Titre : Enfants de la Guerre
Auteur : Calingus
Beta-reader : Angharrad
Genre : aventure/drame/action
Personnages : Harry, Ron, Hermione, Draco, et plein de petits nouveaux (fiction muti-points-de-vue)
Spoilers : tomes 1 à 5
Résum : où en sommes-nous quatre ans après la fin de la guerre contre Lord Voldemort ? Sommes-nous réellement en paix ? Bon retour dans le monde de la magie.
Disclaimer : les personnages et l'univers de Harry Potter sont la propriété de JK Rowling et ses éditeurs. Seules les nouveautés m'appartiennent.
Chapitre 4 : Enfants de la Guerre
Publié le : 29/07/2004
Rating : PG
Résum : les émotions, ça donne faim ; pause déjeuner chez les Weasley.
Je dédicace ce chapitre à ma petite Angharrad pour son anniversaire, même si c'était il y a deux jours, et même si elle l'avait déjà lu il y a quelques temps.
Chapitre 4
Enfants de la Guerre
Harry ne savait pas s'il pouvait alors quitter la salle. Cette question resta en suspens, car pendant que les membres du conseil commençaient à quitter la salle, McGonagall s'approcha pour lui parler.
"J'ai toujours su qu'Albus ne se serait pas sacrifié inutilement," dit-elle tristement. "J'aurais seulement aimé connaître plus tôt les circonstances de sa mort."
Harry ne savait pas quoi répondre. "J'ai du mal à comprendre que l'on accorde autant d'importance à cette audience quatre ans après," dit-il simplement.
"Tu n'as eu aucun contact avec le monde de la magie pendant quatre ans ?" demanda McGonagall.
"Aucun," répéta Harry.
"Alors tu ne peux pas comprendre le climat politique depuis cette nuit là. Après la bataille, l'issue n'en était pas très claire. Poudlard à résisté aux Mangemorts, mais personne n'était là pour témoigner des événements de Godric's Hollow. Ainsi personne ne pouvait affirmer avec certitude que Voldemort ne reviendrait pas ; et personne ne savait si tu étais encore en vie. Quand tu avais un an, tout le monde croyait Voldemort vaincu. La suite a prouvé le contraire, les gens n'ont donc pas voulu y croire une deuxième fois sans preuve, et ils ont perdu espoir. Les Mangemorts ont été furieux de ne pas voir revenir leur maître. Certains, Bellatrix Lestrange en tête, s'attendent à le voir revenir. Ils ont donc entamé une guerre de représailles qui dure depuis."
"Des représailles ?"
"Ils ont continué à s'attaquer aux sorciers d'origine moldue et à ceux qui avaient participé à la grande bataille, comme on l'appelle aujourd'hui. Mais l'événement le plus grave, c'est le vol il y a trois ans, à Poudlard, de la liste des futurs inscrits. Comme tu le sais peut-être, le nom de tous les enfants du Royaume-Uni dotés de pouvoirs magiques apparaît dessus à leur naissance. Grâce à cette liste, les Mangemorts ont pu trouver les enfants nés de parents moldus. Ils ont entrepris de tuer leurs parents et de les laisser orphelins. On compte à ce jour vingt-neuf orphelins. On les appelle les 'enfants de la guerre'. Ils seront placés dans un orphelinat qui doit ouvrir cet été. Le premier orphelinat sorcier."
"Tout ça parce que je ne suis pas resté--"
"Ne te méprends pas Harry," coupa McGonagall. "Si tu avais été là, les représailles auraient quand même eu lieu. Les choses auraient juste été plus simples pour le ministère et l'opinion publique. Nous avons tous commis une erreur à un moment donné. Le vol de la liste des élèves s'est fait alors que Poudlard était sous ma direction. Argus Rusard y a trouvé la mort. Pourtant j'assume mes erreurs et je continue à lutter."
"Qu'est ce que je peux faire ?" demanda le jeune homme.
