jeter un froid sur la foule. Comment avait-il fait ça ? On s'écarta la plus possible du jeune homme de peur de subir le même sort.

La porte de la salle vola en éclat sans que nul ne la touche. De nombreux débris retombèrent sur le sol en faisant voler de la poussière.

« DUX DICEBAT QUAMDAM URBEM JAM CAPTAM ESSE, ET SE ALIAS MULTAS MOX CAPTURUM ESSE.»

Oups mauvaise incantation…

* « Alors ? Te faut-il d'autre détail ? … Aimerais-tu savoir qu'elle s'est débattu comme une tigresse, dit-il en contemplant sa main bandé,   Aimerais-tu savoir qu'elle a crié, qu'elle a pleuré quand j'étais sur elle. »

Alex avait à peine esquissé un geste de la main qu'Andrew le tenait en joug avec sa baguette. Le premier sort fusa. Alex le dévia d'un geste de la main. Le maléfice alla s'écraser sur la foule en provoquant un sérieux carnage, une torche humaine passa entre Andrew et Alex en hurlant. Le champion de duel ne se laissa pas impressionner et un éclair vert s'abattit sur Alex. Celui-ci s'effondra… raide mort.

« Quelqu'un d'autre ? » demanda Andrew à l'assemblée

- MAIS QU'EST CE QUI SE PASSE ICI ? Hurla l'auteur

- Ben j'vois pas pourquoi ce serait toujours le gentil qui gagnerait. Rétorqua Andrew.

- Mais c'est pas ça le scénario !!!!

- J'm'en fiche ! et si t'es pas contente je peux te jeter un sort d'Avada Kedavré sur toi aussi…

Chapitre 9 :

* La lune, pâle, éclairait l'esplanade de l'école avec des rayons changeants où les nuages se découpaient. L'ombre et la lumière dansaient une étrange sarabande dans le silence. Le vent de la mer balayait l'étendu pavée. La nuit maîtresse du monde régnait de toute sa puissance comme si elle savait que le soleil mettrait encore des heures avant de reprendre sa dictature.

Quelqu'un tapota doucement sur l'épaule de l'auteur. Elle se retourna prête à engueuler la personne qui osait la déranger. Elle se retrouva alors face à deux types baraqués vêtus de blouse blanche. « Ma p'tit dame, on vous l'a déjà dit l'aut'e fois, faut pas raconter des conneries comme ça. Il va falloir nous suivre, et prendre vos petites pilules roses. Vous verrez ça ira mieux après ! »

« QUI A APPELE LES URGENCES PSY QUE JE LUI FASSE LA PEAU !!!!!!! » Hurla l'auteur alors que les deux infirmiers la plaquaient au sol pour lui enfiler de force une camisole.

* Alex passa ses bras autour de la jeune fille. Sa peine lui fendait le cœur. Dire que tout était de sa faute…« Suits-moi,  efface ton existence, et cette histoire ne se sera jamais produite »… Oui cela devait être la meilleur solution… Partir … tout effacer.

- Pardonne-moi Halléndra…

- Non, s'écria-t-elle aux travers de ses larmes. Ne part pas ! Ne me laisse pas…

- Tu oublieras… tu m'oublieras…

- je ne veux pas t'oublier…

- Hall… j'veux pas…  je ne peux pas rester après ce qui s'est pass

-  Dit ? Pourquoi tout le monde il me pique mes répliques ?

-  Zut pour une fois que je connaissait le texte c'est pas le mien..

Chapitre 10 :

* Il a tenu sa promesse et il revient de temps en temps. Alors c'est comme s'il était toujours là, comme s'il n'était jamais parti. Les gens lui parle comme s'il le voyait tous les jours… Il ne reste jamais longtemps mais ce temps là il le passe avec moi, rien d'autre ne compte alors.

A ces moments là, je me plonge dans ses yeux noir et j'oub…

TI DADI DADI DADAM… TI DADI DADI DADAM … TI DADI DADI DADAM (sonnerie de téléphone portable)

« All ?… Ah salut Cloé… Oui… Je peux pas te parler là, je suis en plein chapitre 10… Oui… C'est ça… La fête de fin d'histoire aura lieu dans le jardin des lys… Oui de la tequila ce sera parfait…  Excuse moi mais si je raccroche pas vite fait l'auteur va me trucider… oui… non je lui dirait pas ça… oui je le pense aussi mais on a déjà essayer dans le chapitre 7 et 9, l'hôpital ne veux plus d'elle…Oui… peut-être… »

« HALLENDRA TU RACCROCHE CE TELEPHONE IM-ME-DI-A-TE-MENT !!!!!! »

« … Oui c'est elle que tu entend crier… quoi ? Non tu exagère !? … J'y crois pas… Avec Simon ? Quelle Horreur ! … Et dans le jardin en plus… mais c'est dégoûtant !… hein ? C'est ta mère qui les à trouver ?!  Et elle a réagit comment ? … tu m'étonne… »

« HALLENDRA ! »

« … Oui l'aut'e psychopathe s'énerve… Donc tu disais ? … Et ton père il en dit quoi ? … Ouais je le comprend un peu, ça doit lui faire un choc… m'enfin dans le jardin tout de même par le froid qu'il fait… Pour Simon ? oui je m'en doutais…Comment je le sais ? C'est Alex qui ma l'a dit… non j'allais pas te le dire, J'me voyais mal te dire : Cloé, tu vois,  et bien ton frère il est… »

« HALL !!! »

« Oui il faut que je te laisse… on parlera de ça ce soir à la fête… biz… A toute.. »

CLIC

Donc j'en était o ?… ha oui…

… et j'oublie tous ce que je lis encore dans les regards qui m'entoure, tout ce dégoût et cette  pitié qui ne s'efface pas. Comme si la marque qu'Andrew avait laissé sur moi ne s'effaçait pas, comme si tous cela était ma faute. Je sombre alors dans le regard plus sombre à chaque visite de la seul personne qui m'ait aidé et j'oublie.

************* * *  *   *    *     *      *       *        *          *           *            *             *              *

Voilà, ainsi s'achève  les bêtisiers. J'espère qu'ils vous aurons fait rire… reste encore une dernière surprise à venir et je classerais définitivement cette fanfic.

Donc au-revoir à tous…

Et ne suivez pas les chat noirs…

reve@nne