"C'est à toi d'en juger, Harry. Personne ne peut plus décider à ta place. Tu as fait ta part du travail dans cette guerre, et ce sans que l'on t'offre un choix. Maintenant tes choix t'appartiennent. Que penses-tu faire pour le moment ?"
"Je ne suis pas sûr," répondit Harry. "J'ai un travail. Je dois rentrer chez moi, du moins pour l'instant."
"Fais-moi plaisir," dit McGonagall avec un sourire, "ne te coupe plus complètement de nous. Garde un moyen de communication."
"Je le ferais," assura Harry. "Au revoir, professeur."
"Minerva," répondit-elle en souriant. "Je ne suis plus ton professeur depuis longtemps. Au revoir, Harry."
Il quitta alors la salle d'audience qui s'était déjà presque vidée.
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A l'extérieur de la salle, Harry était attendu par Ron, Arthur, Fred et George Weasley, ainsi que Hermione Granger. Tous semblaient écouter Kingsley qui devait leur relater l'audience. Lorsque Harry s'approcha, ils se tournèrent vers lui comme un seul homme.
Hermione poussa un cri et porta sa main à la bouche, les larmes brillant dans ses yeux. Puis elle se retourna et s'enfuit en courant. Ron parût hésiter en regardant Harry. Puis il se retourna et appela "Hermione !" en partant pour la rattraper.
"Qu'est-ce qui lui arrive ?" demanda Harry interloqué.
"Ca doit sûrement être ta coiffure," dit George.
"Et quelle coiffure !" ajouta Fred en ricanant.
"Content de te revoir, Harry," ajoutèrent-ils en chœur, serrant sa main chacun leur tour.
"Harry," dit Arthur, "tu viendras bien déjeuner à la maison ? Ca nous ferait tellement plaisir ! Kingsley nous a raconté ce qui s'est dit ce matin. Tu n'auras donc pas besoin de reprendre ton récit."
"C'est que, je dois rentrer chez moi," répondit Harry. "Je travaille à six heures."
"Aucun problème, nous ferons en sorte que tu sois rentré à l'heure. Qu'en dis-tu ?"
"Et bien, dans ce cas... C'est d'accord" annonça Harry.
"Bien, je vais rentrer prévenir Molly. Les jumeaux vont t'attendre le temps de régler un ou deux détails," conclut Arthur en se tournant vers Kingsley.
"Suivez-moi un instant s'il vous plait, Harry," dit le ministre en le guidant vers une salle annexe à côté de la salle d'audience.
A l'intérieur, se trouvait déjà Percy qui referma la porte derrière les deux nouveaux arrivants.
"M. Potter, comme vous le savez, ces deux baguettes ont été retrouvées à Godric's Hollow," commença Kingsley en désignant les objets magiques que présentait Percy sur un tissu de soie rouge. "Seriez-vous capable de reconnaître la votre ?"
"La mienne avait des traces de morsure sur le manche... Le chat d'Hermione," ajouta Harry voyant Kingsley perplexe.
"Dans ce cas, ce doit être celle de gauche" dit Percy en la désignant du regard.
Harry s'approcha et prit sa baguette. A son contact, il fut parcouru par un frisson. Il sentait la magie parcourir ses veines comme la première fois qu'il l'avait tenu, lorsqu'il avait onze ans.
"Souhaitez-vous conserver également celle de votre adversaire ?" demanda le ministre.
Harry réfléchit un instant.
"Oui, après tout, pourquoi pas."
"Bien dans ce cas elle est à vous," reprit Kingsley alors que Harry empochait les deux baguettes, la sienne à droite comme à son habitude. "Ainsi que cette lettre," ajouta-t-il en lui tendant la lettre de Dumbledore. "Je dois également vous informer que votre réapparition ne plaira guère aux mangemorts, vous vous en doutez. Je vous conseille vivement d'accepter la surveillance discrète de votre lieu de résidence et de travail par un envoyé du ministère digne de confiance."
"Très bien. J'accepte si vous pouvez m'assurer que ni moi, ni mon entourage ne remarqueront sa présence."
"Vous avez ma parole", assura le ministre. "Vous êtes libre de partir. J'espère de tout cœur vous revoir bientôt parmi nous."
"Peut-être... Au revoir Kingsley, Percy" dit Harry en adressant un signe de tête à chacun.
Il quitta la salle et retrouva les jumeaux dehors.
"Prêt Harry ?" demanda Fred.
"Oui, allons-y."
Alors qu'ils marchaient en direction des ascenseurs et des cheminées de transport, Harry se détendit enfin.
"Comment vont les affaires ?" demanda-t-il.
"Mieux que jamais !" répondit George joyeusement.
"Nous sommes en constante progression," ajouta Fred. "Le magasin ne désemplit pas."
"Les gens auront toujours besoin de rire." dit George. "Nos affaires sont assurées pour la vie !"
"Et toi, que fais-tu depuis quatre ans ?" demanda Fred.
"Je suis serveur dans un bar moldu," répondit Harry.
"C'est vrai ? Tu nous y inviteras ?" s'excita George.
"Avec plaisir, si vous êtes capables de vous tenir tranquilles," plaisanta Harry.
"Sans problème !" répondirent les jumeaux en chœur.
"Nous y sommes," commenta George arrivé devant une cheminée. "A toi l'honneur, cher invité !"
Harry prit une poignée de poudre qu'il lança dans les flammes. Il fit un pas en avant et annonça "le Terrier !"
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La maison de la famille Weasley n'avait pas changé depuis la dernière fois que Harry l'avait vue. A son arrivée dans la cheminée il fut accueilli par Mrs Weasley et Ginny qui lui sautèrent au coup à tour de rôle.
"Harry je suis si contente de te revoir en vie !" s'exclama Molly.
"Bonjour Molly. Content de vous revoir aussi," répondit Harry à la limite de l'étouffement.
"Je savais que c'était toi à la Coupe du Monde !" déclara Ginny. "Personne n'a voulu me croire. Tu m'as fait une peur bleue Harry !"
"Je suis désolé de t'avoir fait peur," s'excusa Harry. "J'ai failli avoir une crise cardiaque moi-même, si ça peut te consoler."
Ron transplana dans la maison à ce moment-là. "Salut Harry," lui dit-il l'air un peu gêné. "Désolé d'être parti si vite tout à l'heure."
"Qu'est-il arrivé à Hermione ?" demanda Harry.
"Elle a eu un choc en te revoyant. Elle a eu beaucoup de mal à accepter ta 'mort', et te voir vivant devant elle est encore un nouveau choc maintenant qu'elle a fait son deuil."
Harry se sentait embarrassé. Il n'avait jamais pensé faire autant de dégâts par son départ. Molly lui évita de répondre : "Je suppose que Hermione ne mange pas avec nous, donc. Passons à table !"
"J'ai cru que ces mots ne viendraient jamais," déclara George.
"On meurt de faim !" ajouta Fred.
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A table étaient réunis Athur, Molly, Fred, George, Ron et Ginny Weasley, ainsi que Harry. Ce dernier était assis entre Ron et Arthur. Ron avait changé en quatre ans. Il avait la même taille, la même carrure, mais c'est l'expression de son visage qui s'était modifiée. Il avait l'air plus sérieux, plus mature. Harry était mal à l'aise à côté de celui qui était son meilleur ami, et visiblement, ce dernier ressentait la même chose. Le temps les avait séparé. Et Harry savait que c'était de sa faute. C'était à lui de faire le premier pas. Alors que les autres membres de la famille Weasley étaient plongés dans différentes conversations, il tenta sa chance.
"Alors comme ça tu es Auror ? Je savais que tu serais fait pour ça."
"Plutôt mauvais à vrai dire," répondit Ron. "Je suis rentré dernier au concours, et j'ai eu mon examen de fin d'études de justesse. Mais c'est un métier qui me plait."
"Et tu fais équipe avec Malfoy ?"
"Nous avons été mis ensemble car nous sommes les plus jeunes Aurors et le ministère a besoin d'Aurors peu expérimentés pour les 'petites affaires', alors que les autres se concentrent sur la recherche des mangemorts. Tu imagines bien que je n'étais pas très enthousiaste au début. Mais Draco a vraiment changé. Il peut être un vrai emmerdeur, mais c'est un type bien au fond. Et toi, qu'est-ce que tu fais depuis ?"
"Je suis barman... dans un bar moldu," répondit Harry gêné.
Ron écarquilla les yeux. "C'est vraiment le dernier métier que j'aurais imaginé pour toi." Puis après un silence il reprit plus enthousiaste : "alors, qu'as-tu pensé de la demi-finale de la Coupe du Monde ?"
"A vrai dire... je n'ai rien suivi du match. J'étais trop préoccupé par le fait d'être reconnu par quelqu'un."
Ron l'observa un instant, et éclata de rire. "Tu as vraiment toujours été un cas, Harry ! La plus grande demi finale du siècle, et tu ne regardes même pas !"
Harry éclata de rire également. Et c'est ainsi que quatre ans de séparations s'effacèrent en une question.
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Les conversations allaient bon train à table puis dans le salon. On parlait de tout sauf de l'audience, et Harry savait que les Weasley avaient dû se mettre d'accord sur ce point. Arthur était fasciné par la coiffure du jeune homme. Harry était surtout intéressé de savoir ce qu'étaient devenus tout ceux qu'il avait connu. Arthur avait de nouvelles responsabilités au ministère, et une plus grande équipe ; son département s'appelait maintenant 'Réparation des Dommages dus aux Incidents Moldus-Sorciers'.
Bill quant à lui était chef de la sécurité de Gringotts à Londres. Il était marié à Fleur Delacour, et ils avaient une fille de trois ans, Gwendolyn, et un fils de un an, Michael.
Charly remplaçait Hagrid comme garde-chasse et professeur de soins aux créatures magiques à Poudlard. Le demi-géant ne supportait plus sa vie dans l'école depuis la mort de Dumbledore et la disparition de Harry. Il était parti vivre comme garde-chasse à Beauxbâtons. Il s'était marié avec Madame Maxime et ils avaient un fils, Eddie, de deux ans. Un demi-géant et une vraie terreur selon Ron.
Percy n'avait pas changé de situation avec les années. Il était réconcilié avec sa famille depuis la mort de Fudge qui lui avait fait comprendre ses erreurs, mais il ne les voyait pas souvent, préférant se plonger dans son travail. Il était resté premier assistant du ministre.
Ginny avait fait deux ans d'études pour être médicomage, et travaillait depuis un an au service pédiatrique de l'Hôpital Ste Mangouste.
Harry regarda sa montre et constata avec surprise qu'il était déjà six heures moins le quart.
"Je dois y aller, je commence mon travail dans un quart d'heure !" s'exclama-t-il.
"Attends Harry, nous avons quelque chose pour toi," dit Ron en se précipitant en haut des escaliers. Il redescendit avec une malle. La malle que Harry avait à Poudlard.
"Nous l'avons gardé," expliqua-t-il, "nous avons toujours espéré que tu reviendrais un jour."
"Merci Ron."
"Harry, nous pourrions faire raccorder ta cheminée au réseau de cheminée. Qu'en penses-tu ?" demanda Arthur.
"C'est que... je n'ai pas de cheminée," répondit Harry.
"Pas de cheminée ? Et comment te chauffe-tu ?" interrogea Arthur perplexe.
"J'ai un chauffage électrique," précisa Harry.
"Electrique ? Fascinant ! Mais alors comment pourrons-nous communiquer avec toi ?"
"Par hibou, je suppose mais je ne pourrai que répondre car je n'ai plus Hedwige. Ron sait où j'habite."
"Qu'est-il arrivé à Hedwige ?" demanda Ron surpris.
"Elle ne m'a pas suivi lorsque je suis parti ; je suppose qu'elle est retourné à l'état sauvage... Sinon vous pouvez passer me voir à mon travail, si vous êtes discrets. Le bar s'appelle 'the Mayhew'."
Harry salua rapidement chaque membre de la famille et transplana avec sa malle à la main.
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'J'ai décidément perdu l'habitude,' pensa sombrement Harry. Il avait prévu d'arriver debout dans son salon, mais il atterrit à un mètre au dessus de la table de sa cuisine. Il tomba le dos a plat sur la table, et sa malle s'écrasa par-dessus lui. Elle s'ouvrit étalant ses affaires partout sur le sol.
Harry se releva péniblement avec une douleur dans les côtes. Pas le temps de ranger. Il se contenta de sortir la baguette de Voldemort de sa poche gauche, et la jeta dans la pile de ses affaires par terre. Il sortit ensuite sa propre baguette, mais hésita.
'Je n'ai plus de raisons de fuir ce que je suis,' décida-t-il. Il pointa sa baguette et énonça "Reparo". Il sentit presque la magie courir le long de son bras, dans ses doigts pour sortir par sa baguette. La table se répara. C'est à ce moment seulement que Harry se rendit compte qu'il pouvait faire de la magie légalement en dehors de Poudlard. Satisfait, il rempocha sa baguette et sortit en courant de son appartement pour aller travailler.
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Greg venait d'ouvrir le bar et passait machinalement un coup de chiffon sur le comptoir. Tom était en congé ce soir. Il n'avait plus qu'à espérer que Harry se sentirait mieux et viendrait travailler. Sur cette pensée, la porte s'ouvrit en grand et le jeune barman entra en trombe.
"Salut Greg !" dit-il à bout de souffle.
"Salut Harry, tu es venu ici en courant ?" demanda le patron surpris.
"J'avais peur d'arriver en retard," répondit Harry avec un grand sourire.
"Tu as l'air d'aller mieux. Tu as eu le temps de réfléchir je vois."
"Et bien, en fait, pas du tout mais j'ai retrouvé beaucoup de gens que j'avais connu. Je crois que ça m'a fait du bien."
"Et ils t'ont offert un bout de bois ?" demanda Greg curieusement en désignant la poche de Harry.
"Heu, oui c'est à peu près ça," hésita Harry. Il rabattit son polo par- dessus sa baguette qui dépassait de sa poche. Puis comme si de rien n'était il s'installa derrière le bar pour commencer son travail.
Fin du quatrième chapitre, qui porte le titre de l'histoire. Maintenant nous savons qui sont les enfants de la guerre. Dans le prochain, on sort Mumus du placard et on va revoir le petit Josh.
Références :
- J'ai emprunté l'idée d'un orphelinat pour enfants sorciers à Umbre77 qui l'a évoqué dans sa fiction "Futur et Mésaventure" (storyID : 1314627 sur ) que j'aime beaucoup.
- Le nom d'Eddie (fils d'Hagrid) est un clin d'œil à mon pote Boulou qui est un vrai demi-géant/demi-troll (si si !)
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Réponses aux reviews précédentes (sur FFdotNET et TWWO) :
Merci à Abel, Nee Chan et Chana, Bibize, Princesse Magique, Chibee, Salazar66 et Divergood !
Nee Chan et Chana : pour les couples, je vous laisse découvrir seules, mais en tout cas Cho n'est pas prévue comme personnage dans la fiction. On devrait revoir Draco à la fin du chapitre 5, voire 6 si le 5 est déjà long.
Bibize : tu as pu voir dans ce chapitre que Harry a retrouvé certains de ces amis, mais il reste du chemin à parcourir. Quant à l'autre enveloppe, il ne faut effectivement pas l'oublier, d'autant plus qu'elle contient des informations intéressantes !
Salazar66 : comme j'ai déjà eu l'occasion de te le dire, j'ai retravaillé certains points ; j'espère que la suite te plaira.
Divergood : je pense que tu as pu mieux voir la trame de l'histoire avec le discours de McGonagall au début du chapitre. J'ai un peu tardé à rentrer dans le vif du sujet car j'aime bien y aller doucement.
